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| D'outre-Rhin | |
| | Auteur | Message |
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OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: D'outre-Rhin 28/2/2011, 11:47 | |
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| | | OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Re: D'outre-Rhin 28/2/2011, 11:50 | |
| - Citation :
- Allemagne : 15 à 25% de risque de chute pour l'indice allemand
MoneyWeek - Il y a 1 heure
Jusqu'à la fin 2010, le DAX s'est distingué par sa force au sein de la zone euro, et vous avez d'ailleurs pu en profiter avec mon analyse du numéro 89. Mais, ces derniers mois, la dynamique est de plus en plus faible aussi bien sur le plan technique ..
Jusqu’à la fin 2010, le DAX s’est distingué par sa force au sein de la zone euro, et vous avez d’ailleurs pu en profiter avec mon analyse du numéro 89. Mais, ces derniers mois, la dynamique est de plus en plus faible aussi bien sur le plan technique que par rapport aux autres indices. Ces dernières semaines, pour la première fois depuis longtemps, l’indice a réalisé une moins bonne performance que le CAC 40 ou l’Ibex, l’indice espagnol.
Cette faiblesse se matérialise clairement, ci-dessus, par les prix mais aussi par les indicateurs mathématiques, avec un momentum qui reste au-dessous d’une oblique baissière alors que l’indice bute à l’approche des 7 100 points, illustrant la nécessité d’une saine consolidation après une hausse quasi verticale. Juste au-dessus, nous trouvons la forte zone de résistance horizontale des 7 200 points, ancien plus-bas d’août 2007 et plus-haut de mai 2008. Cette zone des 7 100-7 200 points pourrait donc nettement freiner les ardeurs des opérateurs.
Quelles perspectives à moyen terme ? Au-dessous des plus-hauts de 2007 à 8 150 points, nous profiterons des cours proches de la résistance de 7 100 points pour vendre l’indice et viser un retour sur le support des 6 330 points, ancien plus-haut d’avril 2010. La cassure de ce niveau validerait ensuite une accélération de la correction en direction des 5 430 points, plus-bas de l’année dernière qui est désormais proche du retracement de 50% de la phase de hausse depuis mars 2009. Un retour près de ce niveau permettrait de corriger cette vague de progressions et pourrait relancer l’intérêt des acheteurs. Dès que l’indice aura atteint ce support clé au cours de l’année, nous serons donc prudents.
Sources: moneyweek.fr | |
| | | OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Re: D'outre-Rhin 28/2/2011, 11:53 | |
| - Citation :
- Fonds européen de stabilité: le ministre allemand de l'Economie propose des taux différenciés
(AFP) – il y a 1 heure
BERLIN — Le ministre allemand de l'Economie Rainer Brüderle s'est déclaré lundi en faveur d'une différenciation des taux d'intérêt attachés aux emprunts contractés par le fonds européen de stabilité, qui prête lui-même aux pays en difficulté de la zone euro.
Ce fonds --FESF dans son actuelle mouture, appelé à se transformer en un mécanisme permanent appelé ESM après 2013-- lève de l'argent sur les marchés, garanti par les pays qui y contribuent. Il prête ensuite aux pays dans le besoin, à ce jour seulement l'Irlande.
Pour emprunter aux conditions les plus avantageuses possibles, le fonds doit pour le moment mettre de côté un certain montant de garanties et sécurités, qui limitent sa capacité de prêt.
Pour M. Brüderle, il serait préférable que le fonds emprunte en plusieurs tranches, et à des taux différents. "Une différenciation de taux n'est pas un mal, elle correspond à une différence de risque économique", a-t-il déclaré dans un entretien au quotidien Frankfurter Allgemeine Zeitung.
Ainsi à une tranche garantie par des pays très solvables, comme l'Allemagne par exemple, serait attaché un taux faible, tandis qu'une autre tranche garantie par d'autres pourrait avoir un taux plus élevé.
"On pourrait aussi envisager que les Etats les moins bien notés compensent leur rating par un apport de liquidités" au fonds, ajoute le ministre.
Les commentaires de M. Brüderle interviennent alors que les discussions européennes sur les contours des mécanismes qui régiront la zone euro gagnent en intensité, l'Allemagne s'inscrivant en porte-à-faux de plusieurs de ses partenaires sur un certain nombre de points.
Le ministre de l'Economie libéral répète ainsi son opposition au rachat de dette publique par le FESF puis l'ESM, ainsi qu'à un élargissement de la valeur nominale du fonds.
