J.O. de Londres 2012

Jadis, les athlètes étaient nus ...

En effet, regarde Biloulou !!!

Inscrite dans le serment olympique, la nudité prônée par les Grecs aux Jeux Olympiques antiques s'explique de diverses façons. Au coeur du sanctuaire d'Olympie qui jouxte dans le Péloponnèse l'antique cité d'Elis, depuis les premiers Jeux organisés en 776 avant J.-C., les Grecs courent, sautent et luttent dans le plus simple appareil. Le terme "gymnos" signifie en effet "nu" et c'est dans cette mesure que les épreuves athlétiques, le pancrace, le pentathlon ou le pugilat, sont appelées gymniques par les Grecs. L'origine de cette pratique remonterait, selon une version relativement répandue, aux Olympiades de 720 avant J.-C. Engagé dans une course de vitesse, l'athlète Orrhipos, représentant la cité de Mégare, perd son caleçon en plein effort et termine nu... mais vainqueur. Loin de se gausser de la mésaventure survenue au malheureux, les juges y voient un signe des Dieux et officialisent la nudité. L'anecdote a le mérite de mettre en avant la dimension religieuse des Jeux, essentielle aux yeux des Grecs.
De simples raisons de commodité auraient aussi favorisé la descente du slip, c'est aussi l'opinion de l'historien Thucydide, qui ajoute que la pionnière en matière de nudité n'est autre que l'antique cité de Sparte (Les Spartiates auraient un temps concouru en caleçon moulant avant de l'abandonner).
Déshabiller l'athlète, le débarrasser de tout artifice, c'est aussi mettre en lumière son harmonieuse beauté corporelle. Et comme en témoigne la statuaire grecque antique, les Hellènes attachent une importance particulière à l'harmonie du corps naturellement façonné par l'exercice. Une question d'esthétique et de philosophie, donc.
La nudité induit également dans l'esprit des Anciens sincérité et authenticité.
La nudité contribuait donc à une certaine équité, n'en déplaise à Socrate qui affirmait avec malice que tous les hommes ne sont pas égaux devant elle. Une réserve que confirme l'anecdote relative au célèbre lutteur antique Milon de Crotone. Doué d'une force herculéenne, il avait été six fois titré à l'épreuve de lutte olympique. Mais la taille de son pénis effrayait à tel point ses adversaires qu'il remporta son septième titre sans combattre, nul ne s'étant présenté pour le défier.

Une jeune femme a été victime d’un improbable accident, mercredi vers 23 h 30 dans le Ve arrondissement à Paris. Alors qu’elle se trouvait dans un restaurant, rue de la Huchette, un article pyrotechnique, utilisé pour agrémenter les consommations, est tombé sur sa robe en nylon. Le vêtement s’est aussitôt embrasé. La jeune femme de 20 ans a tenté d’éteindre les flammes avant d’être brûlée au 2ème degré aux mains, aux cuisses et au bas-ventre alors même que ses poils pubiens très abondants se sont entièrement consumés. Elle a été évacuée par une équipe du Samu vers l’hôpital Cochin dans le XIVe arrondissement. Son pronostic vital n’est pas engagé.

... elle aurait été nue ça ne serait pas arrivé !

... elle aurait été nue ça ne serait pas arrivé !

Cher Dragon !

Impénitent et incorrigible. (Mais t'aimerais-je, différent ? Je m'interroge encore.)

Si... supposons ! SI Ève avait été habillée, est-ce qu'Adam aurait bandé ?

Ne bandant pas, aurait-il éjaculé ?

N'éjaculant pas, pouvait-il se perpétuer ?

Dieu n'est pas con, finalement, qui fit l'animal nu, même son animal préféré. (Si on parle de feuille - et de vigne encore, alors de vin... -, il faut savoir que l'idée censurale vint des siècles et des siècles, amène (s-en) !, après le fait à quelques mâles et futurs " Pères de l'Église " qui ne bandaient pas dionysiaquement parlant, c'est-à-dire avec la juste démesure que Nietzsche, le vrai Christ de la foi nouvelle, a prescrite - sans l'exiger.)

