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 NOSTALGIE ANNÉES 60

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MessageSujet: NOSTALGIE ANNÉES 60   NOSTALGIE ANNÉES 60 - Page 7 Empty17/11/2008, 19:04

Rappel du premier message :

https://www.youtube.com/watch?v=5FotU-sW8Fk




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MessageSujet: Re: NOSTALGIE ANNÉES 60   NOSTALGIE ANNÉES 60 - Page 7 Empty20/8/2010, 09:20


" Cette vidéo inclut du contenu de Sony Music Entertainment, qui l'a bloqué dans votre pays pour des raisons de droits d'auteur. "

c'est vraiment des enfoirés
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MessageSujet: Re: NOSTALGIE ANNÉES 60   NOSTALGIE ANNÉES 60 - Page 7 Empty20/8/2010, 21:32

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MessageSujet: Re: NOSTALGIE ANNÉES 60   NOSTALGIE ANNÉES 60 - Page 7 Empty20/8/2010, 21:34

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MessageSujet: Re: NOSTALGIE ANNÉES 60   NOSTALGIE ANNÉES 60 - Page 7 Empty20/8/2010, 21:34

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MessageSujet: Re: NOSTALGIE ANNÉES 60   NOSTALGIE ANNÉES 60 - Page 7 Empty20/8/2010, 21:35

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MessageSujet: Re: NOSTALGIE ANNÉES 60   NOSTALGIE ANNÉES 60 - Page 7 Empty20/8/2010, 21:36

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MessageSujet: Re: NOSTALGIE ANNÉES 60   NOSTALGIE ANNÉES 60 - Page 7 Empty20/8/2010, 21:37

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MessageSujet: Re: NOSTALGIE ANNÉES 60   NOSTALGIE ANNÉES 60 - Page 7 Empty20/8/2010, 21:38

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MessageSujet: Re: NOSTALGIE ANNÉES 60   NOSTALGIE ANNÉES 60 - Page 7 Empty20/8/2010, 21:39

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MessageSujet: Re: NOSTALGIE ANNÉES 60   NOSTALGIE ANNÉES 60 - Page 7 Empty20/8/2010, 21:42

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emma

emma


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MessageSujet: Re: NOSTALGIE ANNÉES 60   NOSTALGIE ANNÉES 60 - Page 7 Empty14/10/2010, 16:33



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EddieCochran
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EddieCochran


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MessageSujet: Re: NOSTALGIE ANNÉES 60   NOSTALGIE ANNÉES 60 - Page 7 Empty6/4/2011, 00:40

163 -

J'ai dégoté une perle piquée sur michelaudiard.com, des extraits des dialogues du film LE CAVE SE REBIFFE de Michel Grangier, 1961, dialogues de Michel Audiard.

Acteurs : Jean Gabin (Ferdinand Maréchal, dit le Dab)
Martine Carol NOSTALGIE ANNÉES 60 - Page 7 659552 (Solange Mideau)
Bernard Blier (Charles Lepicard)
Françoise Rosay (Mme Pauline)
Frank Villard (Eric Masson)
Maurice Biraud (Robert Mideau)
Ginette Leclerc (Léa Lepicard)
Antoine Balpêtré (Lucas Malvoisin)
Albert Dinan (Rémy)
Clara Gansard (Georgette)
Robert Dalban (Maffeux)

Résumé : Désireux de se lancer dans la fabrication de fausse monnaie, Eric Masson, un petit truand, Charles Lepicard, un ancien tenancier de maison close, et Lucas Malvoisin, un homme d'affaires véreux, font appel au talent de graveur de Robert Mideau, dont la femme, Solange, est la maîtresse d'Eric. Mais la petite bande comprend très rapidement qu'elle ne peut faire l'économie d'un homme d'expérience' et contacte bientôt pour superviser l'opération Ferdinand Maréchal, dit le Dab', un caïd rangé des voitures, qui s'est établi éleveur de chevaux à Caracas. D'abord réticent, celui-ci finit par accepter et retrouve Paris après quinze années d'absence. Filé par deux policiers, il les sème à l'hippodrome de Vincennes et se rend chez Lepicard, à qui il expose ses exigences...


Citation :

Ah évidemment j'en suis pas encore aux toiles de maître, mais enfin c'est un début!
- Oh... c'est un début qui promet. Mais tu vois si j'étais chez moi comme tu le disais si gentiment, bah j'mettrai ça ailleurs.
- Qu'est-ce que je disais, y s'rait mieux près de la fenêtre. Tu le verrais où toi ?
- À la cave.
B.Blier/J.Gabin

