Un homme fort pour l'Europe, et si cétait un Belge ?

Citation :

Le Belge Herman Van Rompuy tient la corde pour présider le conseil européen



Le premier ministre belge et le ministre des affaires étrangères britannique pourraient être désignés cette semaine comme président permanent du Conseil européen et chef de la diplomatie européenne.

La presse belge donne de fait déjà partant ce chrétien-démocrate flamand qui n’est à la tête du gouvernement fédéral que depuis moins d’un an. La perspective de voir le poste de président stable du Conseil européen occupé pour deux ans et demi (renouvelable une fois) par l’un des siens honore la Belgique. Le pays redoute en revanche que le départ de Herman Van Rompuy ne ravive les querelles politiques internes au royaume juste au moment où une réforme de l’État fédéral se fait pressante. Yves Leterme, prédécesseur de Herman Van Rompuy et actuel ministre belge des affaires étrangères, pourrait reprendre la tête de la coalition gouvernementale au pouvoir.

http://www.la-croix.com/Le-Belge-Herman-Van-Rompuy-tient-la-corde-pour-presider-le-c/article/2401018/25692

Leon Degrelle tu veux dire?

SALUT MOUSSA RASER


LAISSE LE CAMARADE LÉON TRANQUILLE, IL REPOSE À 3 KM DE CHEZ MOI !!!
ET S'IL SE RÉVEILLE PREND GUARDE À TOI VIEUX CURÉ DE CUCUGNAN....

moussa abd al nour a écrit:

Leon Degrelle tu veux dire?

jcvd ?

Lawrence a écrit:

[...] LAISSE LE CAMARADE LÉON TRANQUILLE, IL REPOSE À 3 KM DE CHEZ MOI !!! [...]

Seulement 3 km ? C'est donc beaucoup plus près Colombey...

Lawrence a écrit:

SALUT MOUSSA RASER


LAISSE LE CAMARADE LÉON TRANQUILLE, IL REPOSE À 3 KM DE CHEZ MOI !!!
ET S'IL SE RÉVEILLE PREND GUARDE À TOI VIEUX CURÉ DE CUCUGNAN....

moussa abd al nour a écrit:

Leon Degrelle tu veux dire?

c'est ici que tu fais fausse route ma laurence, car notre cher leon degrelle fut un catholique et non pas un minable apostat.

de plus comme lui je suis contre la révolution maçonnique de 1789, sa demoncratie et ses maudits droits de l'homme(lobotomisé).

vive le Christ Roi!

chat noir a écrit:

ce n'est un secret pour personne que l'église et les curetons ont toujours soutenu les nobles, aux détriments des pauvres et des paysans . Tout le contraire de Jésus.

Faux, chat noir.

Le haut-clergé, évêques et cardinaux en tête étaient des privilégiés opposés aux réformes libérales. Mais pas le bas-clergé qui, comme le peuple, subissait le poids de l'Eglise.

N'oublions pas l'un des meilleurs défenseurs du peuple s'appelait l'abbé Sieyès...

chat noir a écrit:

ce n'est un secret pour personne que l'église et les curetons ont toujours soutenu les nobles, aux détriments des pauvres et des paysans . Tout le contraire de Jésus.

précise surtout:

"ce n'est pas un secret pour nous infideles mahometans que nous adorons notre idole mahomet (assassin,violeur,pillard,partouzeur,pedophile etc..) et sa pierre noire satanique."

ceci étant dit, l'Eglise de Dieu n'enseigne en aucun cas la révolte(satan), et a toujours SEULE oeuvré pour TOUS.

L'eau rance a écrit:

CHOUETTE, MOUSSA RASER SE PREND MAINTENANT POUR GODFROID DE BOUILLON !!!!

Quoi ? Tu en veux aussi à cet homme humble, premier roi chrétien de Jérusalem, qui, par humilité, a refusé le titre de roi pour lui préférer celui d'avoué du Saint Sépulcre ?

Oui, par humilité - H U M I L I T É - tu sais ce que c'est ?

MAIS...MAIS L'AMI LÉON ÉTAIT AUSSI DE BOUILLON !!!!

Y-a pas à dire, c'est quand même compliqué la politique belge...

Heureusement que la Belgique offre des plaisirs plus simples :



D'ailleurs, il faudra que je me refasse une petite virée par là-bas un de ces quatre. Histoire de voir si je peux concurrencer le Maneken Pis...

Et si c'était une femme ?

Conseil européen : pourquoi je soutiens Vaira Vike-Freiberga

Ancienne présidente du Parlement de Strasbourg, Simone Veil prend la parole dans le débat sur l'élection du futur président de l'exécutif européen pour soutenir la candidate lettone.

http://www.lefigaro.fr/editos/2009/11/12/01031-20091112ARTFIG00413-conseil-europeen-pourquoi-je-soutiens-vaira-vike-freiberga-.php

Parmi les noms cités, Mme Vaira Vike-Freiberga, qui, pendant deux mandats, a présidé avec éclat aux destinées de la Lettonie, est une femme remarquable qui cumule toutes les capacités requises (cf. http://unepresidentepourleurope.eu).

