Après la Grèce, l'Italie dans le collimateur de l'UE et du FMI

> L'abandon du projet de référendum grec et des engagements de l'Italie à remettre en ordre ses finances ont permis vendredi au sommet du G20, à Cannes, de se tourner vers d'autres sujets que la crise de la zone euro, comme les marchés des matières premières et la gouvernance économique mondiale.

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L'ITALIE SOUS PRESSION AU G20

http://fr.news.yahoo.com/litalie-sous-pression-le-g20-en-qu%C3%AAte-solution-122801817.html

L'Italie a accepté que le FMI et la Commission européenne suivent la mise en oeuvre des engagements pris le 27 octobre à Bruxelles, au sommet de l'Eurogroupe, en matière de retraites, de marché du travail et de réformes structurelles. Une décision dont s'est réjouie Angela Merkel.

Dans leur projet de plan d'action, les dirigeants du G20 disent s'engager à veiller à ce que le FMI ait des ressources adéquates "pour remplir ses responsabilités systémiques" - c'est-à-dire, notamment, éviter les faillites en cascade de pays et d'établissements financiers.

Le projet de texte obtenu par Reuters ne donne cependant aucune précision sur les moyens d'y parvenir. Le renforcement des moyens du FMI est l'objet de discussions très techniques et un accord paraît difficile à atteindre, compte tenu notamment des réticences américaines.

Selon des responsables européens, plusieurs pistes sont examinées, dont la possibilité de regrouper les droits de tirages spéciaux (DTS) des pays de la zone euro dans un fonds destiné à soutenir les pays aux finances fragiles comme l'Italie ou l'Espagne - qui pourrait être le Fonds européen de stabilité financière (FESF).

Cette solution aurait l'avantage de ne pas créer de liquidités et éviterait à Barack Obama d'avoir à passer par le Congrès, lequel s'opposerait vraisemblablement à une augmentation pure et simple des dotations du FMI.

En revanche, quasiment aucun pays du G20 ne s'est engagé à abonder le FESF pour renforcer son pouvoir de levier, a déclaré la chancelière allemande.

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Cette solution aurait l'avantage de ne pas créer de liquidités et éviterait à Barack Obama d'avoir à passer par le Congrès...

A les voir ainsi aux petits soins avec El Mundial Presidente il faut croire que nos dirigeants européens ne sont pas rancuniers et n'en veulent pas à ce grand allié d'avoir par une com ciblée fait diriger les projecteurs de la crise sur le marasme de la zone euro pour dissimuler dans l'ombre les très graves difficultés économiques et sociales étatsuniennes.

Ayons à l'esprit que, toutes proportions gardées, la situation financière des zétazunis est bien plus grave que celle de l'Italie. Ce sont les citoyens italiens qui détiennent la grande majorité des bons du Trésor émis par l'Italie, alors que les bons du Trésor américains sont détenus à l'extérieur du pays, Chine, Europe, Pays émergeants... Yes we can entube you !