Jean de France, un Prince Français

Citation :

Le prince Jean de France, petit fils du comte de Paris, descendant de Louis Philippe, mais aussi de toute la dynastie des Capétiens, a entrepris un tour de France pour présenter son ouvrage intitulé « Un prince français, entretiens avec Fabrice Madouas, » (journaliste à Valeurs actuelles).

À partir de questions sur sa vie, son enfance, sa jeunesse, ses activités professionnelles, le prince aborde toutes les grandes questions qui peuvent intéresser les Francais : Justice : foi, culture, économie, politique étrangère, éducation, défense, institutions...

Autant de sujets sur lesquels il a un avis qu'il donne sans détours. C'est un portrait vivant et le discours d'un futur candidat en campagne (même s'il le nie), non pour la présidence mais pour un retour à la royauté qu'il justifie : « Être prince chrétien c'est incarner la nécessaire réconciliation de tous les Français autour de l'histoire ancienne et récente de notre pays » être un arbitre en somme mais attaché à des convictions profondes autour de principes sur la souveraineté de la France, la promotion de la famille et de la vie, l'éducation des enfants. Il affirme surtout sa volonté de servir la France.

Citation :

« La monarchie, c'est une espérance »

Il a 44 ans, s'est marié en mai à Philomena de Tornos y Steinhart, est papa, depuis peu, d'un garçon. Jean de France, héritier potentiel du trône, veut se faire connaître et défendre ses idées. Dans un livre, il les expose clairement, mais se montre prudent devant la presse. Il prône une monarchie parlementaire, mais en parle comme d'une « espérance ».

Très attaché à la famille, il est pour une politique nataliste, un enseignement visant « l'excellence pour le plus grand nombre », dont le contenu et le ton ne sont pas sans rappeler un film qu'il a adoré, Le Petit Nicolas.

L'ex-salarié de banque veut relancer l'économie, en réformant le marché du travail, en réduisant les dépenses de l'État et en développant la recherche. Il défend un « syndicalisme de contrats ». « Syndicats et patrons se mettent autour de la table, on négocie et on établit un contrat. » À l'allemande. Par ailleurs, il entend « simplifier le droit du travail », sans, assure-t-il, toucher « aux grands principes ».

Juste et pieux. Pour le prince, le roi est l'arbitre idéal des affaires de la nation. Car détaché des partis, des élections et des lobbies.

Lui-même se dit très pieux et animé du seul souci du bien commun.

Qu'est-ce qui le certifierait pour chaque souverain ? « Rien, mais c'est le fait d'être un témoin, un exemple, répond l'héritier des Orléans. C'est faire le maximum pour l'être. »

http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Marcq_en_Baroeul/actualite/Secteur_Marcq_en_Baroeul/2010/01/29/article_le-prince-jean-de-france-hier-a-marcq-l.shtml

Citation :

"La France est monarchiste de coeur et républicaine de raison"

Mieux connaître ses sujets, telle est la volonté de l'héritier des princes de France. Et c'est ainsi que Jean d'Orléans a grimpé les étages d'une HLM de Toulon.

Des mains baguées de chevalières tapotent des applaudissements: Son Altesse Royale le prince Jean de France vient d’achever sa conférence. Dehors, la nuit camoufle la rade de Toulon. Une dame perdue dans une immense fourrure bondit sur ses Mephisto: elle veut une dédicace du " vrai Prince Jean".

Le vrai? "Pas celui de Neuilly", glousse-t-elle.

Mais la plupart du temps, Prince Jean reste silencieux. "Il est sans cesse en rétention verbale", confirme le docteur Jean Gugliotta, un de ses conseillers. "Il est un citoyen ordinaire. En même temps, il a mille ans d’histoire familiale sur les épaules et tout ce qu’il dit se trouve chargé d’une portée particulière." Aussi entre-t-il plus que prudemment dans la vie. A 44 ans, l’héritier des Capétiens vient seulement de se marier, d’avoir un enfant, Gaston, et de ramasser dans un livre* ses convictions, globalement fidèles aux enseignements de l’Eglise.

" Et le retour de la monarchie?" Aristocrates et roturiers, royalistes et républicains, tous finissent par formuler la question. Au risque de décevoir ses plus fervents soutiens, Jean d’Orléans dresse un constat lucide: "Pour moi, la monarchie est une espérance. Il me manque cependant les circonstances et la volonté populaire. Pour l’instant, la France est monarchiste de cœur et républicaine de raison..."

En attendant que l’histoire sonne à sa porte, ce fan de U2 est sollicité pour évoquer son aïeul Henri IV: on célèbre cette année le quatre centième anniversaire de la mort du Vert-Galant.

