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 Constat politique

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MessageSujet: Constat politique   Constat politique Empty16/11/2008, 13:34

Le président russe Medvedev veut un "partenariat stratégique" avec les Etats-Unis

Le président russe Dmitri Medvedev a affirmé samedi à Washington qu'il souhaitait avoir avec les Etats-Unis des relations aussi bonnes que "le partenariat stratégique" entre Moscou et Pékin. 1

Monde - International 0:52

Le président russe Dmitri Medvedev a affirmé samedi à Washington qu'il souhaitait avoir avec les Etats-Unis des relations aussi bonnes que "le partenariat stratégique" entre Moscou et Pékin.

La Russie a un "partenariat stratégique" avec la Chine et souhaite avoir une relation similaire avec les Etats-Unis, a dit le président russe lors d'une conférence publique à Washington.

M. Medvedev a qualifié le partenariat stratégique avec la Chine de "dialogue excellent, complet et amical".

"Bien sûr que je veux avoir le même type de relations avec les Etats-Unis", a-t-il dit, selon la traduction anglaise de ses propos en russe.
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MessageSujet: Constat politique   Constat politique Empty16/11/2008, 13:37

L'émissaire de l'Onu à Goma pour rencontrer le chef des rebelles
Après une série de consultations à Kinshasa, l'émissaire de l'ONU pour la crise en République démocratique du Congo (RDC), l'ancien président nigérian Olusegun Obasanjo, est arrivé samedi à Goma (est) pour rencontrer le chef rebelle Laurent Nkunda.

Monde - International sam 15 nov, 19:54

Dans la capitale congolaise, le nouvel envoyé spécial de l'ONU avait rencontré vendredi soir le président congolais Joseph Kabila, et s'est entretenu samedi matin avec les ambassadeurs des pays membres du Conseil de sécurité de l'ONU.

M. Obasanjo (photo) s'est ensuite rendu à Goma, capitale de la province du Nord-Kivu dans l'est du pays, où il est arrivé vers 15H15 (13H15 GMT) pour y rencontrer Laurent Nkunda, dont les hommes sont positionnés depuis deux semaines aux portes nord de la ville.

Le chef rebelle "a été assez aimable pour m'appeler il y a trois jours alors que j'étais au Nigeria. Il m'a expliqué qu'il attendait beaucoup (...) d'une discussion en tête-à-tête", a expliqué à Kinshasa l'ex-président nigérian, qui n'a donné aucune précision sur les modalités de cette rencontre.

Selon un porte-parole de la rébellion, le tête-à-tête pourrait se dérouler à Rutshuru, centre administratif sous contrôle rebelle, à environ 75 km au nord de Goma.

Aucun des émissaires internationaux qui se sont succédés ces dernières semaines en RDC n'a rencontré le chef rebelle, qui plus est sur ses terres du Nord-Kivu.

Après avoir discuté avec Nkunda, "je pense (...) que je saurai vraiment ce qu'il veut", a souligné l'envoyé de l'ONU, qui a expliqué mener "un premier round de consultations dans la région" après le sommet international de Nairobi la semaine dernière sur la crise congolaise.

Ces consultations "exploratoires (...) se déroulent assez bien pour le moment" selon M. Obasanjo, qui doit se rendre ensuite à Nairobi. Auparavant, un porte-parole de la Monuc avait fait état d'une étape au Rwanda, accusé par le gouvernement congolais de soutenir les rebelles.

"Le président Kabila n'a pas posé ce que j'appellerai des conditions" à une possible rencontre ou des négociations avec Nkunda, a affirmé M. Obasanjo qui entend dire à Nkunda que la communauté internationale attend de lui "un cessez-le-feu durable".

Les combats à grande échelle ont repris fin août dans l'est de la RDC entre les rebelles et l'armée congolaise, en violation d'un cessez-le-feu conclu en janvier.

Laurent Nkunda menace depuis de renverser le gouvernement de Kinshasa et exige désormais des négociations en tête-à-tête avec le président Kabila. Les violences ont provoqué la fuite d'environ 250.000 personnes.

En visite à Kigali, le chef de diplomatie congolaise, Alexis Tambwe Mwamba, a affirmé pour sa part que son gouvernement approuve la participation "d'officiers de renseignement" rwandais à des opérations contre les rebelles hutus rwandais basés dans l'est de la RDC.

Exigée de longue date par le président rwandais Paul Kagame, la neutralisation de ces éléments FDLR (Forces démocratiques de libération du Rwanda) présents dans l'est du Congo est une des principales revendications de Nkunda, qui se pose en défenseur de la communauté tutsi congolaise.

La RDC et le Rwanda avaient signé en novembre 2007 à Nairobi un accord en ce sens, qui est depuis resté lettre morte.

A Luanda, le porte-parole du ministère angolais des Affaires étrangères a assuré que son gouvernement, traditionnel allié de Kinshasa, "ne va pas intervenir (en RDC) simplement pour entrer à nouveau en guerre".

"L'Angola veut contribuer à la stabilité de la région et non à sa confusion", a déclaré ce porte-parole, affirmant que l'Angola n'avait pas mobilisé de troupes pour intervenir dans l'ex-Zaïre.

Sur le terrain, un bref accrochage a eu lieu samedi matin entre troupes rebelles et soldats de l'armée régulière en périphérie sud de la localité stratégique de Kanyabayonga.

Ces affrontements, impliquant des échanges de tirs d'artillerie, se sont déroulés à Kabasha (15 km au sud de Kanyabayonga) et ont duré une dizaine de minutes, a indiqué le porte-parole militaire de la Monuc, le lieutenant-colonel Jean-Paul Dietrich, qui a dit en ignorer la cause.
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MessageSujet: Constat politique   Constat politique Empty16/11/2008, 13:40

Russie: la Douma vote l'allongement de la durée du mandat présidentiel


La Douma, chambre basse du Parlement russe, a approuvé vendredi en première lecture un amendement à la Constitution qui allonge la durée du mandat présidentiel de quatre à six ans, relançant ainsi les spéculations sur un retour possible de Vladimir Poutine au Kremlin.

A l'issue des débats, 388 députés ont voté pour et 58 contre un amendement de la Constitution en ce sens.

Seuls, les députés du Parti communiste, l'unique parti d'opposition dans la chambre basse, ont voté contre le projet.

Au début de la session parlementaire vendredi, le PC a tenté de retirer cette question de l'ordre du jour. Mais l'initiative des communistes n'a pas été soutenue par le reste de la Douma dominée par le parti pro-Kremlin Russie Unie.

"Nous ne pouvons pas voter pour ces amendements, alors que le pays est dirigé par un pouvoir autoritaire", a déclaré, avant le vote, le député communiste Viktor Ilioukhine.

"Il est dangereux d'adopter de tels amendements. Il est inadmissible de laisser le destin du pays entre les mains d'une seule personne, alors qu'il n'y a aucun mécanisme contre cet absolutisme", a-t-il dit.

Le président Dmitri Medvedev avait proposé le 5 novembre d'allonger la durée du mandat présidentiel de quatre à six ans et a envoyé le projet de loi à la chambre basse.

