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| En attendant l'arrivée de Ross | |
| | Auteur | Message |
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Re01
Nombre de messages : 921 Age : 71 Localisation : Mataró - España Date d'inscription : 09/12/2008
| Sujet: En attendant l'arrivée de Ross 24/6/2009, 11:33 | |
| En attendant l'arrivée de Ross En application de la résolution 1871 du 30 avril 2009, M. Ross se prépare pour une visite dans la région du Maghreb pour des rencontres informels en vue de préparer le terrain pour le prochain round de négociations entre le Front Polisario et le Maroc.
Le gouvernement marocain, en tablant sur des calculs politiques erronés, fait semblant de respecter la légalité internationale, tout en attendant une intervention française pour le sortir de ce cauchemar appelé le Sahara Occidental. Un cauchemar qui dure depuis que Mohamed VI était encore un adolescent de 12 ans. Et s'il ne veut pas se plier au droit international, il risque de vieillir et quitter ce monde, comme son père, sans voir le Sahara devenir définitivement marocain.
Après l'avoir rejeté pendant des années, le Maroc est obligé de négocier avec le Front Polisario dans le but de présenter une proposition qu'il qualifie de nouvelle donne, l'autonomie. Les connaisseurs du dossier savent avec exactitude que ce projet a été maintes fois présenté par le Maroc en 1979 et 1989 lors de la rencontre de Marrakech avec la direction du Polisario. Donc, il n'est pas question que le Front Polisario l'accepte.
Les temps ont révolu. Bush n'est plus aux commandes de la Maison Blanche et l'ONU n'est pas près d'imposer une solution contre le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination, et l'allié des sahraouis, l'Algérie, est devenue une puissance politique, économique et militaire dans la région du Maghreb. Tous les ingrédients sont réunis pour que l'Etat sahraoui voie le jour, même si cet Etat existe déjà puisque la République Arabe Sahraouie Démocratique est membre à part entière de l'Union Africaine.
Il a été définitivement clarifié qu'une solution négociée et mutuellement acceptable par les parties ne veut pas dire courir derrière les caprices d'un gouvernement marocain dirigé par un roi attiré par les jeux d'adolescents, ni derrière les décisions d'un gouvernement européen dirigé par un gigolo dont la politique néo-nazi ne veut pas rompre avec le passé colonial.
Par lettre datée du 28 août 2008, Peter Van Walsun a démissionné, non sans avoir rappelé que "la légalité internationale est avec le peuple sahraoui" et que le conflit du Sahara Occidental est dû à une "injustice commise il y a 34 ans". Cet homme, même s'il était controversé, a dit des vérités comme des temples qui sont tombées sur les têtes des dirigeants marocains qui cherchent à contourner cette légalité moyennant le mensonge, la trahison et les méthodes dignes des états voyous.
M. Christopher Ross va entamer une tournée dans la région. Le Front Polisario lui a réitéré l'entière disposition des sahraouis à coopérer pleinement avec les NNUU et l'a assuré de son soutient pour le succès de sa nouvelle mission. Succès qui s'annonce difficile, puisque la presse marocaine commence déjà ses délires de chercher une solution négociée entre l'Algérie et le Maroc. Précisément, c'est le journal Assabah, dans son édition d'aujourd'hui, qui l'affirme. Pour rappel, c'est le même journal qui vient d'être condamné en France pour avoir accusé un journaliste de France 3 d'agent des services secrets algériens.
