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Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
Sujet: Bernard Tapie 9/6/2010, 09:39
Rappel du premier message :
Bernard Tapie au PRG: "la presidentielle n'est pas le but qui m'anime"
AFP, Mise a jour : 09/06/2010 07:08
Bernard Tapie a déclaré que son retour chez les radicaux de gauche ne signifiait pas qu'il serait candidat à l'élection présidentielle de 2012, dans un entretien publié mercredi par Libération.
L'ancien ministre de la Ville de François Mitterrand précise en outre qu'il ne participera "en aucune façon" à une primaire de la gauche tout en étant "à fond pour le principe de la primaire ouverte".
A propos de son retour au sein du Parti radical de gauche (PRG), Bernard Tapie a souligné qu'il ne s'agit "de rien d'autre qu'une volonté personnelle".
Auteur
Message
EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Date d'inscription : 03/11/2008
Sujet: Re: Bernard Tapie 21/12/2012, 00:24
24 -
Citation :
Bernard Tapie l'incorrubmersible (portrait)
Je reconnais l'endroit où a été prise la photo, c'est à l'entrée de Nice-Matin, qui grâce son nouveau boss pourra porter sans rougir son sobriquet habituel usité entre Countatiens éclairés : Nice-Catin.
Avez-vous remarqué que le chauffeur de Sale est une chauffeuse ?
Autre scoupe, le canard niçois compte 630 personnels sur 1200 qui possèdent 25% des actions au sein d'une Société coopérative de main d'œuvre (SCMO, une Scop pour les affranchis), une structure juridique originale. Elle défend ses ouvriers et n'hésite pas à ester en justice pour faire plier les patrons. Un de nos amis ici pourrait en témoigner d'après les archives du Palais suivantes :
Citation :
26 novembre 1987Cour de cassation, Chambre sociale, du 26 novembre 1987, 86-13.760, Inédit Rejet
LA COUR DE CASSATION, CHAMBRE SOCIALE, a rendu l'arrêt suivant :
Sur le pourvoi formé par la société anonyme NICE-MATIN, dont le siège social est à Nice (Alpes-Maritimes), ...,
en cassation d'un arrêt rendu le 10 janvier 1986, par la cour d'appel d'Aix-en-Provence (2ème chambre civile) au profit :
1°/ de Monsieur André X..., demeurant à XYZ...,
2°/ de la COOPERATIVE DE MAIN D'OEUVRE NICE MATIN, société anonyme dont le siège social est à Nice (Alpes-Maritimes),
Attendu que blalabalabala...
Attendu que ces demandes déposées plus de deux mois après la signification du mémoire du demandeur sont tardives au regard de l'article 982 dudit code et sont dès lors irrecevables ; PAR CES MOTIFS :
REJETTE le pourvoi ; REJETTE la demande de M. X...
Ce n'est pas de bol pour un pro de la procédure.
andre
Nombre de messages : 7219 Localisation : Fluctuante Date d'inscription : 08/09/2010
Sujet: Re: Bernard Tapie 22/12/2012, 07:22
Je me demande bien pourquoi tous ces cons qui pensent et qui gouvernent, s'acharnent ainsi sur notre Nanard ... Ca doit être de la jalousie maladive parce qu'il est beau, parce qu'il est malin, parce qu'il a des couilles, parce qu'il chante bien ...
Vous voyez ce que ça donne de confier les clefs de la maison à tous les cons précités !
Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
Sujet: Re: Bernard Tapie 26/12/2012, 07:51
Match Tapie Montebourg : l'intervention de l'Etat dans une transaction privée peut-elle se justifier ?
Dans une interview au JDD, Bernard Tapie affirme qu'il détient un enregistrement audio prouvant que le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a tenté de s'opposer à son rachat des journaux du pôle sud du Groupe Hersant Médias (GHM).
