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| L'éducation des moutons | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: L'éducation des moutons 7/3/2013, 21:31 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: L'éducation des moutons 7/3/2013, 21:57 | |
| Pression accrue pour donner plus de contraventions La police de Montréal subit des pressions de la direction générale de la Ville qui veut obtenir plus d’argentDes policiers interceptent un automobiliste. Le document dont Le Devoir a obtenu copie mentionne que des mesures doivent être prises par les superviseurs afin d’atteindre les objectifs en matière de contrôle de la circulation. 7 mars 2013, Brian Myles, Montréal Les policiers montréalais sont soumis à une pression accrue pour donner des contraventions aux automobilistes, au point de saper leur moral.
Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a non seulement augmenté le quota de contraventions imposé à ses agents, il consigne minutieusement les données depuis environ un an.
Le Devoir a mis la main sur un document interne au titre explicite : rapport quotidien synthèse sur la prestation du travail des agents affectés au contrôle de la circulation.
- Spoiler:
Les superviseurs d’équipe doivent remplir ce rapport faisant état du nombre de policiers en devoir, du nombre de billets émis en moyenne par policier, et du nombre de billets émis par l’équipe de travail chaque heure de la journée.
Ce suivi serré vise à maintenir « une performance régulière et constante » à toute heure du jour. Des mesures doivent être prises par les superviseurs afin d’atteindre les objectifs en matière de contrôle de la circulation, un euphémisme pour dire qu’ils doivent augmenter la pression sur les troupes pour remplir les quotas, qui sont de deux billets pour les simples patrouilleurs et de 17 pour les policiers membres des unités de circulation.
Les rapports suivent une ligne hiérarchique bien établie pour être transmis aux directeurs adjoints dans chacune des régions, et à la direction des opérations, étant donné l’importance accordée à cette mission.
Le SPVM a par ailleurs confié un contrat d’une valeur approximative de 20 000 $ à la firme Raymond Chabot Grant Thornton afin de revoir le système d’encadrement et le taux de performance des agents de circulation, toujours dans un souci d’augmenter les revenus associés aux contraventions.
Aucun sens
Mis au courant de ces informations, le président de la Fraternité des policiers de Montréal, Yves Francoeur, n’a pas caché sa stupéfaction.
« Ça n’a aucun bon sens. La mission du service de police, c’est de maintenir la paix, l’ordre et la sécurité publique. Je comprends que la circulation fasse partie de ce mandat, mais là, on sent une pression accrue juste pour donner des tickets », a-t-il dit.
Selon nos sources, même les commandants se plaignent de subir cette pression, sans égard à des objectifs de sécurité. On privilégie donc les constats aux automobilistes (150 $ et plus), bien plus payants que les constats aux piétons (52 $), même si ces derniers adoptent des comportements à risque et font partie des cibles prioritaires du SPVM, du moins sur papier. « Ça affecte le moral, car ça devient malsain, nous dit une source bien au fait du dossier. On dit aux gars : “Donnez des tickets payants. Laissez faire les piétons, allez-y pour les automobilistes.” »
Les efforts du SPVM sont dictés par les volontés du directeur général de la Ville de Montréal, Guy Hébert, à qui des rapports de performance mensuels sont acheminés. « On sent la pression du D.G. Il pousse pour avoir des tickets », enchaîne cette source.
« Le chef Marc Parent a une pression énorme de la Ville pour rapporter des revenus », renchérit une deuxième source policière.
Les revenus découlant des contraventions sont importants pour la Ville. Au cours des trois dernières années, ils variaient entre 160 et 166 millions de dollars par an.
Les policiers donnent un peu plus de 600 000 billets par année, alors que l’objectif est de 650 000.
Le tiroir-caisse a retenti moins fort en 2012 avec le conflit étudiant. Accaparés par les manifestations, les policiers avaient moins de temps pour donner des contraventions, si bien, qu’il y a eu un manque à gagner d’une vingtaine de millions de dollars.
Le sujet a fait l’objet de discussions au comité de direction, selon les informations du Devoir. « Il faut s’assurer dès maintenant que les résultats aillent en augmentant », a constaté la haute direction lors de sa réunion de septembre dernier.
On a pourvu aux postes vacants à la circulation en priorité cet automne. « Si le but n’est pas de “rentrer de l’argent”, comment expliquer qu’on pourvoie systématiquement à tous les postes en circulation, alors qu’on laisse des postes vacants dans les postes de quartier ? », s’interroge notre deuxième source.
Le commandant aux communications du SPVM, Ian Lafrenière, concède que le Service suit de près l’évolution des performances en matière de circulation. « Pour nous, ce qui demeure une priorité, c’est le bilan en matière de sécurité routière », a-t-il dit.
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| | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| Sujet: Re: L'éducation des moutons 7/3/2013, 22:04 | |
| Je me suis une fois fait embarquer à un endroit "génial" : Tout le monde employait se couloir de circulation pour aller "tout droit",mais sur la route il était peint qu'il fallait aller à gauche ,ce que personne n'aurait été assez fou pour faire ....
Si on continuait "tout droit",il y avait une petite chicane avec un grand panneau publicitaire pour masquer la vue et une zone de parking en retrait de la route . Derrière le panneau, ce jour là, les flics .
Leur travail était super bien fait: ils coinçaient tous les gens qui étaient passés "au vert" mais qui avaient été "tout droit" ,cad "tout le monde" et pour que ça aille plus vite,et qu'ils puissent chopper toute la fournée suivante,cad tout le feu rouge suivant,tout était déjà sur le pv ; il n'y avait plus qu'à mettre le N° de la plaque et le nom du conducteur ... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: L'éducation des moutons 7/3/2013, 22:14 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: L'éducation des moutons 8/3/2013, 13:23 | |
| Est-ce que nos Autorités légitimes, c-à-d démocratiques, ne volent pas le job de la pègre, grande et petite ? Les voilà à faire de l'extorsion sans en avoir l'air (ne pas en avoir l'air, c'est l'attitude des coupables - cf. les gens publics surpris par le soupçon).
Mais que fait la police ??
(Elle obéit à la " démocratie "... - en Occident, on a inventé une dictature par procuration.) |
| | | Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
| Sujet: Re: L'éducation des moutons 8/3/2013, 13:47 | |
| C'est vrai que c'est dure la vie de tiquets, c'est inbuvable, on se moque de nous.
Ça changera, avec le temps, parce que c'est pas une fixation religieuse.
C'est au moins le coté positif de la chose, c'est a dire le pouvoir de changer.
Plus il y a d'humain sur Terre, moins la vie est importante, plus nous devenons un excédant.
Il en sera toujours ainsi. Mais vos religions vous disent de procréé sans fin et sans intelligence.
C'est bien certain que l'histoire se répètera, et toujours plus dramatiquement.
La modération a bien meilleur goût. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: L'éducation des moutons 8/3/2013, 23:43 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: L'éducation des moutons 9/3/2013, 18:40 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: L'éducation des moutons 9/3/2013, 19:31 | |
| Stéphane Hessel : son dernier débat, avec Daniel Cohn-Bendit La semaine dernière, «le Nouvel Observateur» publiait un débat entre l'auteur d'«Indignez-vous !», mort il y a peu, et le député européen. Dans son essai , "Pour supprimer les partis politiques !?", Cohn-Bendit remet en cause l'utilité des partis politiques. Et vous, Stéphane Hessel, vous avez montré que les mouvements des "indignés" contestent les formations traditionnelles. Pour faire de la politique, faut-il se débarrasser des partis ?
- Spoiler:
- Stéphane Hessel (*) : La question est de savoir sur quelles forces s'appuyer pour sortir de ce manque d'appétit politique dont souffrent nos sociétés contemporaines. Il n'y a rien de plus triste que d'entendre les gens répéter : "Je ne crois plus à la politique." Sans la politique, il ne peut y avoir de progrès de l'humanité.
- Daniel Cohn-Bendit (*) : Le problème que je pose à partir de mon expérience à Europe Ecologie est de savoir si l'intervention la plus efficace dans la vie publique part d'un parti. La réponse est non. Un parti, c'est un système refermé sur lui-même, hermétique à ce qui se passe dans la société. Quand on voit le duel Copé-Fillon à l'UMP, ou le choc titanesque Aubry-Royal au PS, on se dit qu'il faut être totalement " hors sol " pour offrir un tel spectacle. Dans leur quête d'un pape ou d'une papesse, les partis finissent par oublier leur raison d'être.
Daniel Cohn-Bendit écrit qu'un parti c'est un "blindage", une armure où il n'y a plus de débats. Est-ce qu'au fond un parti n'interdit pas l'indignation ?
