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Nombre de messages : 1404 Age : 69 Localisation : saint-nectaire land Date d'inscription : 02/11/2008
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 28/4/2009, 20:53
ça a l'air bidon cette histoire de photos
quand on pense qu'il est si facile de faire ça avec un des milliers d'hélicoptères qui survolent le coin tous les jours quelle idée d'aller prendre le 747 présidentiel ? franchement pas conçu pour ça
en plus je dis pas le prix de revient à la photo z'avaient intérêt à utiliser le mode raffale !!
Shansaa
Nombre de messages : 1674 Date d'inscription : 02/11/2008
Sujet: Re : D'Outre Atlantique 29/4/2009, 00:41
Il faut dire que ce n'est pas tres malin de la part de la FAA et des miltaires d'avoir fait voler l'avion au dessus de NY et de Ground Zero. Une operation photo tres mal preparee et qui devait etre top secret. On se demande comment un 747 flanque d'avions de chasse pourrait passer inapercu et rester Top Secret ??
Ils auraient mieux fait de communiquer clairement la dessus, le traumatisme du 9/11 n'est pas efface et ca aurait evite ce stress inutile.
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 29/4/2009, 07:34
Curieuse histoire qui, si elle a été autorisée par la FAA et par le Pentagone, c'est la Maison Blanche qui l'a autorisée in fine, le tout sous le sceau du secret (sic) ! Les dépêches ne sont pas très explicites, certaines parlent d'un Boeing 747 militaire, d'autres précisent "Air Force One", c'est à dire l'avion présidentiel lui-même...
Et tout ça pour faire des photos ?
(Bon, au dire de mes proches je ne suis pas une mauvaise langue, mais là.... )
Shansaa
Nombre de messages : 1674 Date d'inscription : 02/11/2008
Sujet: Re : D'outre Atlantique 29/4/2009, 10:11
Biloulou a écrit:
Curieuse histoire qui, si elle a été autorisée par la FAA et par le Pentagone, c'est la Maison Blanche qui l'a autorisée in fine, le tout sous le sceau du secret (sic) ! Les dépêches ne sont pas très explicites, certaines parlent d'un Boeing 747 militaire, d'autres précisent "Air Force One", c'est à dire l'avion présidentiel lui-même...
Et tout ça pour faire des photos ?
(Bon, au dire de mes proches je ne suis pas une mauvaise langue, mais là.... )
C'est curieux, je sens poindre une accusation directe de l'hote de la Maison Blanche.... Eh non, ce ne sera pas pour cette fois !
Louis Caldera Chef du Dpt. militaire de la Maison Blanche et la FAA ont pris cette initiative malheureuse et couteuse en plus. ils auraient mieux fait de retourner faire leur photo-op au dessus de Mount Rushmore.
C'etait bien l'un des deux 747 utilises par les Presidents Americains (Sarkozy en voudrait un aussi mais la France n'a pas assez d'argent...). La confusion des depeches dont vous faites etat vient peut etre simplement du fait que "Air Force One" ( et Air Force Two) ont egalement une appellation militaire : Boeing VC-25A.
Mauvaise langue, vous ??? Tiens quelle idee............ Bonne journee
Invité Invité
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 29/4/2009, 12:46
Obama a peut être offert un petit tour au dessus de NY à ses filles pour fêter l'arrivée de Bo
en tout cas, comme dit Jam, ça fait cher la photo souvenir !!
Shansaa
Nombre de messages : 1674 Date d'inscription : 02/11/2008
Sujet: Re : Photo-Op 29/4/2009, 14:23
jam a écrit:
ça a l'air bidon cette histoire de photos
quand on pense qu'il est si facile de faire ça avec un des milliers d'hélicoptères qui survolent le coin tous les jours quelle idée d'aller prendre le 747 présidentiel ? franchement pas conçu pour ça
en plus je dis pas le prix de revient à la photo z'avaient intérêt à utiliser le mode raffale !!
Bonjour Jam,
C'etait l'appareil lui meme qui etait le sujet photographie.... . Operation de (mauvaises) Relations Publliques interne pour rafraichir les photos de l'avion presidentiel. 330.000 Dollars, c'est cher pour une mise a jour d'autant plus que la "vieille" photo etait finalement tres bien !