Zut ! Je suis sorti de ma route pour, satyre que je suis, prédater les sylphides... c'est-à-dire tout ce qui est féminin et oculogyre, entendu que je ne suis pas abonné à la religion sémantique de l'Académie, française ou québécoise, alors je redéfinis quelque peu " sylphides " afin que nous ayons plus de libertés, toi et moi - en tout cas, le crayon en main !

Quant à moi, si le Verbe n'est pas créateur, il n'est qu'un complément d'objet indigeste !

Koganwel a écrit :

Citation :

Zut ! Je suis sorti de ma route pour, satyre que je suis, prédater les sylphides... c'est-à-dire tout ce qui est féminin et oculogyre, entendu que je ne suis pas abonné à la religion sémantique de l'Académie, française ou québécoise, alors je redéfinis quelque peu " sylphides " afin que nous ayons plus de libertés, toi et moi - en tout cas, le crayon en main !

Pourquoi à l'instant même où je te lis Cher Ours me revient brutalement en mémoire un trajet fait un 31 décembre 2005 sur une route plate entre Boromo et Ouagadougou ? ... ta référence aux sylphides sans doute ...

Il faisait beau et lourd ce matin là sur cette perpendiculaire du Burkina et peu d'âmes fréquentaient ces paysages monotones, peu même de travailleurs allant rejoindre les nombreux champs de coton. Soudain cheminant le long de la route, j'aperçus un jeune africain à la peau très noire. Comme il semblait aller vers nulle part, j'ai ralenti mon 4x4 et je lui ai proposé de s'asseoir à mes côtés et ainsi de l'avancer un peu vers ce but indéfini. Son corps semblait noueux et une espèce de short mal ajusté laissait découvrir quelles centimètres de sa toison pubienne. Sans même échanger plus de dix paroles, j'ai quitté la grande route afin de rejoindre un endroit plus tranquille, nous nous mîmes l'un et l'autre nus et il me prit en bouche d'une délicieuse façon.

Ces délicieuses rencontres où la frontière entre le masculin et le féminin se confondent, constituent aussi la magie de l'africanité !

Voilà qu'il m'est expliqué - alors comprends-je mieux, c'est bête, mais c'est ainsi ! - pourquoi ce grand garçon aime tant sortir de chez lui, de voyager loin.

Ainsi, il appert que ce qu'il y a de meilleur chez l'autre, c'est ce qu'il me rend. Par exemple un service.

Je me dis, ami Dragon, que nos dites " civilisations " doivent quand même t'aliéner, elles qui sont à materner et à paterner, du moins la masse laborieuse, car elles pratiquent la ségrégation d'état : si tu n'es pas en état de te défendre, on t'attaque ! Ce qu'on refuse à Patrick Bruel, on l'accorde d'emblée à DSK. (Mais le méchant garçon a été trop loin, ses pairs l'abandonnent, il n'a plus la force du groupe pour lui, l'individu écrase fatalement devant le nombre.)

j’espère que les femmes ne vont pas se mettre a poil pour les jeux olympique. sinon il y en a encore qui risquent de se retrouver dans des états de manque grave.

Koganwel a écrit:

Voilà qu'il m'est expliqué - alors comprends-je mieux, c'est bête, mais c'est ainsi ! - pourquoi ce grand garçon aime tant sortir de chez lui, de voyager loin.

Ainsi, il appert que ce qu'il y a de meilleur chez l'autre, c'est ce qu'il me rend. Par exemple un service.

Je me dis, ami Dragon, que nos dites " civilisations " doivent quand même t'aliéner, elles qui sont à materner et à paterner, du moins la masse laborieuse, car elles pratiquent la ségrégation d'état : si tu n'es pas en état de te défendre, on t'attaque ! Ce qu'on refuse à Patrick Bruel, on l'accorde d'emblée à DSK. (Mais le méchant garçon a été trop loin, ses pairs l'abandonnent, il n'a plus la force du groupe pour lui, l'individu écrase fatalement devant le nombre.)