- S. H. : Ce réflexe d'indignation que j'ai prôné dans mon livre ne peut pas se borner à soutenir un parti politique. Il faut explorer d'autres champs. Les partis se préoccupent trop de ce qui se passe dans leur propre pays, dans un cadre étroitement national. Sans aucune vision du monde.
- D. C.-B. : Je ne dirais pas que les partis empêchent l'indignation mais qu'ils l'instrumentalisent. Un parti est rarement interpellé par ce qui se passe dans la société. Observons les campagnes présidentielles en France : les candidats font comme si l'Europe et le monde n'existaient pas. Ils devraient avoir le courage de dire aux électeurs que la France est devenue un petit pays. Elle pèse à l'échelle du monde ce que pèse le Luxembourg en Europe. Pour autant, un petit pays peut faire de grandes choses.
- S. H. : Les vrais débats sont lancés hors des partis. C'est ce que nous avons fait avec l'économiste Pierre Larrouturou à travers le collectif baptisé Roosevelt 2012. Cette initiative vise à dire que c'est le fonctionnement de l'économie mondiale qui est le point d'achoppement pour tout progrès. Ce que Dany et moi reprochons aux partis traditionnels, c'est leur enfermement dans une longue histoire, dans leurs passés respectifs. Ils ne regardent pas vers le futur. Aujourd'hui, réfléchir à demain, c'est prendre en compte d'abord l'écologie ! Un parti n'est plus une structure suffisante pour porter un tel enjeu qui relève du bien commun.
- D. C.-B. : La question qui se pose pour nos démocraties est d'agir en tenant compte des générations à venir. Comment mobiliser les citoyens sur des enjeux de long terme alors qu'ils réclament des retombées immédiates ? L'écologie est une dimension de réflexion collective qui remet en cause les traditions de gauche comme de droite. Par-delà les clivages partisans, elle mobilise des personnalités aussi diverses que Chantai Jouanno, Michel Rocard, Pierre Larrouturou...
Mais l'action politique, ce n'est pas qu'une juxtaposition d'individualités, c'est d'abord une organisation collective.
- S. H. : C'est pourquoi nous devons créer de nouvelles formes collectives. Nous avons une organisation mondiale, l'ONU, dont les faiblesses et les lâchetés tiennent au fait qu'elle s'appuie sur des gouvernements. Quand on veut faire travailler ensemble 192 pays - dont les deux tiers ne sont pas démocratiques -, on se heurte à des difficultés insurmontables. Un secrétaire général, Kofi Annan, a eu l'intelligence de définir ce que l'on a appelé les huit Objectifs du Millénaire pour le Développement (lutte contre l'extrême pauvreté, accès à l'éducation, égalité des sexes, etc.). C'est autour de ces objectifs que l'on peut faire travailler ensemble les citoyens du monde. Il existe une formidable capacité d'interpellation qui vient des ONG, justement parce qu'elles ne dépendent pas des gouvernements nationaux. C'est là qu'est l'espoir !
Daniel Cohn-Bendit, au Parlement européen, n'êtes-vous pas à vous tout seul une sorte d'ONG qui interpelle les gouvernements ?
- D. C.-B. : En tout cas, les ONG permettent de dépasser les réflexes de partis. Par exemple Guy Verhofstadt, le président du groupe des démocrates et libéraux au Parlement européen avec qui j'ai signé il y a quelques mois "Debout l'Europe !", c'est un enfant de Thatcher. Nos différences politiques sont profondes mais ne nous empêchent pas de débattre et de porter une cause commune, l'Europe ! Sur l'Europe comme sur l'écologie, on ne progressera pas en mobilisant une partie de la société contre l'autre. Il faut construire des passerelles.
Dans son livre, Daniel Cohn-Bendit se revendique d'un " réformisme subversif ". Ca existe ?
- S. H. : C'est là que la notion d'indignation trouve sa place. Si on commence par s'indigner devant les dysfonctionnements de la société, on se met obligatoirement en quête d'autre chose. Le message du réformisme subversif, c'est : "Indignez-vous, oui, mais pour faire quelque chose !"
- D. C.-B. : Le réformisme subversif est indispensable pour sauver l'Europe. Les gouvernements viennent d'aboutir à un très mauvais accord sur le budget. Au Parlement européen, les députés peuvent commettre un acte subversif en le rejetant pour remettre au coeur du débat la question de la démocratie européenne ! Ils vont subir une pression énorme sur le mode "vous mettez l'Europe en danger !". Ils doivent réfuter ce syndrome dit "de Tina", "There is no alternative". Il y a toujours une alternative. Sinon, il n'y a plus de démocratie.