Invité Invité
Sujet: The Obama Deception HQ Full length version 29/4/2009, 16:16
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 29/4/2009, 16:19
Bonjour Shansaa !
Citation :
C'est curieux, je sens poindre une accusation directe de l'hote de la Maison Blanche.... Eh non, ce ne sera pas pour cette fois !
Louis Caldera Chef du Dpt. militaire de la Maison Blanche et la FAA ont pris cette initiative malheureuse et couteuse en plus. ils auraient mieux fait de retourner faire leur photo-op au dessus de Mount Rushmore.
C'etait bien l'un des deux 747 utilises par les Presidents Americains (Sarkozy en voudrait un aussi mais la France n'a pas assez d'argent...). La confusion des depeches dont vous faites etat vient peut etre simplement du fait que "Air Force One" ( et Air Force Two) ont egalement une appellation militaire : Boeing VC-25A.
Mauvaise langue, vous ??? Tiens quelle idee............ Bonne journee
Rooooh... vous sentez mal, Shansaa, comment pourrais-je accuser un saint homme sur les épaules de qui pèse le salut du monde ?
Non, non, et puis je le sais tellement pris par Michèle ( je ne suis pas encore sûr qu'il ne s'agit pas de Michel Leeb travesti...), par ses enfants et par ce dévergondé chien portugais qui se répand partout...
Mais bon, c'est vrai, c'est quand même le président qui endossera la responsabilité des gaffes de ses subalternes, position oblige...
(C'est quand même une histoire bizarre...)
jam
Nombre de messages : 1404 Age : 69 Localisation : saint-nectaire land Date d'inscription : 02/11/2008
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 29/4/2009, 22:58
marieden a écrit:
il y a un truc de vrai là dedans, c'est que toute crise permet de faire "librement", je veux dire sans contrôle et sans restriction, ce qui serait immoral ou illégal de faire en temps normal
par contre ce qui me semble faux c'est de dire qu'il s'agit d'un complot planifié parce que ça fait plusieurs années que je la vois venir de mon petit coin d'auvergne et pourtant je suis pas au courant du complot !!
d'un autre côté, c'est vrai qu'il y a des gens qui font des plans politiciens, banquiers, financiers, industriels ... mais c'est leur boulot de faire ça alors si on veut dire qu'il y a un complot, il faudrait prouver deux choses: 1- d'une part qu'ils sont d'accords entre eux 2- d'autre part qu'ils ont un plan commun
or selon moi, si on peut éventuellement supposer la première condition comme étant plutôt vraie à l'évidence la seconde est très loin de l'être
ce qui est vrai par contre c'est qu'il y en a qui arrivent à obtenir beaucoup d'argent à partir des décisions que d'autres prennent les questions sont: est-ce que c'est eux qui tirent les ficelles? ou bien est-ce qu'on a affaire à une bande de gangsters qui vont se partager le butin à la fin du holdup du monde? dans les deux cas, on a bien un complot, mais dans le premier on considèrerait les politiciens comme étant les dindons de la farce
là aussi j'ai du mal à concevoir des trucs aussi machiavéliques et cela pour deux autres raison d'une part ces types sont pas des imbéciles d'autre part, les effets de la crise ne sont pas forcément à leur avantage à long terme
là encore, ce que je déduis de tout ça, c'est que chacun de ces types agit pour son propre intérêt le fait qu'ils agissent en bande n'est qu'un moyen d'y parvenir mais c'est quand même le chacun pour soi
jam
Nombre de messages : 1404 Age : 69 Localisation : saint-nectaire land Date d'inscription : 02/11/2008
Sujet: je répond à moi même 29/4/2009, 23:19
le fait que tous ces types agissent dans leur propre intérêt me semble assez indiscutable ça doit être un fonctionnement "inné" de tout être vivant
mais ce qui me semble assez probable, c'est que dans le processus qui se développe, on a un effet "carbone" qui s'est produit je m'explique dans l'effet "carbone", on invente un gros mensonge collectif que le co2 serait un polluant (c'est faux) et que celui que produit l'activité humaine pourrait changer le climat (c'est faux aussi) mais comme tout le monde fait semblant d'y croire (certains ont été plus lents à comprendre la farce), on utilise le truc pour en tirer profit c'est comme le père noël (j'y reviens toujours à celui là)
