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| Racailles, banlieues et violences juvéniles | |
| | Auteur | Message |
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OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Racailles, banlieues et violences juvéniles 28/4/2010, 15:12 | |
| Un enseignant poignardé dans un collège en Mosellehttp://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/social/20100428.OBS3155/un-enseignant-poignarde-dans-un-college-en-moselle.html Un enseignant a été poignardé par un élève de quatrième mercredi 28 avril dans un collège d'Aumetz, en Moselle, a-t-on appris auprès du rectorat de l'Académie Metz-Nancy. Les jours du professeur, touché à l'abdomen, ne sont pas en danger.Selon le cabinet du recteur, le professeur de sciences et vie de la terre du collège Lionel-Terray avait retenu l'élève à la fin de son cours pour un cahier mal tenu. Alors qu'il se trouvait seul avec lui, l'adolescent de 13 ans a sorti un couteau et a porté un coup à l'abdomen de l'enseignant. Décrit comme "un élève sans problème", le collégien a pris la fuite mais a été rapidement interpellé, a indiqué une source policière. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Racailles, banlieues et violences juvéniles 28/4/2010, 16:46 | |
| C'est qu'il va se faire sonner les cloches cet enseignant qui a puni injustement, un gentil garçon "sans problemes" |
| | | OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Re: Racailles, banlieues et violences juvéniles 27/5/2010, 10:18 | |
| BANLIEUES - Brice Hortefeux : "Je veux donner des coups de pied dans la fourmilière" http://www.lepoint.fr/actualites-politique/2010-05-27/securite-banlieues-hortefeux-veut-donner-des-coups-de-pied-dans-la/917/0/459528 Les métaphores changent, la volonté reste. En 2005, Nicolas Sarkozy alors ministre de l'Intérieur, voulait " nettoyer au Kärcher" les cités. Cinq ans plus tard, son successeur place Beauvau a décidé de " donner des coups de pied dans la fourmilière". Invité de la matinale de RTL jeudi matin, Brice Hortefeux a souligné sa " détermination" et son " courage" tout en annonçant des " résultats" : " Sur les premiers mois de l'année, nous avons doublé les saisies de drogue", a assuré le ministre de l'Intérieur. " 1.000 affaires sur l'agglomération parisienne ont été traitées, et 2.120 personnes ont été interpellées", a précisé Brice Hortefeux. --------------------------------------------------------------- Moi, c'est pas dans la fourmilière que j'aurais envie de "shooter"... mais à un endroit bien précis du corps humain que la décence et la courtoisie m'interdisent de nommer ici...
C'est peut-être radical mais cela a l'avantage de remettre les esprits en place et les pendules à l'heure. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Racailles, banlieues et violences juvéniles 27/5/2010, 10:21 | |
| C'est peut-être radical mais cela a l'avantage de remettre les esprits en place et les pendules à l'heure. A la limite, j'irais jusqu'a dire, que ca fait meme plus. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Racailles, banlieues et violences juvéniles 27/5/2010, 12:11 | |
| vous savez bien que depuis très récemment la fessée est interdite en France alors le coup de pieds au ..... !!! non mais quelle violence Ombre !! vous exagérez, ces pauvres petits loulous c'est pas leur faute !! ils habitent un HLM et puis ils s'ennuient tout le monde est contre eux, il faut bien qu'ils s'amusent un peu quand passe une voiture de police ou les pompiers alors pour se détendre ils lancent quelques pierres, y a pas non plus de quoi fouetter un chat !! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Racailles, banlieues et violences juvéniles 27/5/2010, 12:21 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Racailles, banlieues et violences juvéniles 27/5/2010, 12:54 | |
| bonjour D'Jack (comme dirait Lang!) |
| | | OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Re: Racailles, banlieues et violences juvéniles 21/6/2010, 00:21 | |
