La vie sexuelle dans le clergé : mythe ou réalité ?

Le témoignage du Père ... de Paris :

Citation :

Depuis ma sortie du séminaire, je suis affecté dans le diocèse de Paris. 6 jours sur 7, je pratique une chasteté absolue, surtout le dimanche qui est vraiment ma journée "coup de feu" pour les raisons que vous imaginez.
Je m'accorde cependant un jour de repos le vendredi. Ainsi et chaque vendredi soir, je rejoins les quartiers chauds de la capitale pour vider mon stress. Là, je fais d'abord la tournée des bars et je recherche une fille de joie susceptible de satisfaire mes envies : c'est bien naturel finalement. Le peu de générosité de mes fidèles à la quête m'oblige à choisir une fille de troisième choix, je le regrette vivement. La crise actuelle n'aide en rien mon activité et je suis assez pessimiste pour la suite.

Le témoignage de l'abbé Y de ....... :

Citation :

Comme j'apprécie le bon air et les grands espaces, j'ai sollicité et obtenu un emploi d'abbé dans une commune rurale où les fidèles sont rares. Je peux ainsi consacrer beaucoup de temps à la méditation et à la masturbation. Parfois cependant, j'ai besoin de contact plus étroit avec les autres aussi, je me rends chez mon ami Félicien, un éleveur de chèvres, qui a la grande gentillesse de mettre à ma disposition Ursuline, une jeune chèvre très gourmande et très véloce. Je peux ainsi et avec elle passer des moments agréables loin des regards indiscrets juste avant sa traite par mon ami Félicien.

Bonjour Bertrand !

En faisant le choix du le célibat les prêtres s'astreignent à ne pas se marier, pas à l'abstinence. Il ne faut pas les confondre avec les moines.
Allons à l'essentiel : est-ce que les filles de joie et les biquettes font voeux de chasteté ?

Là est la vraie question.

(Quelqu'un a dit quelque chose ? Charly ? )

Le témoignage du curé X de l'école internationale des nonnes ...

Citation :

Pour ma part, la vocation pour entrer dans les ordres m'est venu très tôt. En effet et dès l'âge de 6 ans, mes parents ont décidé de me donner une excellente instruction en m'inscrivant dans une école catholique où enseignaient de jeunes nonnes. Dès cette époque, je me suis mis à m'intéresser de très près à ces enseignantes et tout naturellement, je me suis dit benoîtement : " quand je serai grand, je voudrais bien m'occuper de nonnes ! " (comme d'autres garçons voulaient alors être pompier, policier ou gardien de musée). Après cette studieuse scolarité, je suis donc entré au grand séminaire dans la filière "G.N." (gestion des nonnes). Je suis sorti major de ma promotion et depuis je suis D.R.H. à l'école internationale des nonnes.

Le témoignage de Monsieur l'Abbé Y :

Citation :

Je suis prêtre confesseur auprès de la paroisse de X. Les journées dans le confessionnal sont souvent longues et, en conséquence, j'ai décidé d'adapter ce lieu intime en creusant un trou à hauteur de ceinture afin que mes paroissiennes puissent faire pénitence en me soulageant le petit Jésus. Elles se plaisent ainsi à aller à l'orifice avant d'aller à l'office.

Voici une représentation allégorique de l'Abbé Y, de Félicien et d'Ursuline ... (pour Biloulou)

C'est ignoble et c'est un faux.

Jamais Charly ne se serait laissé surprendre ainsi.

(Par le photographe)

Hémorroïdes ?
N'est-ce pas encore une de ces maladies introduites dans le continent africain par les méchants blancs ?

En plus et afin que je sois encore plus désirable, l'abbé Y et Félicien me font redresser les dents ... ils sont sympa

Témoignage de Monseigneur ..., évêque à Or .... (France) :

Citation :

Personnellement, je ne fais pas confiance aux préservatifs car ils sont très poreux. Je prone la fidélité absolue et moi-même je ne supporte pas le latex lorsque je pénètre Hector, le jeune séminariste qui me sert de chauffeur. Hector est beau comme un Dieu et depuis qu'il est à mon service, je n'ai plus besoin d'aller sodomiser à droite et à gauche.

Témoignage du Père Leblanc, missionnaire au Niger :

Citation :

Je vis depuis 30 ans dans une communauté rurale éloignée de Niamey. Ma position de missionnaire m'oblige à avoir des rapports avec chacune des femmes du village où la levrette reste néanmoins de pratique très courante. Très curieusement, la peau de ces jeunes femmes s'éclaircit de génération en génération et je me demande si cette position assidue de missionnaire n'y est pas pour quelque chose. Je ne porte bien sûr jamais de préservatifs selon les recommandations du patron.

12 -

Le muré de Cacaret :