ben pour la crise c'est pareil on raconte partout que c'est la crise et tout le monde y croit du coup, c'est la crise et faut donc trouver des solutions là aussi, on utilise le truc pour en tirer profit
premières solutions: distribuer plein de pognon aux riches c'est totalement immoral et ça n'a aucune chance de régler le problème mais comme on est en situation de crise, on peut le faire puisque ça répond à la règle que je donnais précédemment: "quand il y a une crise quelconque, on peut faire n'importe quoi librement"
qu'est-ce qui va se passer maintenant? la crise va s'agraver puisqu'ils ont piqué tout le pognon forcément, les "consommateurs" vont plus en avoir, (du pognon) ils pourront donc plus consommer, donc plus acheter de produits industriels, donc l'industrie va s'écrouler (le bâtiment aussi), les banques s'écrouleront à cause de ça (plus rien à garder) et la finance disparaitra "naturellement" par manque de joueurs (le fameux jeu du monopoly)
les types qui auront plein de pognon parce qu'il ne disparait pas lui ils n'auront plus qu'à vivre entre eux sur des yachts entourés de navires de guerre pour les protéger des pirates
et pendant ce temps à terre, les sociétés médiévales vont se reconstituer
Biloulou
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Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 30/4/2009, 07:52
Bonjour Jam !
Tes textes sont délicieusement séditieux, je te suis en bavant de gourmandise et j'applaudis des deux mains quand tu parles de l'effet carbone et similaires. Là où, selon moi, tu te sépares de la réalité, c'est quand tu parles de "distribuer plein de pognon aux riches". C'est que je n'ai rien reçu, moi...
Est-ce que j'aurais été oublié par le Père Noël ? Où est le bureau des réclamations ?
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 28/8/2009, 13:17
La Colombie isolée dans son alliance avec Washington (Patrick Bèle, envoyé spécial à Santa Cruz (Bolivie) 28/08/2009 11:55)
Alvaro Uribe, le président colombien, se prépare à un sommet de l'Unasur avec ses homologues sud-américains dont le sujet principal est l'accord entre Bogota et Washington permettant à l'armée américaine d'utiliser sept bases militaires colombiennes. Crédits photo : AP
L'accord permettant à l'US Army d'utiliser sept bases colombiennes provoque une réunion de l'Unasur. Caracas menace de rompre ses relations avec Bogota.
Alvaro Uribe, le président colombien, se prépare ce vendredi à un sommet de l'Unasur particulièrement délicat avec ses homologues sud-américains à Bariloche, en Argentine. Et ce n'est pas le décor alpestre de la station de ski, en cette fin d'hiver austral, qui permettra de réchauffer l'atmosphère. Cette réunion de l'Unasur, convoquée à l'invitation de la présidente argentine Cristina Kirchner, aura comme plat de résistance l'accord entre Bogota et Washington permettant à l'armée américaine d'utiliser sept bases militaires colombiennes. «La Colombie peut penser qu'elle est dans son droit quand elle cède à des forces extrarégionales l'utilisation de ses bases militaires, mais il semble également évident qu'elle devra garantir que leur activité soit strictement limitée à ses problèmes de politique intérieure», a affirmé Nilda Garré, ministre de la Défense argentin, à l'agence Telam. Pour l'instant, seul le Pérou a apporté son soutien à Bogota.
Cartographie des sept bases américaines en Colombie.
«Obligation éternelle»
Hugo Chavez se montre le plus virulent détracteur de cet accord. Il estime qu'il représente une menace pour la paix et un inquiétant retour militaire des États-Unis dans la région. Il s'agit d'une «déclaration de guerre contre la révolution (chaviste)». Le chef de l'État vénézuélien a rappelé son ambassadeur et menace de rompre ses relations diplomatiques avec son voisin colombien. Il a d'ores et déjà suspendu de nombreux accords commerciaux, en se tournant vers Buenos Aires pour prendre le relais.
