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 L'année juive . Fil consacré à l'année juive et rien que çà .

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Ungern

Ungern


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MessageSujet: L'année juive . Fil consacré à l'année juive et rien que çà .   L'année juive .  Fil consacré à l'année juive et rien que çà . Empty10/1/2013, 18:38

Hanouka est passé,
On arrive à la Chovavim.

C'est quoi la Chovavim ?

L’expression chovavim est un acronyme composé des lettres initiales des huit premières prières
qui sont lues pendant les mois d’hiver, entre ‘Hanouka et Pourim .

Etant donné la fréquence et la gravité des maladies pendant cette saison, certains ont conservé l’habitude, instituée pendant le haut Moyen-âge, de réciter des prières et de jeûner tous les jeudi de ces huit semaines , afin de conjurer les dangers qu’elles font courir, surtout aux enfants.


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Tout commentaire ,correction et mise au point est bienvenu .... cheers


Dernière édition par Ungern le 1/2/2013, 16:52, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: L'année juive . Fil consacré à l'année juive et rien que çà .   L'année juive .  Fil consacré à l'année juive et rien que çà . Empty1/2/2013, 16:50

Et c'est Toubichevat ! ... cheers

Citation :
Tou Bichevat
Le Nouvel An des Arbres


Tou Bichevat est le 15ème jour du mois de Chevat dans le calendrier juif.
Ce jour marque le début d’une « nouvelle année » pour les arbres.
C’est en effet à cette époque de l’année que les arbres les plus précoces de la terre d’Israël émergent de leur sommeil hivernal .

Dans la loi juive, le « Nouvel An des arbres » est lié avec les diverses dîmes qui doivent être prélevées sur les produits agricoles de la Terre Sainte.
Ces dîmes varient selon les années du cycle de sept ans de la Chemitah.

Le moment à partir duquel un fruit naissant est considéré appartenir à l’année suivante du cycle est le 15 Chevat.

Le jour de Tou Bichevat se marque en consommant certains fruits, en particulier les raisins, les figues, les grenades, les olives et les dattes.


Tou Bichevat tombait cette année le 26 janvier .
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Ungern

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MessageSujet: Re: L'année juive . Fil consacré à l'année juive et rien que çà .   L'année juive .  Fil consacré à l'année juive et rien que çà . Empty15/2/2013, 12:57

Le zekher léma'hatsit hashékel

Citation :
Le zekher léma'hatsit hashékel doit être donné avant le samedi soir 23 février, c'est-à-dire le soir de Pourim, avant la lecture de la Méguilat Esther.


Qu'est ce que le zekher léma'hatsit hashékel ?

À l'époque du temple, bné Israël devaient donner un demi-shékèl d'argent, don annuel avec lequel les Cohanim achetaient les bêtes qui allaient être sacrifiées durant toute l'année. En effet, le sacrifice journalier devait provenir de la communauté entière du peuple d'Israël. A cette fin, chacun donnait sa participation annuelle.

Aujourd'hui le temple est détruit mais perdure l'obligation de donner le zekher léma'hatsit hashékel (littéralement, le souvenir du demi-shékèl). La coutume est de le donner avant Pourim car Haman a donné au roi Assuérus la somme de 10 000 kikars d'argent (ce qui équivaut à peu près à 750 tonnes d'argent) afin d'avoir le droit d'anéantir le peuple juif. Le midrach dit que cette somme d'argent n'a pas pu avoir son impact négatif dans la mesure où la somme d'argent que donnaient bné Israël à travers le ma'hatsit hashékel avait précédé le don de Haman. C'est pour cela que nous précédons la lecture de la Méguila par le don du zekher léma'hatsit hashékel.

Cette somme correspond à 9 grammes d'argent pur, ce qui revient aujourd'hui à la somme d'un peu moins que 7 euros (ou un peu moins de 33 nis). On donnera cette somme d'argent à des institutions où on étudie la Torah

Une personne dont la situation économique est difficile pourra se suffire de donner une pièce d'un demi-euro ou d'un demi-shékèl (nis). On ne peut pas donner le zekher ma'hatsit hashékel avec l'argent du maasser.

NDLA : le maasser kessafim (dîme),est le prélèvement de 10% des gains en faveur de bonnes œuvres.
on ne peut pas payer donc le maaser (la dime) avec le zekher léma'hatsit hashékel puisque si on procédait ainsi,on détournerait l'argent de l'un au profit de l'autre .

on remarque aussi que le zekher léma'hatsit hashékel est un montant "fixe" ,tandis que le maasser kessafim est un % des revenus,donc un montant variable .
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MessageSujet: Temporaire   L'année juive .  Fil consacré à l'année juive et rien que çà . Empty24/2/2013, 22:04

C'est Pourrim ....