La Douma examinera le projet, qui prévoit également l'allongement de la législature de la Douma de quatre à cinq ans, mercredi en deuxième et troisième (dernière) lecture.

Une fois le projet approuvé par la Douma, le Conseil de la Fédération (chambre haute) a cinq jours pour se prononcer. Les amendements seront ensuite examinés par les assemblées régionales de la Fédération de Russie, soit 83 républiques et régions russes. Pour entrer en vigueur, ils doivent être approuvés par deux tiers des membres de la Fédération.

La proposition d'allonger la durée du mandat présidentiel a relancé les conjectures sur les intentions du pouvoir, notamment de Vladimir Poutine, prédécesseur de M. Medvedev au Kremlin devenu Premier ministre, qui reste la clé de voûte de l'exécutif russe.

M. Poutine a approuvé mercredi ces amendements et noté qu'il était "trop tôt" pour savoir qui en bénéficierait, suggérant ainsi qu'il n'excluait rien pour lui-même.
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MessageSujet: Re: Constat politique   Constat politique Empty16/11/2008, 14:21

C'est un fil à la gloire de la Russie, ton "constat politique" ? Very Happy
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MessageSujet: Constat politique   Constat politique Empty17/11/2008, 05:22

Campagne électorale 2009 : Reynders veut abattre la majorité PS-cdH
Le MR a lancé dimanche sa campagne pour les régionales de 2009 et son président, Didier Reynders, veut "oser le changement". Il a bien compris ce qu’être dans l’opposition implique: attaquer, dénoncer, fustiger … PS et cdH en ont pris pour leur grade.

Didier Reynders au pupitre pour son discours de lancement de campagne électorale du MR en Wallonie, au Palais des Congrès de Namur
Elections régionales de 2009: le MR a lancé sa campagne. ...


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Belgique - Politique dim 16 nov, 15:32

Le MR a choisi Namur, capitale de la Région wallonne, pour lancer sa campagne pour sortir la Wallonie des « mauvaises habitudes de gauche », comme ont pourrait le résumer. Comment ? Le programme des libéraux veut, en résumé, rationaliser les outils de gestion du sud du pays, avec comme grandes lignes de force, supprimer le Conseil provincial, fusionner les réseaux de l’enseignement ou encore dynamiser la mise à l’emploi des chômeurs. Quelques clins d’œil à Ecolo, partenaire de l’opposition en Wallonie, ont également été de la partie. Commençons donc par le programme avant d'exposer la liste des dérives de la majorité :

1) Faire siéger les représentants des communes à l’échelon provincial, et plus à la Région

"Pourquoi encore élire des Conseillers provinciaux? ", s'est interrogé le président du MR. "Pourquoi ne pas rassembler à l'échelon provincial des représentants des communes, dont il vaudrait d'ailleurs mieux qu'ils siègent là plutôt qu'à la Région ?" Selon le MR, les gestionnaires locaux pourraient gérer des matières regroupées, communales, provinciales, mais également celles aujourd'hui gérées par des para-régionaux. La participation d'élus locaux à des para-régionaux, où ils sont juges et parties, crée aujourd'hui une situation inconfortable, estiment-ils.

2) Plus de moyens pour l’enseignement en fusionnant les réseaux d’enseignement officiel

En matière d'enseignement, le MR a dit vouloir "mettre fin à la concurrence entre réseaux au sein de l'enseignement officiel". Il faut "oser la fusion des réseaux d'enseignement officiel", avant de travailler à "la coordination entre l'officiel et le libre", a indiqué Didier Reynders. Cela doit permettre de dégager des moyens supplémentaires. Mais ce n'est pas tout. Pour le MR, il importe aussi de restaurer "le goût de l'effort, de l'excellence", œuvrer à "la valorisation du métier d'enseignant", assurer "l'autonomie des écoles".

3) Augmenter les allocations de chômage pour ceux qui viennent de perdre leur emploi, les rendre dégressives avec le temps et réformer le Forem

Le MR veut également "oser le changement" en matière d'emploi, revenant sur son projet de voir les allocations de chômage augmentées "pour ceux qui viennent de perdre leur emploi". Ce projet serait à mener en parallèle avec un nécessaire débat sur la manière d'organiser la dégressivité des allocations dans le temps. En Wallonie, les réformateurs souhaitent une réforme du Forem. Il faut notamment, a dit Didier Reynders, "amener les chômeurs à accepter des travaux d'intérêt collectif, tels que ceux qui assurent la sécurité dans les bus, la propreté des autoroutes".

3bis) Aider financièrement les indépendants à se lancer … et donc à créer de l’emploi, surtout dans le développement durable

Mais l'emploi, "c'est avant tout, ceux qui prennent des risques, les indépendants, ceux qui créent des TPE, des entreprises", a indiqué Didier Reynders, selon qui il revient à la Région wallonne de les soutenir auprès des banques à l'instar de ce qu'a fait le fédéral. Il faut aussi "concentrer les aides" pour les investissements dans le développement durable, un discours qui, a dit Didier Reynders, rapproche le MR d'une autre formation politique (Ecolo, Ndlr). Malheureusement, "on ne voit rien dans le budget qui annonce un investissement massif" à cet égard, a-t-il regretté.

4) Faire entrer le privé dans la création de crèches ou dans la gestion de nos routes

Appelant aux diverses réformes, le président du MR a estimé qu'elles devaient être menées dans un cadre qui garantit l'équilibre entre un "Etat régulateur" et l'appel à "l'initiative privée", notamment en matière d'accueil de la petite enfance ou de gestion du réseau routier (sous forme de concessions).


PS et cdH en ligne de mire

Didier Reynders n'a pas hésité a égratigner tantôt le PS, tantôt le cdH, s'en prenant sans véritablement les nommer au ministre de l'Aménagement du Territoire André Antoine, aux Daerden père et fils, ou encore à l'époux de la ministre Laurette Onkelinx, l'avocat Marc Uyttendaele.

Le « sourire hilare » de Daerden face aux morts sur les routes, leurs affaires de famille, le monopole du mari d’Onkelinx …

Evoquant la vétusté du réseau routier wallon, Didier Reynders s'est demandé si on pouvait "accepter avec un sourire hilare 500 morts par an sur les routes alors qu'il y en a moitié moins en Flandre, malgré une densité routière plus importante? ". Les activités de révisorat public de la famille Daerden n'ont pas non plus manqué d'attirer les sarcasmes du président du MR qui a appelé à mettre fin aux incompatibilités. Michel Daerden avait indiqué récemment qu'il fallait sortir par le haut de cette affaire. Non, "il faut sortir", a lancé Didier Reynders. "Il y a des réviseurs d'entreprise qu'on ne peut mettre en concurrence tellement ils sont exceptionnels; il y a des avocats dont on se demande encore s'ils ont des confrères", a ironisé le chef de file réformateur, tacklant au passage Maître Uyttendaele, dont le cabinet a pour important client l'autorité publique.

