Bienvenu Invité, sur le forum Libres Propos
AccueilPortailDernières imagesS'enregistrerConnexion
Les Cohortes Célestes ont le devoir et le regret de vous informer que Libres Propos est entré en sommeil. Ce forum convivial et sympathique reste uniquement accessible en lecture seule. Prenez plaisir à le consulter. Merci de votre compréhension.
Le deal à ne pas rater :
Boutique Nike : -25% dès 50€ sur TOUT le site Nike avec le code ...
Voir le deal

 

 Mesdames, dites nous ...

Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité




Mesdames, dites nous ... Empty
MessageSujet: Mesdames, dites nous ...   Mesdames, dites nous ... Empty8/1/2010, 13:11

Citation :
SEXE

Le fameux "point G" n'existerait pas

NOUVELOBS.COM | 04.01.2010 | 13:14


C'est ce qu'affirme une étude britannique portant sur 1.800 femmes. Elle conclut qu'"il est pratiquement impossible de trouver des traits réels" du point G.


Mesdames, dites nous ... 811553
Un couple (Sipa)

Une étude britannique portant sur 1.800 femmes a mis en évidence que la zone érogène féminine, dite point G, n'existe pas, rapporte le DailyMail, lundi 4 janvier. L'étude du King's College de Londres avance que le point G fait partie de l'imaginaire, encouragé par les magazines et les sexologues.
"Il est pratiquement impossible de trouver des traits réels" du point G, note Tim Spector, professeur d'épidémiologie. "Le point G est une idée subjective."
Au total, 56% des femmes interrogées déclarent avoir un point G. Des femmes qui ont tendance à être plus jeunes et plus actives sexuellement.

L'étude britannique déjà critiquée



Cette zone érogène réduite, située dans le vagin, est censée concentrer de nombreuses terminaisons nerveuses. Si elle est activée, elle est supposée mener à un plaisir sexuel intense.
Le concept de point G a été popularisé par la sexologue Beverly Whipple en 1981. La zone érogène tient son nom du gynécologue allemand Ernst Grafenberg, qui prétendait l'avoir découvert en 1950.
Le professeur Beverly Whipple a toutefois mis en doute l'étude britannique, insistant sur le fait qu'elle ne prenait pas en compte "les prouesses" des différents partenaires sexuels.

- Etude du King's College de Londres portant sur 1.804 femmes, âgées de 23 à 83 ans, faisant toutes parties d'un couple de jumeaux identiques ou non. Les jumeaux partagent ainsi soit la totalité soit la moitié des gènes, permettant une comparaison des attributs physiques.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Mesdames, dites nous ... Empty
MessageSujet: Re: Mesdames, dites nous ...   Mesdames, dites nous ... Empty8/1/2010, 13:13

Sylvette qu'en pensez-vous ? ... Votre quête progresse-t-elle dans ce domaine si sensible ? Mesdames, dites nous ... Icon_cool
Revenir en haut Aller en bas
 
Mesdames, dites nous ...
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Libres Propos :: GÉNÉRAL-
Sauter vers: