Les Cohortes Célestes ont le devoir et le regret de vous informer que Libres Propos est entré en sommeil. Ce forum convivial et sympathique reste uniquement accessible en lecture seule. Prenez plaisir à le consulter.
Merci de votre compréhension. |
|
| A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? | |
| | Auteur | Message |
---|
OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? 10/7/2010, 12:59 | |
| Faiseurs d'opinions, agitateurs professionnels, fouteurs de merde et j'en passe, il y a bien longtemps que les journalistes outrepassent le droit à l'information et font de la désinformation à tous les niveaux en exploitant les rumeurs.
Faut-il une loi pour leur claquer la gueule ?
Je pense que oui... histoire de leur rappeler leur métier. Ces parasites commencent sérieusement à nous emmerder ! | |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? 10/7/2010, 13:21 | |
| Ces lois existent déjà, ce sont celles qui s'appliquent à tous les citoyens, mais par une curieuse aberration les journalistes jouissent de privilèges qui les mettent au-dessus de ces lois... C'est à croire que la quatrième pouvoir est déjà au... pouvoir ! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? 10/7/2010, 14:37 | |
| les plaintes devraient être portées contre le journal mais également contre les jounralistes qui écrivent toutes ces balivernes sans preuve, ce qui obligerait peut être les journaleux à faire leur métier plus consciencieusement, faire des recherches et non pas colporter ce que Pierre a dit à Paul |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? 10/7/2010, 14:58 | |
| Suggestion : Que tous les organes de presse qui ont fait leurs choux gras en soulevant l’opinion publique contre un présumé innocent et qui l’était réellement, soient astreints d’office et sans qu’aucune injonction de justice ne soit nécessaire à ce qui suit : - Une estimation serait fait du bénéfice que cette opération aurait procuré au journal et serait versé par celui-ci à la personne innocentée.
- Annoncer l’acquittement en langage clair, pas juridique, et cela en y consacrant autant de lignes, de surface imprimée, d’éditions et sur des pages de même importance, que celles qui ont été consacrées à le condamner d’avance.
Bien entendu, cette logique serait d’application pour la presse audio-visuelle également. Je pense que ceci serait de nature à assainir certains aspects des us et coutumes de la Presse et à mieux protéger le citoyen contre ses abus. Enfin, les journalistes seraient considérés comme tout autre citoyen, sans les privilèges ni passe-droits qu'ils ont aujourd'hui. Ils ne pourraient pas calomnier, harceler, diffamer, comme ils le font aujourd'hui ; de même ils devraient accomplir le devoir de témoignage et d'indiquer leurs sources en justice au même titre que n'importe quel citoyen, peut-être sous autorisation judiciaire spéciale, comme pour les écoutes téléphoniques. | |
| | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| Sujet: Re: A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? 10/7/2010, 16:56 | |
| J'ai déjà demandé ce que dans l'affaire Bettancourt vous vouliez comme preuve , et personne n'a su me répondre .
Donc si vous ne voulez pas que la presse n'informe plus de rien du tout sans en avoir la preuve absolue, réfléchissez... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? 10/7/2010, 18:01 | |
| - Biloulou a écrit:
- Suggestion :
Que tous les organes de presse qui ont fait leurs choux gras en soulevant l’opinion publique contre un présumé innocent et qui l’était réellement, soient astreints d’office et sans qu’aucune injonction de justice ne soit nécessaire à ce qui suit :
- Une estimation serait fait du bénéfice que cette opération aurait procuré au journal et serait versé par celui-ci à la personne innocentée.
- Annoncer l’acquittement en langage clair, pas juridique, et cela en y consacrant autant de lignes, de surface imprimée, d’éditions et sur des pages de même importance, que celles qui ont été consacrées à le condamner d’avance.
Bien entendu, cette logique serait d’application pour la presse audio-visuelle également. Je pense que ceci serait de nature à assainir certains aspects des us et coutumes de la Presse et à mieux protéger le citoyen contre ses abus.