André Antoine se met aussi au clientélisme …

André Antoine et l'extension sans permis des activités de Paradisio, et l'affaire Sagawé, sont également revenus sur la table. "Je ne savais pas que la politique du camarade s'étendait à l'autre partenaire", s'est amusé M. Reynders, appelant à la fin du "clientélisme", et pour ce faire à la mise en place d'une véritable école d'administration en Région wallonne et à une évaluation externe des politiques menées.

Critiques le gouvernement wallon, ce n’est pas critiquer les Wallons

Abordant la crise financière et économique, Didier Reynders a fustigé dimanche au Palais des Congrès de Namur, qui faisait salle comble, le "manque de préparation" en Wallonie. "Il va falloir oser le changement", a-t-il dit, soulignant que critiquer ce qui se fait ne revenait pas à critiquer les Wallonnes et les Wallons. "J'aime la Wallonie, je lui souhaite une autre ambition", a-t-il dit.
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MessageSujet: Didier Reynders, 12e ministre des Finances européen   Constat politique Empty19/11/2008, 14:11

Belgique - Politique mar 18 nov, 18:47

Didier Reynders occupe la 12e place du classement des meilleurs ministres des Finances européens, établi par le quotidien britannique The Financial Times. La liste a été publiée mardi.

Le classement prend en compte la santé des finances publiques, la stabilité de l'économie et les prestations politiques des ministres. Le quotidien indique que M. Reynders a été mis à rude épreuve dans le cadre des turbulences qu'ont connues une série de banques belges et de groupes d'assurances.

"Toutefois, les turbulences ne semblent pas avoir endommagé sa réputation d'homme fort des Finances belges", poursuit le journal.

L'an dernier, seuls les ministres de l'eurozone avaient été cotés. M. Reynders était alors 6e. Au total, la liste actuelle comprend 19 ministres.

Le ministre finlandais des Finances, Jyrki Katainen, arrive en tête, suivi par l'Allemand Peer Steinbrück et le Suédois Anders Borg. Le Luxembourgeois Jean-Claude Juncker et le Néerlandais Wouter Bos complètent le top 5. Le Portugais Fernando Teixeiro dos Santos est dernier.
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MessageSujet: Présidence belge de l'UE: le gouvernement veut votre avis   Constat politique Empty19/11/2008, 14:12

Présidence belge de l'UE: le gouvernement veut votre avis
Le gouernement fédéral a ouvert mardi un forum sur internet destiné à recueillir l'avis de la population sur l'Europe, et ce à quelques mois de la présidence belge de l'Union européenne programmée au second semestre 2010.


Belgique - Politique mar 18 nov, 16:36

"Ce n'est pas un forum juste pour faire un forum, mais plutôt pour tirer des enseignements sur la manière dont nos concitoyens voient l'Europe", a indiqué mardi le secrétaire d'Etat aux Affaires européennes, Olivier Chastel (MR).

Ce forum, accessible en quatre langues à l'adresse forum2010.belgium.be, est organisé autour de cinq thématiques: l'économie, l'emploi et le social; la santé, l'environnement et l'énergie; la justice et la sécurité; la citoyenneté, la culture et l'éducation; et enfin l'Europe dans le monde.

Le site ne sera ouvert que pour une période de six semaines seulement. Une synthèse des commentaires sera réalisée en janvier prochain. Celle-ci servira à alimenter une série de séminaires citoyens que le gouvernement planifie en prévision de la prochaine présidence belge de l'UE.

Les personnes n'ayant pas accès à internet peuvent directement écrire au cabinet du Premier ministre, au 16 rue de la Loi.
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MessageSujet: Le PE lève l'immunité parlementaire de Frank Vanhecke   Constat politique Empty19/11/2008, 14:14

Belgique - Politique mar 18 nov, 12:56

Le Parlement européen a levé mardi à une large majorité l'immunité parlementaire de Frank Vanhecke, poursuivi en Belgique en tant qu'éditeur responsable d'une publication à caractère raciste.
Par 564 voix contre 61 (et 42 abstentions), les eurodéputés ont décidé de lever l'immunité de l'ancien président du Vlaams Blok, comme ils l'ont déjà fait à plusieurs reprises par le passé pour d'autres membres de l'institution. Jean-Marie Le Pen et Bruno Gollnisch, deux figures importantes du FN français, se sont notamment déjà vu retirer leur protection juridique pour des raisons semblables. M. Gollnisch est d'ailleurs intervenu mardi avant le vote pour prendre la défense de Frank Vanhecke. Le Français a demandé le renvoi du dossier en commission, mais sa demande n'a pas été acceptée. (GFR)
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MessageSujet: De Gucht critique vivement Michel, Kabila et Nkunda   Constat politique Empty19/11/2008, 14:16

De Gucht critique vivement Michel, Kabila et Nkunda
Ces déclarations virulentes du ministre des Affaires étrangères risquent à nouveau de susciter la polémique. Ce mardi dans De Morgen, Karel De Gucht tire à boulets rouges sur son collègue Charles Michel.


Belgique - Politique mar 18 nov, 7:55

Son prédécesseur et actuel commissaire européen en charge de l'aide au développement Louis Michel en prend également pour son grade, tout comme le président congolais Joseph Kabila et le chef de guerre Laurent Nkunda.

Dans une interview accordée au quotidien flamand, le ministre De Gucht juge l'approche de son collègue en charge de la coopération au développement Charles Michel "déloyale et inefficace". Le libéral flamand estime que le premier ministre Yves Leterme devrait prendre les mesures "appropriées" contre le "dissident" Michel.

Louis Michel, père du ministre et actuellement commissaire européen, fait également l'objet de critiques. "Si la situation actuelle au Congo est le fruit de la politique de Michel, cela interpelle", a-t-il déclaré. "La situation n'a jamais été aussi navrante", ajoute Karel De Gucht qui exige également de Louis Michel qu'il reste sur le terrain européen.

Le ministre a par ailleurs réitéré ses critiques à l'encontre du président congolais Joseph Kabila. "Que l'on parle à Kabila ou pas n'a pas d'importance, cela ne change jamais rien", a-t-il déclaré.

Enfin, M. De Gucht n'a pas exclu que le chef rebelle Laurent Nkunda ait un jour à répondre de ses actes devant la Cour pénale internationale de La Haye pour crime contre l'humanité.



Michel veut être un homme de solution pas de polémique
Face à ces critiques, le ministre de la Coopération Charles Michel s'est défendu. Il souligne que les dirigeants du monde entier parlent au président congolais Kabila. Pour le reste, il se refuse à tout commentaire.

"Je constate que le monde entier parle à Kabila et au gouvernement congolais qu'il s'agisse de Ban Ki-moon, de Bernard Kouchner, de Condoleezza Rice... Je suis certain que Barack Obama le fera aussi. Le premier ministre Yves Leterme lui a parlé et moi-même je l'ai fait. Pour le reste, je ne ferai aucun commentaire sur les déclarations de M. De Gucht. Je veux être un homme de solution et pas un homme qui crée la polémique et les problèmes", a dit le ministre Charles Michel à l'Agence Belga.
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MessageSujet: Forem: la demande du MR d'un audit externe rejetée   Constat politique Empty19/11/2008, 14:46

La Commission de l'Emploi du parlement wallon a rejeté mardi, majorité contre opposition, une proposition de résolution du MR demandant une évaluation externe et indépendante du Forem, l'Office régional de l'emploi et de la formation.