| La colère des Chinois de Bellevillehttp://www.metrofrance.com/paris/la-colere-des-chinois-de-belleville/pjft!KcPUbaRnuK93E2JCwxjcrw/ Une manifestation monstre contre l’insécurité a envahi le quartier de Belleville (XXe) ce dimanche. Un événement sans précédent pour cette communauté qui se dit victime d’agressions à répétition depuis plusieurs années.L’événement est à la hauteur du ras-le-bol. Victime d’agressions à répétition à Belleville (XXe), où elle vit et tient de nombreux commerces, la communauté chinoise a décidé, pour la première fois, de briser le silence après une ultime agression lors d’un banquet de mariage au début du mois. Les Chinois se taisent et les agresseurs en profitent. Les filles se font violer le soir et elles ne portent pas plainte car beaucoup n’ont pas de titre de séjour. A côté de lui, un ami affirme avoir reçu un coup de couteau il y a quatre ans. Dans une lettre ouverte, les organisateurs, un collectif d’associations franco-chinoises, dénoncent une “ augmentation des violences” commises par “ des délinquants de plus en plus jeunes” et vivant dans le XXe. “ Les Chinois ont l’habitude de transporter des liasses d’argent en liquide, poursuit Jean. En début de mois, lors de la paie, des jeunes de 10 à 12 ans les attaquent”. Selon Wanli, arrivé en France il y a sept ans, “ tous les soirs après 22 heures, des groupes volent les sacs des dames. Ils frappent d’abord. Mon père s’est fait voler son GPS dans sa voiture, et ma mère s’est fait prendre son sac en arrivant à la maison”. “ Plusieurs restaurants se sont fait braquer, ajoute Ming, membre d’une association du quartier. Ça ne peut plus continuer”. Le collectif, soutenu hier par la maire du XXe, réclame des “ actions concertées et coordonnées” des autorités pour assurer la sécurité. | |
| | | emma
Nombre de messages : 3845 Date d'inscription : 08/12/2008
| Sujet: Re: Racailles, banlieues et violences juvéniles 24/10/2010, 20:05 | |
| Une jeune fille de 15 ans tabassée rue de la République Avignon, samedi après-midi, parce qu'elle a répondu à l'une de leurs réflexions désobligeantes, deux jeunes ont agressé une jeune fille. L'hyperviolence gratuite se banalise dangereusement...http://www.laprovence.com/article/faits-divers-justice/une-jeune-fille-de-15-ans-tabassee-rue-de-la-republique Profiter de son samedi après-midi pour faire du shopping avec son chéri et un ami... et terminer à l'hôpital. Cela n'a désormais plus rien de bien étonnant. Hier, vers 16h15, alors que la jeune Marine, 15 ans, souffrait le martyr, à moitié consciente, et qu'elle était embarquée par les pompiers direction l'hôpital d'Avignon, un groupe de jeunes garçons peinait à ne pas sourire devant la situation et des jeunes filles passaient même des coups de fil pour s'exclamer, hilares, qu'une "gonzesse s'est faite éclater, rue de la Ré". Le seul "tort", pour ainsi dire, de Marine est d'avoir enfilé une jupe pour aller se promener en ville et de ne pas avoir attendu d'être revenue chez elle pour étancher sa soif. Parce que c'est à la fontaine, située à la moitié de l'artère principale de la ville, que deux jeunes hommes - "âgés de 18 ou 20 ans maximum"- l'ont apostrophée. "Quand elle s'est penchée pour boire à la fontaine, sa jupe s'est un peu relevée. Et ils lui ont dit qu'ils avaient vu sa culotte. Mais c'était dit de façon très provocante", nous expliquait Daniel, son ami. Et là, l'un d'eux a commencé à la frapper. Je lui ai mis un coup de poing puis le second m'a bloqué et l'autre s'est remis à la taper", se rappelait Théo. "Après un coup de poing au visage, elle est tombée inconsciente au sol". Là, les deux agresseurs se sont enfuis en remontant la rue de la République. Quelques instants plus tard, un jeune homme de 16 ans a été interpellé dans un bus de la TCRA. Hier soir, l'agresseur principal était toujours en fuite. | |
| | | chat noir
Nombre de messages : 5160 Age : 66 Localisation : NANTERRE Date d'inscription : 18/11/2008