Enfin, les journalistes seraient considérés comme tout autre citoyen, sans les privilèges ni passe-droits qu'ils ont aujourd'hui.
Ils ne pourraient pas calomnier, harceler, diffamer, comme ils le font aujourd'hui ; de même ils devraient accomplir le devoir de témoignage et d'indiquer leurs sources en justice au même titre que n'importe quel citoyen, peut-être sous autorisation judiciaire spéciale, comme pour les écoutes téléphoniques. JE VOTE POUR |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? 10/7/2010, 18:08 | |
| - marieden a écrit:
- les plaintes devraient être portées contre le journal mais également contre les jounralistes qui écrivent toutes ces balivernes sans preuve, ce qui obligerait peut être les journaleux à faire leur métier plus consciencieusement, faire des recherches et non pas colporter ce que Pierre a dit à Paul
Marie ... parlez-vous de Paul ... le poulpe ? |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? 10/7/2010, 18:22 | |
| - Ungern a écrit:
- J'ai déjà demandé ce que dans l'affaire Bettancourt vous vouliez comme preuve ,
et personne n'a su me répondre .
Mais si, mais si, des preuves recebables en justice, pas des rumeurs et suppositions, émises un jour, démenties le lendemain. - Citation :
- Donc si vous ne voulez pas que la presse n'informe plus de rien du tout sans en avoir la preuve absolue, réfléchissez...
Entre les deux il y a l'information objective, vérifiée, vraisemblable, aux sources avouables car responsables ; ceci est très loin de la rumeur anonyme, non vérifiée car invérifiafle, de sources fantaisistes, dont le but clair est de démolir par la calomnie un homme, un système, un pouvoir mis démocratiquement en place. Bref, de s'ériger en quatrième pouvoir devenu le premier par des méthodes dignes des régimes communistes les plus abjects. | |
| | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| Sujet: Re: A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? 10/7/2010, 18:40 | |
| Mais si les preuves sont revables en justice,alors les gens doivent être condamnés .
Je suis bien placé pour vous dire qu'entre ce que je sais (sans l'ombre d'un doute ) et ce qui est susceptible de conduire à une condamnation il y a plus que le Grand canyon .... | |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? 10/7/2010, 18:54 | |
| - Ungern a écrit:
- Mais si les preuves sont revables en justice,alors les gens doivent être condamnés .
Ben oui, mais il faut d'abord les réunir et avant tout il faut encore qu'elles existent. Les "journalistes" n'ont ni le souci de l'existence de la preuve ni de l'ordre chronologique des choses. - Citation :
- Je suis bien placé pour vous dire qu'entre ce que je sais (sans l'ombre d'un doute ) et ce qui est susceptible de conduire à une condamnation il y a plus que le Grand canyon ....
Ca ne me surprend pas, c'est le même Grand canyon qui existe entre ce dont on est persuadé et ce qu'on peut prouver à des gens qui ne partagent pas cette... conviction. | |
| | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| Sujet: Re: A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? 10/7/2010, 19:25 | |
| Je vais arrêter ici cette discussion qui renifle bien la France Profonde "de droite" .
N'informons plus .
Laissons faire .
| |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? 10/7/2010, 19:46 | |
| - Ungern a écrit:
- Je vais arrêter ici cette discussion qui renifle bien la France Profonde "de droite" .
Hummm... ne ne devons pas utiliser le même antihistaminique, moi je trouve qu'elle sent plutôt, par-ci par-là, la démocratie populaire, les grandes confessions publiques, les condamnations sans preuves... - Citation :
- N'informons plus .
Laissons faire .
Taratata, tu prends la mouche ou tu parles au nom de Médiapart ? | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Pour un retour à un ministère de l'information et de la sensure. 11/7/2010, 11:00 | |
| - Biloulou a écrit:
- Ces lois existent déjà, ce sont celles qui s'appliquent à tous les citoyens, mais par une curieuse aberration les journalistes jouissent de privilèges qui les mettent au-dessus de ces lois...
