la France au karcher

FAUT PAS DÉCONNER QUI Y A T IL DE MAL A Vouloir NETTOYER CERTAIN QUARTIER AU KASCHER, au lance flamme j aurais compris votre indignation.quoique pour certains bidons villes je ne vois guere d autres moyens je vous rassure cette operation doit etre effectuee apres evacuation de la population.
Pour bruler les immondices , et tuer les rats, je ne vois que je feu pour en venir a bout.

Bof, toute la France au karcher je ne dirais pas, mais pour certains quartiers des grandes villes ça me semble être une expression tout à fait appropriée.
C'est probablement ce qui a poussé les professionnels de l'indignation dirigée à la monter en épingle ?

Heu... c'est un arbitre de rollerball admnistrant une pénalité légère ?

Non,juste un digne représentant des forces de sécurité Républicaine expliquant doctement, la vie a un indivudu pathibulaire mais presque!!!!!

Avec tout le "savoir faire " et la dignité inhérente a sa fonction respectable!

Sarko a été élu parce qu'il a fait croire aux débiles qu'il allait s'occuper des banlieues .

Depuis qu'il est au pouvoir,il n' arien fait absolument rien pour les banlieues .

C'est maintenant qu'il va s'y mettre ?

C'est maintenant qu'il va s'y mettre ?


Une seule et unique chose manque a ce gouvernement comme a d'autres, la volonté politique minée par la pseudo morale judeo chretienne!

Mais pourquoi tous ces gens se cassent-ils la tête avec les banlieues ?

Qu'ils fassent donc comme moi, un pied à terre à Paris ou dans le 92, une belle maison à la campagne, un autre pied à terre au soleil, de préférence à quelques heures de vol de Paris.

Avec comme sont les miennes les préoccupations suivantes s'ils souhaitent vraiment se casser un peu la tête :
- le sens des vents pour faire prendre le feu dans la cheminée, comme le bois n'est pas très sec, c'est embêtant,
- La période des soldes d'hiver qui se termine, moment privilégié où je fais généralement mes plus belles affaires. Ca y est, c'est terminé, je suis très cotente,
- Quoi encore, si, j'espère qu'il ne va pas neiger en Normandie cette fin de semaine, samedi j'ai encore des emplettes à faire moi, et je dois pouvoir circuler facilement sur des routes non verglacées. Manquerait plus que je ne puisse pas vaquer à mes occupations...

Franchement, je vous le demande, qui peut encore de nos jours se préoccuper des banlieues. Pas moi, cela c'est certain !

bénédicte a écrit:

Franchement, je vous le demande, qui peut encore de nos jours se préoccuper des banlieues. Pas moi, cela c'est certain !

Parce que, très chère Bénédicte, les banlieues représentent dans notre belle et douce terre de France les derniers territoires "sauvages" à pacifier, repaires de hordes sans foi ni loi et de jeunes malandrins prêts à n'importe quelle bassesse pour détrousser les honnêtes gens.

Si on ne les passe par le fer et par le sabre, un jour, Dame Bénédicte, vous les trouverez dans vos campagnes et à la porte de vostre maisonnée prêts à vous violer.

Bonjour Ombre,

Qu'il y ait une délinquance importante dans les quartiers, je le sais.

Nous en avons tant et tant parlé.

Maintenant comment les "nettoyer", par ou commencer. Je n'ai pas de réponse à cela.

Quant à venir me violer dans ma campagne isolée... Figurez-vous que même dans notre petit village (450 âmes), un vrai bonheur pour mon repos, il y un lotissement de logements sociaux. Notre commune y accueille des familles ultra-défavorisés (une horreur). Il n'empêche que je ne snobe pas pour autant les mères des enfants qui fréquentent la même école maternelle que mon fils cadet. J'ai même sympathisé avec l'une d'elle.

Oui en effet, ce sont comme nous disons aujourd'hui des cailleras. Leurs codes ne sont pas les miens. Je réponds à ses invitations quand elle m'offre un thé après l'école. Comme quoi parfois la parole, le dialogue, faire l'effort de comprendre l'autre même s'il vit à des années lumières de vous...

Tant que l'on ne tentera pas de comprendre d'où vient ce malaise en banlieue, nous pourrons toujours en effet nettoyer le problème.