La récente visite de Cristina Kirchner à Caracas a permis la signature de plusieurs contrats, dont la fourniture de 10 000 automobiles. Le Venezuela est le deuxième partenaire commercial de la Colombie après les États-Unis. «Ce que cherche vraiment Bogota c'est échanger sa souveraineté contre la ratification du traité de libre-échange avec les États-Unis» (en attente depuis des années à cause des réticences du Congrès américain), dénonce Hugo Chavez. Il a averti Bogota en citant le héros de l'indépendance, Simon Bolivar : «Une fois signé l'accord avec le puissant, l'obligation est éternelle pour le faible.»
Fin de bail en Équateur
La plupart des pays sud-américains ont exprimé leur préoccupation vis-à-vis de l'accord Colombie-États-Unis. Le chef de la diplomatie brésilienne, Celso Amorim, a demandé «des garanties (…) que tant l'équipement que le personnel ne pourront être utilisés à d'autres buts que ceux déclarés par la Colombie et les États-Unis, soit le combat contre le trafic de drogue et les Farc (Forces armées révolutionnaires de Colombie)». La proposition brésilienne a reçu le soutien de l'Équateur, de l'Argentine et du Paraguay. Le sommet de Bariloche sera peut-être l'occasion pour Alvaro Uribe de rassurer ses voisins. Signe que la confiance n'est pas la vedette de ce sommet, les Colombiens se sont inquiétés du fait que les débats seraient retransmis en différé à la télévision. Pour Bogota, il faut que la réunion soit retransmise en direct sans coupure intempestive. Alvaro Uribe a également demandé que puisse être évoquée «l'importance des investissements en armement du Venezuela» lors de la réunion.
L'accord entre Bogota et Washington est la conséquence du non-renouvellement du bail de la base américaine de Manta en Équateur. Y travaillait moins d'une centaine de militaires américains pour des missions principalement de renseignement et d'observation aérienne. L'accord prévoit que, de 268 soldats présents aujourd'hui sur le sol colombien, Washington puisse en déployer jusqu'à 800. Il permet surtout l'utilisation de la base aérienne de Palanquero par les avions d'observation américains, qui ne pourront plus se poser sur la base équatorienne de Manta. Des avions dont le rayon d'action dépasse largement le territoire colombien.
++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Avec mon mauvais esprit habituel, je me demande la véritable raison de cette levée de boucliers, particulièrement de la part d'Hugo Chavez : la volonté mille fois démontrée d'Alvaro Uribe de mener une lutte sans compromis contre le terrorisme ? Ou (et) contre les trafiquants de drogue ?
Invité Invité
Sujet: 165 - 3/9/2009, 18:12
Nous lisions encore recemment ici: qui sait vraiment ce qui s'est passe? Nous n'y etions pas.
On peut se demander si le Senateur s'etait appele Bush plutot que Kennedy, s'il aurait beneficie d'un tel doute, mais bon... ce livre devrait en terminer avec les questions
Accident de Chappaquiddick: Ted Kennedy regrette dans ses memoires posthumes
(AFP) – Il y a 2 heures
WASHINGTON — Le sénateur américain Ted Kennedy, décédé fin août à l'âge de 77 ans, exprime dans ses mémoires posthumes des regrets pour son comportement "inexcusable" lors de l'accident de Chappaquiddick qui a coûté la vie à une collaboratrice en 1969, rapporte jeudi le New York Times.
Le scandale, entouré de questions sur son rôle et celui de la drogue dans la tragédie, a probablement beaucoup pesé sur les ambitions politiques du frère du président assassiné John Kennedy.
En 1980, candidat à la candidature démocrate à la présidentielle, il avait échoué face à Jimmy Carter au terme d'une campagne où Chappaquiddick avait refait surface avec insistance dans les médias.
Dans ses mémoires posthumes ("True Compass") à paraître le 14 septembre, le sénateur admet
avoir pris de "très mauvaises décisions"
lorsqu'il s'est enfui après une sortie de route sur un pont, au cours de laquelle sa voiture était tombée dans une rivière sur la petite île de Chappaquiddick (Massachusetts, nord-est).
Edward "Ted" Kennedy, parvenu à regagner le rivage n'a pas alerté les autorités et sa passagère, Mary Jo Kopechne, 28 ans, qui avait participé à la campagne présidentielle de son frère Bob l'année précédente, est morte noyée.