Citation :
Pourim de l'année 5773 a officiellement débuté samedi soir par la lecture de la Méguila d'Esther dans des milliers de synagogues à travers Israël et le monde. La fête célèbre la défaite de l'un des pires ennemis d'Israël, Hamann le méchant, dans la Perse antique.

A Jérusalem, la fête de Pourim ne commencera que dimanche soir. Cela a cause du fait que Jérusalem était entourée de murailles à l'époque de la conquête de la terre d'Israël par Josué. La tradition juive veut que les juifs de la ville fortifiée de Suse, la capitale de la Perse antique, se sont battus contre leurs ennemis un jour supplémentaire avant de les vaincre, et donc les gens qui vivent dans des villes fortifiées commencent à célébrer Pourim un jour plus tard que les autres.

Peu savent que la fête associée aux costumes pour enfant est l'un des jours les plus saints du judaïsme. Elle est considérée comme ayant une grande signification spirituelle, et le Livre du Zohar fait la connexion entre Yom Kippour, également connu comme Yom HaKippourim, avec Pourim.

Les Sages juifs, dans le Midrash, vont jusqu'à prédire que lorsque le Mashiach viendra, tous les jours de fête seront annulées, à l'exception de Pourim, et tous les livres du Tanach seront annulés, sauf les cinq livres de la Torah et le rouleau d'Esther.

Le Rav Eliezer Melamed, le Rav de Har Bracha, explique que bien que les juifs se voient commander de boire et s'amuser pendant les fêtes de Souccot, Pessah et Chavouot, Pourim est différent dans le sens où la mitsva dit de boire jusqu'au point d'être ivre. Rappelons toutefois ici que le fait de s'enivrer doit se faire dans la joie et le respect de la Torah, interdisant donc toute dérive qui ferait que le juif s'éloigne des commandements.

Chaque juif se voit commander de se saouler le jour de la fête, et cela doit être fait dans la journée, parce que la Méguila dit que les juifs ont tenu "des jours a boire et être heureux" pour célébrer leur victoire et éviter donc leur destruction. Alors que les juifs ne sont pas connus pour être des buveurs, Pourim est vraiment l'exception à cette règle, et les visiteurs qui marchent dans les rues des quartiers religieux doivent vraiment regarder vers le bas de temps en temps pour s'assurer qu'ils ne marchent pas par erreur sur la tête de quelqu'un.

Toute l'équipe de Juif.org vous souhaite une excellente fête de Pourim, et rappelant une fois de plus que s'enivrer doit se faire de le plus strict respect de la Torah, la seule manière de vraiment fêter notre libération. Pourim Saméach !


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Citation :
Pourim (« Jours des sorts ») est une fête juive d’origine biblique mais d’institution rabbinique, qui commémore les événements relatés dans le Livre d’Esther.
Ceux-ci ont été vécus par les Juifs comme la délivrance miraculeuse d’un massacre de grande ampleur, planifié à leur encontre par Haman l’Agaggite dans tout l’Empire perse au temps de sa splendeur.
La fête est célébrée chaque année à la date du 14 adar (qui correspond, selon les années, au milieu des mois de février ou mars dans le calendrier grégorien).
Aux pratiques traditionnelles, consignées dans le Livre d’Esther et ordonnancées par les Sages de la Mishna, se sont ajoutées diverses coutumes, notamment culinaires avec les hamantaschen et fazuelos, ainsi que des manifestations joyeuses et extravagantes comme l’encouragement à l’ébriété, l’usage de crécelles à l’évocation du nom de Haman ou les mascarades inspirées des carnavals italiens.

La fête de Pourim commémore les évènements décrits dans le Livre d’Esther.
Selon ce récit, le roi Assuérus prend pour femme Esther bat Avihaïl, une belle jeune femme qui tient secrètes ses origines judéennes sur les conseils de son parent Mardochée. Celui-ci sauve le roi d'un complot.
Peu après, Haman, fils de Hamedata l'agaggite, monte en faveur auprès du roi.
Outré par le fait que Mardochée ne s'incline pas devant lui alors que le protocole établi par le roi l'y oblige, il fait publier au nom du souverain et avec son accord un impôt royal impossible à payer, à prélever sur les Judéens vivant dans les 127 provinces de l'empire achéménide ,où vit la quasi-totalité de la population juive de l'époque.
En cas de non-paiement, ils seront mis à mort et leurs possessions saisies.