Alors que Bernard Tapie a racheté le Pôle Sud du groupe Hersant Média, dont le journal La Provence fait partie, l'homme d'affaire a précisé qu'Arnaud Montebourg, le ministre du Redressement productif, aurait essayé de bloquer l'opération, ce que réfute l'exécutif. Le député socialiste Patrick Mennucci, demande même la création d'une commission d'enquête parlementaire. De manière générale, l'Etat doit-il intervenir dans le cadre d'une transaction privée, en particulier lorsqu'il s'agit de médias, c'est à dire d'un contre-pouvoir ? L'Etat ne doit-il pas cependant veiller à la pluralité et à une faible concentration dans le secteur des médias ? Aurélien Véron : Le rachat du Pôle Sud par Bernard Tapie n’est pas politiquement anodin. Mais la liberté de la presse est d’autant mieux respectée que les pouvoirs publics ne s’en mêlent pas… et ne faussent pas la concurrence en privilégiant trop lourdement les médias publics. Contrairement à l’idée dirigiste qu’un média public est plus indépendant qu’un média privé, nous observons tous comment chaque pouvoir politique successif pèse sur ses nominations et sa ligne. L’impact éditorial privilégie au mieux les journalistes respectueux du pouvoir, qui ne posent pas trop de questions sensibles, qui n’insistent pas. Au pire, il amène des amis du pouvoir aux postes décisionnels afin de taire les dissidences éditoriales… et les humoristes trop décapants.
La crainte du pouvoir, qu’il soit local ou national, c’est la pugnacité des journalistes à chercher l’erreur, à dénicher un scandale, à révéler l’incompétence des élus et de leur administration. Parfois à faire campagne contre lui, contrairement aux organes de presse alliés qui, eux, ne le dérangent pas. Face aux pressions politiques, l’insoumission des médias est un art difficile, surtout si on admet qu’il n’y a pas d’information neutre. Le choix des sujets, leur angle et leur interprétation sont autant d’actes subjectifs dans la chaîne de l’information. Le seul contrepouvoir efficace et juste, c’est la multiplicité de l’offre médiatique.
Benjamin Dormann : Presse et pouvoir sont aujourd’hui beaucoup trop proches. Sous couvert de « veiller à la pluralité », l’Etat impose ses choix d’opinion à une presse docile, homogène et décrédibilisée. Patrick Mennucci ne demande pas une enquête parlementaire au nom du respect d’un principe, mais au nom d’une crainte personnelle pour son propre mandat local. Il est navrant de voir les titres des journaux : « Tapie rachète La Provence, preuve qu’il a des ambitions pour la mairie de Paris ». Le lien est évident pour tous. Un homme d’affaire de près de 70 ans se lance dans la presse, sans expérience, à des fins d’influence, selon les observateurs : voici ce qu’est le soi-disant contre-pouvoir en France.
Qu’a dit Mennucci d’un groupe de presse, Sud-Ouest, propriété d’un parlementaire ami, qui vote ses propres subventions ? Rien... Qu’a-t-il dit du rachat du Monde par Matthieu Pigasse, ancien directeur adjoint de cabinet du n°2 du gouvernement actuel (Laurent Fabius) ? Rien... Alors que ces élus ne viennent pas nous parler de principes. Il y a longtemps qu’ils les ont piétinés au nom de leurs ambitions personnelles...
Les manque de rentabilité de la presse et sa dépendance aux investisseurs et aides publiques est-elle problématique ? Aurélien Véron : Le financement et les réglementations de la presse ont engendré une addiction qui rend la mutation du secteur plus difficile. Le contenu attendu n’est plus le même avec la multiplication des médias indépendants sur le câble et sur le net. Qui se souvient du dernier scoop du Monde, pourtant une référence hors de nos frontières ? A côté, le « Pure Player » Mediapart est bien plus petit mais considérablement plus prolifique… et déstabilisant pour les dirigeants politiques et économiques du pays. Son succès prouve que l’indépendance redevient aussi primordiale que la qualité des contenus. L’Allemagne montre qu’avec 300 titres, la taille du lectorat n’est pas un problème pour une presse locale indépendante.