C’est un début.

http://www.lejdd.fr/Societe/Actualite/La-tournee-du-vrai-Prince-Jean-168630/

Citation :

« Ce que nous sommes, nous l'avons construit ensemble, il faut la diversité, mais aussi un dénominateur commun. »

Dans son livre, le Prince Jean est toutefois plus précis : il se dit pour une « laïcité bienveillante », qui respecte tous les cultes, mais dans une France qui reste essentiellement chrétienne... « Il faut que nous soyons fiers de notre histoire... » Au public, il a livré l'exemple de l'association catholique du Rocher, respectée dans les cités de Toulon.

« Toutes les personnes qui viennent composer notre pays, si elles voient qu'en face il n'y a pas de consistance, feront ce qu'elles veulent.»

Enfin les étrangers doivent, selon le prince, être assimilés.

http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Marcq_en_Baroeul/actualite/Secteur_Marcq_en_Baroeul/2010/01/29/article_jean-en-public-de-l-identite-nationale-a.shtml

Le Prince qu'on a qu'on sort

est-ce que "jam d'auvergne" ça pourrait le faire?
un jam ça faut un jean et comme chacun le sait,
"la france: c'est l'auvergne avec un peu de terre autour"

8 -

Citation :

Ici on parle du Prince Jean de France, le vrai

Ah! Le mec marié à la comédienne belge Cécile de France ! Monseigneur a du goût.

Citation :

est-ce que "jam d'auvergne" ça pourrait le faire?

Je ne cherche pas à vous vexer puisque, si vous posez la question sans autre précaution oratoire, c'est que vous espérez avoir des réponses sincères :
Non ça ne le fait pas, ou plutôt si ça le fait comme pub pour Jambon d'Auvergne !

James Dupuis De Daume c'est mieux dans ce registre.

Citation :

Le Prince Jean de France en déplacement à Toulouse

Un prince, pour quoi faire ?

C'est à cette question que veut répondre Jean de France, dans le livre « Un prince français » qu'il vient présenter lui-même à Toulouse, mardi 2 mars à 16 heures à la librairie Castéla, place du Capitole.

Rédigé sous la forme d'entretiens avec le journaliste Fabrice Madouas l'ouvrage aborde les grands thèmes de société et d'actualité : justice, foi, culture, économie, politique étrangère, défense, institutions.

Longtemps considéré par son grand-père, comme son héritier, il a été désigné en 2003 par son père, Henri d'Orléans, comme « régent du dauphin », son frère aîné François d'Orléans, ce dernier, bien que fortement handicapé, ayant été réhabilité dans ses droits dynastiques. Il porte néanmoins lui-même les armoiries de dauphin de France et se présente comme tel. S'il devait un jour y avoir un roi en France, il monterait sur le trône, sous le nom de Jean IV. Après la signature à la librairie Castéla, le prince Jean de France donnera une conférence à 18 h 30 en l'Hôtel d'Assezat, à l'invitation de l'académie des jeux Floraux et des Anciens élèves de Science Po Paris et de HEC.

http://www.ladepeche.fr/article/2010/02/23/783120-Jean-de-France-le-pretendant-au-trone-a-Toulouse.html

Ombre a raison : le panache d'un capétien nous fait cruellement défaut aujourd'hui.

Il serait magnifique de renouer avec la tradition et d'acclamer par assemblée (de Senlis) puis de couronner et de sacrer notre roi à Noyon et à Reims.

Sortant des malles le manteau de pourpre tissé d'or et brodé de sujets pieux (pour plaire à Moussa), les bas rouges, les chaussures violettes, la couronne à arche ornée de quatre fleurons et le sceptre.

Que le Très Haut garde cette fois le descendant d'Hugues de la variole (et de ses pustules) qui emporta le premier et illustre capétien aux neuf Calendes de l'an 996.

Repose en paix (malgré le contexte) Hugues à Saint-Denis aux côtés de ton très cher Eudes.

Citation :

« Appelez-moi Prince Jean »




À
deux pas du Capitole et de la cour Henri IV, Jean de France, descendant
de Saint-Louis, François 1er et du bon roi Henri s'installe sans chichi
au deuxième étage de la librairie Castéla. Le prétendant au trône de
France porterait le nom de Jean IV, s'il régnait un jour. Peut-être un
signe du destin. En attendant l'hypothétique couronnement, il a publié
cet automne « Un prince français » aux éditions Pygmalion, un livre
d'entretien où il revisite l'histoire de France et où il se livre
aussi, avec simplicité.

Vous aimez beaucoup Henri IV dites-vous. Et la poule au pot ?
Chez nous le repas du dimanche, c'est plutôt gibier de chevreuil ou
de cerf accompagné de légumes, par exemple des courgettes. Ma femme les
prépare très bien. Moi, je cuisine le gibier. Mais la poule au pot
s'impose cette année car nous fêtons en 2010, les 400 ans de
l'assassinat d'Henri IV par Ravaillac. Alors !

