ENCORE UNE VICTIME A 92 ANS DU PALESTINIEN "MADOFF&quot

Zsa Zsa Gabor hospitalisée... Son état général est préoccupant !


"Elle est fatiguée de vivre. Zsa Zsa a perdu toutes ses amies et cela l'attriste énormément. Elle souffre de migraines à répétition et sa santé est devenue très fragile" dévoile le Prince.

L'actrice, d'origine hongroise, peut-être considérée comme la Paris Hilton des années 40 et 50, où ses amours passionnés et ses frasques faisaient la une des journaux people de l'époque, mais en meilleure comédienne, quand même. On se rappelle d'elle dans Moulin Rouge de John Huston, La Soif du Mal d'Orson Welles, L'Ennemi Public Numéro 1 d'Henri Verneuil...et ses participations à de nombreux téléfilms.

En Janvier de cette année, la presse américaine rapportait qu'elle était une des personnalités victimes de l'escroc financier, Bernard Madoff , avec un perte de près de dix millions de dollars !

Souhaitons lui, néanmoins, de se rétablir et de rentrer finir ses jours chez elle.

INCH'ALLAH........

Lawrence a écrit:

"Elle est fatiguée de vivre. Zsa Zsa a perdu toutes ses amies et cela l'attriste énormément. Elle souffre de migraines à répétition et sa santé est devenue très fragile" dévoile le Prince.

Pauvre Zsa Zsa, ça doit être très récent, ces histoires de migraine...

Pour ton titre... est-ce bien du tristement célèbre Madoff que tu parles ?

"Bernard Lawrence Madoff, né le 29 avril 1938 à New York, est un homme d'affaires américain..."

Tiens, à propos : as-tu remarqué que le système financier qui, d'après les journalistes, il aurait monté, est le même que nos caisses de retraite : payer les premiers venus avec les apports des derniers venus !

Épatant, hein ?

Tu disais ?

Cher Biloulou,,

Je ne savais pas que la Belgique était en cessation des paiements des retraites...
Comment fait le brave peuple pour survivre ?


Nouveaux subsides ?

Biloulou a écrit:

Tu disais ?

Lawrence a écrit:

Cher Biloulou,,
Je ne savais pas que la Belgique était en cessation des paiements des retraites...
Comment fait le brave peuple pour survivre ?

Nouveaux subsides ?

Bonjour Lawrence !

Moi non plus. Est-ce que tes sources sont crédibles?
C'est vrai que la situation n'est brillante nulle part...

Et que voulais-tu dire avec ton titre sur le palestinien Madoff ?

C'est bien de Bernard Lawrence Madoff que tu parles, oui ?

Mais oui Biloulou, nous parlons du même, le sémite.....

Biloulou a écrit:

Lawrence a écrit:

Cher Biloulou,,
Je ne savais pas que la Belgique était en cessation des paiements des retraites...
Comment fait le brave peuple pour survivre ?

Nouveaux subsides ?

Bonjour Lawrence !

Moi non plus. Est-ce que tes sources sont crédibles?
C'est vrai que la situation n'est brillante nulle part...

Et que voulais-tu dire avec ton titre sur le palestinien Madoff ?

C'est bien de Bernard Lawrence Madoff que tu parles, oui ?

Lawrence a écrit:

Mais oui Biloulou, nous parlons du même, le sémite.....

Ah ?! Tu veux donc dire : Bernard Lawrence Madoff, Américain de confession juive. C'est ça ?

Et ensuite ?

TOUS LES "LAWRENCE" AU NEZ CROCHU NE SONT PAS DES TRUANDS....

Biloulou a écrit:

Lawrence a écrit:

Mais oui Biloulou, nous parlons du même, le sémite.....

Ah ?! Tu veux donc dire : Bernard Lawrence Madoff, Américain de confession juive. C'est ça ?

Et ensuite ?

Tu tournes autour du pot, je ne sais toujours pas où tu veux en venir.

(Tu deviens encore plus laconique et impénétrable (illisible ?) que Jackleloup par moments... )

Biloulou a écrit:

Tu tournes autour du pot, je ne sais toujours pas où tu veux en venir.

(Tu deviens encore plus laconique et impénétrable (illisible ?) que Jackleloup par moments... )

(tu sais des choses et on n'est pas au courant)
qui voudrait le pénétrer?

Voyons, Jam, je t'en prie ; un Bertrand ça suffit....