C'est à croire que la quatrième pouvoir est déjà au... pouvoir ! Tu as raison trop c'est trop , ils cassent trop le buisness! Ce si honnête monsieur Woerth ? Déjà en 1992... Published on Rue89 ( http://www.rue89.com) Ce si honnête monsieur Woerth ? Déjà en 1992...By Julien MartinCreated 06/30/2010 - 20:51Photo : Eric Woerth lors d'une séance de questions à l'Assemblée le 29 juin 2010 (Philippe Wojazer/Reuters)« Ce sont des allégations totalement dénuées de fondement. Elles sont d'autant plus ridicules que je rappelle qu'en tant que ministre du Budget, j'ai mené une lutte acharnée contre l'évasion fiscale et les paradis fiscaux. » Au centre des accusations dans l'affaire Bettencourt, Eric Woerth continue de jouer la carte de l'honnêteté tout terrain, qu'il cultive depuis son entrée en politique. Une entrée en politique pourtant loin de s'être toujours déroulée dans les clous de la loi. Après plusieurs revers électoraux dans sa ville natale de Creil (Oise) au début des années 80, il met le cap vers une ville voisine bien plus à droite et entre au conseil municipal de Chantilly. Mais son mandat va se terminer beaucoup plus tôt que prévu. Par un arrêt du 26 janvier 1990, le Conseil d'Etat annule son élection. En cause, l'incompatibilité avec sa fonction de directeur général de l'ADO. ADO, trois lettres pour « Agence de développement de l'Oise », trois lettres qui auraient pu causer sa perte dès l'entame de sa carrière politique. « L'ADO exécute ses missions sans titre légal » [1]L'Agence et son directeur général se sont faits vertement épingler le 12 novembre 1992 dans un rapport définitif de la chambre régionale des comptes de Picardie, que Rue89 s'est procuré, comme Mediapart [2] et Le Canard Enchaîné [3]. Dès sa création en juillet 1986, son poids dans le département a immédiatement été important. Par une décision du 13 octobre de la même année, le conseil général de l'Oise confie à l'ADO « l'impulsion, la coordination et la cohérence de toutes les actions concourant au développement départemental », et en même temps l'ensemble des crédits d'interventions économiques de la collectivité locale. Illégal, tonne le tribunal administratif d'Amiens le 1er décembre 1987 : il est interdit de confier de telles attributions à une association régie par la loi de 1901. Attributions alors légèrement modifiées par le conseil général, mais insuffisamment. Ce que la chambre régionale des comptes ne manque pas de souligner : « C'est sans titre légal que, depuis la décision du tribunal administratif d'Amiens, l'ADO exécute les missions qu'elle remplit pour le compte du département et pour lesquelles elle reçoit une subvention du conseil général. »
« La gestion de l'ADO a été dispendieuse »Cette subvention « représente plus de 80% des ressources totales » de l'ADO, note encore la chambre. Et elle ne semble pas approuver la façon dont l'Agence dépensait l'argent public : « La chambre a en effet relevé que la gestion de l'ADO au cours de la période examinée avait été dispendieuse, pour des actions dont l'intérêt, dans le cadre de l'action économique du département, était souvent discutable, et dont la mise en œuvre était parfois improvisée. »
Il faut continuer de feuilleter le rapport pour avoir des exemples de ces actions à l'intérêt « discutable ». Plusieurs études et audits apparaissent suspects aux yeux de la chambre, qui y voit des « subventions indirectes ». Telle cette étude sur les brosses à cheveux, intitulée « analyse fine du marché et des comportements face à la brosse », co-financée par la Fédération française de la brosse et qui a coûté 57 876 francs à l'ADO. Plus délicates encore les dix-sept places réservées par l'ADO à un dîner organisé le 2 février 1988 en présence de Jacques Chirac, « quelques mois avant l'élection présidentielle », précise la chambre. L'ADO plaide le nécessaire lobbying entrepreneurial, mais la chambre ne se dit « pas convaincue », d'autant qu'elle « note que le