Victor et l'abbé Bonnaterre

On se souvient que Victor de l'Aveyron fut un enfant sauvage qui serait né vers 1790 dans le Tarn et qui s'est réfugié dans l'Aveyron.
Le 6 janvier 1800, nu, voûté et hirsute, il fut attrapé puis escorté au village de Lacaune et recueilli par une veuve. Victor se masturbait souvent devant cette veuve encore très belle.

Très vite, l'abbé Bonnaterre le récupère ... on imagine pourquoi !

Ensuite, Victor est confié à une certaine madame Guérin qui le soigne pendant 17 ans dans une maison de passe "la Feuillantine".

Victor et l'abbé

Bonjour Bernard !

Je serais heureux de connaïtre les sources de ton texte sur cet enfant "sauvage" sourd et muet qui a inspiré "L'Enfant sauvage" à François Truffaut.

En effet, si des éléments très intéressants que tu ne cites pas peuvent être consultés un peu partout, les éléments sordides que tu mets en exergue me sont introuvables, d'autres tout simplement falsifiés.

Ainsi, par exemple, (je te cite) "madame Guérin qui le soigne pendant 17 ans dans une maison de passe "la Feuillantine" (sic) est une falsification du texte original de Wikipedia : "...madame Guérin qui le soigne pendant 17 ans, de 1811 à sa mort en 1828, dans une maison de l’impasse Feuillantine."

Je me pose donc la question : récit réel ou fruit d'une imagination sordide et malade ?

A mon avis, il s'agit d'une erreur de transcription. Ceci dit, il ne serait pas étonnant qu'au fond de l'impasse "Feuillantine", une maison de passe puisse porter le même nom. Les exemples sont nombreux : les "Galeries Lafayette" à Paris sont implantées ainsi "rue Lafayette" (ce n'est pas un hasard).

S'agissant de l'activité susévoquée, il n'est pas rare que ce type d'établissement s'installe dans une impasse. La zone de chalandise est moins fréquentée certes mais c'est plus tranquille.

Je vais vérifier néanmoins.

Bernard75 a écrit:

Victor et l'abbé

Mais non, pas le moins du monde, il s'agit de Jean-Pierre Cargol, qui joue le rôle de Victor, et de François Truffaut qui joue le rôle du Docteur Itard (à qui Victor fut confié dans la réalité).

c'est une photo extraite du film "L'Enfant sauvage" réalisé par Truffaut et inspiré du récit du Docteur Itard.

Rien à voir avec tes rêveries humides solitaires...

Voici qui confirme ce que je disais plus haut : Jean Pierre Cargol était nu, hirsute et n'avait pas de bonnes manières.

Mais là, c'est déjà mieux.

Bernard75 a écrit:

A mon avis, il s'agit d'une erreur de transcription. Ceci dit, il ne serait pas étonnant qu'au fond de l'impasse "Feuillantine", une maison de passe puisse porter le même nom. Les exemples sont nombreux : les "Galeries Lafayette" à Paris sont implantées ainsi "rue Lafayette" (ce n'est pas un hasard).
S'agissant de l'activité susévoquée, il n'est pas rare que ce type d'établissement s'installe dans une impasse. La zone de chalandise est moins fréquentée certes mais c'est plus tranquille.

Sans doute, sans doute...

Voila, j'ai trouvé le Docteur Jean Itard ... une drôle de tronche !

J'observe qu'il s’intéressa particulièrement à la démutisation des sourds et surtout à la jeune marquise de Dampierre qui manifestait des « spasmes involontaires convulsifs » dès qu'elle apercevait Victor, nu et hirsute.

On peut voir ici la marquise de Dampierre née Anne de Beauvoir Le Loup, femme en secondes noces de Francois de Cugnac, marquis de Dampierre.

Bien entendu ici, la marquise est moins jeune que précédemment. A cette époque, le Docteur Itard avait coutume de lui chanter pour la rassurer :

Allô, allô, James, quelles nouvelles
Absente depuis quinze jours,
Au bout du fil je vous appelle
Que trouverai-je à mon retour ?
Tout va très bien, madame la Marquise
Tout va très bien, tout va très bien
Pourtant il faut, il faut que l'on vous dise
On déplore un tout petit rien
Un incident, une bêtise,
La mort de votre jument grise
Mais à part ça, Madame la Marquise
Tout va très bien, tout va très bien !
Allô, allô, Martin, quelles nouvelles
Ma jument grise, morte aujourd'hui ?
Expliquez moi, cocher fidèle,
Comment cela s'est-il produit ?

Bernard75 a écrit:

Bien entendu ici, la marquise est moins jeune que précédemment. A cette époque, le Docteur Itard avait coutume de lui chanter pour la rassurer :

Allô, allô, James, quelles nouvelles [...]