Biloulou a écrit:

Voyons, Jam, je t'en prie ; un Bertrand ça suffit....

oui, d'accord
cela dit, un sujet comme celui-ci c'est un appel à la trollerie

Je ne te le fais pas dire !

Lawrence serait un initiateur de trolls ? ... saperlipopette !

Non, non, juste quand un certain Jack Daniels s'est infiltré dans la mêlée...

Bernard Mathusalem Madoff sera probablement libéré en 2.159 à l'âge de 221 ans.
Il aura peut être la grande chance de rencontrer le "Messie" et lui demandera son "Grand Pardon" !!!!!

NEW YORK, USA : Madoff condamné à 150 ans de prison pour sa gigantesque escroquerie
(Par AFP, publié le 29/06/2009 à 18:08)

NEW YORK - Le financier américain Bernard Madoff, accusé de l'une des plus gigantesques escroqueries de tous les temps, a été condamné lundi à 150 ans de prison, par un tribunal de New York, la peine maximale requise.

"Bernard Madoff est condamné à 150 ans de prison. Ainsi en a décidé cette cour," a déclaré le juge Denny Chin.

Le ministère public avait requis cette même peine à l'encontre de l'ex-président du conseil d'administration du Nasdaq à la Bourse de New York.

A 71 ans, l'ancienne coqueluche des milieux financiers, qui a jonglé pendant trente ans avec les milliards de dollars confiés par des banques, des particuliers aisés ou des organisations caritatives, avait plaidé coupable le 12 mars des onze chefs d'inculpation, dont fraude, parjure, blanchiment d'argent et vol. Il évitait ainsi un procès devant un jury.

Madoff était depuis incarcéré loin du confort de son luxueux appartement de l'Upper East Side, dans le nord-est de Manhattan.

Arrivé lundi au tribunal vers 10H00 (14H00 GMT), entouré de policiers et d'une horde de journalistes, Bernard Madoff, en costume impeccable, avait fait face calmement au juge qui a décidé de son sort.

Le financier déchu a demandé pardon à ses innombrables victimes. "Je devrais vivre avec cette douleur le reste de ma vie (...) Je demande pardon à mes victimes. Je suis désolé", a-t-il dit peu avant que sa peine ne soit prononcée.

"Je suis ici pour voir comment agit le système judiciaire face au plus grand voleur de l'histoire de l'univers", avait lancé devant le bâtiment du tribunal Michael De Vita, 59 ans, l'une des innombrables victimes de Madoff.

Au total, selon les enquêteurs, 13 milliards de dollars ont été remis à Madoff et les pertes se chiffreraient entre 50 et 65 milliards, correspondant aux gains qu'auraient engendré les sommes prêtées si les intérêts avaient été réels.

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

Voici donc la palestinen (selon Lawrence) Bernard Lawrence Madoff condamné à une peine exemplaire mais qui ne doit pas apporter grand-chose à ses victimes. Lawrence va-t-il nous annoncer que le Hamas, le Hezbollah, le Fatah et autre Djihad islamique vont se cotiser et convertir les prébendes de la Communauté Européenne en dédommagement pour ses victimes ? Qui vivra verra...

juste faudrait savoir si tout l'argent qu'il a mis de côté ... va être rendu à ses "victimes" (con-sentantes)
mais à mon avis il a dû faire un deal de plaider coupable (et ramasser 150 ans) en échange de quoi sa fortune personnelle reste à la disposition de sa famille
(on ne va pas ruiner une famille qui est si méritante d'être riche et d'avoir vécu tant d'années avec un escroc, ... tout de même!!)

mais tout de même, je trouve qu'ils se foutent vraiment de la gueule du monde avec une justice qui peut condamner un type à 150 ans de prison

c'est vraiment le grand n'importe quoi ce procès
la clownerie à grande échelle
ah oui, c'est vrai... il parait qu'on appelle ça "justice"
alors faut respecter
hein
"justice", le môt qui impôse le res-pêt

je me demande si le mot a un rapport avec "démocratie"?
probablement que oui
des types ont bien dû voter des lois pour qu'on puisse condamner quelqu'un à 150 ans de prison
la condamnation à mort (ou à vie) à petit feu?

ce qui me désole encore plus, c'est que le type a l'air vachement joyeux d'être "le plus grand" escroc de son temps
(ce qui n'est d'ailleurs pas prouvé! les administrations fiscales de bon nombre de pays sont quand même largement plus efficaces que cet amateur)

joyeux, mais il dit qu'il regrette
(je l'entends pouffer)

Citation :

"Bernard Madoff, bouc émissaire de la crise ?"