Il est né pas très loin d'ici. Et vous, vous connaissez la région ?
Assez bien. J'y venais souvent l'été en particulier à Albi où je
participais à des sessions de philosophie quand j'étais étudiant. Des
amis m'ont fait découvrir le Gaillacois et ses vins. J'en garde un
excellent souvenir. Et le Gaillac, c'était le vin préféré de François
1er.

Depuis la sortie de votre livre, vous courez les librairies. Que lisez-vous en ce moment ?


Un roman de Ian Fleming. Quand je prends l'avion, James Bond ça me
détend. Sinon je lis beaucoup de livres d'histoire et pas assez de
romans par manque de temps. Je tiens ce goût de la lecture de ma mère.
Elle a longtemps travaillé dans une librairie, par passion des livres.
Et dans la vie quotidienne, comment vous appelle-t-on monsieur ou altesse ?
En général prince Jean. Je préfère la formule à celle trop pompeuse
de Monseigneur, ou d'altesse. Et dans la famille, on pratique le
tutoiement comme tout le monde.

Vous vous êtes marié récemment et vous venez d'être papa. Est-ce que
votre histoire d'amour se terminera comme dans les contes de fées… ils
eurent beaucoup d'enfants ?

Gaston est né en novembre dernier. C'est tout nouveau pour Philoména
et moi. Comme tous les couples modernes, nous avons d'autres projets.
Moi, c'est le voyage, elle, c'est la mer. C'est un vrai marin.
Pour revenir à votre descendance royale, est-ce que vous avez déjà donné votre sang ?

Dans la famille on a souvent donné notre sang pour la France. Je
n'ai encore jamais fait un don de sang. Mais, s'il le fallait, je le
ferai.

http://www.ladepeche.fr/article/2010/03/03/788641-Interview-Appelez-moi-Prince-Jean.html

Bernard75 a écrit:

Ombre a raison : le panache d'un capétien nous fait cruellement défaut aujourd'hui.

Il serait magnifique de renouer avec la tradition et d'acclamer par assemblée (de Senlis) puis de couronner et de sacrer notre roi à Noyon et à Reims.

Sortant des malles le manteau de pourpre tissé d'or et brodé de sujets pieux (pour plaire à Moussa), les bas rouges, les chaussures violettes, la couronne à arche ornée de quatre fleurons et le sceptre.

Que le Très Haut garde cette fois le descendant d'Hugues de la variole (et de ses pustules) qui emporta le premier et illustre capétien aux neuf Calendes de l'an 996.

Repose en paix (malgré le contexte) Hugues à Saint-Denis aux côtés de ton très cher Eudes.

Très franchement, nos illustres capétiens et autres preux mérovingiens ne méritent pas de reposer (si l'on peut dire) à Saint Denis au milieu des hérétiques et des sarrasins : il faudrait faire quelque chose !

Le mercredi 19 mai dans la cité d’Ango
Le prince Jean d’Orléans à Dieppe

http://www.infos-dieppoises.fr/Archives2010/JeanDOrleansADieppe.htm

Mercredi 19 mai, le prince Jean d’Orléans, fils du comte de Paris, sera à Dieppe pour une visite exceptionnelle. Occasion pour lui de présenter son livre d’entretiens et de se déplacer notamment au Château-Musée puis à la CCI.

« La veille, il sera à Rouen mais c’est évidemment en pays de Dieppe qu’il a toutes ses attaches confie Me Dakin. Il a bien sûr ses grands-parents qui étaient au château d’Eu et puis il y a sa filiation avec la duchesse de Berry. »

Sans parler aussi de son illustre ancêtre, Henri-IV, dont on fêtera le 400e anniversaire de sa mort le 14 mai prochain. Nul doute que l’héritier du trône de France ira se recueillir à Arques.

La journée du 19 mai comportera une partie privée, en matinée, puis une visite de l’usine Alpine-Renault « qui s’inscrit dans le cadre de la thématique de sa venue autour des réalités économiques. La devise de la famille de France était de servir, pas d’avoir une ambition personnelle. Or, le constat qu’il fait c’est que les réalités ne peuvent se traiter dans l’instant comme c’est trop souvent le cas. Au contraire cela demande du temps et une dimension politique qui s’affranchisse du facteur temps et des morcellements de notre société ».

Me Dakin trouve que notre société moderne est devenue le règne « de la défausse, de la frénésie, du manque de hauteur et de vision » et estime que la démarche du prince Jean de France s’inscrit justement aux antipodes de cette vision. A 16 heures, Jean de France sera présent à l’esplanade du Château-Musée pour une visite des lieux en compagnie de la présidente de l’association des Amys du Vieux Dieppe, Isabelle Abraham-Marchand. Dans la soirée, une conférence-échanges est organisée à la CCID suivie d’un cocktail.