OmbreBlanche
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| Sujet: Le défi d'Obama 2012 : reconquérir l'opinion américaine 25/10/2011, 07:43 | |
| > Le président américain a entamé une tournée dans l'ouest des Etats-Unis, ce lundi 24 octobre 2011. Première étape : Las Vegas, dans le Nevada, la ville américaine la plus touchée par la chute du marché de l'immobilier dans le sillage de la crise de 2008. L'occasion pour Barack Obama de défendre à nouveau son projet de loi pour l'emploi et la relance de l'économie, notamment le volet d'aide aux Américains qui peinent à rembourser leurs emprunts hypothécaires. L'occasion, aussi, de s'en prendre, une fois de plus, à ses adversaires républicains. - Citation :
Dans un quartier de la banlieue de Las Vagas, Barack Obama s'offre un mini bain de foule, le 24 octobre 2011.
Barack Obama tente de reprendre la main sur la question de l'endettement des Américains
http://www.rfi.fr/ameriques/20111025-barack-obama-tente-reprendre-main-endettement-Am%C3%A9ricains
Quatre jours après un nouveau rejet de son plan par le Congrès, Barack Obama contre-attaque. L'opposition bloque systématiquement ses propositions, affirme le président, alors il menace de passer en force : « Nous ne pouvons pas attendre plus longtemps qu'un Congrès de plus en plus dysfonctionnel fasse ton travail. Là où ils n'agissent pas, je le ferai».
Pour venir en aide aux propriétaires fonciers qui n'arrivent plus à rembourser leurs hypothèques, le président américain annonce des mesures règlementaires qui n'ont pas besoin de l'aval du Congrès : «L'agence responsable du dossier va prendre une série de mesures pour que les propriétaires responsables aient droit à un refinancement et puissent profiter des taux d'intérêt les plus bas».
De l'aveu même de la Maison Blanche, cette annonce devrait avoir des effets limités. Seuls 4 des 11 millions de propriétaires fonciers actuellement en difficulté ont un emprunt en cours avec une agence publique. Les autres dépendront donc du bon vouloir des institutions privées. Mais l'opération visait surtout à accentuer la pression sur l'opposition républicaine. Et à promouvoir l'activisme du président sur le terrain de l'économie. | |
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