Et François Hollande, que vous avez soutenu, est-il réformiste ? Subversif ? Ou ni l'un ni l'autre ?
- S. H. : Il est prudent ! Trop prudent. Il ne sera véritablement efficace que s'il intègre le réformisme subversif, c'est-à-dire le besoin de renoncer à des timidités. C'est ce que nous enseigne le livre remarquable de René Passet, " les Grandes Représentations du monde et de l'économie à travers l'histoire. De l'univers magique au tourbillon créateur ". Il y descend en flèche la figure de Milton Friedman. Le danger, c'est la façon dont cet économiste a fait de la mathématique un élément irréversible du fonctionnement de l'économie et a laissé croire, pas seulement à Mme Thatcher mais aussi, un peu, à François Hollande, qu'il n'y a pas moyen de faire autrement.
- D. C.-B. : Hollande se dit : Il faut que j'avance mais je dois donner des garanties à ceux qui ne comprennent pas. Alors il essaie de pacifier, comme il l'a fait lors du débat sur le mariage pour tous ou en recherchant un compromis avec le Medef pour réformer le marché du travail. Hélas, il y a un domaine où il est incapable de rechercher un compromis : c'est l'écologie ! François Hollande soufre d'un blocage culturel ! Sur l'écologie, il est englué dans la culture de la gauche traditionnelle.
Lorsqu'un chômeur en fin de droits s'immole devant une agence de Pôle Emploi à Nantes, est-ce que son acte ne solde pas la mort de la politique, impuissante face à la crise ?
- S. H. : Nous vivons dans une société cruelle, nous le savons. La leçon à tirer de ce drame, c'est que nous ne pouvons pas laisser continuer un système économique et financier qui ne réponde pas aux besoins les plus élémentaires. Et cet événement nous dit aussi qu'il faut aller vite sur les paradis fiscaux, le contrôle des banques, ou la lutte contre la spéculation. Face à la crise, Roosevelt 2012 a bougé en quelques mois ! Donnons-nous jusqu'en septembre pour prendre les décisions subversives et courageuses !
- D. C.-B. : Lors de son discours sur l'état de l'Union, Obama a expliqué que les vingt petites victimes de la tuerie de Newton avaient droit à un vote sur le contrôle des armes. Cet homme qui s'est immolé par le feu à Pôle Emploi, il a droit à un vote pour l'élargissement de la protection sociale. Les jeunes Européens au chômage, ils ont droit à un vote au Parlement européen pour créer enfin une assurance chômage pour les jeunes. Comme les 70 000 morts en Syrie ont droit à un vote à l'ONU.
- S. H. : J'ajoute que ces décisions courageuses et subversives, il est presque impossible de les prendre seul en Europe. C'est pourquoi Dany nous est si précieux au Parlement européen.
Mais il répète qu'il ne sera pas candidat à un nouveau mandat en 2014...
- S. H. : La seule chose que je ne lui pardonnerais pas, c'est qu'il se désintéresse de la politique.
- D. C-B. : Il y a d'autres façons d'intervenir que de se présenter à une élection. Je continuerai à mobiliser, à interpeller, à débattre. Mon modèle, c'est Stéphane Hessel !
Propos recueillis par Maël Thierry et Renaud Dély
(*) DANIEL COHN-BENDIT, cofondateur d'Europe Ecologie en 2009, est député européen depuis 1994 et a écrit récemment "Debout l'Europe !" avec Guy Verhofstadt (André Versaille Editeur). Il vient de publier "Pour supprimer les partis politiques ! ? Réflexions d'un apatride sans parti" (Indigène Editions).
STEPHANE HESSEL, grand résistant, déporté, ancien ambassadeur de France, est l'auteur du best-seller mondial "Indignez-vous !" (Indigène Editions), d'"Engagez-vous !", du "Chemin de l'espérance", avec Edgar Morin (Fayard). Il vient de publier "A nous de jouer ! Appel aux indignés de cette terre" aux Editions Autrement.
(Article publié dans "le Nouvel Observateur" du 21 février 2013)
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: L'éducation des moutons 9/3/2013, 20:59 | |
| Quel préchi-précha !