| Sujet: Re: Racailles, banlieues et violences juvéniles 26/10/2010, 17:14 | |
| Un post que je qualifierais de : "tout à l'égout" :
la racaille, la banlieue, la violence tous les engredients d'un programme dont certains hommes politiques sont friands à la veille d'élection. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Racailles, banlieues et violences juvéniles 26/10/2010, 17:40 | |
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Dernière édition par JACKLELOUP le 26/10/2010, 23:06, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Racailles, banlieues et violences juvéniles 26/10/2010, 18:50 | |
| - chat noir a écrit:
- Un post que je qualifierais de : "tout à l'égout" :
la racaille, la banlieue, la violence tous les engredients d'un programme dont certains hommes politiques sont friands à la veille d'élection. Ca ne peut pas etre le message qui parle d'une gamine de 15 ans tabassée par deux salopards qui peut provoquer ce genre de reaction; enfin, je veux dire, à moins que le but ne soit de relativiser le fait que des mecs se mettent à plusieurs pour battre une fille. Parce que le coté politique, je ne vois pas... Mab |
| | | emma
Nombre de messages : 3845 Date d'inscription : 08/12/2008
| Sujet: Re: Racailles, banlieues et violences juvéniles 27/10/2010, 18:04 | |
| "Dans certaines banlieues, les jeunes ont pris le pouvoir sur les adultes"Luc Bronner, journaliste au "Monde", auteur de "La Loi du ghetto" http://www.lemonde.fr/societe/article/2010/10/27/dans-certaines-banlieues-les-jeunes-ont-pris-le-pouvoir-sur-les-adultes_1431987_3224.html "Le terme de ghetto est tabou en France, probablement parce qu'il met en cause en profondeur notre modèle républicain. Mais pour moi, à travers mon travail d'enquête, je pense qu'on peut aujourd'hui parler de ghettos pour les quelques dizaines de quartiers en très grande difficulté. Trois facteurs se cumulent : d'abord, la pauvreté. Le deuxième facteur est lié à l'émergence d'une forme de contre-société dans certains quartiers. On voit dans certains quartiers l'apparition de normes, de rapports sociaux, de hiérarchies sociales très différents du reste du territoire. Je suis notamment frappé par la place que prennent les adolescents et les jeunes dans l'espace public. On assiste parfois à une forme de renversement de l'ordre générationnel, avec des jeunes qui ont pris le pouvoir sur les adultes. On constate aussi une situation très fragile pour les femmes, pour les mères, qui ne peuvent remplir complètement leur rôle éducatif. Le troisième facteur a trait aux moyens policiers et judiciaires exceptionnels utilisés dans ces territoires. Depuis plusieurs années, les pouvoirs publics ont mis en place une forme de militarisation du maintien de l'ordre et ont multiplié les dispositifs judiciaires spécifiques. La question sociale est première. Mais on ne peut pas nier une forme de ségrégation ethnique qui amène à la constitution de quartiers où ne vit plus aucun Blanc. Juste quelques exemples tirés des travaux de Michèle Tribalat : en étudiant la composition de certaines villes d'Ile-de-France, elle montre que dans des communes comme Clichy-sous-Bois, Villiers-le-Bel, La Courneuve, Grigny, la proportion de Français d'origine étrangère dépasse les 60% et atteint même parfois 75%. Très loin de la moyenne régionale d'Ile-de-France, et encore plus loin de la moyenne nationale. Lors des dernières élections, l'abstention a atteint 70% dans certains quartiers, ce qui fait que le poids politique des habitants des quartiers est perçu par les élus comme très faible, donc moins important que d'autres catégories de la population. Il y a d'un côté les élites politiques locales et nationales qui n'ont quasiment rien fait pour renouveler leurs troupes. Un exemple : en Seine-Saint-Denis, où il y a quarante communes, donc quarante maires, on ne compte aucun Noir, aucun Maghrébin comme maire. C'est le signe de la difficulté des partis politiques, de droite comme de gauche, à