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Belgique - Politique mar 18 nov, 14:04

Pendant près de 4 heures, le débat aura opposé le MR et le PS, tant sur les chiffres du chômage et les performances du Forem que sur d'éventuels problèmes au sein de l'institution. Les formations dispensées par l'institut français Iseor pour mettre en oeuvre un "management socio-économique" au Forem sont revenues plusieurs fois sur le tapis. Les Réformateurs ont également dénoncé la difficulté de contrôler cette institution dont le budget atteint 966 millions d'euros."Rien ne peut justifier en démocratie cette chape de plomb sur le Forem", a souligné la députée Véronique Cornet (MR).

Il n'y a pas d'institution publique en Région wallonne plus contrôlée que le Forem, a rétorqué le ministre de l'Economie et de l'Emploi, Jean-Claude Marcourt, évoquant la Cour des comptes, les contrôles européens, un comité d'audit interne, etc.

M. Marcourt a accusé le MR de faire de l'électoralisme en propageant des rumeurs. "Je me rappelle une phrase de mon prédécesseur à ce poste (Serge Kubla, chef de groupe MR et ancien ministre de l'Economie, ndlr) qui en avait assez de ceux qui salissaient à dessin la Wallonie", a-t-il ajouté.
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MessageSujet: "Une agnelle parmi les loups..."   Constat politique Empty20/11/2008, 14:31

Carine Russo veut arrêter la politique: 'Mais qu'est-ce que je fais là ?'
"Tous les jours, je pense à arrêter". La sénatrice Carine Russo (Ecolo) reconnaît que si c'était à refaire, elle ne se relancerait pas dans l'aventure politique. Notamment parce que la politique n'est qu'à ses yeux une mise en scène.


Belgique - Politique 7:19

"Vu ce que j'ai pu observer du fonctionnement de la politique, des partis, du gouvernement pendant la nouvelle législature, c'est non", affirme-t-elle ce jeudi dans une interview accordée aux quotidiens du groupe Sud Presse. Selon elle, les autres sénateurs semblent avoir "beaucoup de respect pour ce que j'ai été mais... pas pour ce que je voudrais être. Ce que je fais ne les intéresse pas beaucoup mais je m'en fous".

Carine Russo avoue aussi penser "toutes les semaines, tous les jours" à arrêter, se disant "tenue par rien du tout". "Souvent, en séance plénière, je me pose la question: 'Mais qu'est ce que je fais là?'. J'ai l'impression d'assister à un jeu de rôles, à une mise en scène", insiste-t-elle.

Alors que l'hebdomadaire satirique "Pan" critiquait, dans son édition mercredi, le travail des nouvelles sénatrices Florence Reuter (MR), Anne Delvaux (cdH) et Carine Russo (Ecolo), les qualifiant d'"attrape-voix", les deux autres sénatrices visées affirment par contre avoir trouvé leur place au sein de l'hémicycle du Sénat.
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MessageSujet: Bettina Geysen, présidente des Vl.Pro, démissionne   Constat politique Empty20/11/2008, 14:32

La présidente des VlaamsProgressieven a pris cette décision après que l'hebdomadaire Knack l'eut mise en cause pour des notes de frais à la VRT, où elle dirigeait jusqu'il y a trois ans la chaîne TV1 (Eén).

Belgique - Politique 6:48

Après un rapport de la Cour des Comptes sur les notes de frais à la VRT, les médias avaient parlé des notes d'hôtel et de restaurants élevées rendues par l'ancienne direction de la VRT - Tony Mary, Aimé Van Hecke et Bettina Geysen. Knack a publié mercredi un article plus détaillé et élargi sur ces notes de frais.

Juridiquement, le trio n'a rien à se reprocher, car il n'y a aucune règle, au sein de la chaîne publique, sur les notes de frais que les membres de la direction peuvent rentrer.

Plusieurs membres du parti s'étaient ouvertement posé des questions sur ces pratiques mercredi. Le bureau du parti se réunira jeudi matin à 09h00 à la demande du groupe Vl.Pro au parlement flamand.

Bettina Geysen n'a donc pas attendu jusqu'à cette réunion pour faire un pas de côté. Elle a décidé de démissionner mercredi. Elle présentera sa démission jeudi au bureau du parti.

Comme les statuts le prévoient, Nelly Maes, la vice-présidente des Vl.Pro, va provisoirement prendre prendre la tête du parti. On ne sait pas encore si le nouveau président sera désigné jeudi ou plus tard. Le bureau du parti le décidera probablement. Le conseil du parti et l'assemblée générale devront encore se pencher sur le ou la nouveau/nouvelle dirigeant(e) du parti.
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MessageSujet: Les Congolais sont furieux contre Karel De Gucht   Constat politique Empty20/11/2008, 14:33

Un parfum de tension menace à nouveau les relations belgo-congolaises. Le gouvernement congolais a réagi de manière furieuse aux déclarations du ministre belge des Affaires étrangères Karel De Gucht (Open Vld) sur le président Joseph Kabila.

Belgique - Politique 10:32

"Nous sommes indignés. Les déclarations de M. De Gucht sont l'expression d'un mépris, non seulement à l'égard de M. Kabila mais aussi à l'égard de l'ensemble du peuple congolais". C'est ce que rapporte ce jeudi De Morgen.
Mardi, Karel De Gucht s'en était pris à son collègue de la Coopération Charles Michel (MR), affirmant qu'il s'était comporté de manière "déloyale et inefficace" en s'entretenant avec le président de la RDC et ajoutant que s'entretenir avec Joseph Kabila ne menait à rien.

Face à ces propos, les Congolais ne sont évidemment pas restés de marbre. Dans un entretien avec De Morgen, le ministre congolais de la Communication et porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mende Omalanga, s'en prend à son tour à Karel De Gucht. "C'est semble-t-il devenu une habitude de M. De Gucht de dire qu'il n'a pas été entendu par notre président. Notre peuple n'a pas élu un président pour mettre en application les mesures d'un ministre d'un autre pays", dit-il notamment.

"En pensant que Joseph Kabila doit écouter les ordres d'un ministre étranger, M. De Gucht fait preuve d'une logique étrange et irrationnelle", selon M. Mende Omalanga.

"Si la Belgique souhaite normaliser ses relations avec le Congo, M. De Gucht doit cesser ses insultes", a-t-il encore ajouté.
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MessageSujet: Constat politique   Constat politique Empty23/12/2008, 00:53

Wilfried Martens devient explorateur
Le Roi a chargé Wilfried Martens (CD&V) d'une mission d'exploration afin de trouver rapidement une solution à la crise politique actuelle. M. Martens, 72 ans, Premier ministre de manière pratiquement ininterrompue entre 1979 et 1992, a accepté cette mission.
Qu’est-ce qu’un explorateur ?
Un explorateur est quelqu’un d’expérience, nommé par le Roi et chargé de déblayer le terrain : il ira à la rencontre des différents présidents de partis politiques pour voir quelle coalition serait la meilleure. Il est donc chargé de dessiner une sorte de formule de gouvernement.

