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 JERUSALEM MISE AU POINT

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MessageSujet: JERUSALEM MISE AU POINT   JERUSALEM MISE AU POINT Empty20/5/2010, 14:26


Jérusalem doit elle être divisée de nouveau ?







La Commission d’enquête des Nations Unies ( U.N.S.C.O.P.) proposa, et L’O.N.U. adopta, le 29 novembre 1947, un plan de partage du mandat britannique sur ce qui restait de l’ancienne province ottomane,



( la plus grande partie – la Transjordanie – ayant été préalablement attribuée par les anglais à un émir « descendant du prophète » ),

entre un territoire juif et un territoire arabe.

Ce plan prévoyait un statut de « Territoire international » pour Jérusalem, cela afin de ne pas diviser la ville, car :

- une ville divisée perd son intégrité, avec barrières et « no man’s land » en son sein, alors que la fonction d’une ville est plutôt de réunir les populations,

- et les conditions de vie sociale, culturelle et économique des habitants se dégradent, lorsqu’ils se heurtent quotidiennement à une frontière en pleine ville.

Les juifs acceptèrent le partage proposé, sans réserve, y compris le statut de « Territoire international » pour Jérusalem, la population, majoritairement juive, devant être consultée au bout de 10 ans.



Jérusalem divisée et interdite aux juifs :

JERUSALEM MISE AU POINT 1948-a_-rabbi-sepharade-tentant-de-negocier-la-reddition-des-juifs-de-jerusalem_-juin-48
Un Rabbi sépharade de Jerusalem supplie de négocier le départ des Juifs dans les parties occupées par la Légion arabe
http://www.aschkel.info/article-jerusalem-1948-l-expulsion-des-juifs-par-les-troupes-arabes-37734209.html




C’est la partie arabe qui refusa le partage équitable, par les Nations Unies, du mandat britannique en deux états souverains, ainsi que le statut international pour Jérusalem.

Elle prit la responsabilité d’engager des hostilités, le 15 mai 1948, lendemain de la proclamation de la naissance de l’état d’Israël, en attaquant les juifs, simultanément, du nord (Liban, Syrie), du sud (Egypte) et de l’est (Irak, Transjordanie)..

Les jordaniens bombardèrent Jérusalem.

JERUSALEM MISE AU POINT 1948-e_-employes-de-la-croix-rouge-aidant-les-refugies-juifs_-jerusalem_-j-phillips


Des employées de la Croix Rouge aident les réfugiés juifs



Il s’ensuivit une guerre cruelle (plus de 6 000 morts israéliens, civils et militaires, et plus de 2 000 soldats arabes tués) avec une ligne d’armistice, du 24 février 1949, divisant la ville de Jérusalem.


De 1949 à 1967, la Jordanie administra la partie est de la ville, y compris le quartier juif :

- toutes les synagogues, 58 au total, furent saccagées et démolies, dont les grandes synagogues anciennes « Hurva » et « Tiferet Israël », dont les vastes coupoles dominaient le quartier juif,

- les prisonniers juifs de Jérusalem furent décapités et leurs têtes coupées promenées au bout de piques dans la vieille ville,

- le mur « des lamentations », seul vestige du Temple, vénéré par les juifs, fut transformé en dépôt d’ordures,

- les cimetières juifs furent profanés et les pierres tombales anciennes utilisées pour des latrines, etc..

- et l’accès à la vieille ville sous administration jordanienne fut strictement interdit au juifs qui, majoritaires dans la vieille ville avant les combats, en avaient été tous chassés ou massacrés.

JERUSALEM MISE AU POINT Synagogue_Tiferet_Israel
S
ynagogue Tiféret Israel dans la vieille ville (photo datant de 1940 environ)

JERUSALEM MISE AU POINT Sefer_Hamakneh

Contrat d'acquisition 1872

JERUSALEM MISE AU POINT Tiferet_ceiling
I
ntérieur de la synagogue

JERUSALEM MISE AU POINT Tiferet_dome



Jérusalem réunifiée, avec garantie universelle de liberté des cultes :



En juin 1967, Nasser proclama la victoire imminente contre Israël et réussit à convaincre le roi Hussein d’attaquer, pour achever « d’anéantir l’entité sioniste ».

Les Israéliens, qui venaient en fait de détruire l’aviation égyptienne au sol, repoussèrent l’attaque jordanienne, en subissant de lourdes pertes car ils s’abstinrent d’utiliser bombardements et armes lourdes contre la Ville Sainte.