La presse d’investigation ne peut avoir de lien avec le pouvoir ou l’administration si elle veut rester un contrepouvoir efficace et craint. Elle ne doit dépendre que de ses clients, de ses annonceurs et de ses actionnaires. Sa liberté sera d’autant plus grande que ses concurrents seront nombreux et l’obligeront à se démarquer par des scoops et une information plus impertinente vis-à-vis des pouvoirs d’abord publics, mais également privés. Un actionnaire épargné par ses propres médias ne le sera pas par les concurrents avides de créneaux de tir dégagés.
Benjamin Dormann : La presse française est à un niveau de subventions inégalé dans le Monde. Plus de 20% de son CA. Plus de 50% pour certains titres, nationalisés de fait. Les chiffres officiels sont largement minorés, comme le prouve mon enquête « Ils ont acheté la presse », où figurent les vrais chiffres, avec détails.
Les journalistes eux-mêmes disent que c’est un problème, mais ils continuent à mendier des niches et avantages fiscaux pour leur corporation, sans le moindre scrupule, à commencer par Mediapart. Le débat est confisqué. Ils monopolisent la parole sur les plateaux télé et les ondes de radio, et ne supportent pas la critique. On entend que ceux qui ont conduit cette profession au bord du gouffre par leur incompétence, et leur incapacité à s’intéresser à leurs électeurs et à leur évolution.
Les médias français sont-ils plus dépendants du pouvoir politique par rapport leurs homologues européens ? Aurélien Véron : L’esprit de cour est particulièrement développé en France, contrairement aux autres pays occidentaux qui ne tolèrent pas pareille promiscuité. Le nombre de couples politique-journaliste illustre bien cette culture incestueuse. Elle entretient le silence autour des dérives et des frasques de nos élus. Combien de scandales financiers, électoraux et parfois même sexuels ont été tus par des journalistes directement informés ? La confiance en nos journalistes ne s’est pas érodée sans raison.
Les lois liberticides censées protéger l’intimité des personnes, notamment de nos élus, ont dressé pendant des décennies un autre mur autour de la vie des élus. Or, les scandales intimes ont un impact politique parfois lourd. On le savait depuis les écoutes illicites de Mitterrand, on le redécouvre avec les affaires DSK, le dossier Pulvar-Montebourg et les interventions de Valerie Trierweiler.
On imagine mal le pouvoir rétablir de lui-même un cadre favorable à la libre circulation de l’information dérangeante, sulfureuse, incontrôlable. C’est pourquoi l’évolution vient assez spontanément de la mutation du marché de l’information affranchi des anciens schémas. Des Pure Players aux sites pirates tels que Wikileaks, le monde est en train de s’émanciper des pouvoirs, de tous les pouvoirs. La France ne devrait pas faire exception. Une fois de plus, le marché l’emportera sur l’arbitraire du pouvoir. Pour le bien de tous, sauf de nos élus qui se croyaient protégés jusqu’ici.
Benjamin Dormann : Oui. La presse Européenne est subventionnée à 2 % de son CA en Europe, en moyenne, contre plus de 20% en France. Aujourd’hui, notre presse ne s’occupe plus d’informer, mais elle préfère raconter des histoires, au sens où elle accepte de relayer la scénarisation de la réalité, conçue les communicants.
Elle a ignoré les faits, méprisé ses lecteurs, critiqué l’internet, faute de réaliser que le monde avait changé. En manque d'idée et de talent, elle se lance dans une chasse aux coûts, dignes des plus médiocres contrôleurs de gestion.
En attendant, elle milite beaucoup trop politiquement, comme le montre les élections dans les écoles de journalismes où tous restent dans une détestation unanime du Sarkozysme et un rejet tripal du nationalisme. Dépendance du pouvoir politique, mais en plus inéquitablement partagée sur l’échiquier des opinions. On attend avec impatience de voir comment la ministre de la Culture va réorienter les aides vers les « journaux d’information citoyenne ». On croit déjà deviner le nom des futurs heureux gagnants de cette nouvelle distribution des prix ... on pourrait par exemple y retrouver les Inrockuptibles, qui fait désormais acheter son journal par des compagnies aériennes, faute de lecteurs
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: Re: Bernard Tapie 15/2/2013, 16:47
Affaire Tapie-Lagarde : les avocats contre la "tyrannie" des juges (L'Express - Par Eric Mettout, publié le 15/02/2013 à 11:36, mis à jour à 11:41)
Affaire Tapie - Selon Maître Charrière-Bournazel, le président du Conseil national des barreaux, les derniers rebondissements de l'affaire Tapie rallument la "guerre civile" entre les juges d'instruction et les avocats.