remboursement de ces dépenses, qu'elle avait demandé, avait été effectué ». « Des augmentations accordées sans rigueur »L'argent du contribuable va aussi aller directement dans la poche d'Eric Woerth. La chambre pointe du doigt des augmentations de salaires des agents de l'ADO « accordées sans rigueur », notamment au directeur général : « Après deux augmentations de 25,7% et 18,9% intervenues en juillet 1987 et janvier 1989, le salaire brut mensuel de monsieur Eric Woerth a été porté de 23 400 francs en juin 1986, date de son recrutement, à 35 000 francs en janvier 1989. […] A cette rémunération mensuelle, il convient d'ajouter les trois primes de fin d'année de 23 400 francs, 29 418 francs et 29 418 francs, qui lui ont été versées au titre des exercices 1986, 1987 et 1988. Monsieur Eric Woerth disposait également d'une voiture de fonction, ce qui n'était pas prévu dans son contrat de travail. »
Au regard de la fonction de ministre de Budget qu'a ensuite occupée l'intéressé de 2007 à 2010, il est cocasse de lire la conclusion de la chambre sur ce point : « Elle tient à rappeler les termes de la circulaire du 1er février 1988 du ministre délégué chargé de la Réforme administrative et du ministre délégué chargé du Budget, adressée aux ministres et secrétaires d'Etat. »
« Une prime de départ de 175 000 francs »La chambre réserve enfin quelques banderilles aux conditions de départ d'Eric Woerth de l'ADO, en soulignant ses aspects juridiques, politiques et financiers : « Après l'arrêt du Conseil d'Etat, ci-dessus mentionné, annulant son élection au conseil municipal de Chantilly, monsieur Eric Woerth, craignant à juste titre d'être également déclaré inéligible au conseil régional dont il était aussi membre, informait le président de l'ADO de son intention de résilier son contrat d'engagement et d'abandonner son emploi dès le 8 février 1990. Le président a accepté que monsieur Eric Woerth n'exécute aucun préavis et l'a ainsi libéré sans délai de toute obligation contractuelle. En outre, “eu égard aux excellents résultats de l'ADO sous sa direction”, selon ses propres termes, il a décidé de lui octroyer une prime de fin de contrat d'un montant égal à cinq mois de salaire, soit 175 000 francs. »
La chambre a d'abord « vivement critiqué l'octroi de cette prime qu'elle a qualifié de pure libéralité ». Avant de recevoir des explications différentes du même président de l'ADO : « En pratique monsieur Eric Woerth a continué à travailler à plein temps à l'ADO jusqu'à fin juin. » De nouvelles justifications dont la chambre s'est alors contentée de « prendre acte ». Photo : Eric Woerth lors d'une séance de questions à l'Assemblée le 29 juin 2010 (Philippe Wojazer/Reuters) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? 11/7/2010, 11:36 | |
| Selon des sources concordantes, Eric Woerth n'envisagerait plus des greffes capillaires et aurait même déclaré à Chantilly : " Je suis en train de me faire des cheveux avec toutes ces affaires qui me tournent autour. " |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? 11/7/2010, 12:32 | |
| - Younes le retour tatatata a écrit:
- Tu as raison trop c'est trop , ils cassent trop le buisness!
Heu... Younes, je n'ai pas bien compris : cet article de Rue99 vient confirmer ou infirmer la nécessité que j'évoque pour que les journalistes soient soumis aux mêmes lois que tous les autres citoyens ? | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? 11/7/2010, 19:48 | |
| je crois que la question ne se pose même pas. Rue 89 est un torchon qui ramasse ses infos dans les poubelles |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? 11/7/2010, 19:51 | |
| - Citation :
- je crois que la question ne se pose même pas. Rue 89 est un torchon qui ramasse ses infos dans les poubelles
et que pensez-vous de l'avenue 69 Marie ? |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? 11/7/2010, 19:59 | |
| - Bernard75 a écrit:
- et que pensez-vous de l'avenue 69 Marie ?