Au cessez le feu du 10 juin 1967, la ville était réunifiée, sous administration israélienne.



Depuis, les lieux de culte de toutes les religions ont été strictement préservés, chrétiens et musulmans pouvant y accéder librement, à condition de bien vouloir s’abstenir de jeter des pierres sur les juifs en prière au mur « des lamentations ».

Contrairement aux musulmans et aux chrétiens, les juifs ne font aucun prosélytisme : ils respectent les croyances des autres, au point que les Bahaïs, par exemple, sauvagement persécutés en Iran, ont édifié leur temple majeur à Haïfa, en Israël.

JERUSALEM MISE AU POINT Asia.1162236780.tn_dscf7631
Temple Bahaî à 'Haifa


Israël est le seul pays du Moyen-Orient ou la population chrétienne soit en progression démographique constante.

La liberté des cultes est donc garantie dans Jérusalem sous administration israélienne, alors qu’elle ne l’était absolument pas sous administration jordanienne.

Pourtant, les milieux chrétiens, qui n’ont formulé aucune objection, de1949 à 1967, contre l’administration profanatrice, brutale, intolérante et exclusive par les jordaniens, contestent l’administration israélienne offrant une garantie universelle des cultes, depuis 1967.



L’église a une longue histoire d’intolérance et de violence : le Pape Jean-Paul II a pourtant enfin demandé pardon pour les crimes de l’église, pardon qui ne pourrait cependant être accordé que par les innombrables victimes des persécutions (Le roi Louis IX, « Saint-Louis », qui fut canonisé par le pape en 1297, se vantait, quand il rencontrait un juif, de lui planter aussitôt son épée « dans le ventre »), inquisitions, autodafés, déportations, pogromes - dont celui de Kielce, dans la très catholique Pologne, en 1946, contre les survivants de la Shoah !! - victimes qui ne sont plus là pour pouvoir pardonner…

JERUSALEM MISE AU POINT JEAN%20PAUL%20II
Le pardon de Jean Paul II


Serait-ce pour cela qu’elle accepte encore pour l’instant mieux l’Islam intolérant, qui règne déjà brutalement sur l’autre moitié de la planète, que le Judaïsme de la démocratie, de la liberté et de la justice ?



Ibn Khaldoun lui même affirme la nature totalitaire de l’islam et l’apport de la laïcité par les juifs :

Dans la communauté musulmane, la guerre sainte est un devoir religieux, parce que l’islam a une mission universelle et que tous les hommes doivent s’y convertir de gré ou de force……Les autres communautés….n’ont pas l’obligation de dominer les autres nations, comme dans l’islam….Les responsables religieux n’y sont en rien concernés par les affaires du gouvernement…..C’est pourquoi les Israélites, après Moïse et Josué, ne s’intéressèrent guère aux affaires du pouvoir pendant près de quatre cents ans, ayant pour unique souci d’établir leur religion….

Muqaddima,III (La Pléiade).



Pourquoi les milieux chrétiens, et la gauche « progressiste » européenne préfèrent-ils une administration musulmane exclusive et intolérante sur Jérusalem (de 1949 à 1967) à une administration israélienne respectueuse de tous les cultes (depuis 1967) ?


Une capitale pour les « palestiniens » ?





En 1949, à l’issue des combats, l’Egypte occupa la bande de Gaza et la Jordanie annexa la Cisjordanie.

Il n’était alors pas question d’un état palestinien, qui n’a d’ailleurs jamais existé dans l’histoire (les « palestiniens » s’abstenant de toute revendication nationale, lors de l’Empire ottoman ou du mandat britannique qui suivit, ni enfin lors de l’occupation par l’Egypte de la bande de Gaza et par la Jordanie de la Cisjordanie), ni à fortiori d’une capitale palestinienne à Jérusalem : on ne commença à parler des palestiniens, et de leur grand besoin d’une capitale, qu’après juin 1967, après la cuisante défaite militaire de Nasser et du roi Hussein, lorsqu’il s’agit de trouver de nouveaux prétextes et de nouvelles méthodes pour nuire à l’Etat juif.



Il existe 22 états arabes, avec de très nombreuses capitales dont les juifs ont été persécutés ou chassés, Damas, Bagdad, le Caire, Sanaa, Tripoli, Constantine, Alger, etc… en commençant par Médine, ville juive dont les hommes ont été massacrés et les femmes réduites en esclavage par le prophète Mahomet lui même.

