Carla Bruni, «la nouvelle Marie-Antoinette»?‎

Carla, sur un air de Marie-Antoinette



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À deux siècles de distance, on ne peut s’empêcher d’être troublé par les ressemblances qui rapprochent ces deux femmes. Reine et Première dame, autrichienne et italienne, renommées pour leur beauté, icônes de la mode, elles sont éprises de simplicité et jouent volontiers les ingénues quand on se passionne pour leurs histoires de coeur. À tort pour l’une et à raison pour l’autre, on prête à ces «amoureuses», une longue liste de liaisons. L’opinion française n’en a jamais été à une contradiction près : tout en accusant la « fureur utérine » de la dépravée Marie- Antoinette, on s’agace de son côté enfantin. La reine est une « tête au vent», primesautière pour ceux qui l’apprécient, frivole et puérile aux yeux de ceux qui la décrient. La Première dame ne se définit pas autrement lorsqu’elle chante dans son dernier album « Je suis une enfant/Je tourne le dos au temps/Cheveux et jupe au vent/Une enfant. » La chanson… Un autre de leurs points communs. Qui sait encore que la femme de Louis XVI, sur la scène du petit théâtre de Trianon, susurre, car elle a peu de voix, des airs de Grétry? On disait aussi Marie-Antoinette amie des artistes, un refrain souvent entendu à propos de Carla. Les similitudes continuent à s’égrener… Amies généreuses et loyales, elles le sont toutes les deux. L’une défend les intérêts de madame de Polignac et de madame de Lamballe, leur trouvant charges et pensions. L’autre place ses amis… Frédéric Mitterrand devrait son poste à Carla, Philippe Val, nouveau patron de France Inter aussi, et elle est l’âme de l’ouverture à gauche. Comment ne pas voir dans l’affaire Polanski/Mitterrand, un peu l’écho d’une fronde contre son ascendant politique, tout comme Paris grondait à la veille de 1789, contre la détestable influence que l’on prêtait à la reine sur son mari ?



Privilégiées, elles fuient les emblèmes du pouvoir que sont Versailles et l’Élysée pour se réfugier à Trianon en ce qui concerne la reine, dans un hôtel particulier du XVIe ou dans la forteresse du cap Nègre pour la Première dame. Sans parler de leurs centres d’intérêt: l’une joue à la bergère, l’autre défend la psychanalyse dans une émission diffusée sur France 3-Île de France et tant pis pour la Gaule profonde. Les français ont faim? Donnez-leur des brioches! Les français sont mécontents? Asseyez-les sur un divan…



Le quotidien britannique Daily Telegraph constate que "Carla Bruni est rebaptisée la nouvelle Marie Antoinette"

http://www.arretsurimages.net/vite.php?id=6043

Carla dans le rôle de Marie Antoinette,je m'en fous,
mais Sarko dans celui de Louis XVI ,ça j'applaudis des 2 mains .

Pour la fin,je serais plut^pot pour l'estrapade que la guillotine,
vu sa taille ça me parrait plus correct ....

Ungern a écrit:

Carla dans le rôle de Marie Antoinette,je m'en fous,
mais Sarko dans celui de Louis XVI ,ça j'applaudis des 2 mains .

Pour la fin,je serais plut^pot pour l'estrapade que la guillotine,
vu sa taille ça me parrait plus correct ....

D'accord pour quelqu'un qui est sur la corde raide ça lui donnerait une certaine allonge tout en assurant un joli Point de Vue à ce gars-là, mais est-il protestant le Pet Rageant* ?

(calembour, nul de circonstance : le père à Jean ; décryptage ndlr)