Boudiou !

Quelle tronche... sérieux, t'as pas envie de lui peloter les miches à la mémé !

Conseil européen : Herman Van Rompuy respecte-t-il les valeurs européennes ?



http://bruxelles.blogs.liberation.fr/coulisses/2009/11/conseil-europ%C3%A9en-herman-van-rompuy-respectetil-les-valeurs-europ%C3%A9ennes.html

Le libéral francophone Denis Ducarme s’est fait sèchement rappeler à l’ordre, vendredi, dans la Libre Belgique, pour avoir osé dire en substance que le néerlandophone Herman van Rompuy est un flamingant à visage humain, si l’on ose dire, mais un flamingant quand même. En clair, comme la totalité de la classe politique flamande, il pense que l’avenir de la Belgique passe par une autonomie toujours plus grande de la Flandre et par un « containtment » de la tache d’huile francophone de Bruxelles. Ducarme veut même saisir le Parlement européen pour lui rappeler que le Premier ministre appartient à un parti, le CD&V (démocrate-chrétien flamand) qui a juré qu’il ne ratifierait jamais la convention sur la protection des minorités du Conseil de l’Europe, afin de pouvoir exiger l’intégration ou le départ de la minorité francophone vivant en Flandre (150.000 personnes, quand même). Ducarme a aussi souligné à juste titre que le CD&V violait quotidiennement la liberté de circulation et la liberté d’établissement des francophones en Flandre sans compter leurs droits politiques. Van Rompuy, qui est certes moins extrémiste que son frère Éric, a d’ailleurs signé la proposition de loi sur la scission de l’arrondissement électoral et judiciaire de Bruxelles-Hal-Vilvorde. Posons-nous un instant la question : l’enthousiasme de la presse néerlandophone aurait-il été le même si le favori avait été un francophone. Peut-on nommer à la tête du Conseil européen une personnalité qui appartient à un parti qui ne respecte pas l’ensemble des valeurs européennes, en particulier le respect du droit des minorités et la liberté d’établissement ?

Léopold42 - Sujet : Un homme fort pour l'Europe, et si cétait un Belge ? Aujourd'hui à 19:12 a écrit:

Je ne vois vraiment pas ce que tout votre charabia a à voir avec notre Premier Ministre Van Rompuy, et son éventuelle accession au strapontin présidentiel européen ? [...]

Bonjour Léon !

Tu as raison ce sont les inévitables louvoiements de l'esprit bouillonant de nos aimables camarades et qui, souvent, donnent un peu d'oxigène à des discussions qui se ternissent... ce qui n'est pas le cas de celle-ci.

Bon, Emma nous fait connaître le pourquoi de la préférence de Mme Simone Veil pour Mme Viag.. Vaira Vike-Freiberga.

Il se fait que nos amis non Belges y compris moi-même savons aussi peu de choses sur dette dame que sur M. Herman Van Rompuy.

Peux-tu nous dire quelque chose sur lui ?

OmbreBlanche a écrit:

Boudiou !
Quelle tronche... sérieux, t'as pas envie de lui peloter les miches à la mémé !

OmbreBlanche, tu ne connais pas la jalousie féroce d'Emma, sois prudent, tu veux ?

(Entre nous, elle a l'air tout à fait de circonstance, non ? - Je veux dire, Mme Vaira Vike-Freibergaz.)

Biloulou a écrit:

OmbreBlanche, tu ne connais pas la jalousie féroce d'Emma, sois prudent, tu veux ?

Trop tard, le mal est fait.

Van Rompuy, l'horloger des compromis impossibles

Les initiés décrivent le candidat à la présidence européenne comme un cynique lancé à l'assaut du pouvoir et «sans pitié pour l'adversaire»

http://www.lefigaro.fr/international/2009/11/19/01003-20091119ARTFIG00013-van-rompuy-l-horloger-des-compromis-impossibles-.php