Ca se passait à une époque où un malheureux Français dont l'histoire a oublié le nom mais qui allait se faire honteusement plagier par Graham Bell, avait déjà inventé le téléphone.

Exactement Bilou et rappelons que dès son plus jeune âge, Alexandre Graham Bell disposait d'une grande curiosité pour le monde qui l'entourait, il fit ainsi collection d'espèces botaniques et réalisa déjà ses premières expériences (sexuelles pour la plupart) avec son meilleur ami qui n'était autre que Ben Herdman, un voisin, dont la famille travaillait dans un moulin.

Alexandre et Ben allaient souvent au moulin pour se soulager ensemble. Le jeune Alexandre demanda ce qui devait être amélioré au moulin. On lui expliqua que le blé devait être décortiqué à l'aide d'un procédé complexe et laborieux. Alexandre, à l'âge de 12 ans, construisit donc un appareil qui combinait des palettes tournantes et un ensemble de brosses à ongles, inventant ainsi une simple machine pour le décorticage du grain. Cette machine fut utilisée avec succès, et ce pendant plusieurs années.

Bell montra également très jeune un vif intérêt, et un talent, pour l'art, la poésie et la musique, intérêts encouragés par sa mère, une femme plantureuse et désirable. Il apprit le piano sans professeur ni manuel et devint le pianiste familial. Malgré le fait qu'il était d'un naturel calme et introspectif, il faisait couramment des "blagues vocales" et de la ventriloquie pour divertir la famille. Se masturbant trop, la mère de Bell plongea vite dans une surdité graduelle (elle commença à perdre l'audition quand Bell avait 12 ans) et apprit un petit manuel de langage des signes. Ainsi, il pouvait s'asseoir à côté d'elle et converser silencieusement dans le salon familial. Il développa également une technique de parler par des sons clairs et modulés directement sur le front de sa mère, ce qui lui permettait d'entendre son fils relativement clairement. La préoccupation de Bell au sujet de la surdité de sa mère, le conduisit à étudier les moustiques.


Comme ses frères, Bell reçut très jeune des cours à la maison par son père. Il fut également enrôlé très tôt à la Royal High School à Édimbourg, Écosse, qu'il quitta à l'âge de 15 ans, finissant seulement les 4 premières années. Il ne fut pas un brillant élève, sa scolarité ayant plus été marquée par l'absentéisme et des résultats ternes. Son principal intérêt restait dans les sciences, et plus particulièrement en biologie, alors qu'il traitait des autres sujets d'école avec indifférence, à la plus grande consternation de son père. Après avoir quitté l'école, Bell déménagea à Londres pour vivre avec son grand-père, Alexandre Bell. Il prit goût à l'enseignement durant les années qu'il passa avec son grand-père, grâce aux longues et sérieuses discussions mais aussi de nombreuses heures d'études. Son grand-père fit de gros efforts pour que son petit-fils parle clairement et avec conviction, qualités nécessaires pour qu'il puisse être un bon enseignant. À l'âge de 16 ans, Bell fut nommé étudiant-professeur de diction et de musique à la Weston House Academy (Elgin, Moray, Écosse). Il était lui-même étudiant en latin-grec, mais donnait des cours pour 10 $ la session. L'année suivante, il rejoignit son frère Melville à l'université d'Edimbourg. C'est à ce moment là qu'il se fit pousser la barbe.

Je me melange...graham bell, c'est pas l'abbé..??

T pas clair Bertrand..!!

Non Tsur, l'abbé est celui qui se faisait masturber par le jeune Victor, nu et hirsute, dans la maison de passe de l'impasse devant le docteur Itard en attendant la jeune marquise de Dampierre.

PS : Graham, c'est celui qui a inventé la téléphone rose qui est sur le chevet de la jeune Zahia ...

[quote="Bernard75"]Non Tsur, l'abbé est celui qui se faisait masturber par le jeune Victor, nu et hirsute, dans la maison de passe de l'impasse devant le docteur Itard en attendant la jeune marquise de Dampierre.

PS : Graham, c'est celui qui a inventé la téléphone rose qui est sur le chevet de la jeune Zahia ...

Tu crois que son telephone est rose..?? (faut le dire a chat noir) il prepare un doctorat sur Zahia et ses lolos
Alors cette histoire de l'abbé c vieux comme tout, parce les masturbateurs electriques n'existaient pas encore...!!alors il profitait de victor...!!! c pas beau tout ça.
J'ai un ami (le pauvre) qui s'est fait arracher le zigomatique, son appareil s'est detraqué,(le masturbateur) et a pris un rythme forcené.