JERUSALEM MISE AU POINT 1Quraydha


Le massacre des juifs de Médine par le prophète Mahomet

Pourquoi alors contester la souveraineté Israélienne sur Jérusalem, ancienne capitale du roi David, et insister pour que la ville soit divisée à nouveau, en revenant à la situation inacceptable d’avant 1967 ?



Un statut international peut-il être sérieusement envisagé, après les échecs à répétition de l’O.N.U. pour éviter les massacres et génocides ?

Les Israéliens peuvent-ils accepter une administration de la ville par l’O.N.U., après son retrait instantané du Sinaî, ordonné par un U Thant docile et empressé, en juin 1967, pour permettre une « invasion » programmée d’Israël par les 900 blindés de Nasser, massés à sa frontière sud ?


Le rôle de l’Europe





L’Europe moderne démocratique proclame l’état de droit, la liberté, l’égalité, la laïcité, le respect des droits de l’homme …

La démocratie y a été conquise en rupture contre l’injustice, les privilèges et l’obscurantisme, par une révolte contre le féodalisme et son soutien constant par l’église.

L’enseignement séculaire et révoltant, par l’église, du mépris et de la haine des juifs aurait-il pourtant laissé des traces si profondes que l’Europe ne puisse supporter une administration Israélienne sur Jérusalem, au risque d’encourager le jusqu’au boutisme, le terrorisme, la guerre, contre toute logique, contre toute justice, toute vérité historique?

Chaque fois que la « communauté internationale », et au premier chef l’Europe, intervient pour contester aux israéliens le droit d’établir leur capitale à Jérusalem, pour appuyer l’idée :

- d’une partition de Jérusalem, rendant la ville invivable,

- ou d’un retour de « réfugiés » arabes en Israël, pour remettre en question son caractère de foyer national juif,

- ou d’une restitution du Golan à la Syrie, pour une reprise des canonnades contre Israël,



ou pour condamner Israël pour s’être défendu contre des tirs de roquettes ou des attentats suicides, par l’érection d’une barrière de sécurité ou par des opérations militaires, elle rend aux « palestiniens » et aux nombreux apôtres de la haine qui abondent dans trop de mosquées, et pour qui les juifs sont « les frères des singes et des porcs », l’espoir d’isoler Israël, pour le détruire un jour, et les stimule dans leurs propagandes haineuses et leurs entreprises terroristes violentes.



La diplomatie européenne, si elle veut contribuer à l’établissement de la paix au moyen orient, ne devrait-elle pas leur rappeler constamment la vérité, même si les juifs ne sont qu’une poignée et les musulmans plus d’un milliard, car le nombre ne fait pas le droit :



- qu’il n’est pas bon qu’une ville soit divisée,

- que ce sont les arabes qui ont refusé le statut international proposé par l’ U.N.S.C.O.P., avec Jérusalem indivise, en provoquant la guerre de 1948,

- que l’administration musulmane sur la vieille ville de Jérusalem a eu sa chance, de 1949 à 1967,

- que le bilan de vandalisme et de barbarie n’en est pas acceptable,

- que c’est la Jordanie, intoxiquée par Nasser, qui a provoqué la situation nouvelle sur Jérusalem, en attaquant, en 1967,

- que les pertes ont été lourdes du coté israélien, pour repousser l’attaque jordanienne et libérer la ville,

- que la situation actuelle est satisfaisante, avec ville unifiée, état de droit et garantie effective de la liberté de culte pour tous.



et aussi :



- que les 22 états arabes devraient enfin accueillir et intégrer les réfugiés arabes de la guerre de 1948/49, guerre décidée et voulue par ces mêmes états, comme l’état d’Israël a accueilli les réfugiés juifs que les états arabes ont injustement menacés, spoliés, et expulsés,

- qu’Israël, comme tout pays attaqué, a tout à fait le droit de défendre son territoire et ses citoyens : il faut que cessent les vaines et cruelles provocations et la propagande haineuse et interminable,

- que la dictature Syrienne a abusé pendant des années, jusqu’en 67, de sa position stratégique sur les hauteurs du Golan en canonnant systématiquement les cultivateurs et les villages israéliens en contrebas,

- que les israéliens ont versé beaucoup de sang, en 67, pour faire définitivement taire ces canons,

- que le Golan est peuplé de Druzes qui n’ont pas envie de retomber sous le joug sanguinaire de la dictature syrienne, et dont beaucoup ont choisi la nationalité israélienne,

- que la situation actuelle au Golan est satisfaisante et qu’il n’y a rien à y changer,

- et enfin que la Syrie devrait plutôt s’abstenir de perpétrer des attentats cruels contre les libanais si elle ne veut pas s’exposer aux pires désagréments.



