Les tartuffes du politiquement correct occupent la scène médiatique ...

Dans les périodes qu'on appelle démocratiques où le Pouvoir n'emploie pas de miliciens, il délègue à leur place des espèces de logiciels humains, des drones programmés pour réagir à tous les mots-clés afin de préserver l'orthodoxie de la pensée obligatoire.

Les quinquagénaires d'aujourd'hui (pauvres de nous ... nous sommes une génération qui a beaucoup souffert !) les auront subis toute leur vie : déjà au lycée en 1970 ils essayaient de faire réagir les indifférents dans les couloirs pour mieux les traiter de réactionnaires. A l'université, de septembre à mai, nous aurons subi pendant trois ou quatre ans les mêmes m'as-tu-vu qui montaient sur les bureaux pour haranguer leurs condisciples sur le thème: «Attention, les fascistes sont parmi nous». Ensuite dans la France de Mitterrand puis celle de Jospin le buffet était tellement garni que plus personne n'écoutait ces orateurs devenus inaudibles tant ils avaient la bouche pleine.

On envoie à la télévision des procureurs ivres du seul pouvoir qui reste aux Tartuffes, celui de montrer du doigt n'importe qui au nom de la vertu pour détourner l'attention de la propagation du vice.

Aujourd'hui le banquet est terminé. Les assiettes sont vides, la colère monte, et il faut reprendre les troupes en main. Il faut réveiller la vigilance des «forces de progrès» contre ceux qui font remarquer que les révolutionnaires ont fondé pour la plupart des sociétés de production, des journaux branchés, des agences multimédias, et des cabinets de consulting, pendant que la jeunesse était livrée à la barbarie.

Alors, on envoie à la télévision des procureurs ivres du seul pouvoir qui reste aux Tartuffes, celui de montrer du doigt n'importe qui au nom de la vertu pour détourner l'attention de la propagation du vice. Dans toutes les émissions où l'on débat après 22 heures il s'agit de cacher ce qu'on ne saurait voir. Il s'agit de conjurer ce qu'on ne veut pas entendre. Les chroniqueurs instruisent à charge contre leurs invités, leurs voisins et parfois leurs collègues, d'une manière tellement irréfléchie, tellement systématique, qu'elle est devenue préventive.

Le problème est que la méthode ne fonctionne plus du tout .

Il ne serait pas surprenant non plus que, victime d'un accès de narcissisme irréfléchi, tous ces cons n'aient pas épinglé leurs propres photos sans même s'en apercevoir ... sur le mur des cons justement !

André a écrit:: Les tartuffes du politiquement correct.......

Nous avons déjà à maintes reprises abordé ce problème . Ma question reste la même : comment se fait-il que ces tartufes trouvent encore des gens pour les écouter, voire les admirer ?

Cette semaine, j'ai discuté avec le maire de mon village, en lui annonçant que , pour la première fois, je n'irai plus voter aux élections municipales , et en lui précisant que ce n'était en aucun cas un problème de personnes .

Par ma présence dans l'isoloir , j'ai l'impression de cautionner le système actuel, système que je rejette en bloc car pourri jusqu'à l'os ! Advienne que voudra, mais sans moi !

La broyeuse judiciaire est en marche ... Quel courage ! Pendant ce temps, la police se décarcasse pour éviter de faire grimper les chiffres de la délinquance en décourageant les gens de porter plainte pour agression, cambriolage, viol....

La mairie de Cintegabelle, en Haute-Garonne a annoncé samedi 15 mars le dépôt d'une plainte pour dénoncer l'acte de vandales ayant remplacé le nom de François Mitterrand par celui de l'essayiste d'extrême droite Alain Soral, sur les plaques d'une avenue.

Dans ce fief socialiste, à 35 km de Toulouse, "on a découvert jeudi matin que les deux plaques de l'avenue François Mitterrand avaient été recouvertes d'un pochoir soigneusement fait, pour remplacer le nom de l'ancien président PS par celui d'Alain Soral", a expliqué l'adjoint au maire de Cintegabelle, Sébastien Vincini.

En colère, le maire, Jean-Louis Remy "est allé déboulonner tout de suite ces deux plaques, après avoir pris des photos. Ce n'était pas un simple tag fait à la va-vite sur un mur mais une action organisée", a insisté Sébastien Vincini.

kalawasa a écrit:: La broyeuse judiciaire est en marche ... Quel courage ! Pendant ce temps, la police se décarcasse pour éviter de faire grimper les chiffres de la délinquance en décourageant les gens de porter plainte pour agression, cambriolage, viol....

La mairie de Cintegabelle, en Haute-Garonne a annoncé samedi 15 mars le dépôt d'une plainte pour dénoncer l'acte de vandales ayant remplacé le nom de François Mitterrand par celui de l'essayiste d'extrême droite Alain Soral, sur les plaques d'une avenue.

Dans ce fief socialiste, à 35 km de Toulouse, "on a découvert jeudi matin que les deux plaques de l'avenue François Mitterrand avaient été recouvertes d'un pochoir soigneusement fait, pour remplacer le nom de l'ancien président PS par celui d'Alain Soral", a expliqué l'adjoint au maire de Cintegabelle, Sébastien Vincini.

En colère, le maire, Jean-Louis Remy "est allé déboulonner tout de suite ces deux plaques, après avoir pris des photos. Ce n'était pas un simple tag fait à la va-vite sur un mur mais une action organisée", a insisté Sébastien Vincini.

Je soupçonne Miss Mab d'avoir fait le coup ... pirat

Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009

Je vous donne la leçon de politique que m'a donné notre bon "maire" il y a qq années .

Depuis qu'il y a le TGV, il y avait des inondations .
Pas des petites : 1 à 2 m dans la rue principale du village ,et plusieurs fois par an .
Pourquoi ?? Parce que les travaux d'évacuations d'eau n'avaient pas été faits (chacun des partis, majorité comme opposition avait de très bonnes raisons mais très "locale", et très personnelle pour ça : perturbation d'un commerce, etc, etc ...

Les gens commencent à en avoir mare (c'est le cas de le dire ...).
Il y a une réunion générale .

Moi je m'en fout; je suis sur une hauteur, mais je voulais voir comment ils allaient faire pour s'en sortir, parce qu'ils étaient tous dedans ...

Et bien c'est très simple ...

D'abord vous laissez tout le monde gueuler sur tout et n'importe quoi jusqu'à ce qu'ils s'épuisent .

Ensuite vous leur tenez un discours du genre de celui-ci dont la pertinence aujourd'hui encore m'ébahi :

Vous parlez tous de responsabilités .
Mais si il y a des responsabilités, il n'y a pas de calamités .
Et donc pas d'intervention du fond des calamités .

A la place du fond des calamités qui vous indemnisera tous sûrement, rapidement et gratuitement,
il y aura plusieurs procès longs ,coûteux et à l'issue lointaine et incertaine.

Y a-t-il encore quelqu'un qui a qq chose à ajouter ?

PS.
A la prochaine réunion de travail où on ne fout rien qu'entendre des conneries qui sont en fait des saloperies déguisées en conneries, je vais vous faire un topo sur ce que je vois... et c'est pas triste ...parce que moi je vois "tout" cad que je vois non seulement ce qui se passe, mais aussi le mécanisme sous tendu .