Il s'insurge aussi contre le principe d'une gouvernance économique pour les 17 Etats de la zone euro, "du moins dans le sens où cela est compris en France". "Mais ce serait un avantage énorme si on pouvait se mettre d'accord par exemple sur une base de prélèvement de l'impôts sur les sociétés", ajoute-t-il. | |
| | | OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Re: D'outre-Rhin 28/2/2011, 11:56 | |
| - Citation :
- L'Allemagne sous de bons augures pour sa croissance 2011
nouvelobs.com - 24 févr. 2011
Lars Feld, un nouveau conseiller économique du gouvernement, a dit à Reuters cette semaine que la croissance de l'Allemagne serait sans doute de 2,5% au moins cette année et que l'inflation ne serait pas un problème pour autant que la Banque centrale ...
BERLIN (Reuters) - La reprise s'est poursuivie en Allemagne au quatrième trimestre 2010, les exportations ayant compensé une forte baisse des stocks et la faiblesse du secteur de la construction affecté par un hiver rigoureux, ce qui place la locomotive européenne en position de force pour 2011.
Les données détaillées publiées jeudi par l'Office fédéral de la statistique confirment que le produit intérieur brut allemand a augmenté de 0,4% au quatrième trimestre, soit le septième trimestre de croissance consécutif, mais qu'il a toutefois marqué le pas par rapport aux trois trimestres précédents.
L'Allemagne a connu une reprise plus rapide qu'attendu et a fait mieux que ses voisins européens après sa pire récession enregistrée depuis la Seconde Guerre mondiale. La croissance allemande ressort en hausse de 4,0% au dernier trimestre de 2010 en rythme annuel.
Les échanges commerciaux ont apporté 0,7 point de pourcentage de croissance, a indiqué l'Office.
La consommation intérieure n'a ajouté que 0,1 point de croissance au PIB contre 0,3 point au trimestre précédent.
Le secteur de la construction a de son côté retranché 0,4 point de pourcentage au PIB, de même que les stocks.
La consommation a augmenté de 0,7% au quatrième trimestre, après une hausse de 0,3% le trimestre précédent, tandis que les exportations ont progressé de 2,5% et que la construction a fléchi de 3,9%.
"Comme prévu, le secteur de la construction a considérablement ralenti la croissance à la fin de 2010. Mais cela devrait être compensé au premier trimestre", commente Ulrike Kastens, chez Sal. Oppenheim. "Les commandes solides et les indicateurs positifs du sentiment économique suggèrent une croissance comprise entre 0,8% et 1,0% au premier trimestre."
DÉPENDANCE ÉNERGÉTIQUE
Lars Feld, un nouveau conseiller économique du gouvernement, a dit à Reuters cette semaine que la croissance de l'Allemagne serait sans doute de 2,5% au moins cette année et que l'inflation ne serait pas un problème pour autant que la Banque centrale européenne relève ses taux directeurs vers la fin de l'année.
Toutefois, la flambée des cours pétroliers représente un risque plus sérieux pour l'Allemagne que pour d'autres pays de la zone euro. "L'inflation par l'énergie et l'alimentation risque d'étouffer la consommation avant même qu'elle ait repris des forces. Les dépenses liées à l'énergie en Allemagne représentent une proportion des dépenses totales beaucoup plus élevée que dans la plupart des autres pays de la zone euro", fait valoir Carsten Brzeski, chez ING.
Pour autant, les indicateurs prévisionnels ont grimpé à des plus hauts de plusieurs années. C'est ainsi que le moral des entrepreneurs allemands a atteint un nouveau record en février, en dépit d'une réduction des dépenses et du ralentissement de la croissance à l'étranger, a révélé lundi l'indice Ifo.
Les enquêtes auprès des directeurs d'achats ont également montré que la croissance record de l'industrie avait soutenu la solide progression de l'activité dans le secteur privé.
Par ailleurs, le déficit budgétaire de l'Allemagne s'est creusé en 2010 pour atteindre 3,3% du PIB, contre 3,0% en 2009. Berlin voit le déficit retomber à 2,5% du PIB cette année.
Suivant un projet gouvernemental obtenu par Reuters, Berlin compte ramener le volume des nouveaux emprunts nets à 31,4 milliards d'euros en 2012, au lieu des 40,1 milliards initialement prévus, à la faveur d'une solide croissance économique.
En 2013, ces nouveaux emprunts nets atteindraient 22,9 milliards d'euros, 15,7 milliards en 2014 et 12,8 milliards en 2015, suivant ce document où l'on peut également lire que le gouvernement anticipe une croissance économique annuelle moyenne de 1,6% jusqu'en 2015. | |
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