Maître Charrière-Bournazel, le président du Conseil national des barreaux, a trempé sa plume dans l'acide pour dénoncer l'acharnement des juges d'instruction à l'encontre des avocats et des arbitres de l'affaire Tapie, qui a bénéficié d'une décision favorable de Bercy en 2008.
Maître Christian Charrière-Bournazel est en colère - comme souvent : le président du Conseil national des barreaux, l'instance représentative des avocats, le fait savoir dans un éditorial envoyé ce vendredi à ses 55 000 confrères français. La raison de ce courroux? "La tyrannie de la suspicion" que feraient régner certains juges d'instruction sur sa profession, et qu'illustreraient les derniers rebondissements de l'affaire Tapie.
Les mots sont durs: "chasse aux sorcières", "outrage", "dogmatisme insupportable". En cause, notamment, les perquisitions effectuées aux domiciles et bureaux de Jean-Denis Bredin et Pierre Mazeaud, deux des trois arbitres qui ont accordé à l'ancien patron de l'OM des dommages et intérêts records pour clore son contentieux avec le Crédit Lyonnais.
Pire, selon l'ancien bâtonnier de Paris, ces perquisitions ont également visé les défenseurs du plaignant, qui "ont vu saisir leurs notes confidentielles et tout ce qui est couvert par le secret professionnel le plus absolu". Il tient à rappeler "les conditions strictes auxquelles il pouvait y être porté atteinte par la justice: ne peuvent être saisies que les lettres ou notes couvertes par le secret qui contiennent intrinsèquement des indices donnant à penser que l'avocat a pu participer à une infraction". "Ces principes ont été confirmés par la Cour d'appel et la Cour de cassation. Des juges aujourd'hui n'en ont cure", accuse-t-il.
Christian Charrière-Bournazel s'inquiète du retour d'une "guerre civile larvée", de ce qu'un "abîme est en train de se creuser à nouveau entre les juges professionnels et les praticiens libéraux".
Et de conclure, cinglant, que des "Fouquier-Tinville", pour qui "le libéral serait malsain tandis que le fonctionnaire serait pur", sont en train de sceller ainsi "notre déshonneur et notre ridicule".
Bernard Tapie : "J'ai vécu des trucs faux de A à Z avec Mediapart"
Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
Sujet: Tapie et le Crédit Lyonais ... la pluie de sous ... 13/4/2013, 17:26
Pour mon site http://montitanic.e-monsite.com
je travaille sur 2 volets distincts :
le 1° volet (25 %) permet de trouver des moyens de se sauver . Le 2 ) volet (75 %) permet de comprendre comment on c'est fait avoir ...
Ici : Tapie et le Crédit Lyonnais La pluie des indemnités finales ...
Citation :
Il y a l'affaire du Crédit Lyonnais,et il y a l'affaire Tapie et le Crédit Lyonnais,il y a l'affaire de l'indemnisation de tapie par l'Etat . Ce sont 3 choses distinctes .... et très intéressantes ....
Rappel de l'affaire :
1990 Bernard Tapie rachète Addidas . Pour réaliser cette opération, il bénéficie d'un prêt syndiqué de plusieurs banques, dont la Société de Banque Occidentale (SDBO), fililale du Crédit Lyonnais.
1993 : Bernard Tapie, qui vient de faire son entrée au gouvernement en tant que ministre de la ville, doit vendre Adidas, actif le plus important du groupe Bernard Tapie. Un mandat de vente est donné par Tapie au Crédit Lyonnais, alors établissement public et partenaire historique de l'homme d'affaires. C'est un groupe d'investisseurs emmenés par Robert Louis-Dreyfus qui rachète finalement Adidas pour 315,5 millions d'euros.