Ted Kennedy a été condamné à deux ans de prison pour avoir fui la scène du drame, une condamnation qui sera suspendue.
Selon le New York Times, qui a obtenu une copie des mémoires posthumes du sénateur publiées par la maison d'édition Twelve, ce dernier y affirme que l'accident a sans doute contribué au décès de son père, alors malade, Joseph P. Kennedy.*
* L'accident (et les "mauvaises decisions" prises par son fils) ou le fait que son fils ne puisse pas etre president?
Le document de 532 pages, qui retrace la carrière du sénateur, mort des suites d'un cancer le 25 août, évoque également son passé de gros buveur et de coureur de jupon, ainsi que ses relations avec sa célèbre famille, et notamment sa décision de ne pas se présenter à la présidentielle en 1984 en raison de l'opposition de ses enfants.
L'ouvrage indique que les enfants de celui qui a été surnommé "le lion du Sénat" craignaient pour sa vie après les assassinats de ses frères aînés le président John F. Kennedy et le sénateur Robert F. "Bobby" Kennedy dans les années 1960. L'aîné des frères Kennedy, Joe, était mort au cours de la Seconde Guerre mondiale lors d'une mission en tant que pilote.
Après le décès de ses frères, le plus jeune des neuf enfants Kennedy n'a eu d'autre choix que de reprendre le flambeau familial.
Selon le New York Times, l'icône de la gauche américaine assure dans ses mémoires qu'il n'a pas mis en doute les conclusions de la commission Warren sur l'assassinat de JFK, indiquant que le tireur Lee Harvey Oswald était le seul responsable.
Mais écrit Ted Kennedy, Bobby a tant souffert d'avoir perdu son frère que cela "a presque viré à une tragédie au sein de la tragédie".
Après le décès de ce dernier, Ted Kennedy raconte avoir lui même eu un recours "auto-destructeur" à la boisson qui l'a rendu incapable dans un premier temps de retourner à la chambre haute du Congrès, où il est finalement resté 47 ans.
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Invité Invité
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 7/9/2009, 15:52
Une mère de 18 enfants est enceinte à nouveau
Les 18 enfants de la famille Duggar ont reçu un prénom commençant par la lettre J et le 19e qui devrait naitre en mars ne fera pas exception. Jim Bob et Michelle Duggar vivent dans une grande maison avec leur aîné et son épouse Anna, 21 ans, Jana et John-David, 19 ans, Jill, 18 ans, Jessa, 16 ans, Jinger, 15 ans, Joseph, 14 ans, Josiah, 13 ans, Joy-Anna, 11 ans, les jumeaux Jedidiah et Jeremiah, 10 ans, Jason, 9 ans, James, 8 ans, Justin, 6 ans, Jackson, 5 ans, Johanna, 3 ans, Jennifer, 2 ans, et Jordyn-Grace, 8 mois. Leur mode de vie devrait faire l'objet d'une émission de télé-réalité. Les parents expliquent dépenser 1431 euros par mois pour nourrir la famille, avoir changé environ 90 000 couches et faire tourner la machine à laver environ 200 fois par mois. Ils ont par ailleurs avoué que lorsqu'ils se sont mariés, ils avaient prévu de n'avoir que deux ou trois enfants. Après leur deuxième enfant, Michelle a fait une fausse couche et le couple a alors décidé d'arrêter tout moyen de contraception et de laisser faire Dieu. En fervents chrétiens, ils ont voulu laisser la providence décider du nombre d'enfants qu'ils devraient avoir. Aujourd'hui, l'aîné de la famille, Josh, et son épouse vont accueillir à leur premier enfant. Les grands-parents sont ravis à l'idée d'accueillir leur première petite-fille. Le futur père a d'ailleurs confié qu'il espérait suivre la trace de ses parents et avoir beaucoup d'enfants mais qu'il ne savait pas encore s'il leur donnerait tous un prénom commençant par la même lettre.
Invité Invité
Sujet: WE WANT WAR......... 7/9/2009, 15:57
70% des armes vendues dans le monde proviennent des Etats-Unis.