Oui, Ami Ours, elles m'aliènent ! ... mais je m'efforce de rompre ces liens avec force à tout moment et toutes circonstances ... Tu as bien sûr compris que ma réserve naturelle ne m'a néanmoins pas autorisé à relater ce matin l'excellente sodomie qui a conclu mon rapport aussi fortuit que profond avec ce jeune éphèbe africain sur cette route du Burkina dans une ambiance de vacances ...

Comment, circulant en Afrique, ne pas concevoir quelque réserve naturelle...

Seulement d'épeler Ngiri, ça me met dans toutes mes réserves - nul besoin, alors, de me payer un interminable voyage jusqu'au Congo, de subir cette humidité accablante... dont tu ne parles jamais.

La chaleur humide te laisse froid, Globe-trotteur ?

Koganwel a écrit:

Comment, circulant en Afrique, ne pas concevoir quelque réserve naturelle...

Seulement d'épeler Ngiri, ça me met dans toutes mes réserves - nul besoin, alors, de me payer un interminable voyage jusqu'au Congo, de subir cette humidité accablante... dont tu ne parles jamais.

La chaleur humide te laisse froid, Globe-trotteur ?

Le Burkina n'est pas le Congo ! ... Boromo et son étang aux crocodiles n'ont pas le caractère luxuriant des forêts que je hante avec mes amies " Trou de balle " et " Sucre d'orge ". Dans ce sud sahel plus austère, on peut faire une centaine de kilomètres sous une chaleur sèche sans même y croiser plus d'une dizaine de bouches complices et aspirantes ! ... Ce ne sont que de heureux et trop rares hasards qui permettent d'épancher son suc dans la brousse et dans des gorges assoiffées de désirs mais plus réservées sur le plan de la morale ...

Le Burkina n'est pas le Congo !

Pfff ! Vais le noyer dans la Mare d'Oursi, ce contrariant ! (Ça va le rafraichir après les ardeurs complexes du Sahel.)

(Aurais-je choisi le Congo à cause de Tintin ? Chassez le naturel, il revient avec sa sagaie.)

J'en déduis donc que tu te gardes le mieux possible des moiteurs... qui ne sont pas féminines.

Et la première médaille d'or est attribuée à la Chine
(Le Monde.fr | 28.07.2012 à 12h51)




La tireuse chinoise Yi Siling, 23 ans, a décroché la première des 302 médailles d'or des jeux Olympiques de Londres samedi, en carabine à 10 m, sur le pas de tir de la caserne de l'Artillerie royale, devant la Polonaise Sylwia Bogacka et sa compatriote Yu Dan. La championne olympique de Pékin, la Tchèque Katerina Emmons, également médaillée de bronze à Athènes en 2004, a terminé au pied du podium.

Devancée par Bogacka après les qualifications, Yi Siling était encore dans l'ombre de la Polonaise jusqu'au 8e tir de la finale, lorsque la Chinoise prenait la tête pour la conserver jusqu'au 10e passage. Yi Siling avait remporté le titre mondial en 2010, l'agrémentant au passage du record du monde.

Cette saison, elle a terminé sur tous les podiums de Coupe du monde, remportant l'étape allemande à Munich et terminant 2e de l'épreuve pré-olympique sur le pas de tir londonien. Les Françaises Laurence Brize et Emilie Evesque ont été sorties dès les qualifications, terminant respectivement en 26e et 33e position, très loin donc des huit places de finalistes.

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Chine : médaille d'or
France : 26e et 33e position, pas qualifiées
Certainement qu'en Chine la vente d'armes est libre...

C'est cela même, oui... l'argent donne sens et valeur aux qualités d'un homme.

Je savais que ça allait te chatouiller entre les plumes !

Sois aimable avec mes délicats petons, oui ?