Restez zen, adoptez la Chirac'attitude !

Citation :

Jacques Chirac : «J'irai m'expliquer avec sérénité»



INTERVIEW EXCLUSIVE - L'ancien chef de l'État révèle au Figaro son état d'esprit, quelques jours après son renvoi devant le tribunal correctionnel dans l'affaire des emplois présumés fictifs de la Ville de Paris.

LE FIGARO. - Vous êtes renvoyé devant la justice dans l'affaire des emplois fictifs de la Ville de Paris. Comment vivez-vous cette épreuve ?

Jacques CHIRAC. - La juge Xavière Simeoni a estimé devoir me renvoyer devant le tribunal correctionnel. J'ai pris acte de sa décision, même si je conteste son analyse. J'irai donc m'expliquer sur les 21 emplois qui restent en débat. Je rappelle d'ailleurs qu'au départ, près de 500 emplois ont été examinés par la justice, et qu'on a parlé d'un véritable «système». Aujourd'hui, on constate bien qu'il n'en est rien. Je n'ai rien à me reprocher. J'irai donc m'expliquer avec sérénité et détermination, pour que la vérité soit établie. Je le dois aux Français, qui m'ont accordé leur confiance.

Regrettez-vous que le parquet n'ait pas fait appel de la décision de la juge d'instruction ?

Non. Je souhaite pouvoir établir rapidement la réalité des faits et que cette page soit définitivement tournée.

Comment allez-vous vous préparer à ce procès ?

Tranquillement. Je dirai la vérité, ce que je sais, ce que je pense.

Que répondez-vous à Charles Pasqua qui vous demande de faire la lumière sur les conditions d'attribution de l'Ordre national du Mérite à Arcadi Gaydamak ?

Strictement rien. Je n'ai pas un souvenir très précis de cette affaire. Si Charles Pasqua pense aujourd'hui qu'il y a une utilité quelconque à lever le secret défense, ce n'est certainement pas moi qui m'y opposerai.

Que pensez-vous du procès Clearstream ?

Ne comptez pas sur moi pour commenter une procédure en cours. La seule chose que j'ai à dire dans cette affaire c'est que je n'ai naturellement donné aucune instruction. En revanche, je veux rappeler les consignes très strictes que j'ai toujours données à mes gouvernements successifs pour la moralisation des marchés internationaux et la lutte contre les réseaux mafieux.

Le procureur a requis dix-huit mois avec sursis contre votre ancien premier ministre Dominique de Villepin. Qu'en pensez-vous ?

Je vous le répète, je ne fais pas de commentaires sur une procédure en cours. Tout ce que je peux dire, c'est que j'ai pour Dominique de Villepin beaucoup d'estime et d'amitié.

http://www.lefigaro.fr/politique/2009/11/04/01002-20091104ARTFIG00665-jacques-chirac-j-irai-m-expliquer-avec-serenite-.php

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A propos d'un imperturbable serein fictif on a écrit:

J'irai donc m'expliquer avec sérénité et détermination, pour que la vérité soit établie. Je le dois aux Français, qui m'ont accordé leur confiance.

Si c'est "Salut l'artiste" pour le Florentin de Jarnac alors c'est "Il connaît la chanson" pour James Zé Liar.

Toujours le même refrain folk-frog :
"Lie, Laids Dits, lie, lie about my big bad mess".

Ça en dit long, hein Bob ?!

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Citation :

«J'irai m'expliquer avec sérénité»

Serenity en anglais. Ça sonne comme un titre de science-fiction. Par exemple dans la veine de l'opéra spatial Serenity, l’ultime rébellion
Film américain de Joss Whedon (2005), sortie en France le 19 octobre 2005, Genre : Space Opera, Durée : 1h50.

Voici le début du synopsis revisité façon zen :

Depuis la fin de la grande Cohabitation, l'alliance PS-PCF contrôle d’une main de fer la politosphère, exception faite du territoire annexé par les « RPR's », un peuple de barbares conservateurs, et de quelques régions des confins où tentent de survivre les rebelles vaincus. Parmi eux, le Capitaine James « Tchi » Liar. A la tête d’un petit équipage aussi fidèle que dévoué, ce vétéran de la politique sillonne l’espace parisien à bord du vaisseau Fraisdebouche Serenity avec lequel il se commet dans divers trafics, petits jeux d'emplois fictifs et autres combines à la petite semaine. Jusqu’au jour où Tchi et ses acolytes, toujours prêts à se jouer de la toute puissance de l’Alliance, acceptent d’aider le traître Ballamou à délivrer son protégé Salocin prisonnier du duo souverainiste L'Agité du Boccage-Pastis Charly, deux RPR's dissidents. Doué de capacités physiques et psychiques hors du commun, Salocin fait montre depuis l’enfance d’une farouche indépendance que les sbires des RPR's Dissidents essayent de juguler en lui administrant quotidiennement des drogues surpuissantes. Sa fuite en avant n’arrange pas leurs affaires et ils confient à leur meilleur limier, l’Opérateur (Quenimido Badbred, assisté d'un général de l'ombre Phil Lecarnet), la mission de le neutraliser par tous les moyens...


D'après l'original à :
http://www.yozone.fr/spip.php?article1602

Pensez-vous qu'on va aussi lui imposer un avocat ?

4 -

Citation :

Pensez-vous qu'on va aussi lui imposer un avocat ?

Nature ou mayonnaise ?

Il est entre de bonnes mains, son conseil en titre est un fiston de Mme Simone Veil.

Ce qui est plus gênant et que personne n'évoque est la levée de l'immunité parlementaire de M. Gaston Floss - notre Gastounet Ier à Marie et à moi -et son revoi devant le tribunal correctionnel pour des malversations financières présumées avec des fonds publics. Or par effet boomerang cette affaire Gastounet Ier exhume le dossier de la rumeur des comptes japonais de James Zé Liar.

La vie des vieux présidents est dure et dangereuse.

EddieCochran a écrit:

La vie des vieux présidents est dure et dangereuse.

Oui, mais peut-on les recycler ?

Sont-ils biodégradables ?

Ahhh si Lepen avait dit ca, tra la la, Ah si Lepen avait dit ca, tra la la!!

Sylvette a écrit:

Ahhh si Lepen avait dit ca, tra la la, Ah si Lepen avait dit ca, tra la la!!

Eh eh eh ! Ah ah ah ! Hi hi hi !

n'est-ce-pas??? :

Le Point juillet 2012 : déclaration de la dame du Poitou : "Elle s'appellerait Claudine Dupont, elle ne serait peut-être pas là. Elle doit assumer son identité et en être fière", a déclaré Ségolène Royal, citée par Le Point dans un portrait de Mme Vallaud-Belkacem, également ministre des Droits des femmes. """

"""Mme Royal ajoute que la ministre, née au Maroc en 1977, doit "accepter d'être là pour ça", d'après Le Point daté du 26 juillet.

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mais se rendant compte de sa "maladresse" ne se reconnaît pas dans ces propos !!! :

http://www.lepoint.fr/politique/royal-ne-se-reconnait-pas-dans-les-propos-qui-lui-sont-attribues-sur-najat-vallaud-belkacem-28-07-2012-1490408_20.php