Si l’Europe avait la sagesse et le courage de dire la vérité aux « palestiniens » et à leurs « amis » de Damas, de Téhéran et d’ailleurs, et de leur faire perdre une bonne fois pour toutes l’espoir de détruire Israël, ils se mettraient peut être alors enfin en tête de construire une économie, une agriculture, une industrie, un système éducatif, hospitalier, judiciaire, un réseau d’assainissement, un état de droit, une démocratie, pourquoi pas, tout un travail patient et créatif, au lieu de passer leur temps à brandir des kalachnikov en hurlant et en rêvant de razzias et de mises à sac de Tel Aviv.

Cela leur rendrait un fier service.

Ce n’est pas être un « ami » des palestiniens ni des arabes que de les encourager dans une négation mortifère de la vérité, de l’histoire et du droit.



Les députés européens « verts » Luisa Morgantini et Hélène Flautre, par exemple, se présentant comme des « redresseurs de torts universels », organisent des évènements mensongers stigmatisant systématiquement Israël, et présentant les « palestiniens » comme de pauvres victimes innocentes d'Israel. Elles encouragent la « résistance », l’espoir d’une « disparition » d’Israël, en fait le terrorisme. Elles sont les pires ennemies de tous les habitants de la région, juifs et arabes, qui auront ensuite à souffrir d’une instabilité qu’elles contribuent activement à entretenir depuis la sécurité de leurs bureaux confortables de Bruxelles et Strasbourg.

Pourquoi font elles cela ? En fait, Luisa Morgantini et Hélène Flautre, ignorantes donneuses de leçons, sont tout simplement aveuglées par des relents persistants d’antisémitisme inavoué (antisémitisme sectaire « de gauche », les juifs étant considérés comme « capitalistes, colonisant le monde…» alors que l’antisémitisme d’extrême droite considère, lui, les juifs comme des « bolcheviques, agents subversifs… »).

JERUSALEM MISE AU POINT LuisaMorgantini

Louisa Morgantini
JERUSALEM MISE AU POINT Flautre_carre




















Hélène Flautre





On a vu, après Munich en 1938, et la démarche de Chamberlain et Daladier, comment les tentatives d’apaisement des enragés menaient inévitablement à la guerre.


L’abandon et le sacrifice de la Tchécoslovaquie, au lieu d’assurer la paix, comme escompté par les pacifistes, a apporté le déshonneur et la guerre, comme Churchill l’avait prévu.

L’Europe a-t-elle appris quelque chose ?



Pourquoi ne pas plutôt dire et défendre à tout prix la vérité, puisqu’elle seule débouchera enfin sur la paix ?
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MessageSujet: Re: JERUSALEM MISE AU POINT   JERUSALEM MISE AU POINT Empty21/5/2010, 22:04

Je n'ai pas eu le temps de te lire Tsur,je suis dans les enmerdes jusqu'au coup .

Sache que le sort de Jérusalem en 48 est le seul qui a dépendu du sort des armes réelement ,puisque le Roi Hussein de Jordanie c'était déjà arrangé avec Golda Meir sur "tout le retyse",et "tout le erste " c'est en particulier les palestiniens .

Alors quand on me dit que les palestiniens peuvent retourner chez leurs "frères",
je me demande :quels frères ?
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MessageSujet: Re: JERUSALEM MISE AU POINT   JERUSALEM MISE AU POINT Empty21/5/2010, 23:29

La première expropriation territoriale palestinienne post 67 a été le terrain qui aujourd'hui sert de zone de priere aux juifs : tout le quartier (arabe) a été rasé laissant place à une esplanade .

Si il y avait eu indemnisation et relogement,passe encore .
Mais ici ca a été oublié ....

Ca en fait du terrain tout çà ....