Lourd, qu'est-ce que tu es lourd, Bernard !!! Que penses-tu de l'idée d'aller écouler ton excès de testostérone ailleurs ? Par exemple, en faisant le troll sur des sites de "charme" spécialisés en rencontres et soirées éphémères ? Hein ? | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? 11/7/2010, 19:59 | |
| Rue89 est un site Web d'information et de débat participatif créé par d'anciens journalistes de Libération, lancé le 6 mai 2007[1], jour du second tour de l'élection présidentielle française. Il s'agit comme Mediapart d'un pure player mais dont le contenu, financé en partie par la publicité, est en accès libre et gratuit................................................................. Michel Lévy-Provençal, un des premiers fondateurs (parmi Pierre Haski, Pascal Riché et Laurent Mauriac), quitte l'équipe au lendemain du lancement du site (le 7 mai 2007) et sort du capital, en février 2008, en créant une polémique à propos de l'évolution du journalisme participatif[6]. Le 27 juin 2008, Rue89 annonce sur son site une levée de fonds de 1,1 million d'euros, tout en précisant que ses fondateurs restent actionnaires majoritaires à 51,3%[7],[8]. Le 1er octobre 2008, Rue89 a lancé Eco89, un site basé sur les principes de Rue89 mais dédié à l'économie[9]. En décembre 2009, Rue89 demande et obtient un fonds de 249 000 euros de la Direction du développement des médias, direction qui relève de l'autorité du Premier Ministre[10]. http://fr.wikipedia.org/wiki/Rue89 |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? 11/7/2010, 20:01 | |
| réponse à Bernard à son message d'un goût douteux tout est rappporté au cul avec ce garçon il faut qu'il sache qu'il y a certainement des sites très spécialisés qui devraient lui convenir |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? 11/7/2010, 20:06 | |
| - marieden a écrit:
- réponse à Bernard à son message d'un goût douteux
tout est rappporté au cul avec ce garçon il faut qu'il sache qu'il y a certainement des sites très spécialisés qui devraient lui convenir
Et où ses pollutions seraient acceptées avec reconnaissance, je n'en doute pas. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? 11/7/2010, 21:06 | |
| - marieden a écrit:
- réponse à Bernard à son message d'un goût douteux
tout est rappporté au cul avec ce garçon
il faut qu'il sache qu'il y a certainement des sites très spécialisés qui devraient lui convenir Bonsoir Marieden. Il en parle tellement que je me demande s'il en sait quelque chose. Son obssesion ne doit avoir d'egal que son retard de caresses. Prions pour lui, ma chére. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? 11/7/2010, 21:58 | |
| Non hélas, je suis presque totalement novice et j'ai un très gros retard de caresses. Comme j'ai tellement de choses à apprendre, je pensais que ... enfin vous voyez quoi ... Votre petit Bernard |
| | | OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? 29/5/2014, 18:26 | |
| - OmbreBlanche a écrit:
- Faiseurs d'opinions, agitateurs professionnels, fouteurs de merde et j'en passe, il y a bien longtemps que les journalistes outrepassent le droit à l'information et font de la désinformation à tous les niveaux en exploitant les rumeurs.
Faut-il une loi pour leur claquer la gueule ?
Je pense que oui... histoire de leur rappeler leur métier. Ces parasites commencent sérieusement à nous emmerder ! Non Ombre je te trouve bien sévére, il y a de bon journalistes qui font bien leur boulot....selon vos critéres: voici un bon reportage, du journalisme d'investigation qui va dans le bon sens... - Le parisien a écrit:
- Un millier de salariés du bricolage manifestent pour travailler le dimanche
Une fois n'est pas coutume, une manifestation de salariés était soutenue par leurs directions. Ce mardi, un millier de salariés des magasins de bricolage Leroy-Merlin et Castorama ont manifesté à Paris pour défendre le travail dominical. «On veut travailler le dimanche», scandaient les manifestants réunis derrière une banderole proclamant : «Oui à la nécessité et au plaisir de bricoler le dimanche».