Logiquement, le seul et unique moyen de résoudre ce problème est de lever tous les obstacles que le Maroc a contribué à dresser le long de ces 34 années et qu'il accepte enfin à reconnaître ses responsabilités et d'en discuter. Toute la patrie ou le martyre La déclaration du M. Boukhari Ahmed, représentant du Front Polisario à New York, intervient alors que des interrogations multiples ne cessent sur la volonté des Nations Unies de sortir de l'impasse dans lequel l'organisation onusienne s'est mise. Elle a le mérite d'apporter une clarification supplémentaire des responsables sahraouis sur ce problème qui constitue un volet important pour la restauration de la légalité internationale et la crédibilité des organismes internationaux, y compris le Conseil de Sécurité. Tout en réitérant l'engagement des Sahraouis à privilégier la voie pacifique dans la recherche d'une solution juste et équitable au problème sahraoui, et à continuer à collaborer sincèrement avec les instances onusiennes, M. Boukhari n'a pas manqué de rappeler que la communauté internationale doit agir pour éviter le pire. Opportune et logique, la déclaration du diplomate sahraoui a le mérite de clarifier les choses en attendant l'arrivée du représentant spécial du Secrétaire Général, Ban Ki-moon pour la préparation des rencontres informels entre les deux parties. Dans les nouvelles négociations, il ne peut y avoir de retour possible aux méthodes marocaines qui ont mis en échec les quatre rounds de négociations précédents. Les multiples blocages et subterfuges des responsables marocains sont à l'origine de tous ces échecs. Sans conditions préalables, pour le Maroc, veut dire rien que l'autonomie. Il n'est pas nécessaire de rappeler que pour les sahraouis, rien n'est acceptable sauf l'indépendance. C'est ça la réalité si amère pour le Maroc. Une autre vision relève de l'imaginaire. Pour le plus simple des citoyens, c'est clair. La culture nationaliste leur a appris que la volonté des peuples est inquébrantable et la victoire de la lutte armée est sûre. Tous les peuples qui se sont soulevés contre le colonialisme ont fini par arracher leur indépendance. En octobre 1975, lors de l'invasion du Sahara Occidental, Hassan II avait cru qu'il pouvait s'approprier de notre pays, jouant les héros face à un peuple innocent et des partis politiques meurtris par la répression. Le roi a voulu appeler ça "consensus national". C'en était un, mais fait à coups de matraques. Le gouvernement marocain a fait de son autonomie un cheval de bataille, il s'est agité à bout de champ aux Nations Unies, à Madrid, Paris, etc… Grâce aux mauvais conseils de la France, il a fini par croire en son plan, ce qui le conduit forcément à la déception lorsque les autorités marocaines ont été mises devant leurs responsabilités. La résolution 1871 était o ne peut plus claire : les parties sont condamnées à trouver une solution négociée qui garantit le respect du droit du peuple sahraoui à l'autodétermination. Et la patience du Conseil de Sécurité est arrivée à ses limites. Tout comme la patience de la population sahraouie. Le Front Polisario reste fidèle à ses engagements pour trouver une solution pacifique et définitive à ce conflit qui dure plus de 36 ans, et le peuple sahraoui reste fidèle à ses principes. Parmi ces principes "Toute la patrie ou le martyre". | |
| | | Re01
Nombre de messages : 921 Age : 71 Localisation : Mataró - España Date d'inscription : 09/12/2008
| Sujet: En attendant l'arrivée de Ross 24/6/2009, 11:33 | |
| En attendant l'arrivée de Ross En application de la résolution 1871 du 30 avril 2009, M. Ross se prépare pour une visite dans la région du Maghreb pour des rencontres informels en vue de préparer le terrain pour le prochain round de négociations entre le Front Polisario et le Maroc.
Le gouvernement marocain, en tablant sur des calculs politiques erronés, fait semblant de respecter la légalité internationale, tout en attendant une intervention française pour le sortir de ce cauchemar appelé le Sahara Occidental. Un cauchemar qui dure depuis que Mohamed VI était encore un adolescent de 12 ans. Et s'il ne veut pas se plier au droit international, il risque de vieillir et quitter ce monde, comme son père, sans voir le Sahara devenir définitivement marocain.
Après l'avoir rejeté pendant des années, le Maroc est obligé de négocier avec le Front Polisario dans le but de présenter une proposition qu'il qualifie de nouvelle donne, l'autonomie. Les connaisseurs du dossier savent avec exactitude que ce projet a été maintes fois présenté par le Maroc en 1979 et 1989 lors de la rencontre de Marrakech avec la direction du Polisario. Donc, il n'est pas question que le Front Polisario l'accepte.