JERUSALEM MISE AU POINT Pt26535
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MessageSujet: Re: JERUSALEM MISE AU POINT   JERUSALEM MISE AU POINT Empty21/5/2010, 23:49

Connais tu le pourcentage de Palestiniens vivant en Jordanie..?? qu'est ce que la Jordanie..??
5% uniquement des Palestiniens emigrés dans les pays arabes ont reçu la nationalité des pays
dans lesquels ils ont emigré, ils n'ont accedé qu'au statut d'emigrés soumis a de severes contraintes.

Qu'on fait les jordaniens du mur, ils l'ont reduit a un couloir de 3m de large, ils en ont chassé, tous les juifs, et ils en ont interdit l'acces a ceux qui voulaient s'y recueillir.
C un preté pour un rendu.
Pourquoi le fait d'avoir chassé des juifs de la vieille ville ne merite aucun dedomagement....??!!
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MessageSujet: Re: JERUSALEM MISE AU POINT   JERUSALEM MISE AU POINT Empty21/5/2010, 23:51

Si on commence à faire un inventaire,
la paix n'est pas pour demain ....
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MessageSujet: Re: JERUSALEM MISE AU POINT   JERUSALEM MISE AU POINT Empty21/5/2010, 23:53

TSUR a écrit:
Connais tu le pourcentage de Palestiniens vivant en Jordanie..?? qu'est ce que la Jordanie..??
5% uniquement des Palestiniens emigrés dans les pays arabes ont reçu la nationalité des pays
dans lesquels ils ont emigré, ils n'ont accedé qu'au statut d'emigrés soumis a de severes contraintes.



Ahhhh...
Tu vois ....
On avance .....

Les Palestiniens n'ont nulle part où aller,tu en attestes toi même ....
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MessageSujet: Re: JERUSALEM MISE AU POINT   JERUSALEM MISE AU POINT Empty22/5/2010, 00:07

Ungern a écrit:
TSUR a écrit:
Connais tu le pourcentage de Palestiniens vivant en Jordanie..?? qu'est ce que la Jordanie..??
5% uniquement des Palestiniens emigrés dans les pays arabes ont reçu la nationalité des pays
dans lesquels ils ont emigré, ils n'ont accedé qu'au statut d'emigrés soumis a de severes contraintes.



Ahhhh...
Tu vois ....
On avance .....

Les Palestiniens n'ont nulle part où aller,tu en attestes toi même ....

Mais ces gens veulent nous chasser d'ici ils le disent et redisent sans cesse, a la TV a la radio, que faut il faire...?? n'envisages surtout pas le partage du pays avec eux, j'ai deja vecu sous regime musulman, j'aime autant vivre avec mon glaive sous l'oreiller.
L'europe les accueillent leur donne des droits et des avantages sociaux qu'ils n'ont jamais eus et le resultat....Ils veulent regner partout ou l'on a ouvert les portes.
J'espere que tu n'auras l'indecence de me dire que c faux.
Je continuerais demain matin, je dois etre levé a 5h00 je vais a la peche.J'ai l'intention de manger du poisson frais a midi.
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MessageSujet: Re: JERUSALEM MISE AU POINT   JERUSALEM MISE AU POINT Empty22/5/2010, 00:22

http://www.upjf.org/documents/showthread.php?s=157dc4def2a8c1bd9a4683d2ab85b857&threadid=6130

[...]Avec la fin de la guerre d'Algérie, en 1962, la France voulut restaurer ses relations avec le monde arabe, et Israël pâtit de cette nouvelle politique. Israël se tourna alors vers les États-Unis, déçus des résultats de leur «politique arabe» dès 1958 (coup d'État baasiste en Irak, création de la République Arabe Unie, effritement du Pacte de Bagdad). La nouvelle relation américano-israélienne ne fit qu'élargir le fossé entre la France et Israël : la politique étrangère gaullienne, en se démarquant des Etats-Unis, se démarqua également de leur nouvel allié proche-oriental. Le divorce franco-israélien commença bien avant la Guerre des Six-Jours, mais il est clair que les résultats territoriaux de cette guerre fournirent à de Gaulle le prétexte idéal pour mener sa politique arabe jusqu'au bout.

Après la Guerre de Kippour, l'arme pétrolière arabe trouva, dans l'anti-américanisme gaullien, un allié dont les relations franco-israéliennes pâtissent jusqu'à aujourd'hui. La France se fit l'avocat international de l'Organisation de Libération de la Palestine (OLP) pour se démarquer des Etats-Unis et pour marquer des points dans le monde arabe. La France tomba dans le piège de l'OLP, et Israël est mal placée pour l'en blâmer : nous commîmes la même erreur, vingt ans plus tard.