Avec 37,8 milliards de dollars engrangés, contre 25,4 milliards l'année précédente, le pays de l'Oncle Sam a donc conforté sa position de numéro un, loin devant l'Italie (3,7 milliards de dollars) et la Russie, qui a connu une chute vertigineuse en 2008 (3,5 milliards dollars, contre 10,8 en 2007). Une progression "extraordinaire", dans le contexte de crise actuel, souligne le rapport élaboré par le Service de Recherche du Congrès américain.
Si le marché global est en baisse (- 7,6%), les ventes d'armes vers les pays en voie de développement ont légèrement augmenté (42,2 milliards en 2008, contre 41,1 en 2007). Un secteur où les Etats-Unis sont là aussi largement en tête (29,6 milliards à eux seuls, soit 70,1% du marché), tandis que la France se glisse à la troisième place (2,5 milliards), derrière la Russie.
Inversement, les Emirats Arabes Unis dominent la liste des plus gros acheteurs des pays émergeants avec 9,7 milliards de dollars d'armes acquises en 2008, devant l'Arabie Saoudite (8,7 Mds) et le Maroc (5,4 Mds). VIA
Invité Invité
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 7/9/2009, 16:48
Que seraient le marche des armes americains sans le soutien de pays "pacifiques" comme le Canada? (il y a quelques annees j'ai fait une petite recherche pour un participant canadien et l'on s'etait apercu qu'en fait, le Canada vendait des armes aux Etats Unis, que ceux-ci revendaient, sans que le Canada n'ait mis aucune restriction sur cette revente...
et puis.... et si l'on parlait "transparence"?
How Canada’s secretive arms trade ruins our peacekeeping reputation
In July 2008, Switzerland’s Small Arms Survey released its 2008 annual report on which countries have the best and the worst records when it comes to transparency and the small arms trade — the diversion of weapons such as rifles and anti-tank guided weapons that can fuel civil conflicts and insurgencies. Canada’s score? A disappointing 14.5 out of a possible 25 points, putting us between Australia and the Czech Republic for sixteenth place out of 40 countries. The most transparent country? The U.S., with its near- perfect score of 21. Well, at least we no longer rank just one notch above Iran, as was the situation in 2007 when we scored a mere 11 points.
Au moins, on ne peut pas traiter les Etats Unis de Faux-Q au moins dans ce cas...
Invité Invité
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 13/9/2009, 13:02
<H1>Etats-Unis - Manifestation monstre contre la réforme de la Santé</H1>
Des dizaines de milliers de manifestants ont défilé samedi à Washington pour dénoncer le projet de réforme du système de santé.
La manifestation était organisée par Freedomworks, un mouvement qui réclame une baisse de la fiscalité, moins d'Etat et plus de liberté économique.
Des dizaines de milliers de personnes venues de tous les Etats-Unis ont défilé samedi à Washington pour dénoncer la politique du président Barack Obama et notamment son projet de réforme du système de santé.
Les manifestants ont marché de la Maison Blanche au Capitole, siège des deux chambres du Parlement américain, certains d'entre eux brandissant des pancartes accusant l'administration démocrate de conduire le pays vers le socialisme. "L'avortement n'est pas un soin médical", indiquait une pancarte. "J'ai suffisamment vu le socialisme en URSS", proclamait une autre, portée par un immigré originaire de l'Ukraine venu de Baltimore. "Trop de choses me rappellent ce que j'ai vu dans les pays communistes. Le communisme n'a pas fonctionné ailleurs, il ne fonctionnera pas ici".
"C'est un traître"
La manifestation était organisée par Freedomworks, un mouvement qui réclame une baisse de la fiscalité, moins d'Etat et plus de liberté économique. Nombre de manifestants portaient des affichettes indiquant "Vous mentez !" reprenant le mot lancé au président par le représentant républicain Joe Wilson lors du discours de présentation de son projet de réforme du système de santé au Congrès. "C'est un traître, a affirmé une manifestante venu de l'état du Maryland, en parlant du président Obama. Il est soit marxiste soit communiste et nous ne le sommes pas. Il est totalement anti-américain".
La police n'a pas été en mesure d'indiquer le nombre de manifestants, mais au milieu de l'après-midi la foule s'étendait à perte de vue sur National Mall, un parc au centre de la capitale, où se déroulent habituellement les manifestations.
