Les vins de Coco .

Citation :

pour la gouverne d'Ungern oui j'habite le coin !

mon kibboutz qui est réputé pour ses bons vins,
se trouve au dessous de Marom el Raz agglomération libanaise ,
et se trouve à droite du kibboutz Baram et du village Avivim!

Salut Coco,il y a pas beaucoup de vignobles "à droite" d'Avivim,c'est surtout à "gauche" d'Avivim (il faut toujours regarder la carte pointée vers le nord,même si on lit de droite à gauche ).

Mon pronostic c'est "Yiron" comme centre viticole au sud ouest d'Avivim ... A gauche donc ....

Dit c'est "dangereux" ton bled... T'es en plein dans la zone des Grad ...
Même un mortier lourd, t'es pas à l'abris tu sais ..

Tiens t'as vu ce qu'on raconte sur Wikipedia concernant "Yiron" ?

Citation :

En 1947, le village arabe de Saliha est détruit par la Haganah. Les soldats israéliens de la Brigade Yiftah du Palmach, ont massacré 70 à 80 personnes, puis ont fondé le kibboutz Yiron le 20 mai 1949

T'es revenu de Grèce pour la "fête au village" alors ?

Tu me diras,un incendie de plus à la Lag Ba Omer ...
Personne n'y verra que du feu ...

[quote]

1 -

Le vin de coco est un nectar et de réputation internationale. Notre excellent camarade Bran pourra en témoigner et nous en ramener une bouteille de RSA.


Il y a des copies moins valorisées, mais au charme exotique certain, notre excellent camarade André voudra bien nous faire part de ses appréciations ainsi que celles des demoiselles Joan Chen qui s'amuse, Sucre d'Orge et Trou-de-balle :

Citation :

http://vietnamnatal.blog.mongenie.com/index/p/2006/09/151024
En novembre 2005, Ba Thanh, alors retraité, a fondé la Sarl Vuong An Viêt qui a lancé les premières bouteilles de vin de coco sur le marché local le mois suivant. Son usine sort chaque mois 15.000 bouteilles qui se vendent chacune de plus de 10.000 dôngs à 52.000 dôngs (près de 0,3 dollar) et s'avèrent bien appréciées par les consommateurs britanniques, thaïlandais, cambodgiens et laotiens.
Ce vin velouté, dont la qualité a été certifiée par le Service sanitaire de Hô Chi Minh-Ville, se distingue d'autres boissons alcoolisées parce qu'il épargne aux consommateurs tout mal de tête, qu'il offre un goût intéressant en mélangeant au soda, qu'il rend les cheveux lisses et s'avère bénéfique aux intestins, a déclaré Ba Thanh.

Citation :

http://www.syfia.info/index.php5?view=articles&action=voir&idArticle=2079
Il suffit pour cela de recueillir la sève dans une calebasse au niveau du bourgeon terminal. Goutte après goutte, l'arbre pleure deux litres d'un jus sucré, le "trimbo", vendu 150 F CFA le litre. Répétée, cette saignée entraîne à terme la mort de l'arbre. Quand le trimbo est tiré, il faut le boire vite, en moins de six heures. Après, il fermente et change de nom. Devenu "Furga", à 300 F CFA le litre, le vin de coco compte plus d'un amateur dans les cabarets clandestins de Moroni, surtout depuis l'augmentation des taxes sur l'alcool. En effet, le gouvernement de cette petite république islamique, en plein Océan Indien, a du faire quelques concessions aux religieux. Parmi celles-ci, une forte augmentation des taxes sur la bière et le vin importés, désormais réservés aux seuls expatriés. Il est donc plus économique de boire du "Furga".Certains lui reprochent toutefois d'être un peu faible en alcool. Récemment, deux consommateurs anjouanais ont cru bon d'ajouter à ses 12 degrés un produit toxique pour s'enivrer plus vite. Ils en sont morts. Les cocotiers comoriens, vidés de leur sève, risquent bien de subir le même sort.

Qui en a bu é-coprah !

Ungern a écrit:

Deuxième jour sans nouvelle de Coco . On commence à s'inquiéter ...
Coco se présente si bien .
Un bon vieux pépé bien tranquille,
qui habite un si joli village si tranquille .

On qui ? À part toi, qui fais semblant d'ignorer le message qu'il t'a laissé avant de partir pour quelques jours, message que je t'ai répété ce matin mais que tu fais comme si tu ne l'avais pas vu... qui d'autre ?

Ungern, qui se répète pour la centième fois, a écrit:

En creusant un peu (mais le mot est très mal choisi ...), on tombe sur une toute autre histoire ...
L'histoire de son village,le village de Yiron ...
Une histoire de massacre et de vol de terres .
Une histoire qui date un peu : "47" ,mais tout de même ... 80 morts ....
Une histoire qu'il ne peut pas ignorer,puisqu'elle est gravée dans la pierre !

80 morts et enterrés ? Que beau vignoble ça doit faire...