Quel piège ? Celui que l'OLP tendit aux dirigeants et aux opinions publiques des pays occidentaux en 1974. Le but de l'OLP n'a jamais été d'établir un État palestinien aux côtés d'Israël, mais à la place d'Israël. Créée par Nasser en 1964 (trois ans avant la Guerre des Six Jours) afin de liquider Israël et de placer la Palestine sous la houlette de l'Égypte, l'OLP centralisa l'effort pan-Arabe de destruction d'Israël par la guerre totale. Cette stratégie s'avéra irréaliste avec la Guerre de Kippour : attaqué par surprise et de tous côtés pendant que son armée de réserve était loin du front, Israël finit par menacer Le Caire et Damas. D'où la «stratégie des étapes» qu'Arafat adopta, sur le conseil de son ami Ceausescu. «Vous devriez faire semblant d'abandonner le terrorisme», conseilla le dictateur roumain à son camarade. «L'Occident finira peut-être par vous croire.»

D'où l'adoption du «Plan des Étapes» par l'OLP, en juin 1974, un plan dont l'article 8 définit la création d'un État palestinien en Cisjordanie et à Gaza comme une étape nécessaire à la destruction d'Israël, et non comme un but en soi, ou une condition de paix. Le pouvoir a horreur du vide, et lorsque le Roi Hussein déclara son désengagement de la Cisjordanie, en 1988, Arafat déclara, à Genève, en décembre de la même année, sous la pression de Reagan et de Gorbatchev, qu'il renonçait au terrorisme et qu'il acceptait la Résolution 242 du Conseil de Sécurité de l'ONU. Cette déclaration était-elle sincère ? Le bras droit d'Arafat, Abu Ayad, rassura l'opinion publique arabe, loin des microphones et des caméras de «l'Occident» en déclarant au journal koweïtien, Al Watan, le 11 février 1989 : «La déclaration d'Arafat à Genève ne constitue pas une reconnaissance d'Israël.» Le terrorisme de l'OLP, quant à lui, continua de plus belle.

Mais Israël et les États-Unis finirent par croire Arafat, comme la France et le reste de ses partenaires européens (c'est sous la pression de la France que le Conseil des Ministres de la CEE adopta la Déclaration de Venise, en 1980, appelant à la reconnaissance de l'OLP par Israël). En 1993, un gouvernement israélien hésitant estima qu'Arafat était dans une voie sans issue. L'effondrement de l'Union soviétique et donc du soutien diplomatique et militaire de Moscou, l'immigration massive des Juifs soviétiques vers Israël, la victoire américaine contre l'Irak et la répudiation diplomatique de l'OLP par Washington, la cessation du soutien financier de l'Arabie saoudite et des pays du Golfe, l'établissement de relations diplomatiques entre Israël et trois alliés stratégiques de l'OLP (la Russie, la Chine et l'Inde), l'exclusion de l'OLP de la Conférence de Madrid - cette série d'événements ne devait-elle pas suffire pour convaincre Arafat qu'un accord avec Israël était sa dernière chance?

Arafat ne saisit pas la perche d'Oslo pour faire la paix mais pour reprendre la guerre : le jour même de la signature des Accords d'Oslo, le 13 septembre 1993, il déclara, dans une interview à la télévision jordanienne, que le but de ces accords était de mettre en œuvre le Plan des Étapes adopté par l'OLP en 1974. Le 10 mai 1994, à Johannesburg, Arafat déclara, que les Accords d'Oslo étaient la version moderne des Accords de Hudaibiya, signés entre Mahomet et la tribu Quraïte de La Mecque, en l'an 628 : une ruse signée en position de faiblesse afin de mieux vaincre l'ennemi dans le futur (Mahomet renia l'accord deux ans après sa signature et élimina ses ennemis). Arafat réédita cette analogie, le 21 août 1995, à l'Université Al-Azhar de Gaza, et le 15 mai 2002, face au Conseil législatif palestinien.