La date d'application du décret est fixée par tirage au sort .
Sur l'insistance de Mardochée, Esther vient trouver le roi .
Assuérus prend connaissance de sa dette envers Mardochée.
Il le récompense par des honneurs devant un Haman dépité.

Lors du festin, Esther dévoile son identité juive et le complot qui vise les siens.
Haman est pendu à la potence même qu'il réservait à Mardochée.
Les Juifs célèbrent dans l'allégresse ces retournements du sort et une fête est instituée pour les générations à venir.

La fête de Pourim n’est, selon la tradition rabbinique, observée dans un premier temps que par les Juifs de Suse avant d’être généralisée à l’ensemble des communautés juives.
Divers usages apparaissent afin de magnifier le cérémonial de la lecture : le Talmud prescrit notamment de lire les noms des dix fils de Haman (Esther 9:7-10) en un souffle afin de faire savoir qu’ils sont morts simultanément .

Les Tossafistes de France et de Rhénanie instaurent la pratique de cogner des morceaux de bois sur lesquels est marqué le nom de Haman afin de se conformer au commandement d’effacer le nom d’Amalek, même du bois et de la pierre ; cette pratique évolue pour donner lieu à une cacophonie de sifflements, crécelles et autres manifestations bruyantes à la moindre mention du nom de Haman.


Les rabbins ayant remarqué que le mishte (festin alcoolisé) figure de manière proéminente dans le Livre d’Esther, en concluent que « le miracle a eu lieu grâce au vin » ; par conséquent, les festins prescrits en fin de Livre doivent être alcoolisés.
Rava déclare que « l’on doit « se parfumer » (s’enivrer) à Pourim jusqu’à ne plus pouvoir distinguer « maudit soit Haman ! » de « béni soit Mardochée ! » ».

Cette veine extravagante et burlesque se poursuit pendant la journée : le Talmud évoque des « jeux de Pourim » parmi lesquels des sauts au-dessus du feu et, dès le ve siècle, il est de coutume de réaliser des processions solennelles au cours desquelles Haman est pendu ou brûlé en effigie. Certains voient dans cette coutume l’origine des pièces jouées à Pourim sur les bases desquelles le théâtre yiddish se développe au xviiie siècle44. Elle se retrouve aussi au Moyen Âge sous une forme différente, à Francfort-sur-le-Main : des maisons de cire sont confectionnées, figurant Haman, son épouse Zeresh, son bourreau et des gardes. La maison, placée sur la bimah (estrade d’où se conduit l’office), est brûlée avec ses occupants dès le début de la lecture de la meguila.


Coutumes sociales[modifier]
L’échange de colis et les dons aux indigents deviennent avec le temps l’un des aspects principaux de Pourim.
Ils ont pour but une certaine égalisation sociale dans l’accès à la joie en ce jour, transcendant même la barrière entre Juifs et Gentils.


Bien que les jours de Pourim soient qualifiés de yom tov (Esther 9:19), ils n’ont pas le caractère saint du chabbat ni des autres fêtes bibliques ; il n’y a aucune restriction d’activité et les mariages sont permis. Cependant, les activités professionnelles et, plus généralement, tout ce qui pourrait empêcher de se réjouir en ce jour, sont découragés . En outre, les marques publiques de deuil sont interdites.

La première lecture de la meguila se fait le soir, après l’office de prière. Elle est obligatoire pour tous, hommes et femmes et se fait de préférence à la synagogue. Il est recommandé d’y amener les enfants qui n’ont pas encore atteint leur majorité religieuse, pour autant qu’ils ne perturbent pas (trop) leurs parents lors de la lecture.

La lecture se fait dans un rouleau manuscrit (et non dans une édition imprimée) .
De nombreuses communautés ont pour coutume de réagir bruyamment à la mention du nom de Haman.

Un festin joyeux fait suite à la lecture de la meguila. Il est de coutume de le faire précéder par une étude de la Torah ou, à tout le moins, quelques mots afin de lui conférer davantage de dignité . Il est important d’y bien boire et manger.

La table comprend souvent des plats typiques de la fête, en particulier des pâtisseries triangulaires fourrées (hamantashen chez les ashkénazes, fazuelos chez les séfarades, orrechi d'Aman en Italie etc.), des kreplach (beignets farcis à la viande, au foie ou au poulet servis dans la soupe), et des fèves .