Ungern a écrit:

J'avais déjà entendu une histoire assez similaire avec des potagers et des cendres .
L'histoire se répète ...

Toujours fertile en amalgames de mauvais goût et en évocations de cette guerre des ombres entre, d'une part, des bandes armées arabes opposées à la création d'un État arabe et d'un État juif dans cette partie de la Palestine et, d'autre part, des bandes israéliennes voulant défendre leur jeune nation, le madré Ungern reste égal à lui-même...

Ungern a écrit:

Coco est revenu .
Il n'a rien dit mais il est revenu ; il a laissé des traces indélébiles sur le forum .

Les mystères de Coco vont-ils s'éclaircir ?

bel tête d'oiseau !

mais ce n'est pas la mienne!

pour le reste tu n'est qu'un rigolo !

et certainement un trouillard puisque tu ne comprends pas comment j'accepte de vivre dans un endroit aussi dangereux !

coco!

Yiron,c'est un joli petit village,
et puis il est chargé d'histoire ....


Peut être pourrais-tu nous en toucher un mot ?
Par exemple,ce que j'ai dit,ce qu'on trouve un peu partout sur le net,sur le massacre,
c'est bien exact ?

Bientôt les vacances .

Un peu de lecture ?

Citation :

Historien et journaliste au « Monde diplomatique », Dominique Vidal est l’auteur de nombreux ouvrages sur l’histoire du Proche-Orient, notamment « Le Péché originel d’Israël », dont le présent volume constitue une édition actualisée et augmentée.

Journaliste, Sébastien Boussois est titulaire d’une thèse sur l’influence des « nouveaux historiens », et auteur de « Israël confronté à son passé », à paraître fin 2007 aux Editions L’Harmattan.

Yehouda Lancry est ancien ambassadeur d’Israël en France et aux Nations Unies.

Editions de l’Atelier
En librairie le 22 novembre 2007
256 p. - 21 € - ISBN : 978-2-7082-3966-1
Code Sofedis/Sodis : S372164

http://www.info-palestine.net/article.php3?id_article=3399

Apparemment les juifs de Palestine ont mieux résisté à leurs ennemis que les arabes de Palestine aux leurs...

...ou les plus malins... ou les plus motivés...

BEUF....

SIMPLE QUESTION D'ÉPOQUE !!!

Indépendament du charmant petit village de Coco,
comment vous expliquez les prix des vins du coin ?

A première vue ,ça tourne au minimum autour des 50 € la bouteille de 0.70 l.
Pour ce prix là tu peux avoir "du sérieux" en France .
Peut être même du "Mouton Rotschild" ?

Bon trève de plaisanterie,
comment vous expliquez cette affaire ?

Ungern a écrit:

Alors ça me dérange quand le "poids lourd" vient se plaindre en disant qu'il s'est fait "bobo" en tapant sur l'autre ....

Ca se comprend... tout comme lorsque le moustique passe son temps à piquer le gros boeuf... et quand celui-ci, excédé, fini par lui donner un coup de queue, il se met à pousser des cris d'orfraie qu'on l'agresse, qu'on veut le tuer... et le monde entier crie et pleure avec lui...

Ungern a écrit:

Indépendament du charmant petit village de Coco, comment vous expliquez les prix des vins du coin ?
A première vue ,ça tourne au minimum autour des 50 € la bouteille de 0.70 l.
Pour ce prix là tu peux avoir "du sérieux" en France .Peut être même du "Mouton Rotschild" ?
Bon trève de plaisanterie, comment vous expliquez cette affaire ?

Probablement le prix à payer aux chefs mafieux du Hamas pour ne pas être attaqués ?

Ungern a écrit:

Moi j'y vois une autre explication : transfert financier occulte via des achats de collectivités ou d'entreprises ...
Toi pas ?
T'as pas beaucoup d'imaginations .
C'est pas l'impression que tu donnes pourtant ....

Non, je n'ai pas beaucoup d'imaginations... pour tout dire je n'en ai qu'une, d'imagination.
Et alors l'utiliser pour spéculer sur les transferts financiers de Coco... ha ha ha !

Citation :

La qualité du vin israélien ne cesse de surprendre
jeudi 31 décembre 2009, par Myriam Ambroselli

Ces dernières années en Israël, l’industrie vinicole est en pleine effervescence, de nouveaux vignobles, de nouvelles caves, de nouveaux vins. Les Israéliens qui ne buvaient que 3.9 litres par an jusque dans les années 80, ont presque doublé leur consommation et boivent aujourd’hui plus 7 litres de vin par an, un chiffre en progression constante. La hausse de la consommation s’accompagne d’une exigence de qualité et Israël figure désormais sur lacarte du monde des vins.