(D'après agence)
chat noir
Nombre de messages : 5160 Age : 66 Localisation : NANTERRE Date d'inscription : 18/11/2008
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 3/10/2009, 07:08
ce qui se passe au Honduras est nettement plus grave que les élections en Iran, et pourtant le sujet est timidement évoqué dans les médias occidentaux, l' Amérique latine chasse gardée des américains
mercredi 23 septembre 2009
Le retour du président Manuel Zelaya
Bras de fer explosif au Honduras
« Au Honduras, le retour clandestin du président déchu ravive les tensions », titre un quotidien du soir français, le 22 septembre (1). Est-ce à dire que, dans ce pays, les « tensions » s’étaient atténuées, après le renversement et l’expulsion du président Manuel Zelaya, le 28 juin dernier ? Depuis ce jour, et alors que le Front national de résistance mène de puissantes mobilisations populaires, jamais la répression contre la population n’a cessé, au vu et au su de tous – mais n’émouvant guère les médias. Le 6 août – seize jours avant le retour de M. Zelaya –, le Comité des familles de détenus disparus au Honduras (Cofadeh) comptabilisait deux mille sept cent deux arrestations illégales et neuf meurtres, « certains commis par des militaires habillés en civil » (2). Le bilan s’est alourdi depuis. Mis en sommeil à la fin des années 1980, des escadrons de la mort ont diffusé une liste de cent vingt syndicalistes à abattre. Faut-il s’en étonner ? Le conseiller spécial à la sécurité du « golpiste » Roberto Micheletti n’est autre que M. Billy Joya, ex-membre du Bataillon 3-16, unité militaire responsable de la disparition de cent quatre-vingt-quatre personnes et de l’assassinat de dizaines de militants de gauche, précisément au cours de ces années 1980. Après deux tentatives infructueuses, les 5 et 24 juillet, le président légitime est donc parvenu à rentrer clandestinement à Tegucigalpa – pour y entamer des négociations avec les secteurs politiques du pays. Il a trouvé refuge dans l’ambassade du Brésil, avec l’accord préalable du président Luiz Inacio Lula da Silva. Preuve, s’il en était besoin, que le sort du Honduras ne provoque pas l’intérêt du seul « déstabilisateur régional » Hugo Chávez. Les quelque quatre mille partisans de M. Zelaya, qui avaient passé la nuit devant l’ambassade en ont été très violemment délogés – deux morts et trente blessés – le 22 septembre à l’aube. Alors qu’était annoncée une visite de M. Miguel Insulza, secrétaire général de l’Organisation des Etats américains (OEA), M. Micheletti a ordonné la fermeture de tous les aéroports du pays. Les forces de l’ordre cernent l’ambassade du Brésil, privée d’eau courante, d’électricité, de téléphone, et où la nourriture commence à manquer – bien qu’elle ait été ravitaillée en vivres, le 22 septembre, par la représentation de l’Organisation des Nations unies (ONU) à Tegucigalpa. Malgré le couvre-feu, la résistance populaire ne fléchit pas. Les médias non inféodés aux putschistes ont été fermés et les forces de l’ordre répriment toute manifestation. Tandis qu’on recense une centaine de blessés dans les hôpitaux de la capitale, plusieurs milliers de personnes ont été arrêtées dans l’ensemble du pays. A Tegucigalpa, entre deux cents et quatre cents d’entre elles sont regroupées… dans le stade Chochy Sosa. Trente-six ans après les stades de Santiago du Chili. Maurice Lemoine
(1) Le Monde, daté 23 septembre 2009. (2) Pagina 12, Buenos Aires, 6 août 2009.
« Ces relents de guerre froide venus du Honduras » (aperçu) par Maurice Lemoine, septembre 2009. Déjà quinze assassinats politiques au Honduras depuis le renversement et l’expulsion, le 28 juin, du président Manuel Zelaya... Illégitime et répressif, le régime de M. Roberto Micheletti fait resurgir le spectre des dictatures des années 1970-1980.