Faisal Husseini, un proche d'Arafat, qualifié de «modéré» par les médias occidentaux, confirma cette stratégie. Dans une interview accordée au journal égyptien Al-Arabi, en date du 24 juin 2001, Husseini admit que les Accords d'Oslo n'étaient qu'un «Cheval de Troie» destiné à faciliter la réalisation du but final de l'OLP, «qui continue d'être la libération de toute la Palestine, du Jourdain à la Méditerranée.» Abd El Aziz Shahian, Ministre palestinien de l'Approvisionnement, déclara dans une interview accordée au journal palestinien Al Ayyam, en date du 30 mai 2000, que les Accords d'Oslo n'étaient qu'une étape nécessaire à la réalisation du but final de la Charte de l'OLP. Othman Abu Arbiah, conseiller d'Arafat et Directeur général des Affaires nationales au sein de l'Autorité palestinienne, déclara au journal palestinien, Al-Hayat Al-Jadida, le 25 novembre 1999, que, pour l'OLP, l'établissement d'un État palestinien en Cisjordanie et à Gaza n'était qu'une étape nécessaire à l'établissement d'un État palestinien dans «toute la Palestine».

La liste est plus longue, mais le message - exclusivement diffusé en arabe dans les médias arabes - est clair. Et ce message s'est traduit dans les faits. Dès son entrée à Gaza, en mai 1994, Arafat constitua une force de «police» cinq fois plus grande que celle prévue dans les Accords d'Oslo, importa des armes explicitement prohibées par ces accords, collabora avec le Hamas, en violation flagrante des mêmes accords, et institua un système d'endoctrinement antisémite dans les médias et les écoles, un système qui nie toute légitimité à Israël et qui glorifie la mort, le sacrifice et le «martyre» (shahada). De fait, le terrorisme de l'OLP ne fit que croître après l'entrée d'Arafat à Gaza : 161 Israéliens en furent victimes entre mai 1994 et mai 1996 (fin du gouvernement Pérès). En juillet 2000, à Camp David, et en janvier 2001, à Taba, Arafat rejeta l'offre de créer un État palestinien sur 100% de la Bande de Gaza, 97% de la Cisjordanie et avec Jérusalem pour capitale, parce qu'Israël exigea, en retour, la fin du conflit, et refusa le suicide démographique euphémiquement exprimé par l'expression «droit au retour». Arafat répondit par une guerre qui a fait plus de neuf cents victimes israéliennes en trois ans (l'équivalent, proportionnellement, de neuf mille victimes françaises). Il ne fit que suivre l'exemple de son prédécesseur et héros, Hadj-Amin Al-Husseini, qui répondit aux plans de partage de 1937 et de 1947 par le terrorisme et l'appel au djihad. [...]
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Ungern

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MessageSujet: Re: JERUSALEM MISE AU POINT   JERUSALEM MISE AU POINT Empty22/5/2010, 00:24

Mais tu confonds tout .

Moi je suis pas pour qu'on les accepte .

Je suis pour qu'on leurs foutte la paix et qu'on leurs rende ce qui leurs est du .

Pour le reste,ils se démerdent,et ils viennent surtout pas m'enmerder !
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MessageSujet: Re: JERUSALEM MISE AU POINT   JERUSALEM MISE AU POINT Empty22/5/2010, 00:26

Qu'est ce que tu racontes Tsur ?

Arafat n'a jamais pactisé avec le Hamas;
le Hamas c'est son ennemi juré !.
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MessageSujet: Re: JERUSALEM MISE AU POINT   JERUSALEM MISE AU POINT Empty22/5/2010, 13:54

Ungern a écrit:
Mais tu confonds tout .

Moi je suis pas pour qu'on les accepte .

Je suis pour qu'on leurs foutte la paix et qu'on leurs rende ce qui leurs est du .

Pour le reste,ils se démerdent,et ils viennent surtout pas m'enmerder !


Ce qu'ils demandent..OK c quoi, tu en as une idée..!!
Si tu as l'indulgence de me dire ce qu'ils veulent....VRAIMENT...
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Ungern

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MessageSujet: Re: JERUSALEM MISE AU POINT   JERUSALEM MISE AU POINT Empty22/5/2010, 14:49

TSUR a écrit:

Si tu as l'indulgence de me dire ce qu'ils veulent....VRAIMENT...

Pourt 99 % d'entre eux :

La Cisjordanie .
La moitié de Jérusalem,
La Bande de Gaza.
L'argent du Custodian .

Pour le % restant ils veulent toute la pPalestine mandataire cad avec la Jordanie,un bout de la Syrie et du Liban .

Mais ce même souhait est aussi le souhait de 1 % de jufs ... JERUSALEM MISE AU POINT Icon_clown
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