Ce n’est qu’après cela que le Roi nomme un formateur qui constituera concrètement une équipe gouvernementale qui sera dirigée par celui qui sera nommé Premier ministre, très souvent la même personne.

Belgique - Politique lun 22 déc, 22:23

Wilfried Martens, chrétien-démocrate flamand, exerce ainsi un retour inattendu sur la scène politique. Il doit rencontrer mardi les présidents de partis et Yves Leterme. Il a été la dernière personnalité à être reçue au Palais lundi soir.

Trois jours après la présentation de la démission de l’ensemble du gouvernement par Yves Leterme suite à son implication dans le dossier Fortis, l’heure est toujours aux consultations, et aux doutes.

Lundi, en fin d'après-midi, tombait un communiqué laconique du Palais annonçant que le Roi avait accepté la démission et chargeait le gouvernement d'expédier les affaires courantes. Ce qui veut dire que le gouvernement démissionnaire d’Yves Leterme doit régler les débats politiques actuels malgré la crise, et est censé faire avancer voire boucler les dossiers en cours, afin que la transition entre l’ancien et le nouveau gouvernement se fasse correctement.


La journée a été marquée par le changement de cap du sp.a

Les socialistes flamands du sp.a ont changé d’avis : sous certaines conditions, ils se disent maintenant ouverts à une éventuelle entrée dans la nouvelle équipe gouvernementale. Johan Vande Lanotte, ancien vice-premier ministre sp.a, a laissé entendre que la perspective d'un éventuel retour de Jean-Luc Dehaene aux affaires était à cet égard un "signal important".


Côté libéral, c’est plus mitigé…

Du côté libéral la réaction est différente. On dit en général ne pas voir de "gaieté de coeur" le retour de l'ancien premier ministre CD&V, Dehaene. De plus, l'Open Vld souligne que, malgré le fait que les libéraux forment la plus grande famille politique à la Chambre, ils sont tenus à l'écart des discussions de ces derniers jours.


Réunis en Comité restreint, les ministres ont abordés les dossiers urgents

La journée de lundi a encore vu une réunion du Comité ministériel restreint à l'issue de laquelle aucune information n'a filtré. Les participants ont réussi à quitter le 16 de la Rue de la Loi en évitant les journalistes. Le but de la réunion était de faire le point sur certains dossiers qui ne peuvent souffrir aucun retard : Fortis, Kaupthing ou encore, le budget. Les ministres ne pouvaient pas prendre de nouvelles initiatives politiques, mais ils ont tenté de boucler les dossiers en cours. Un nouveau Comité restreint serait prévu mercredi.

A propos de Fortis, le vice-premier ministre et ministre des Finances Didier Reynders a clairement ouvert la porte à une réouverture des discussions en affirmant dimanche "s'il faut payer plus, on paiera plus". Le message était destiné à ceux qui s'opposent actuellement en justice à la décision de vente de Fortis à la banque française BNP-Paribas. Cette dernière a indiqué ce matin, par la voix de son patron Baudouin Prot, qu'elle ne voyait pas pourquoi elle augmenterait son prix de rachat, comme demandé par les actionnaires de Fortis (Lire l'article). A noter encore qu'aussi bien l'action de BNP Paribas (-2,34%) que celle de Fortis (-8,95%, plus grosse chute du Bel20. Voir les cotations du jour)

Quant à Kaupthing, une reprise de la banque par un consortium d'investisseurs des pays arabes attend encore l'accord du gouvernement belge. Yves Leterme a, par ailleurs, adressé une lettre, via son site internet, aux 20.000 clients belges de Kaupthing dont les comptes sont gelés. Il leur a dit soutenir la solution du consortium.

Qui remplacera donc Yves Leterme?

Maintenant que nous avons un explorateur qui est chargé de "débrousailler" la situation, la vraie question qui subsiste est : qui pour remplacer Yves Leterme ? Non pas que les Belges n'ont que faire de qui remplacera Jo Vandeurzen à la justice, mais bien parce que le navire Belgique de nouveau à la dérive a plus besoin d’un gouvernail que d’un geôlier. Kris Peeters a décliné préventivement l’invitation et Yves Leterme a fait savoir qu’il n’était pas candidat à sa propre succession . Il nous reste comme piste, côté CD&V, Herman Van Rompuy, mais celui-ci n’est pas tenté par l’aventure, il l’a suffisamment répété, par le passé également.

Jo Vandeurzen n'exclut pas un retour après que l'enquête ait prouvé son innocence :

Les quatre personnalités les plus souvent citées pour le poste de Premier :

- Marianne Thyssen, présidente du CD&V qui a rencontré le Roi hier soir au Belvédère

- Jean-Luc Dehaene, le bourgmestre de Vilvorde qui pourrait donc revenir sur le devant de la scène politique. L’homme a du métier, s’entend bien avec Albert II, mais aurait posé ses conditions : il n’accepterait de diriger qu’un gouvernement de transition (jusque là, pas de soucis) avec une équipe gouvernementale élargie aux socialistes flamands (sp.a). Son nom est revenu avec tellement d'insistance que les libéraux du nord comme du sud ont fait savoir publiquement qu'il n'avait pas leurs faveurs

- Didier Reynders, qu’on ne présente plus, serait un bon substitut à Yves Leterme, ayant été impliqué de près dans le travail de ce dernier. Mais le PS ferait barrage selon lui-même, qui a parlé de veto dimanche. Les socialistes ont nuancé ces propos : s'ils ne veulent pas d’un Premier ministre qui serait impliqué dans la future commission d’enquête sur cette affaire Fortis, ils réfutent avoir mis un veto quelconque à l'encontre d'un Premier ministre francophone ou de droite

- Guy Verhofstadt … votre rêve. Les internautes de rtlinfo.be l’ont en effet plébiscité dans notre sondage ce week-end, auquel vous pouvez continuer de répondre ci-contre. Celui qui représente dans l’imaginaire collectif le dernier représentant d’une Belgique unie et heureuse de l’être récolte plus de 70% de vos voix, après plus de 4500 votes. Si ce sondage n'a rien de scientifique, il traduit tout de même bien le voeu des francophones.

A moins qu'un retour en Belgique de Louis Michel ne vienne mettre tout le monde d'accord ... Joëlle Milquet, la présidente du cdH invitée de Bel RTL ce matin, a commenté les forces et les faiblesses de chacun
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MessageSujet: Re: Constat politique   Constat politique Empty23/12/2008, 00:57

Milquet donne son avis sur 4 candidats
Jean-Luc Dehaene, Guy Verhofstadt, Didier Reynders, Louis Michel. Quatre noms qui circulent pour remplacer Yves Leterme. Quatre noms que Frédéric Cauderlier a soumis à la présidente du cdH, ce matin sur Bel RTL.