Les salariés, issus de 47 magasins d'Ile-de-France, font valoir qu'ils travaillent le dimanche exclusivement sur la base du volontariat et soulignent gagner 100 euros net de plus ce jour-là, où les enseignes réalisent environ 20% de leur chiffre d'affaires. Leur mouvement, baptisé «Collectif des Bricoleurs du Dimanche», est atypique car il est soutenu par leurs directions.
Mais les salariés récusent toute instrumentalisation. «On n'est pas manipulés. C'est une démarche salariale de A à Z. On est soutenus par nos directions, on ne l'a jamais caché», a ainsi déclaré Emilie Monjanel, étudiante en master qui travaille en alternance chez Castorama. «C'est transparent. Nos directions veulent ouvrir parce que les clients veulent venir et que nous on veut travailler», a insisté Gérald Fillon, l'un des porte-parole du collectif..... Pas comme ce fouteur de merdre - Spoiler:
Les Bricoleurs du dimanche: un mouvement «spontané» entièrement pipeauté Affaires Cazuhac, DSK, Kerviel, Bettencourt, dans « Jeu d'Influences », un livre et un documentaire diffusé ce soir sur France 5, le journaliste Luc Hermann propose une enquête sur les stratèges en com qui conseillent ces personnalités prises dans la tourmente. Une influence parfois exagérée, mais aussi de vrais talents de metteurs en scène. Un exemple avec le mouvement des « Bricoleurs du dimanche », le mouvement des salariés des enseignes Castorama et Leroy-Merlin favorables au travail dominical. Une action en fait pilotée par une agence de communication mandatée par les dirigeants des deux entreprises. «Les Bricoleurs du dimanche », un mouvement spontané de salariés de Leroy-Merlin et Castorama tous super-enthousiastes à l’idée de passer leurs week-ends à bosser. Des acharnés du taf regroupés en collectif de travailleurs pour faire pression sur le gouvernement. Dans Jeu d’influences (1), une enquête sur les « spin doctors », ces gourous de la communication de crise qui conseillent politiques et grands patrons, le journaliste Luc Hermann révèle le détail de l’opération de communication « Travail le dimanche ». Une mobilisation entièrement pilotée par une agence de communication mandatée par les directions de Castorama et Leroy-Merlin et financée par les deux mêmes groupes. Des concurrents féroces unis dans une vaste opération de lobbying.
Contacté en novembre 2012 par le directeur de la communication de Leroy-Merlin qui cherche à peser sur un gouvernement réticent à élargir le droit à travailler le dimanche, Stéphane Attal dirige l’agence de communication « Les Ateliers Corporate ». Il conseille alors à la direction de la chaine de magasins de bricolage de « s’effacer derrière leurs employés » : « Il faut créer de toutes pièces un mouvement de salariés », pense-t-il.
« Yes, week-end ! », un slogan contre le travail dominical signé par Jean-Marc Ayrault en... 2008
L’agence réunit alors un panel de salariés à Paris et constitue des groupes de travail. Les salariés votent pour le nom du groupe « Les Bricoleurs du dimanche », les publicitaires récupèrent le slogan « Yes, week-end ». Une jolie trouvaille empruntée, en fait, à une tribune publiée en 2008 dans Libération et hostile au travail dominical ! A l’initiative du député socialiste Christian Eckert, la tribune est cosignée par 120 députés dont un certain Jean-Marc Ayrault et a pour titre exact : « Repos dominical : Yes week-end ! »
A l’époque le gouvernement de François Fillon étudie l’hypothèse d’une extension du travail dominical, ce dont l’opposition de gauche ne veut pas entendre parler, dénonçant la fin d’un acquis social conquis de haute lutte. Ironie du sort, cinq ans plus tard, c’est finalement Jean-Marc Ayrault, premier Ministre socialiste, qui promettra un assouplissement des dispositifs sur le travail dominical...