Cela ne m'étonne pas, une telle concordance de vue entre deux partisans d'une "mondialisation" perçue comme heureuse. Entre l'un qui prône une indignation ouatée et l'autre, un effacement de la nation. Deux chantres du fédéralisme, en somme ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: L'éducation des moutons 9/3/2013, 21:04 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: L'éducation des moutons 9/3/2013, 21:09 | |
| Désolé mais je n'y comprend rien ! Un problème informatique ? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: L'éducation des moutons 9/3/2013, 21:24 | |
| Je sais pas ce qui m'a pris... Soudainement je suis passé des moutons aux rats. Allez donc savoir pourquoi?Des rats communiquent par «télépathie» à des milliers de kilomètres Comment un rongeur qui se trouve au Brésil arrive-t-il à communiquer avec son alter ego américain, et qui plus est, se trouve à des milliers de kilomètres de lui ? Par "télépathie"... Des chercheurs en neuroscience de la Grande-Bretagne, des Etats-Unis et du Brésil y sont parvenus, avec l'aide de la technologie. En effet, ils ont fait l'expérience sur deux rats qui arrivent à communiquer sans que ceux-ci ne soient en contact. L'étude a été publiée la revue britannique Nature Scientific Reports .VOIR ICI |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: L'éducation des moutons 9/3/2013, 21:34 | |
| - Pétard a écrit:
- Je sais pas ce qui m'a pris... Soudainement je suis passé des moutons aux rats. Allez donc savoir pourquoi?
Et moi je fais encore un saut plus osé entre des espèces : je nous imagine, toi et moi, avec des casques à électrodes, et moi je t'apprends à penser enfin correctement ! | |
| | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| Sujet: Re: L'éducation des moutons 9/3/2013, 21:37 | |
| Quand ma fille était petite je lui ai montré comment je faisais pour imposer ma volonté aux poissons de son aquarium : Je mettais ma main devant les yeux . Je mettais mon doigt dans l'eau . Je prenais un air inspiré et concentré. (c'est là qu'il y a le truc : je regardais entre les doigts ce qu'ils faisaient...) Puis je disais d'un air sentencieux , et suivant les circonstances : "descendez ,je le veux" ou "monter,je le veux" ...
Ca ratait jamais ! | |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: L'éducation des moutons 9/3/2013, 21:40 | |
| - Ungern a écrit:
- Ca ratait jamais !
C'est la méthode Biloulou, ça!
Depuis quand vous êtes complices? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: L'éducation des moutons 9/3/2013, 22:48 | |
| - Pétard a écrit:
- Ungern a écrit:
- Ca ratait jamais !
C'est la méthode Biloulou, ça!
Depuis quand vous êtes complices? D’après certaines sources bien informées mais qui préfèrent garder l’anonymat, il semblerait qu' en fait Biloulou et Ungern ne sont certainement qu'une unique personne , l'un ayant créer le personnage de l'autre pour mettre un peu d'animation sur LP . Je ne sais plus qui posait la question : "pourquoi aussi peu de participant sur LP?" . En fait nous sommes peut-être encore beaucoup moins nombreux que nous pouvons l'imaginer ! |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: L'éducation des moutons 9/3/2013, 22:56 | |
| En fait, on est tous une illusion collective ! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: L'éducation des moutons 9/3/2013, 23:16 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: L'éducation des moutons 9/3/2013, 23:35 | |
| En effet, pourquoi voudrait-on raisonnablement partager Charly? |
| | | EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
| Sujet: Re: L'éducation des moutons 10/3/2013, 02:17 | |
| 21 - - Spoilerisé subversivement page 1 par Pétard qui a écrit:
- Stéphane Hessel : Il existe une formidable capacité d'interpellation qui vient des ONG, justement parce qu'elles ne dépendent pas des gouvernements nationaux.
Il est très surprenant de la part de Monsieur l'ambassadeur de laisser entendre qu'il n'est pas informé des mille-et-une manières dont usent et abusent les Etats qui majoritairement organisent, financent, pilotent, infiltrent et contraignent lesdites Organisations non gouvernementales. Personne n'est pur et irréprochable en ce bas monde de l'hommerie. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: L'éducation des moutons 10/3/2013, 02:58 | |
| - EddieCochran a écrit:
Personne n'est pur et irréprochable en ce bas monde de l'hommerie. Donc le silence est d'or. |
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