- Parce que j'aime autant vous dire que pour moi, Monsieur Eric, avec ses costumes tissés en Ecosse à Roubaix, ses boutons de manchette en simili et ses pompes à l'italienne fabriquées à Grenoble, eh ben, c'est rien qu'un demi-sel. Et là, je parle juste question présentation, parce que si je voulais me lancer dans la psychanalyse, j'ajouterais que c'est le roi des cons... Et encore, les rois, ils arrivent à l'heure...Parce que j'en ai connu, moi, mon cher Maître, des Rois... Et pis pas des p'tits... Des Hanovre... Des Hohenzollern... Rien qu'du micheton garanti croisade... Mais vous m'voyez-là, maintenant, mais moi, j'ai pas toujours tenu un clandé !... Vous avez pas connu la Rue du Chabanais... Soixante chambres !... Et y z'ont filé tout ça aux P'tites Soeurs des Pauvres !... Quand j'y pense, tiens... Alors, c'est pour vous dire que votre ami Éric, ses grands airs, y peut s'les cloquer dans l'baba !...
B.Blier

- L'honnêteté, ça se paye.
A.Balpetre

- L'éducation, ça s'apprends pas.
B.Blier

- Mon cher, je sais que le dicton veut qu’on n’prête qu’aux riches... mais on n’leur prête pas à vingt pour-cent. Je n’demanderai pas mieux que d’placer votre argent dans la famille Rotschild, malheureusement...
- Oh mon cher Maître j’vous en prie ! Entre l’Baron Edouard et un traîne patins comme Eric, y’a une marge... D’ailleurs à propos d’marge, j’trouve un peu baroque d’vous prêter à huit pour-cent du pognon qu’vous faites travailler à vingt.
A.Balpetre/B.Blier

- Mais pourquoi j'm'énerverais ? Monsieur joue les lointains ! D'ailleurs, j'peux très bien lui claquer la gueule sans m'énerver !
B.Blier

- Dans un ménage, quand l'homme ne ramène pas un certain volume d'oseille, l'autorité devient, ni plus, ni moins, d'la tyrannie !... Et l'autoritaire, un simple emmerdeur prétentieux !...
B.Blier

- L'affaire redeviendrait possible si on pouvait faire contrôler nos sterling par un spécialiste...
- Vous en connaissez un ?
- Le meilleur !... Pis blanchi sous le harnais, hein... Trente ans d'fausse monnaie et pas un accroc... Un mec légendaire, quoi... Les gens de sa partie l'appellent le Dabe et enlèvent leurs chapeaux rien qu'en entendant son blase... Une épée, quoi...
- S'il est aussi fortiche que tu l'dis, ce... ce Dabe, y doit avoir de gros appétits ! Combien y va encore nous piquer ?
- Si un homme comme ça entre dans la course, ça n'a pas d'prix !... Parce qu'avec lui, y'a pas d'problème... C'est comme si on s'associait avec la Banque d'Angleterre... Nos sterling, on pourra les montrer à Pinay !...
B.Blier/A.Balpetre

- T’es là pour longtemps j’espère ?
- En principe non, mais t’sais dans les affaires on sait jamais. Tu t’déplaces pour trois semaines et pis tu peux rester vingt piges, ça c’est vu.
G.Leclerc/J. Gabin

- Pour une fois que je tiens un artiste de la Renaissance, j'ai pas envie de le paumer à cause d'une bévue ancillaire!
- Une quoi ?
- Une connerie de ta bonniche...
J.Gabin/B.Blier

- Le Bon Dieu aurait pu te faire honnête, tu as de la chance il t'a épargné.
J.Gabin

- Je connaîs ton honnêteté, mais je connais aussi mes classiques. Depuis Adam se laissant enlever une côte jusqu'à Napoléon attendant Grouchy, toutes les grandes affaires qui ont foiré étaient basées sur la confiance...
J.Gabin

- Faire confiance aux honnêtes gens est le seul vrai risque des professions aventureuses
J.Gabin

- Entre nous, Dabe, une supposition... Hein, je dis bien une supposition, que j'ai un graveur, du papier, et que j'imprime pour un million de biftons. En admettant, toujours une supposition, qu'on soit cinq sur l'affaire, ça rapporterait, net, combien à chacun ?
- Vingt ans de placard. Entre truands, les bénéfices ça se partage, la réclusion, ça s’additionne.
B.Blier/J.Gabin

- Le faux talbin est un travail qui se fait dans le feutré.
J.Gabin

- J't'enverrai un gonze dans la semaine. Un beau brun avec des petites bacchantes. Grand. L'air con
- Ca court les rues les grand cons.
- Oui mais celui là, c'est un gabarit exceptionnel! Si la connerie se mesurait, il servirait de mètre étalon! Y serait à Sèvres!
J.Gabin / F.Rosay

- Y suffit de mettre un gigot au four pour voir s'amener les emmerdeurs.

