C'est très bien fait, très clair (trop?), une vraie pente savonneuse pour nous conduire là où l'auteur souhaite, ce qui n'est pas un mal en soi.
Pour moi la question est : qu'est-ce que l'auteur souhaite réellement ?
Sans aucun jugement de valeur, dès le début j'ai ressenti un malaise à deux moments : "...la duplicité de l'orfèvre..." (pouquoi duplicité?) et (l'emprunteur doit rembourser) "...sinon il perd la maison, la voiture, qu'il a achetée". Il eut fallu ajouter "...et qu'il n'a pas payée"
À la fin, des citations de deux présidents des États-Unis contre "le complot des banquiers", James A. Garfield et Abraham Lincoln, tous deux associés à la mention "morts assassinés".
À force de vouloir convaincre...
Bref, sans rien enlever à la valeur du travail de Paul Grignon, je dis à mon tour que ça sent le complot... un complot associé à la mouvance verte.
Mais bon, on peut aussi se dire que l'humanité n'a pas si mal tracé son chemin jusqu'ici.