La dernière décennie a vu une hausse exceptionnelle dans la production de vins de haute qualité en Israël, le nombre des vignobles israéliens a augmenté de telle sorte qu’il y a aujourd’hui environ 150
établissements vinicoles dans un pays de la taille du New Jersey, région des Etats-Unis qui ne possède quant à elle que 30 établissements de cet ordre. 85% des établissements vinicoles israéliens qui fonctionnent actuellement ont été créés au cours de la dernière décennie, ils sont classés de la petite entreprise familiale aux grosses entreprises qui produisent plus de 10 millions de bouteilles à l’année. Le marché du vin est prospère : il rapporte en moyenne 140 millions de dollars chaque année.


Le Moyen-Orient et la Méditerranée orientale ont été le berceau de la production du vin et l’antique Terre de Canaan a fait partie des premiers pays à cultiver les vignes plus de deux mille ans avant l’Europe. Dans le livre du Deutéronome (8 ; , le fruit de la vigne est désigné comme l’une des sept espèces de fruits bénis de la Terre d’Israël.
Ces dernières années des recherches ont permis la découverte d’anciennes presses à raisins et de divers récipients de conservation du vin, indiquant qu’il existait en Terre d’Israël une production de vin fructueuse et importante. Les grappes de raisin et les coupes de vin sont d’ailleurs des motifs que l’on rencontre souvent sur d’anciennes monnaies, jarres ou mosaïques. A l’époque romaine, le vin, à cette
époque très épais et très doux, était exporté jusqu’à Rome. Finalement, l’époque musulmane du VII au XIXème siècle interdira de produire du vin pendant douze siècles.
La production moderne de vin israélien voit le jour en 1870 avec le baron Edmond de Rothschild. Propriétaire du domaine de Bordeaux Château Lafite-Rothschild, il commença à importer des vignes françaises ainsi que les techniques du savoir-faire viticole en Israël. Il est notamment à l’origine du vignoble du Carmel qui constitue encore aujourd’hui un des plus grands producteurs de vin en Israël. Dans les années 80, le marché de vin connu un véritable renouveau avec l’importation du savoir-faire
viticole et des nouvelles techniques de production venant non seulement de la France mais aussi de l’Australie et de la Californie.

Le vin est produit principalement dans cinq régions : en Galilée (y compris le Golan), dans la région de Shimshon (entre les monts de Judée et la plaine littorale), dans la partie semi-aride du Néguev, dans la
plaine de Sharon au sud de Haïfa près de la côte méditerranéenne (région où se trouve la production vinicole la plus importante de tout Israël), et enfin sur les monts de Judée qui entourent Jérusalem. Il existe actuellement en Israël de très bons vins pour n’en citer que quelques uns : le Flam Cabernet Sauvignon, le Merlot, le Sauvignon Blanc, le Chardonnay, le Yarden Katzrin ou encore le Castel Grand Vin. Exporté vers les Etats-Unis, la France, le Royaume-Uni, l’Allemagne, le Canada, (en ordre d’importance), le vin israélien en export rapporte en moyenne 22 millions de dollars chaque année. Plus de 50% des ventes de vin sont réalisées aux Etats-Unis, puis viennent la France et le Royaume-Uni avec respectivement 10% et 9% des exportations de vins israéliens. C’est aussi que les vins kasher d’Israël élaborés sous l’œil attentif d’un contrôleur du rabbinat sont exportés aux communautés juives du monde
entier.

Cependant, l’exportation n’est pas le seul moteur de l’industrie viticole israélienne : la consommation du vin augmente chez les israéliens. Ils boivent plus de 7 litres de vin par an alors qu’en 1948 et jusqu’aux années 80, ils plafonnaient autour de 3.8 litres par an. Le nombre de bouteilles produites et vendues en Israël a presque doublé ces dix dernières années : il y a aujourd’hui plus de 150 boutiques qui vendent plus de 100 000 bouteilles par an en Israël, l’augmentation de points de vente spécialisés ayant contribué à l’augmentation de la consommation. Pour ce qui est des vins non kasher, il est assez difficile de les trouver dans les grands supermarchés. Les chiffres record sont enregistrés pendant la période de Pessah (la Pâque) ainsi que pendant la période qui précède Rosh Hashana (le Nouvel an juif) : les ventes explosent littéralement avec une hausse de plus de 40%.

Il faut dire que la qualité du vin israélien ne cesse de surprendre.
L’année dernière, un critique américain reconnu, Robert Parker, récompensa de plus de « 90 points » quatorze vins israéliens, les classant à l’échelle mondiale comme des vins de caractères exceptionnels. En tête de liste : des vins provenant des vignobles du Yatir, des plateaux du Golan, du kibboutz Tzora, du domaine du Castel et du Carmel. Et encore beaucoup d’autres à découvrir, pour les amateurs…

22 -

Citation :

C’est aussi que les vins kasher d’Israël élaborés sous l’œil attentif d’un contrôleur du rabbinat sont exportés aux communautés juives du monde
entier.

Outre - si j'ose dire - qu'il soit rabina groby comme aurait dit Jeanpolskie 2 , c'est surtout un vin qu'est cher ...

ALORS CE VIN EST CERTAINEMENT sERVI EN POT !!!!!!!!!