Supplique à nos amies de LP !

Mesdemoiselles, faites très attention à ne pas être confondues avec des femmes à la recherche d'une étreinte furtive durant vos jogging !

Citation :

Des drames comme celui de la jeune Marie-Jeanne restent très rares. Mais les agressions d'adeptes de la course à pied se répètent.

Quelques conseils de sécurité.

Marie-Jeanne, lycéenne de 17 ans, était partie pour un simple footing, samedi, vers 18 h, à Tournon-sur-Rhône (Ardèche). Un moment de détente avant de passer l'épreuve de français qui était programmée deux jours plus tard. Son corps a finalement été retrouvé mardi, calciné et enterré... En février, en Haute-Garonne, une mère de famille de 49 ans avait été étranglée après être partie faire son jogging, tôt le matin.

À une époque où la pratique de la course à pied se développe, les affaires de joggeuses agressées se répètent, sans être forcément aussi dramatiques qu'à Tournon. Il ne semble pas exister de statistiques officielles. Mais, en 2010, pour le seul département d'Eure-et-Loir, une dizaine d'agressions avaient été enregistrées. Alors, forcément, les joggeuses prennent des précautions.

Le portable : insuffisant !

« J'y pense. Pas tout le temps. Mais c'est vrai qu'il y a des endroits où je n'irai jamais courir seule », admet Gisèle, à Saint-Brieuc. Inscrite dans un club de course à pied, elle s'entraîne le plus souvent en groupe. C'est motivant et rassurant à la fois. « J'ai toujours conseillé à mes copines de ne pas courir seules. Ne serait-ce qu'en cas de blessure... »

Un sage conseil ? Sûrement. Mais comme l'observe Loïc Villerbu, professeur en psycho-criminologie à Rennes, courir est aussi un plaisir solitaire. « Aujourd'hui, avec un baladeur sur les oreilles, la personne qui court seule se retrouve dans une bulle. Pour certains, il n'y a rien de plus plaisant. »

Monique, une autre joggeuse briochine, court trois fois par semaine. Quand elle le peut, elle sort avec des amies. Mais toutes n'ont pas l'assiduité de cette marathonienne qui, régulièrement, avale seule les kilomètres. « J'essaie de ne pas courir trop tard le soir. Les mauvaises rencontres, je n'y pense pas. Depuis peu, j'emporte un portable. Mon compagnon a insisté. »

Pour le criminologue, cette seule précaution est insuffisante. D'une part, parce qu'il faut « avoir le temps de composer le numéro. Or, personne ne peut prédire comment il réagira face à une agression ». D'autre part, parce que Loïc Villerbu observe que ce type d'agresseurs « a le plus souvent reconnu les lieux, préparé son acte. Ce sont des hommes d'une certaine maturité, rarement des jeunes, capables de contrôler leur environnement », note-t-il.

Face à ces constats, la Fédération française d'athlétisme a récemment publié, sur son site Internet, dix bons conseils de sécurité qui valent en cas de blessure et d'agression.

Eviter d'emprunter seule des parcours boisés ou non sécurisés, éviter aussi de courir presque nue ! »

éviter aussi de courir presque nue ! »

Et quoi encore André ! la femme est libre les talibans,la burqua c'est midièvaaaaaallllll............. les femmes adorent allumer