faire la place pour la diversité. Mais on ne peut pas se contenter de souligner la responsabilité des élus. Il y a une très grande distance des habitants des quartiers sensibles vis-à-vis de la politique, et souvent le sentiment que cela ne sert à rien. Et donc probablement une forme de désintérêt. Les forces de l'ordre sont parfois perçues comme des forces d'occupation par une partie des habitants. Je note d'ailleurs que le gouvernement est en partie revenu sur la suppression de la police de proximité à travers la création d'unités territoriales de quartiers, qui sont censées reprendre un travail de proximité. Pour une partie de la jeunesse, le recours à la violence est considéré comme un moyen d'expression. On voit bien que certaines zones en France où la pauvreté est très grande ne connaissent pas ce type d'incidents. Je vois deux réponses possibles : la première liée au fait que dans les quartiers populaires il y a une proportion très grande de jeunes, parfois un tiers de la population qui a moins de 20 ans, ce qui est très différent, par exemple, des zones rurales, où la part des jeunes est très faible. Dans ces quartiers, les règles de vie, les rapports sociaux, les hiérarchies sociales peuvent être très différents et déboucher sur des comportements plus radicaux. Je pense qu'une des clés d'explication de la situation des quartiers en France aujourd'hui, c'est l'effacement des adultes par rapport au pouvoir adolescent. Nos quartiers manquent de régulation, et les adolescents, de contre-pouvoir." | |
| | | GIBET
Nombre de messages : 1730 Age : 77 Localisation : Finistère Date d'inscription : 03/09/2010
| Sujet: Re: Racailles, banlieues et violences juvéniles 27/10/2010, 18:23 | |
| Cela fait du bien de lire quelque chose de sociologiquement intelligent et fondé sur ces quartiers. Cette analyse devrait être complétée: A - par les "pourquoi" (choix politiques et architecturaux, choix familiaux, sociologie des regroupements, financier de l'immobilier, tradition culturelle des banlieues etc..) de la perpétuation de ces ghettos que l'on devait faire disparaître comme il y a 40 la Courneuve - Stains ou le bidonville de Nanterre que j'ai connu. B - par les "comment" en sortir. Notamment par le financement de l'habitat social que trop de maires refusent de financer malgré la loi. Ainsi on rejette impunément un des facteurs essentiels de l'intégration de ces français issus de l'immigration comme on le fait pour les Rom! Pourtant là il suffirait de "saupoudrer".
Le Point nous a appris que le Finistère accueille un très grand nombre des français qui paient le plus d'impôts. Bien sûr que les très riches sont à la campagne , avec grande discrétion chez nous (nous ne sommes ni Cannes, ni Monaco) Ce qui s'oppose à cette meilleure répartition ce n'est donc pas le "grand capital", c'est la majorité silencieuse...celle qui devient xénophobe chez nous. Il n'y a qu'à lire de nombreux forums pour en évaluer la réalité. GIBET | |
| | | emma
Nombre de messages : 3845 Date d'inscription : 08/12/2008
| Sujet: Re: Racailles, banlieues et violences juvéniles 10/11/2010, 15:36 | |
| Violences : cinq jeunes du 93 exclus de l'internat de réinsertion de la Mayenne
http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/violences-cinq-jeunes-du-93-exclus-de-l-internat-de-reinsertion-de-la-mayenne-10-11-2010-1143438.php
L’expérience aura tourné court pour cinq jeunes de Seine-Saint-Denis. Intégrés, avec neuf autres élèves du département dans un établissement de réinsertion scolaire (ERS) ouvert lundi dans un collège en Mayenne, ils viennent d’être exclus, après s’être battus hier matin avec des collégiens de l’établissement. C’est en urgence que l’inspection académique du 93 a décidé de renvoyer dans leurs familles les cinq jeunes de 13 ans à 15 ans après des violences survenues dans la cour du collège Volney, à Craon. A la suite d’une erreur d’organisation, ils ont croisé d’autres collégiens qui se rendaient à la cantine. C’est