Belgique - Politique lun 22 déc, 19:35

Depuis ce week-end, le carrousel des candidats potentiels a commencé à tourner. Plusieurs grands noms y sont déjà installés. Lequel sortira vainqueur du palais royal ? Sur RTLinfo.be, vous avez été plus de 4.500, ce week-end, à choisir parmi cinq propositions et à plébisciter Guy Verhofstadt (71%). Ce matin, sur Bel RTL, Frédéric Cauderlier a soumis à Joëlle Milquet quatre noms (voir la vidéo en bas d'article) dont trois figuraient dans notre sondage RTLinfo.be. Il y a ajouté Louis Michel.

La présidente du cdH, qui a indiqué qu'il n'y avait pas beaucoup de gens qui se bousculaient au portillon pour le poste de Premier, a fait un appel solennel pour que, dans l'état actuel des choses, les femmes et hommes politiques se mettent au-dessus de la mêlée, se montrent sages et ne se mettent pas déjà en campagne électorale. Mais elle nous a quand même donné son avis sur les quatre noms proposés, en précisant que, selon elle, un bon candidat serait idéalement une personne extérieure au gouvernement qui rallie le consensus entre tous les partis de la majorité.

Jean-Luc Dehaene ?

"Evidemment un bon choix pour un gouvernement de quatre ou cinq mois, d'ici les prochaines élections. C'est un homme d'expérience qui a un énorme leadership et beaucoup d'intelligence".



Guy Verhofstadt ?

"Euuuh (NDLR: elle n'a pas l'air trop emballée)... Il faut qu'il rallie le consensus. Et aussi qu'il le souhaite"



Didier Reynders ?

"Il a lui-même exprimé qu'il n'était pas candidat (...) C'est normal que si le gouvernement tombe sur l'affaire Fortis, ce ne soit pas opportun que Didier Reynders y aille maintenant".



Louis Michel ?

"Ce n'est pas un nom évoqué jusqu'à présent. Il faudrait que son parti le souhaite"



Joëlle Milquet a conclu que l'important n'était pas le nom du Premier ministre mais de trouver rapidement un gouvernement. Elle précisera un peu plus tard qu'il y a normalement le budget 2009 à finaliser d'ici... la fin de l'année. Joyeux Noël, madame Milquet...
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MessageSujet: Re: Constat politique   Constat politique Empty23/12/2008, 00:59

Didier Reynders ne veut pas être Premier à cause du PS
Le président du MR ne se voit pas premier ministre, notamment à cause de l'opposition manifestée par le PS, face à cette hypothèse.

Belgique - Politique dim 21 déc, 20:05

Interviewé par Serge Vermeiren et Elizabeth Wouters, Didier Reynders est on ne peut plus clair. "Je ne suis candidat à aucune fonction de premier ministre, je l'ai toujours dit", affirme-t-il. Et d'ajouter qu'il reste "prêt à prendre [s]es responsabilités".

S'il écarte la thèse de sa désignation comme successeur d'Yves Leterme, c'est parce que le parti socialiste s'oppose à cette solution. "Depuis la fondation du Parti Ouvrier Belge, un premier ministre libéral reste une mauvaise idée pour eux", a expliqué Didier Reynders sur les plateaux des émissions de débat dominicales. Il a estimé que ce n'est pas le moment de présenter sa propre candidature, quand existe un veto venant d'un autre parti francophone.


L'important pour lui, c'est d'avoir rapidement une équipe qui redémarre immédiatement, avant que le débat s'envenime, qui garde son calme et qui prenne à bras le corps les questions de la crise financière et économique, le plan de relance, l'accord interprofessionnel, etc... et que d'autre part, on mette en place la Commission d'enquête. Celle qui doit faire le clair sur la responsabilité du gouvernement dans les éventuelles pressions qui auraient été exercées sur les magistrats dans le dossier Fortis.



Le PS dément


De son côté, le PS a démenti avoir opposé un veto à la désignation d'un éventuel Premier ministre francophone. Il a affirmé n'avoir avoir lancé d'exclusive à l'encontre d'aucun parti démocratique. Il estime cependant qu'il faut un Premier ministre qui ne risque pas d'être mis en question lors des enquêtes qui ne manqueront pas d'être menées. Le Parti Socialiste a réagi ainsi aux propos du ministre des Finances et président du MR Didier Reynders, qui a affirmé dimanche midi ne pas être candidat au poste de Premier ministre à la suite d'un veto lancé contre lui par le PS.


"Notre pays mérite mieux que des jeux politiciens et des déclarations à l'emporte-pièce", a noté le PS dans un communiqué diffusé ce dimanche. Il en appelle à un "peu plus de calme et de modestie" de la part de certains responsables politiques.

"Contrairement aux rumeurs colportées par certains sur les plateaux de télévision ce midi, le PS n'a jamais mis aucune exclusive et aucun veto à la désignation d'un éventuel premier ministre francophone", affirment-ils encore, ajoutant que le PS n'a jamais mis d'exclusive à l'encontre d'aucun parti démocratique.
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MessageSujet: Re: Constat politique   Constat politique Empty23/12/2008, 01:01

Les libéraux pas chauds pour un éventuel retour de Jean-Luc Dehaene
Des rumeurs selon lesquelles l'ex-Premier ministre Jean-Luc Dehaene réapparaîtrait sur l'avant-scène politique vont crescendo. Dans le camp libéral, on ne verrait pas d'un bon oeil M. Dehaene dirigeant un gouvernement d'interim.

Belgique - Politique dim 21 déc, 21:17

Maintenant qu'il apparaît qu'Yves Leterme n'est pas candidat à sa succession, les démocrates-chrétiens flamands cherchent une autre personnalité. Parmi les noms cités avec une insistance croissante, celui de l'ancien Premier ministre Jean-Luc Dehaene.

Les libéraux, tant francophones que néerlandophones, croient savoir que le PS aurait demandé au CD&V de proposer quelqu'un de plus "à gauche" que M. Leterme. Ils évoquent notamment à ce sujet les propos tenus par André Flahaut sur la chaîne publique, qu'ils considèrent comme un veto mis à la candidature de Didier Reynders comme Premier ministre.

Les libéraux s'interrogent donc sur l'éventualité d'un Dehaene Premier ministre par interim et sur son profil "plus travailliste" qu'ils n'apprécient pas nécessairement.

Jean-Luc Dehaene a dirigé deux majorités fédérales "rouges-romaines" (socialistes alliés aux sociaux-chrétiens) dans les années 90.
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MessageSujet: Re: Constat politique   Constat politique Empty23/12/2008, 01:03

Vandeurzen attend que l'enquête prouve son innocence pour revenir
Le vice-Premier ministre et ministre de la Justice démissionnaire, Jo Vandeurzen (CD&V), n'exclut pas lundi son éventuel retour, "mais seulement après que (son) honneur et (son) intégrité auront été restaurés".