Le Crédit Lyonnais savait exactement ce qu'était Adiddas ;il avait financé l'achat d'Adiddas . Dans cette affaire, et dans les faits , le Crédit Lyonnais est à la fois quasi actionnaire (puisqu'il a le mandat de vente en main,donc il peut le racheter lui même et le vendre ensuite à un tiers) et vendeur. Profitant de cette situation, le Crédit Lyonnais achète à bas prix à Tapie (qui ne connaissait pas la vraie valeur d'Adiddas),puis revend Adiddas au prix fort à Louis Dreyfus : 701 millions d'euros soit le double de sa valeur d'achat ...).
La banque enfreint alors deux règles à respecter en tant que mandataire : elle aurait dû informer son client Bernard Tapie que son prix de vente était trop faible et elle ne pouvait pas, en théorie, acquérir Adidas, qu'elle était chargée de vendre.
1994 : Pour que Bernard Tapie ne puisse pas découvrir ce stratagème, le Crédit Lyonnais veut également s'assurer de la mise en faillite du groupe Tapie, ce qui lui permettra de saisir toutes les actions de la société et en devenir, ainsi, propriétaire à 100%.
1995 : Bernard Tapie réclame au Crédit Lyonnais les 229 millions de plus-value dégagés lors de la cession.
1996 : Le Tribunal du Commerce de Paris (TCP) condamne le Crédit Lyonnais à verser à Bernard Tapie une provision de 91,5 millions d'euros.
1998 : Toujours devant le TCP, Bernard Tapie réclame non plus 229 millions,mais 990 millions au Crédit Lyonnais pour "montage frauduleux" (et plus seulement "plu value illégale") . Mais le Crédit Lyonnais à l'époque,c'est l'Etat ....
2004 : La cour d'appel de Paris autorise une médiation entre Bernard Tapie et l'Etat pour un accord amiable.
2005 : Après des années de procédures et l'échec de la médiation, l'état condamne le CDR (chargé de liquider les actifs et passifs du Crédit Lyonnais), à payer 135 millions d'euros à Bernard Tapie.
2006 : La cour de cassation casse l'arrêt de la cour d'appel de Paris, ce qui annule de fait l'indemnisation de 135 millions d'euros.
2007 : Le CDR accepte la saisine d'un tribunal arbitral pour trancher l'affaire .
2008 : Le tribunal arbitral condamne le CDR à verser 285 millions d'euros à Bernard Tapie, dont 45 millions pour préjudice moral, + les intérêts ce qui fait une note de 400 millions d'€... Bercy annonce qu'il ne déposera pas (par CDR interposé) de recours contre la sentence,mais que Tapie ne touchera dans sa poche, et au final que 20 à 50 millions,le reste passant dans la liquidation du groupe Tapie et non dans la poche de Tapie .
2010 : Bernard Tapie,par la voix du Canard EnchaIné fait savoir quil va en fait toucher non pas 50 millions d'€ ,mais 210 millions de l'Etat .... Cette information avait alors provoque un tollé et des explications embarassées de la ministre de l'Economie Christine Lagarde, réfutant tout privilège fiscal.
L'indemnisation faramineuse de Tapie .
Selon l'opposition, Bernard Tapie aurait en fait bénéficié d'une procédure d'arbitrage en sa faveur en remerciement de son soutien à Nicolas Sarkozy lors de la campagne présidentielle de 2007.
La Cour de justice de la République (CJR) sur Christine Lagarde, alors directrice générale du FMI, engage une action pour "complicité de faux" et "complicité de détournement de biens publics" dans l'affaire Tapie-Adidas...
Un haut fonctionnaire ,dans une interview au "Monde", Bernard Scemama affirme avoir reçu des consignes claires de Stéphane Richard, alors directeur de cabinet de l'ancienne ministre de l'Economie, pour que la voie judiciaire soit abandonnée au profit d'un arbitrage privé dans le conflit qui opposait l'homme d'affaire Bernard Tapie à l'ancienne banque publique Crédit Lyonnais au sujet de la vente d'Adidas en 1993. Estimant l'indemnité accordée à Bernard Tapie "disproportionnée" (284 millions d'euros hors intérêts dont 45 millions au titre de préjudice moral), Bernard Scemama précise que "tous les actes aujourd'hui contestés ont été pris avec l'approbation ou à la demande de la ministre".