alors qu’ils ont «distribué des coups et des claques sans raison apparente, raconte Zélia Malhaire, une enseignante. Les collégiens ont dû se réfugier dans les bureaux de l’administration». Les professeurs ont aussitôt décidé d’exercer leur droit de retrait et affirment ne pas vouloir reprendre le travail tant que l’ERS ne sera pas fermé. L’affaire a vite pris des proportions importantes puisque quelques heures après, des parents d’élèves de Craon sont venus retirer leurs enfants de l’établissement. Eux aussi réclament la fin de l’expérimentation. La création des ERS avait été annoncée en avril par le ministère de l’Education nationale. Ils sont destinés à accueillir «des collégiens en difficulté scolaire et sociale, dont le comportement nécessite un éloignement». Pour intégrer ce type de structure durant un an, les élèves doivent être âgés de 13 ans à 15 ans, volontaires et exclus du système scolaire. Le but est de les remettre à niveau et de leur apprendre le respect des règles de vie en société. Un dossier "bâclé" http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/11/10/97001-20101110FILWWW00626-violencescollege-un-dossier-bacle.php Après le renvoi manu militari pour violences de cinq élèves de Seine-Saint-Denis du tout nouvel établissement de réinsertion de Craon (Mayenne), les parents et enseignants du collège hébergeant cet ERS ont dénoncé aujourd'hui un dossier précipité et "bâclé". Des parents d'élèves ont confié que leurs enfants étaient "profondément choqués" et "apeurés" et ont interpellé l'inspectrice d'académie, en visite sur place, pour qu'elle mette à disposition un psychologue. A la mi-journée, dans la cour déserte de ce coquet collège, on pouvait entendre des insultes proférées par les neuf pensionnaires restants depuis les fenêtres des leurs locaux, situés dans le bâtiment central du collège. "Un ministre a dit qu'un seul de ces jeunes pouvait pourrir un établissement de 1.000 élèves, alors imaginez 14 d'entre eux au milieu de 350 collégiens. On a pris les caïds de 14 établissements qui ne se connaissaient pas (....) et on les a débarqués à Craon, avec les inévitables surenchères entre eux pour savoir qui serait le chef. Aujourd'hui, ils ont l'air content de leur coup, en moins de 24 heures ils ont 'vidé' les 350 élèves du collège et ont crié 'on est chez nous", soupire Moïse Mounier, représentant des parents. | |
| | | OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Re: Racailles, banlieues et violences juvéniles 3/12/2010, 10:24 | |
| Un brave policier délibérément renversé par un jeune merdeux dans le 93(AFP) – Il y a 3 heures BOBIGNY — Un policier a été blessé dans la nuit de jeudi à vendredi à Sevran (Seine-Saint-Denis), renversé "délibérément" par une voiture, a indiqué vendredi le préfet Christian Lambert, confirmant une information de RTL.Des policiers de la BAC (Brigade anti-criminalité) effectuaient un "contrôle de sécurisation" dans une zone piétonne de la Cité Basse à Sevran peu après 23H00, quand un véhicule est arrivé et a foncé "délibérément" sur eux, a expliqué le préfet à l'AFP. Le policier renversé a tiré un coup de feu, " en légitime défense", a-t-il ajouté. Les conducteurs de la voiture ont pris la fuite mais le véhicule a été retrouvé environ 700 mètres plus loin, moteur tournant. Un sac contenant 400 grammes de cannabis a été découvert "à proximité". Les faits se sont "probablement produits lors d'une transaction" entre trafiquants de drogue, a indiqué le préfet. Sevran est connu pour être une plaque-tournante du trafic de cannabis. " Tous les moyens ont été mis en place pour retrouver les fuyards", a ajouté Christian Lambert, qui s'est rendu au chevet du policier, à l'hôpital Georges Pompidou, à Paris. > Qu'on retrouve ce macaque au plus vite et qu'on lui fasse bouffer ses couilles ! | |
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| Sujet: Re: Racailles, banlieues et violences juvéniles | |
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