Belgique - Politique lun 22 déc, 9:05

M. Vandeurzen estime ne pas avoir violé la séparation des pouvoirs dans le dossier Fortis. "Je n'ai jamais confié de mission au procureur général (de la cour d'appel). J'ai seulement demandé de vérifier que tout se déroulait correctement", ce que confirme le magistrat de la cour d'appel, affirme le ministre de la Justice ce lundi dans la presse flamande.

L'interview a eu lieu samedi après-midi, une heure après la réception en audience de M. Vandeurzen par le roi Albert. "Quand une commission d'enquête parlementaire sera mise en place, il apparaîtra clairement que je n'ai pas exercé la moindre pression. Je suis avocat, je connais l'importance de la séparation des pouvoirs", indique-t-il encore.
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MessageSujet: Re: Constat politique   Constat politique Empty11/9/2009, 19:33

Le consulat de Nice va être fermé




- Politique 18:44 Le ministre des Affaires étrangères Yves Leterme a décidé de fermer le consulat de Nice. Il en a informé vendredi le Conseil des ministres restreint.
Cette décision est motivée par la volonté de rendre budgétairement neutre l'ouverture d'un consulat général à Marseille. L'ouverture du consulat général de Marseille est une décision du prédécesseur de M. Leterme, l'actuel Commissaire européen Karel De Gucht. Cette décision avait été fraîchement accueillie par le PS et le cdH qui en ont fait une question d'opportunité à l'heure où la crise frappe et qu'il s'agit de réaliser des économies en vue de résorber l'important déficit budgétaire. La nomination d'un haut fonctionnaire MR, Philippe Bostem, au poste de consul général avait également fait grincer des dents. Le personnel en poste à Nice et les activités y développées seront transférés à Marseille. Le consul de Nice deviendra consul de Marseille, avec au-dessus de lui Philippe Bostem, consul général. (NLE)
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MessageSujet: Re: Constat politique   Constat politique Empty12/9/2009, 14:36

De Wever : "les francophones doivent sentir qu'ils sont allés trop loin"


Le président de la N-VA, Bart De Wever, a affirmé samedi refuser le "chantage des francophones" qui souhaiteraient ne pas aborder rapidement la question de la scission de l'arrondissement électoral de Bruxelles-Hal-Vilvorde (BHV) pour ne pas mettre en danger la présidence belge de l'Union européenne, au second semestre 2010.


Constat politique De_wever




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Belgique - Politique 11:24 Bart De Wever, le président de la N-VA indique dans une interview publiée par le quotidien 'Het Nieuwsblad qu’il n’est "pas d'accord que les Flamands doivent se plier à ce chantage. Pourquoi ne pas demander aux francophones d'accepter la Constitution et un vote démocratique ?". M. De Wever ajoute ne pas croire à un compromis négocié à propos de BHV. "Dans le meilleur des mondes, on peut trouver un compromis avec la légendaire cuillère de sucre. Mais la réponse des francophones est et reste qu'il faudra un camion de sucre", affirme le président du parti nationaliste flamand.

Selon M. de Wever, le parlement fédéral doit tout simplement voter sur les propositions de loi prévoyant la scission de l'arrondissement et déjà adoptées en commission de l'intérieur de la Chambre par les seuls députés flamands. "Les francophones doivent maintenant sentir qu'ils sont allés trop loin dans ce dossier (avec le vote de motions en conflit d'intérêt, ndlr). Ils profitent énormément de la Belgique. Si le pays rencontre des problèmes avec une bagatelle comme BHV, c'est à eux de la résoudre", a-t-il ajouté.

Le Premier ministre Herman Van Rompuy avait affirmé début juillet que la réforme de l'Etat devrait être négociée "avant le début de la présidence belge de l'Union européenne", qui aura lieu le 1er juillet 2010.
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MessageSujet: Re: Constat politique   Constat politique Empty19/10/2009, 10:32

Dedecker parle sans voile








L'immigration mal gérée et coûteuse pour la Belgique au cœur d'un ouvrage aux accents populistes et extrémistes
Eviter la fuite en avant
Moureaux : "Bouc émissaire de la crise"
Plus sévères avec les étrangers
BRUXELLES Jean-Marie Dedecker n'a pas l'habitude de faire dans la dentelle. Le politicien aux théories souvent populistes, flirtant parfois avec l'extrême-droite, a cependant le mérite d'un franc-parler qui, comme dirait Marc-Olivier Fogiel, "ne peut pas plaire à tout le monde" . Dans son dernier ouvrage, flinguant une immigration qu'il estime trop coûteuse et un système dont les immigrés profitent à tout va, il risque de ne pas s'attirer les amitiés du plus grand nombre. Qu'importe, Jean-Marie Dedecker, empruntant la formule à Herman Teirlinck, préfère être détesté pour ses vérités qu'aimé pour ses mensonges.
Son constat est cinglant, étayé de chiffres. L'immigration coûte chaque année 7,67 milliards à l'État belge. Les allochtones sont responsables de 70 % de la criminalité et ils occupent 60 % du parc de logements sociaux de notre pays.
Des chiffres assénés comme des coups. "Mais c'est une réalité, je n'ai rien inventé" , explique Jean-Marie Dedecker. "S'ils choquent, ce n'est pas de ma faute. Il faut avoir le courage de dire aujourd'hui que la politique d'immigration que nous menons est un échec. Si, il y a une dizaine d'années encore, je me disais qu'il fallait une immigration pour garantir le paiement des pensions, les abus auxquels elle mène aujourd'hui nous offrent une tout autre garantie. Si nous ne réagissons pas, c'est une certitude, il n'y aura plus d'argent dans les caisses pour payer ces pensions."
Et Jean-Marie Dedecker de s'interroger sur cette dérive, reconnaissant que les immigrés de la première génération ne posaient pas les mêmes problèmes. "Il faut mettre l'accent sur l'éducation. Il y a actuellement un déficit en la matière, et l'État belge ne fait rien pour remédier au problème non plus, dans la mesure où tout est offert sur un plateau à l'immigré qui débarque en Belgique. Même un illégal a droit à l'enseignement et aux soins de santé gratuitement. Ce n'est pas pour rien que nous sommes dans le top 3 des pays où l'on se targue d'une intégration réussie, tout simplement parce que les cadeaux que nous offrons aux immigrés sont nombreux."
Les États-Unis ou le Canada devraient inspirer la Belgique, enchaîne Jean-Marie Dedecker. "Pourquoi 90 % des immigrés trouvent un travail aux États-Unis, alors qu'ils ne sont que 40 % en Belgique ? Tout simplement parce que les aides belges n'incitent pas à travailler."
Pourtant, malgré des thèses qui s'en rapprochent, Jean-Marie Dedecker affirme se démarquer fondamentalement du Vlaams Belang de Dewinter. "Je ne suis pas pour un renvoi des immigrés dans leur pays ou la fermeture des frontières. Il faut simplement une immigration mieux contrôlée. Tout le monde a le droit à sa part de misère, nous n'avons pas à en assumer davantage."
Omniprésente dans le débat, la problématique du voile est bien sûr au cœur du discours de Jean-Marie Dedecker également. "Ce n'est pas le voile en tant que tel qui pose problème. Bien au-delà, c'est le respect de la séparation entre le domaine religieux et l'État qui est en question. Et j'ai l'impression qu'on ne peut pas critiquer l'Islam aujourd'hui de la même manière qu'on s'est attaqué à l'Église catholique quand on la trouvait trop envahissante."
Pointer du doigt l'immigration et agiter le spectre d'un Islam radical et menaçant fait inévitablement penser au Vlaams Belang. Pourtant, Jean-Marie Dedecker entend marquer, intellectuellement, la différence. "Je sais qu'on va essayer de me renvoyer dans le camp des extrémistes avec ce livre. Mais à la différence de Filip Dewinter, j'ai écrit cet ouvrage comme une thèse de doctorat. Chaque affirmation est corrélée avec des chiffres. Je me suis énormément documenté et j'ai même lu le Coran. Je ne suis pas islamophobe. Je sais aussi que de nombreux immigrés veulent s'assimiler ou s'intégrer. Et il y en a d'ailleurs au sein de mon propre parti."
Et cette intégration réussie passe, selon Jean-Marie Dedecker, par le respect des lois et du pays d'accueil. "Nous ne devons pas tolérer des situations telles que celle que l'on a vécue il y a peu en France lors du match France-Algérie. Alors que les tribunes étaient pleines de Français d'origine algérienne, ils se sont permis de siffler La Marseillaise. Ces gens mordent la main qui les nourrit et ça, c'est intolérable..."