Les temps ont révolu. Bush n'est plus aux commandes de la Maison Blanche et l'ONU n'est pas près d'imposer une solution contre le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination, et l'allié des sahraouis, l'Algérie, est devenue une puissance politique, économique et militaire dans la région du Maghreb. Tous les ingrédients sont réunis pour que l'Etat sahraoui voie le jour, même si cet Etat existe déjà puisque la République Arabe Sahraouie Démocratique est membre à part entière de l'Union Africaine.
Il a été définitivement clarifié qu'une solution négociée et mutuellement acceptable par les parties ne veut pas dire courir derrière les caprices d'un gouvernement marocain dirigé par un roi attiré par les jeux d'adolescents, ni derrière les décisions d'un gouvernement européen dirigé par un gigolo dont la politique néo-nazi ne veut pas rompre avec le passé colonial.
Par lettre datée du 28 août 2008, Peter Van Walsun a démissionné, non sans avoir rappelé que "la légalité internationale est avec le peuple sahraoui" et que le conflit du Sahara Occidental est dû à une "injustice commise il y a 34 ans". Cet homme, même s'il était controversé, a dit des vérités comme des temples qui sont tombées sur les têtes des dirigeants marocains qui cherchent à contourner cette légalité moyennant le mensonge, la trahison et les méthodes dignes des états voyous.
M. Christopher Ross va entamer une tournée dans la région. Le Front Polisario lui a réitéré l'entière disposition des sahraouis à coopérer pleinement avec les NNUU et l'a assuré de son soutient pour le succès de sa nouvelle mission. Succès qui s'annonce difficile, puisque la presse marocaine commence déjà ses délires de chercher une solution négociée entre l'Algérie et le Maroc. Précisément, c'est le journal Assabah, dans son édition d'aujourd'hui, qui l'affirme. Pour rappel, c'est le même journal qui vient d'être condamné en France pour avoir accusé un journaliste de France 3 d'agent des services secrets algériens.
Logiquement, le seul et unique moyen de résoudre ce problème est de lever tous les obstacles que le Maroc a contribué à dresser le long de ces 34 années et qu'il accepte enfin à reconnaître ses responsabilités et d'en discuter. Toute la patrie ou le martyre La déclaration du M. Boukhari Ahmed, représentant du Front Polisario à New York, intervient alors que des interrogations multiples ne cessent sur la volonté des Nations Unies de sortir de l'impasse dans lequel l'organisation onusienne s'est mise. Elle a le mérite d'apporter une clarification supplémentaire des responsables sahraouis sur ce problème qui constitue un volet important pour la restauration de la légalité internationale et la crédibilité des organismes internationaux, y compris le Conseil de Sécurité. Tout en réitérant l'engagement des Sahraouis à privilégier la voie pacifique dans la recherche d'une solution juste et équitable au problème sahraoui, et à continuer à collaborer sincèrement avec les instances onusiennes, M. Boukhari n'a pas manqué de rappeler que la communauté internationale doit agir pour éviter le pire. Opportune et logique, la déclaration du diplomate sahraoui a le mérite de clarifier les choses en attendant l'arrivée du représentant spécial du Secrétaire Général, Ban Ki-moon pour la préparation des rencontres informels entre les deux parties. Dans les nouvelles négociations, il ne peut y avoir de retour possible aux méthodes marocaines qui ont mis en échec les quatre rounds de négociations précédents. Les multiples blocages et subterfuges des responsables marocains sont à l'origine de tous ces échecs. Sans conditions préalables, pour le Maroc, veut dire rien que l'autonomie. Il n'est pas nécessaire de rappeler que pour les sahraouis, rien n'est acceptable sauf l'indépendance. C'est ça la réalité si amère pour le Maroc. Une autre vision relève de l'imaginaire. Pour le plus simple des citoyens, c'est clair. La culture nationaliste leur a appris que la volonté des peuples est inquébrantable et la victoire de la lutte