Pas de "feu vert de l'Elysée"
Stéphane Richard, aujourd'hui PDG de France Télécom, a rétorqué immédiatement dans les colonnes du "Journal du Dimanche" que l'Etat a opté pour un arbitrage privé afin de solder quinze de procédure,et insiste sur le fait qu'il n'y a jamais eu de feu vert de l'Élysée". Il signale aussi que les "compromis d'arbitrage" ont permis de ramener les demandes d'indemnisation de Bernard Tapie de 2 milliards d'euros à moins de 300 millions d'euros .
kalawasa
Nombre de messages : 10293 Localisation : En haut à droite Date d'inscription : 29/12/2012
Sujet: Re: Bernard Tapie 14/4/2013, 21:26
6000 € de préjudice moral : c'est la somme versée à une mère de famille pour le meurtre de sa fille qui a été violée , torturée et brûlée !
32 000 000 € de préjudice moral pour Bernard Tapie , somme allouée par une justice privée mise en place par le nabot magyar pour grapiller quelques voix radicales !
Merci Sarko grâce à toi , depuis ce jour , je ne vais plus voter!
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Sujet: Re: Bernard Tapie 15/4/2013, 02:18
Invité Invité
Sujet: Re: Bernard Tapie 15/4/2013, 02:38
le glominet il a mangé le p'tit titi.
Invité Invité
Sujet: Re: Bernard Tapie 15/4/2013, 02:40
y pourras plus parler comme ça.
Invité Invité
Sujet: Re: Bernard Tapie 15/4/2013, 02:52
je regrette seulement que mes parents n'aient pas été riche. car d’être riche en esprit ce n'est pas suffisant pour fréquenter les vrais riches.
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Sujet: Re: Bernard Tapie 15/4/2013, 03:45
Eric a écrit:
je regrette seulement que mes parents n'aient pas été riche. car d’être riche en esprit ce n'est pas suffisant pour fréquenter les vrais riches.
Je confirme
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Sujet: Re: Bernard Tapie 15/4/2013, 03:49
L"esprit ça ce vends tu?
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Sujet: Re: Bernard Tapie 15/4/2013, 03:54
Eric a écrit:
le glominet il a mangé le p'tit titi.
Ouais c'est un salopard de glominet
Invité Invité
Sujet: Re: Bernard Tapie 15/4/2013, 04:18
tu sait quoi ?
Invité Invité
Sujet: Re: Bernard Tapie 15/4/2013, 04:20
une fois je discutais avec un mec.
Invité Invité
Sujet: Re: Bernard Tapie 15/4/2013, 04:21
un mec qui est dans le commerce depuis bien longtemps et qui a le sens du commerce.
Invité Invité
Sujet: Re: Bernard Tapie 15/4/2013, 04:22
on discutait d'un projet de bar.
Invité Invité
Sujet: Re: Bernard Tapie 15/4/2013, 04:23
investissement de pauvre, tarifs accessibles aux pauvres etc... etc. bref... un bar accessible aux pauvres.
Invité Invité
Sujet: Re: Bernard Tapie 15/4/2013, 04:32
sauf que l’entrée était autorisé qu'au gens autorisés avec carte de membre. il n'avait peut-être pas envie que ce soit fréquenté par tout les pauvres. Et c’était attenant a son hôtel dont les tarifs sont accessibles aux pauvres.
Invité Invité
Sujet: Re: Bernard Tapie 15/4/2013, 04:33
en fait, un bar de riches.
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Sujet: Re: Bernard Tapie 15/4/2013, 05:00
Eric a écrit:
tu sait(s) quoi ?
Non, mais dit toujours
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Sujet: Re: Bernard Tapie 15/4/2013, 05:05
Et ???
Invité Invité
Sujet: Re: Bernard Tapie 15/4/2013, 05:09
ça n'a pas pu se faire. je suis pour l'ouverture totale. et le fusil a pompe pour euthanasier ceux qui sont pas heureux de vivre.