Herman Van Rompuy se fait une religion de fuir les projecteurs. Jusqu'à ces derniers jours, il a voulu faire avaler à l'Europe qu'il n'est pas candidat au fauteuil tout neuf de président du Conseil. À l'heure des people et de la confusion des genres, M. Van Rompuy (prononcer «rommpeuil») offre un charme plutôt suranné. Catholique, intellectuel, modéré, atlantiste, il renvoie le souvenir perdu d'une coexistence paisible à une Belgique en plein déchirement. Quel autre politicien serait assez poète pour évoquer sa calvitie dans les trois lignes d'un haïku japonais ? «Cheveux dans le vent, le vent rattrape les années, partis les cheveux…» (en flamand dans le texte). Le parcours du jeune homme, né en 1947, est classique : humanités gréco-latines, bac de philosophie, puis licence d'économie. Mais à l'heure où les étudiants flamands s'enflamment pour la division linguistique de l'UCL - les Wallons dehors ! - le jeune Herman Van Rompuy choisit d'en découdre sur l'autre front de l'année 1968 : «Son combat, c'était celui d'un catholique pratiquant face à une extrême gauche qu'il exècre, se souvient l'un de ses condisciples. Sa foi le classait à part.» Bruxelles murmure que son austère premier ministre fréquente un discret monastère, au moins un jour par mois. Les apparences le montrent comme un sage, au-dessus de la mêlée politicienne. Les initiés le décrivent comme un cynique lancé à l'assaut du pouvoir et «sans pitié pour l'adversaire» . S'il ne se déclare jamais, c'est moins par modestie que par fierté. Le microcosme bruxellois voit sa main dans deux exécutions retentissantes dans le camp chrétien-démocrate flamand. La première en 1996, celle de Johan Van Hecke, chef de file jugé trop progressiste. La seconde douze ans plus tard : cette fois, c'est le premier ministre Yves Leterme, son prédécesseur immédiat, qui passe à la trappe en plein scandale du Fortisgate. Il a de bons rapports avec les milieux d'affaires. Ses liens avec l'univers syndical, point de passage obligé du consensus belge, sont plus distants. Vice-premier ministre en charge du Budget de 1993 à 1999, il laisse dans le royaume le souvenir d'un impitoyable père la rigueur. La purge aura permis à son pays d'entrer de plain-pied dans l'euro. Propulsé très tôt à l'étage fédéral, Herman Van Rompuy se nourrit là aussi de compromis, ou d'ambiguïtés. Il a sa résidence sur les terres contestées de la banlieue sud de Bruxelles. Bien que flamand jusqu'au bout des ongles, il n'a jamais pardonné à Yves Leterme de s'être allié avec les nationalistes de la NVA (Nieuw-Vlaamse Alliantie), dynamiteurs du fédéralisme. Les Wallons francophones lui savent gré d'avoir calmé le jeu depuis un an. Mais il n'a rien fait non plus pour régler le dossier le plus explosif : celui du district bilingue de Bruxelles-Halle-Vilvorde. Son parti et lui-même en réclament ouvertement la scission, au risque d'isoler des dizaines de milliers de francophones.

ET BIEN, C'EST LUI !

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Le Belge Herman Van Rompuy, nouveau président de l'UE
(LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 19.11.09 | 19h07 )



Le premier ministre belge, Herman Van Rompuy, a été choisi jeudi 19 novembre par les dirigeants de l'UE pour devenir le premier président fixe du Conseil européen, ont indiqué plusieurs diplomates européens. Une information confirmée au Monde par des sources à l'Elysée.

La commissaire européenne au commerce, la Britannique Catherine Ashton, a par ailleurs été désignée pour le poste de haut représentant pour les affaires étrangères de l'UE. Elle sera également vice-présidente de la Commission européenne et sans doute la personnalité comptant le plus dans la nouvelle Europe. M. Van Rompuy et Mme Ashton formeront un trio à la tête de l'UE avec le Portugais José Manuel Barroso, qui a été reconduit en septembre pour cinq ans à la tête de la Commission européenne.

Les dirigeants de l'UE ont débuté jeudi vers 18 heures un sommet à Bruxelles pour désigner leur premier président, Londres ayant finalement renoncé à la candidature controversée de Tony Blair pour promouvoir à la place Catherine Ashton à la tête de la diplomatie européenne. Peu auparavant, les dirigeants socialistes européens, dont fait partie le premier ministre travailliste britannique Gordon Brown, s'étaient réunis entre eux pour tenter de trouver une position commune. Ils avaient décidé d'une part de revendiquer le poste de haut représentant aux affaires étrangères de l'UE, celui de président du Conseil européen devant revenir à la droite, selon un participant à la réunion ayant requis l'anonymat. Et ils ont surtout décidé "à l'unanimité" de soutenir Catherine Ashton, membre du parti travailliste, pour ce portefeuille très convoité, qui semblait encore il y a peu promis à un autre Britannique, David Miliband.

Le premier ministre néerlandais, Jan Peter Balkenende, avait affirmé jeudi en fin de journée ne pas être candidat au poste de président de l'UE, alors qu'il figurait jusqu'ici parmi les prétendants potentiels. M. Balkenende était jusqu'à présent considéré comme l'un des favoris pour le poste, aux côtés de Herman Van Rompuy, du Luxembourgeois Jean-Claude Juncker et de l'ancienne présidente de la Lettonie, Vaira Vike-Freiberga.

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Léo sera content, je crois. Mais... où est-il passé ?