armée est sûre. Tous les peuples qui se sont soulevés contre le colonialisme ont fini par arracher leur indépendance. En octobre 1975, lors de l'invasion du Sahara Occidental, Hassan II avait cru qu'il pouvait s'approprier de notre pays, jouant les héros face à un peuple innocent et des partis politiques meurtris par la répression. Le roi a voulu appeler ça "consensus national". C'en était un, mais fait à coups de matraques. Le gouvernement marocain a fait de son autonomie un cheval de bataille, il s'est agité à bout de champ aux Nations Unies, à Madrid, Paris, etc… Grâce aux mauvais conseils de la France, il a fini par croire en son plan, ce qui le conduit forcément à la déception lorsque les autorités marocaines ont été mises devant leurs responsabilités. La résolution 1871 était o ne peut plus claire : les parties sont condamnées à trouver une solution négociée qui garantit le respect du droit du peuple sahraoui à l'autodétermination. Et la patience du Conseil de Sécurité est arrivée à ses limites. Tout comme la patience de la population sahraouie. Le Front Polisario reste fidèle à ses engagements pour trouver une solution pacifique et définitive à ce conflit qui dure plus de 36 ans, et le peuple sahraoui reste fidèle à ses principes. Parmi ces principes "Toute la patrie ou le martyre". | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: En attendant l'arrivée de Ross 24/6/2009, 11:57 | |
| DOUBLE ROSS ? - Re01 a écrit:
- En attendant l'arrivée de Ross
En application de la résolution 1871 du 30 avril 2009, M. Ross se prépare pour une visite dans la région du Maghreb pour des rencontres informels en vue de préparer le terrain pour le prochain round de négociations entre le Front Polisario et le Maroc.
Le gouvernement marocain, en tablant sur des calculs politiques erronés, fait semblant de respecter la légalité internationale, tout en attendant une intervention française pour le sortir de ce cauchemar appelé le Sahara Occidental. Un cauchemar qui dure depuis que Mohamed VI était encore un adolescent de 12 ans. Et s'il ne veut pas se plier au droit international, il risque de vieillir et quitter ce monde, comme son père, sans voir le Sahara devenir définitivement marocain.
Après l'avoir rejeté pendant des années, le Maroc est obligé de négocier avec le Front Polisario dans le but de présenter une proposition qu'il qualifie de nouvelle donne, l'autonomie. Les connaisseurs du dossier savent avec exactitude que ce projet a été maintes fois présenté par le Maroc en 1979 et 1989 lors de la rencontre de Marrakech avec la direction du Polisario. Donc, il n'est pas question que le Front Polisario l'accepte.
Les temps ont révolu. Bush n'est plus aux commandes de la Maison Blanche et l'ONU n'est pas près d'imposer une solution contre le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination, et l'allié des sahraouis, l'Algérie, est devenue une puissance politique, économique et militaire dans la région du Maghreb. Tous les ingrédients sont réunis pour que l'Etat sahraoui voie le jour, même si cet Etat existe déjà puisque la République Arabe Sahraouie Démocratique est membre à part entière de l'Union Africaine.
Il a été définitivement clarifié qu'une solution négociée et mutuellement acceptable par les parties ne veut pas dire courir derrière les caprices d'un gouvernement marocain dirigé par un roi attiré par les jeux d'adolescents, ni derrière les décisions d'un gouvernement européen dirigé par un gigolo dont la politique néo-nazi ne veut pas rompre avec le passé colonial.
Par lettre datée du 28 août 2008, Peter Van Walsun a démissionné, non sans avoir rappelé que "la légalité internationale est avec le peuple sahraoui" et que le conflit du Sahara Occidental est dû à une "injustice commise il y a 34 ans". Cet homme, même s'il était controversé, a dit des vérités comme des temples qui sont tombées sur les têtes des dirigeants marocains qui cherchent à contourner cette légalité moyennant le mensonge, la trahison et les méthodes dignes des états voyous.