À la différence de Hanoucca, on ne récite pas le Hallel car les miracles n’ont pas eu lieu en terre d’Israël

Mishlohim déposés devant une porte
L'envoi de colis alimentaires (hébreu : משלוח מנות Mishloah manot) incombe à toute personne ayant atteint la majorité religieuse (12 ans pour les filles, 13 pour les garçons), y compris les endeuillés84. Il faut, pour s'en acquitter, envoyer au moins deux plats prêts à être consommés à une personne85 le jour de Pourim même75 (les femmes envoient aux femmes, les hommes aux hommes86).
Dons aux démunis[modifier]
La prescription des dons aux démunis (hébreu : מתנות לאביונים matanot laèvyonim) nécessite de faire un don à deux pauvres au moins ; elle a priorité sur le mishloah manot car la réjouissance des pauvres revêt, selon la tradition, une importance particulière devant Dieu85.
Comme le mishloah manot, elle concerne les hommes et les femmes86, les endeuillés84 et même les pauvres87. Il convient de ne pas faire de distinction entre ceux-ci et toute personne prête à accepter le don peut en bénéficier, y compris un non-Juif87.
Lorsque le 15 adar a lieu un chabbat, ces dons doivent être réalisés avant le chabbat, afin de permettre aux pauvres d'en profiter54.
Observance de Pourim dans les traditions non-rabbiniques[modifier]

Dans le karaïsme[modifier]
Les Karaïtes, adeptes d'un courant qui reconnaît l'autorité de la Bible hébraïque mais non celle du Talmud en matière de Loi juive, n'ont pas de coutumes unifiées en ce qui concerne les Yemei HaPourim (« jours des sorts »). Ils ont, en vertu de l'interprétation de chacun, lieu ou non à la même date que celle du calendrier rabbinique88.
La Meguila est lue à la fin des deux chabbat qui précèdent Pourim, ce qui pourrait être une réminiscence de l'ancienne coutume de la lire depuis le début du mois d’adar jusqu'au 15e jour de ce mois89.
De nombreuses communautés karaïtes auraient célébré les Yemei HaPourim par des jeûnes de deux ou 70 jours en souvenir des persécutions de Haman90. Toutefois, les coutumes de l'ancienne communauté cairote semblent avoir été sensiblement similaires à celles de leurs voisins rabbanites : ils la surnommaient Eid Al-Maskharah (« fête de la mascarade ») et confectionnaient des wedan hjmdn (« oreilles de Haman »). Ils avaient par ailleurs coutume d'allumer des cierges en ces jours et les jugeaient propices aux annonces de mariage91.
Dans le samaritanisme[modifier]
Les Samaritains, adeptes d’un mosaïsme non-juif dont la Bible ne comprend que les six premiers Livres du canon hébraïque, ignorent Pourim, fête nationale judéenne mais non samaritaine92.
Dans la tradition des Beta Israël[modifier]
Les Beta Israël d’Éthiopie sont les dépositaires d’un judaïsme pré-rabbinique principalement basé sur la Bible, en voie de disparition depuis leur émigration massive en Israël et leur adoption du judaïsme orthodoxe.
Il a longtemps été considéré qu’ils ignoraient la fête de Pourim, n’en réalisant aucune rite alors qu’ils observent un jeûne d’Esther (soma Esther) conforme au texte biblique. Wolf Leslau a cependant démontré que la date de la fête d’Esther était incluse dans leur calendrier et qu’elle était vraisemblablement tombée en désuétude au cours du temps93.
Interprétations et observances modernes[modifier]


Pourim est une fête extrêmement populaire en Israël, dans l’ensemble des secteurs de la population juive. Les colis alimentaires y sont devenus des paniers chargés de victuailles et les mascarades ont pris la dimension de véritables festivals, les Adeloyada (parades costumées à thème), parfois comparées au carnaval de Rio ou au Mardi Gras de la Nouvelle-Orléans. Inaugurées à Tel Aviv en 1912, elles se sont propagées à d’autres villes .

L’accent est fortement mis sur les enfants, autorisés à venir en déguisement à l’école dans les jours qui précèdent Pourim.

L’histoire de Pourim présente de grandes ressemblances avec les romans persans et ses coutumes sociales extravagantes rappellent les célébrations du solstice d’hiver: on y célèbre la victoire du nouvel an sur l’ancien en élisant une reine d’un jour, en distribuant des dons aux pauvres et en s’adonnant à diverses extravagances.


Dernière édition par Ungern le 24/2/2013, 22:33, édité 1 fois
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