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Dernière édition par JACKLELOUP le 19/10/2009, 10:46, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Constat politique   Constat politique Empty19/10/2009, 10:34

JACKLELOUP a écrit:
Dedecker parle sans voile
Ah ? Enfin, il s'est laissé convaincre par Moussa et s'est converti ! cheers
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MessageSujet: Re: Constat politique   Constat politique Empty19/10/2009, 10:36

BHV: "Il y aura une scission"


Philippe Moureaux, du Parti Socialiste, se veut lucide mais ferme envers la problématique BHV. Pour lui, il y aura une scission. Malgré les volontés du FDF.


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Vos réactions
"Quand on a un provocateur dans ses rangs,on n'avance pas". C'est ce que ce petit bourgmestre a toujours fait durant toute sa carrière politique au sein du parti socialiste." Lire les autres réactions




Demotte invite les germanophones à activer le conflit d'intérêt

Le ministre-président de la Région wallonne et de la Communauté française, Rudy Demotte, a appelé lundi la communauté germanophone à activer une procédure en conflit d'intérêts sur la scission de l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde (BHV), qui retarderait à nouveau un vote à la Chambre de la proposition de loi de scission.
"Il faut nous donner un peu de temps" pour trouver une solution, a fait valoir M. Demotte (PS) lors de l'émission Matin-Première de la RTBF à l'adresse de son homologue à la Communauté germanophone, Karl-Heinz Lambertz (SP, socialiste).

A lire également



  • BHV: il faut une solution pour l'été
  • BHV: Peeters fait pression sur les germanophones





Belgique - Politique 10:21
Le budget 2010-2011 est à peine bouclé et le sujet BHV revient sur la table. Une proposition de loi flamande sur la scission unilatérale de l'arrondissement devrait arriver à la Chambre. Si les Germanophones tirent la sonnette d'alarme, le dossier sera cependant gelé durant 4 mois supplémentaire. S'ils ne le font pas, ce sera la clash entre Néerlandophones et Francophones.
Il s'agit donc de prendre le taureau par les cornes, et d'envisager des solutions rationnelles. Philippe Moureaux (PS) affirme d'ailleurs dans Le Soir qu'il faut négocier "sans attendre" dans le dossier BHV. "Il y a urgence", estime le socialiste qui parle de négociations "sans tabou, en acceptant des concessions".
"La sagesse serait de mettre à profit le nouveau délai (que pourraient donner les germanophones en déclenchant un nouveau conflit d'intérêt, ndlr) pour enfin trouver une solution", estime M. Moureaux. Selon lui, un vote majorité flamande contre minorité francophone est "le calcul du FDF. Le FDF vit de ça, plus que jamais. Dans un MR un peu en difficulté, le FDF s'accroche encore plus à ce qui reste sa dernière raison d'être, le conflit linguistique".
Si Philippe Moureaux affirme que l'élargissement est toujours "un élément de la philosophie francophone", il ajoute que cela "ne veut pas dire que cela ne peut pas s'accompagner de concessions en matière d'arrondissement électoral".

Des garanties pour les Francophones, des concessions pour les Néerlandophones
"D'une manière ou d'une autre, il y aura un jour scission de l'arrondissement électoral", affirme-t-il, ajoutant cependant qu'il faudra "pour les francophones des garanties et des concessions importantes du côté néerlandophone".
"Soit Reynders et Maingain ont un double jeu - mais est-ce que j'oserais un instant penser ça -, soit le MR n'est plus un parti mais deux. Peut-être que la vérité est entre les deux". Et Philippe Moureaux d'ajouter que "c'est triste pour les francophones, ça nous affaiblit très, très fort. Pour être ferme dans une négociation, il faut une certaine unité; quand on a un provocateur dans ses rangs, on n'avance pas".
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MessageSujet: Re: Constat politique   Constat politique Empty19/10/2009, 11:11

J'aime ce commentaire.

  • - Belgique

  • 11.10.09 | 08h
A quand un Dedecker Wallon?
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MessageSujet: Re: Constat politique   Constat politique Empty19/10/2009, 11:50

BHV: Karl-Heinz Lambertz a rencontré les bourgmestres non-nommés





Constat politique Pxy_33822184_29875006_256_7751132






Belgique - Politique 11:25 Le ministre-président de la Communauté germanophone, Karl-Heinz Lambertz (SP), a rencontré lundi matin les trois bourgmestres non-nommés des communes à facilités de Linkebeek, Crainhem et Wezembeek-Oppem dans le cadre du dossier de la scission de l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde (BHV).
Le germanophone a expliqué qu'il comprenait l'importance du dossier mais a également évoqué la position difficile de la Communauté germanophone. Karl-Heinz Lambertz avait reçu précédemment une délégation de la N-VA et des représentants de la Conférence des bourgmestres de Hal Vilvorde. Lundi, il a rencontré, à leur demande, les trois bourgmestres non-nommés, Damien Thiery (Linkebeek), Arnold d'Oreye (Crainhem) et François van Hoobrouck (Wezembeek-Oppem). "M. Lambertz est un sage de très haut vol. Il analyse la situation avec philosophie", a commenté le bourgmestre de Linkebeek, Damien Thiery, à l'issue de la rencontre. Mardi, Karl-Heinz Lambertz rencontrera le ministre-président flamand, Kris Peeters. Avant cela, les partis germanophones se réuniront lundi à 19H pour évoquer le dossier. Le parlement germanophone se réunira quant à lui le lundi 26 octobre. (GFR)
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