Eléments de langage, identité visuelle, choix d’un porte-parole du mouvement, slogans, produits dérivés, organisation de manifestations de salariés, tournage de vidéos en mode « amateur » diffusées sur les réseaux sociaux, « Les Ateliers Corporate » prépare toute la logistique et la stratégie de communication de ce mouvement prétendument spontané. Leroy-Merlin et Castorama payent les bus de salariés qui vont manifester à Paris.
Sifflets, pancartes, le mouvement affiche sa détermination. France 2, France 3, Canal+, i>Télé, BFMTV, France Inter, France Info, RTL, Radio Classique, L’Humanité, Le Parisien et Le Figaro sont là. Les médias, si prompts à dénoncer les « privilèges » des uns et des autres, adorent déjà ce mouvement résolument moderne de salariés qui piétinent leurs propres acquis sociaux et clament haut leur envie de « travailler plus pour gagner plus ».
A l’évidence, les dirigeants d’Ateliers Corporate connaissent parfaitement les réflexes automatiques de nos médias dominants, toujours enthousiastes à la seule évocation de toute réforme incluant une dose de flexibilité.
Le PS à l'origine d'un dispositif pour le travail dominical : mission accomplie !
Le leader des « Bricoleurs du dimanche » s’appelle (ça ne s'invente pas) Gérald Fillon ! Salarié de Leroy Merlin depuis 2011, il est alors en relation constante avec son coach, Xavier Yvon, directeur associé des fameux Ateliers Corporate. C’est même Xavier Yvon qui donnera à un conseiller de Matignon le contact du leader des « Bricoleurs du dimanche » que Jean-Marc Ayrault rencontrera quelques jours plus tard à Matignon.
L’agence de communication met aussi en scène un mouvement de résistance de magasins qui osent braver l’interdit en ouvrant un dimanche… où ils étaient, en l’occurrence, parfaitement autorisés à ouvrir. Les journalistes tombent dans le panneau : « Il suffit de savoir lire, mais on n’est pas obligé de demander aux gens s’ils savent lire. Les journalistes n’avaient pas compris. Ils n’ont qu’à faire mieux leur métier et travailler plus en profondeur », moque Stéphane Attal.
Des communicants à la barre, des enseignes en sous-marin, des employés à l’abordage, des médias pas très curieux, complices à « l’insu de leur plein gré » et toujours avides de nouvelles formes d’expression sociale, des politiques suivistes et sans conviction, incapables de résister à la pression médiatique. En appui, sont publiés aussi des sondages qui montrent pour la plupart que si les Français sont majoritairement pour l’ouverture des magasins le dimanche, ils sont très majoritairement contre le travail le dimanche. Une contradiction dont on fera peu de cas.
Peu à peu, le débat sur l’ouverture des magasins le dimanche s’impose dans les médias parfois à l’initiative même du gouvernement. Le nouveau Ministre du tourisme et du commerce extérieur, Laurent Fabius, s’est ainsi exprimé en faveur du travail dominical.
Les patrons des enseignes n’ont qu’à surfer sur la vague et arriver en soutien du mouvement des salariés.
En avril, Jean-Marie Le Guen, secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement annonçait que le gouvernement présenterait d'ici à la fin de l'année un dispositif pour autoriser l'ouverture des commerces le dimanche dans la capitale. Une mission de communication parfaitement accomplie...
Supprimons la presse en effet il ne faut pas laisser des amateurs faire l'opinion et de l'agistation...c'est aux agences de communications de la faire, aux spin doctor...c'est leur job et dans l’intérêt général bien sur.... |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? | |
| |
| | | | A quand une loi pour claquer la gueule des journalistes ? | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|