« Washington a-t-il perdu l’Amérique latine ? », par Janette Habel, décembre 2007. Depuis une décennie, les Etats-Unis ont essuyé de nombreux revers dans cette partie du monde. Le rejet des politiques néolibérales a porté au pouvoir des coalitions de gauche, radicales ou modérées, marquant à des degrés divers leur indépendance.
« En toute impunité, le Honduras liquide ses parias », par Raphaëlle Bail, octobre 2004. Dans des conditions suspectes, 104 jeunes détenus ont perdu la vie, le 17 mai 2004, dans l’incendie de la prison de San Pedro Sula. Cette tragédie a mis en lumière la guerre que mène le Honduras contre les délinquants, surtout les plus jeunes et les plus pauvres.
« L’ombre de Mitch sur l’Amérique centrale », par Angel Saldomando, février 2005. Depuis la fin des conflits armés, au terme des années 1990, les pays de la région ont été normalisés selon les standards internationaux : démocratie, ajustement structurel et économie libérale. Mais la pauvreté n’a pas diminué et s’est même aggravée, atteignant 71,6 % de la population au Honduras.
« Les travailleurs centraméricains otages des “maquilas” », par Maurice Lemoine, mars 1998. Apparues au Mexique dans les années 1960, les usines de sous-traitance étrangères – ou « maquilas » – fleurissent dans les zones franches d’Amérique centrale. Les droits des travailleurs y sont violés de façon massive et les employeurs ont toute latitude pour imposer à la main-d’œuvre, en grande majorité féminine, des semaines de 60 à 70 heures.
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emma
Nombre de messages : 3845 Date d'inscription : 08/12/2008
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 5/10/2009, 14:10
Brutalement arrêté pour quelque erreur de jeunesse, tel un vulgaire violeur pédophile, et bientôt extradé vers l'Amérique (du sud), la justice est bien rancunière. Y a-t-il une pétition de soutien à signer quelque part ?
Julio Alberto Poch, 57 ans, arrêté mardi 22 septembre à la demande de la justice argentine, a été placé sous écrou extraditionnel après avoir été entendu par un juge d'instruction de la région de Valence. Cet ancien pilote de l'aéronavale argentine est soupçonné d'avoir participé, pendant la dictature militaire (1976-1983), aux tristement célèbres "vols de la mort". Au cours de ces opérations, des opposants politiques étaient embarqués dans des avions militaires, drogués, puis jetés vivants à la mer ou dans le Rio de la Plata. A Buenos Aires, le juge Sergio Torres est convaincu de longue date de l'implication du lieutenant de frégate Poch à l'époque où celui-ci était affecté comme pilote à la base de l'Ecole supérieure militaire de l'armée (ESMA), l'un des plus sinistres centres de détention et de torture de la junte. En 2008, le magistrat avait déjà demandé son extradition aux Pays-Bas, un pays où l'ancien militaire s'est installé à sa retraite et où il a obtenu la double nationalité. La justice argentine disposerait de plusieurs témoignages, notamment de ses collègues pilotes de Transavia. A différentes reprises, Julio Alberto Poch s'est vanté auprès d'eux d'avoir "réalisé régulièrement des vols au cours desquels des groupes de personnes étaient jetés de son avion à la mer". Sans le moindre repentir, paraît-il, à l'égard des victimes : "Il a justifié ces pratiques en disant qu'il s'agissait de terroristes", a affirmé l'un des témoins.
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Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 5/10/2009, 14:19
ils font du rangement dans les tiroirs de l'autre côté de l'Atlantique oui Emma, vite vite une pétition
moi ça ne me plairait pas qu'on écrire "LA FRANCE DE LA HAINE" à cause d' une bande d'illuminés
j'ai vu ce reportage, on nous montre un village, en pourcentage sur tout le pays, ils sont combien ? oui il y a là bas comme partout ailleurs des illuminés pourquoi l'AMERIQUE DE LA HAINE ?
je n'ai jamais lu "l'ALLEMAGNE DE LA HAINE" et pourtant ils ont pas mal d'illuminés aussi
Mitterrand qui dit "il y a l'Amérique qu'on aime et l'Amérique qui fait peur".
pour lui l'Amérique qu'on aime serait celle qui devrait laisser un viol sans punition et si la Justice passe par là, ça devient une Amérique qui fait peur !!!!!!