M. Christopher Ross va entamer une tournée dans la région. Le Front Polisario lui a réitéré l'entière disposition des sahraouis à coopérer pleinement avec les NNUU et l'a assuré de son soutient pour le succès de sa nouvelle mission. Succès qui s'annonce difficile, puisque la presse marocaine commence déjà ses délires de chercher une solution négociée entre l'Algérie et le Maroc. Précisément, c'est le journal Assabah, dans son édition d'aujourd'hui, qui l'affirme. Pour rappel, c'est le même journal qui vient d'être condamné en France pour avoir accusé un journaliste de France 3 d'agent des services secrets algériens.
Logiquement, le seul et unique moyen de résoudre ce problème est de lever tous les obstacles que le Maroc a contribué à dresser le long de ces 34 années et qu'il accepte enfin à reconnaître ses responsabilités et d'en discuter.
Toute la patrie ou le martyre
La déclaration du M. Boukhari Ahmed, représentant du Front Polisario à New York, intervient alors que des interrogations multiples ne cessent sur la volonté des Nations Unies de sortir de l'impasse dans lequel l'organisation onusienne s'est mise.
Elle a le mérite d'apporter une clarification supplémentaire des responsables sahraouis sur ce problème qui constitue un volet important pour la restauration de la légalité internationale et la crédibilité des organismes internationaux, y compris le Conseil de Sécurité.
Tout en réitérant l'engagement des Sahraouis à privilégier la voie pacifique dans la recherche d'une solution juste et équitable au problème sahraoui, et à continuer à collaborer sincèrement avec les instances onusiennes, M. Boukhari n'a pas manqué de rappeler que la communauté internationale doit agir pour éviter le pire.
Opportune et logique, la déclaration du diplomate sahraoui a le mérite de clarifier les choses en attendant l'arrivée du représentant spécial du Secrétaire Général, Ban Ki-moon pour la préparation des rencontres informels entre les deux parties.
Dans les nouvelles négociations, il ne peut y avoir de retour possible aux méthodes marocaines qui ont mis en échec les quatre rounds de négociations précédents. Les multiples blocages et subterfuges des responsables marocains sont à l'origine de tous ces échecs. Sans conditions préalables, pour le Maroc, veut dire rien que l'autonomie. Il n'est pas nécessaire de rappeler que pour les sahraouis, rien n'est acceptable sauf l'indépendance. C'est ça la réalité si amère pour le Maroc. Une autre vision relève de l'imaginaire.
Pour le plus simple des citoyens, c'est clair. La culture nationaliste leur a appris que la volonté des peuples est inquébrantable et la victoire de la lutte armée est sûre. Tous les peuples qui se sont soulevés contre le colonialisme ont fini par arracher leur indépendance.
En octobre 1975, lors de l'invasion du Sahara Occidental, Hassan II avait cru qu'il pouvait s'approprier de notre pays, jouant les héros face à un peuple innocent et des partis politiques meurtris par la répression. Le roi a voulu appeler ça "consensus national". C'en était un, mais fait à coups de matraques.
Le gouvernement marocain a fait de son autonomie un cheval de bataille, il s'est agité à bout de champ aux Nations Unies, à Madrid, Paris, etc… Grâce aux mauvais conseils de la France, il a fini par croire en son plan, ce qui le conduit forcément à la déception lorsque les autorités marocaines ont été mises devant leurs responsabilités. La résolution 1871 était o ne peut plus claire : les parties sont condamnées à trouver une solution négociée qui garantit le respect du droit du peuple sahraoui à l'autodétermination. Et la patience du Conseil de Sécurité est arrivée à ses limites. Tout comme la patience de la population sahraouie.
Le Front Polisario reste fidèle à ses engagements pour trouver une solution pacifique et définitive à ce conflit qui dure plus de 36 ans, et le peuple sahraoui reste fidèle à ses principes. Parmi ces principes "Toute la patrie ou le martyre". |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: En attendant l'arrivée de Ross 24/6/2009, 13:12 | |
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| Sujet: Re: En attendant l'arrivée de Ross | |
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