Un peu comme le quartier Stalingrad à Paris, la marie à nettoyer, la poussière s'est de nouveau déposée ailleurs en banlieue.

A mon sens le véritable problème c'est la pauvreté et tout ce qui en découle...

Voilà...

Pardonnez mes fautes de frappe, comme d'habitude, je ne me relis jamais.

bénédicte a écrit:

A mon sens le véritable problème c'est la pauvreté et tout ce qui en découle...

Tout à fait .

La pauvreté c'est "mortel" pour les gosses :

a) ils n'ont pas ce que les autres ont .
On peut discuter des heures là dessus,sur le nécéssaire,l'inutile,etc ,il n'en est pas moins vrai qu'ils ressentent ça mal *.

b) ils ne pourront pas se payer les études qu'ils veulent .
Les études sont en pratique loin d'être gratuites (logement,transport,nourriture,livre,etc ...) .

c) Arrivés en début d'âge adulte,la misère de leurs parentys est perçue à tort,mais néanmoins perçue comme l'échec de leurs parents et donc du message parental .

d) Tu ajoutes ça avec un déracinement socio culturel et tu vas avoir toute une jeunesse disparate qui va essayer de se retrouver dans un passé imaginaire commun auréolé de gloire .
Et ce passé il est tout trouvé; c'est l'islam de légende .
Avec l'Islam de la élgende,tous les exclus de la terre ont un pot commun : les turcs,les albanais,les marocains,les algériens,les tunisiens,etc,tous ces types qui n'ont rien à voir entre eux,qui ont tous des histoires et des destins distincts se réunissent sur le seul point qui leurs est commun : l'islam.




* Quand je parle d'avoir "comme les autres", je fais une nuance .
Quand fifille était petite elle n'a jamais eu les conneries à la mode . Jamais,jamais,jamais .
Mais elle avait suffisament d'argent de poche pour se les acheter,et la pleine autorisation de les acheter .
Mais sur ses sous à elle .
Résultat des courses; elle ne les a jamais acheté et ça ne lui a rien fait puisqu'elle savait et pouvait les acheter si elle voulait .
Mais c'est tout à fait différent si tu ne les a pas parce que tu ne peux pas ou tu ne sais pas les acheter .
Dans un cas ça contribue à l'acquisition de la maturité .
Dans l'autre,ça fait une plaie de l'enfance de plus .

Je suis d'accord avec toi sur tout ce que tu as écrit.

L'Islam, pour les jeunes que je connais, est devenu une sorte de "capital commun". Et parce-qu'ils se sentent, se considèrent comme exclus, rejetés, victimes, et j'en passe, et bien ils se sont trouvé un bien commun . De plus, à cela s'ajoute tout ce qui se dit sur l'Islam. Ils prennent cela comme une atteinte personnelle.
Alors qu'en réalité, ils sont très éloignés de la religion. Allez, je suis gentille, sauf en période de Ramadan. Pour le reste, les preceptes à respecter, la pratique, ouais ... bof... au compte gouttes.

C'est toujours ce que j'ai dit ici, ce n'est pas l'Islam le problème des jeunes des banlieues. C'est l'exclusion sociale.
Comme tu le dis, dans notre société dite de consommation, ne pas pouvoir consommer au même titre qu'autrui, est vêcu comme une tare, une injustice, très mal ressenti. Alors le réconfort qui pourrait être apporté par la spiritualité... Mouais, chez la majorité de cette jeunesse là, je n'y crois pas beaucoup.

Citation :

C'est fait.

Le Parlement a donné ce jeudi son feu vert définitif à un nouvel arsenal contre la violence en bandes, à l'école et dans les stades.

Le Sénat a adopté la proposition de loi UMP en deuxième lecture, sans changer la version transmise par l'Assemblée nationale, rendant l'adoption définitive. La majorité a voté pour et l'opposition contre.Ce vote s'inscrit dans une séquence sécuritaire des travaux parlementaires organisée juste avant les élections régionales des 14 et 21 mars.

http://www.20minutes.fr/article/384044/A-la-Une-La-loi-contre-la-violence-en-bandes-adoptee-par-le-Parlement.php

... voilà une bonne chose.

Il est grand temps de remettre le karcher en marche...

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Citation :

Il est grand temps de remettre le karcher en marche

Et voilà, le vieux réflexe collaborationiste français reprend le dessus,
on refait appel au savoir-faire allemand !