La justice passe. Exit Madoff.

Sous la loupe médiatique, la sentence spectaculaire de 150 ans de prison prononcée à l'encontre de l'escroc du siècle pourrait laisser croire à une salutaire purge du système bancaire mondial.

Et même apporter, indirectement, un minimum de crédit politique aux dénonciations réitérées de Nicolas Sarkozy et Barack Obama. La réalité est, hélas, plus prosaïque. Plus inquiétante peut-être.

Bernard Madoff n'est que le miroir déformant, la caricature, d'un monde financier qui n'a fait que vaciller sur ses bases. Qui n'a d'ailleurs pas révélé l'ampleur de toutes ses turpitudes. Il y a encore, dans le système bancaire, quelques solides bombes à retardement. Géographiques : en Europe centrale et de l'Est par exemple... Là où les banques françaises sont en première ligne. Systémiques : l'effet boomerang des acquisitions d'entreprises bâties sur le recours massif à la dette (LBO, dans le jargon) est sans doute encore à venir.

Le plus embêtant, dans l'immédiat, c'est que, à peine convalescentes, les banques américaines s'empressent de renouer avec leurs vieux démons. Comme si de rien n'était, elles retrouvent le chemin des opérations de marché à risques et des bonus indécents. Aurait-on oublié que ces pratiques avaient servi d'accélérateur à une politique de prêts immobiliers extravagants et, finalement, de détonateur à une crise généralisée ? Qu'on se le dise, Wall Street ¯ ou plus précisément le capitalisme financier qu'il symbolise ¯ n'est pas mort, malgré les multiples avis de faire-part prématurément publiés. Personne ne peut garantir, aujourd'hui, que d'autres Madoff en herbe ne fassent leur nid dans les ramifications d'un monde bancaire qui a préservé une bonne partie de son opacité, de sa cupidité, de ses réflexes. De son statut.

Mais que fait la « police » ? Certes, elle s'est « payé » quelques têtes de patrons dans les banques, des deux côtés de l'Atlantique. Mieux, elle a fait un tabac au dernier sommet G 20 de Londres, début avril. Les paradis fiscaux au rapp ort, les fonds spéculatifs (hedge funds) au piquet... On allait voir ce qu'on allait voir. On voit surtout que ça avance cahin-caha. Même si l'Union européenne vient de se doter d'une supervision financière renforcée et si Barack Obama vient d'en faire autant.

Ces deux initiatives, parallèles et embryonnaires, seraient plus crédibles si elles se fondaient pour créer le super-gendarme mondial de la finance qui manque apparemment pour vraiment impressionner les acteurs.

Au coeur de la crise bancaire, les politiques avaient saisi le dossier à bras-le-corps. Ils avaient même réussi à tordre le bras aux banquiers les plus aventureux et cupides de la place, y compris en France. Aujourd'hui, le monde de la banque se refait une santé à bon compte et reprend manifestement la main, quitte à renouer avec ses errements passés.

On prend les mêmes et on recommence ? Ce n'est pas très rassurant...

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Madoff-150-ans-de-prison-et-apres-_3632-989370_actu.Htm

OmbreBlanche a écrit:

"Bernard Madoff, bouc émissaire de la crise ?"

C'est en effet le parfum qui se dégage.

Un homme seul qui est responsable de tous les malheurs, qui accepte spontannément toutes les charges qu'on met sur ses épaules, une escroquerie tellement élémentaire que l'accepter ne demande aucune réflexion... même pas des spécialistes et hautes autorités de la finance qui ne se sont apperçus de rien pendant des années...

Difficile à admettre, même avec beaucoup de bonne volonté.

Biloulou a écrit:

Un homme seul qui est responsable de tous les malheurs, qui accepte spontannément toutes les charges qu'on met sur ses épaules, une escroquerie tellement élémentaire que l'accepter ne demande aucune réflexion... même pas des spécialistes et hautes autorités de la finance qui ne se sont apperçus de rien pendant des années...

C'est bien cela qui me dégoûte et me fait rire à la fois.

Le gros procès-spectacle, on prend un "gros poisson" on le passe à la friture... pendant ce temps, combien de "petits Madoff" font leur bizness, certes pas à la même échelle, mais sans que personne ne s'en indigne ?

"On prend les mêmes et on recommence", oui... et pendant ce temps on nous prend pour des cons.

Mais on commence à y être habitués.