- Dans la vie, ne pas reconnaître son talent, c'est faciliter la réussite des médiocres.
J.Gabin

- Maint’nant dis donc Charles, si t’as besoin d’quelques briques, tu sais qu’j’suis toujours un peu armé moi.
- Oh ! Non. J’en suis pas encore là, j’suis pas v’nu pour te bottiner. Quoi qu’la fraîche elle décarre petit à p’tit et pis si ça continue comme ça, un d’ces quatre, j’vais m’retrouver sur les jantes.
- Bon, bah puisque t’en es pas encore là, alors écoute-moi. Dis toi bien qu’tes p’tites misères c’est rien à coté de c’qui t’attends si tu persistes dans tes rêveries. Parce que dans l’faux talbin, alors là tu vas la comprendre ta douleur. Tu vas y laisser ta santé. Tu vas les découvrir les vicieux, pas ceux qu’tu connais d’habitude. Moi j’te parle des vrais, ceux qu’ont les grandes dents. Y vont t’bectarés tout cru les vilains. Note bien j’sais pas pourquoi j’te raconte ça puisque tu s’ras enchrister avant d’avoir touché une petite tune.
- Tu crois ?
- C’est un coup sûr tu vaux cent contre un dans l’parcours. Tiens prend un beignet là. Tu vas voir c’est bon, c’est du poissecaille que tu trouve pas en France.
- Dis donc, il est girond ton p’tit sommelier.
- Ah ! Bah si l’cœur t’en dis j’peux t’le bloquer pour la sieste.
- Ah ! Non tu vois c’est drôle, mais...j’ai plus d’goût à rien.
- Mais te laisses donc pas aller mec, tu trouveras bien une autre façon d’en r’trousser d’l’oseille, crois-moi c ‘est un service que j’te rend.
- Beuh !
- Bon ! Bah, puisqu’as pas l’air de m’croire, tu sais combien j’ai fait d’opération en trente piges d’exercice ?
- J’sais pas moi, une dizaine.
- Non, Monsieur. Cinq. Y’en a quatre qu’ont bien tournées et puis y’a eu la cinquième.
- Ca a pas marché ?
- Ah ! Non, ça n’a pas marché. Et pourtant j’pouvais croire que j’avais tous les atouts en main. Léon le stéphanois, qu’etait un vrai Rubbens, m’avait gravé un cent Florins plus beau qu’le vrai. J’avais trouvé l’papier en Italie et les encres en Suisse. La bécane, j’mettais mouillé d’sept briques. J’l’avais fait v’nir de chez Kottenburg à Leipzig. Et encore pour plus de sécurité, j’l’avais fais transiter en pièces détachées, moitié par l’Italie, moitié par l’Portugal. Tu peux pas savoir.
- Oh ! Dis donc...
- Et attends, attends, c’est pas tout. En huit heures au chrono, les deux millions d’Florins étaient tombés, la bécane démontée, la gravure détruite et tout l’papelard brulé. Tout ! Tout ! Tout ! Tout !
- B’en alors qu’est ce qu’a pas marché ?
- Eh ! B’en devine.
- Ton client qui t’a pas casqué ?
- Non !
- T’as eu des ennuis avec les perdreaux ?
- NON !
- Alors là, j’vois pas.
- Le dix sept Juin quarante cinq, ça t’dis rien ça, à toi, l’dix sept Juin quarante cinq.
- Non (de la tête)
- Et b’en l’dix sept Juin quarante cinq la banque Royale des Pays Bas a annoncé qu’la coupure de cent Florins était démonétisée et r’tirée d’la circulation, bloquée en banque. Un vane de Madame la reine Wilhemine. A j’m’en rappellerai d’celle là. A cause d’elle j’me suis farci un feu d’cheminée d’quinze cent millions.
- Ils avaient l’droit d’faire ça ?
- Pauv’e con ! Le droit ! Mais dis toi bien qu’en matière de monnaie les états ont tous les droits et les particuliers aucun !
J.Gabin/B.Blier

Ça change de la novelangue de banlieue of today !


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Lawrence

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MessageSujet: Re: NOSTALGIE ANNÉES 60   NOSTALGIE ANNÉES 60 - Page 7 Empty12/3/2015, 12:45

Pour la jeunesse !!!


http://thenostalgiamachine.com/years/1960.html


cheers
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http://www.marbellafirst.net
EddieCochran
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EddieCochran


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Date d'inscription : 03/11/2008

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MessageSujet: Re: NOSTALGIE ANNÉES 60   NOSTALGIE ANNÉES 60 - Page 7 Empty2/2/2016, 01:30

165 -

En furetant sur la VTM j'ai dégoté une ahurissante collection d'objets des années 1960 amassée par
un petit gars de l'époque qui visiblement a fait son service militaire au 152ème R.I. à Colmar mais
d'après son adresse électronique résiderait dans la Marne cependant grâce au président Mol Kouÿu son 
département s'est marié avé le Haut-Rhin au sein de ACLA, un bonheur.

C'est fou, il semblerait qu'ils avait déjà eu de la bureautique en ces temps immémoriaux !

Réduisez le volume sonore, c'est du Rare Bird, une version de As Your Mind Flies By (l'auteur du clip
semble être fâché avé la langue de Shakespeare, voir le sobre générique de fin).

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MessageSujet: Re: NOSTALGIE ANNÉES 60   NOSTALGIE ANNÉES 60 - Page 7 Empty

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