Tuerie de Chevaline... du neuf ....

L'ex-mari américain caché d'Iqbal al-Hilli, tuée à Chevaline en 2012 avec son mari, sa mère et un cycliste français, est mort le jour même de la tuerie, d'une mort supposée naturelle. Le FBI a demandé l'exhumation du corps de l'Américain, mais sa famille refuse.

Près de deux ans après la tuerie de Chevaline, le mystère ne cesse de s'épaissir. La police tente toujours de déterminer les raisons du meurtre par balles, le 5 septembre 2012 en Haute-Savoie, de Saad al-Hilli, 50 ans, ingénieur britannique d'origine irakienne, de sa femme Iqbal, 47 ans, de sa belle-mère de 74 ans et de Sylvain Mollier, cycliste français de 45 ans qui se trouvait au même endroit. Et alors que l'enquête semble au point mort, les autorités viennent de révéler l'existence d'une «coïncidence totalement improbable», selon les mots du procureur d'Annecy Éric Maillaud.
Récemment, un secret d'Iqbal al-Hilli a été rendu public: l'épouse de Saad avait toujours caché à sa famille un séjour aux Etats-Unis entre février 1999 et décembre 2000, au cours duquel elle avait épousé un homme de 13 ans son aîné, pour en divorcer rapidement. Or cet homme, James Thompson, est mort à 60 ans à Natchez, dans le Mississippi, le 5 septembre 2012 après-midi... Soit exactement le même jour que la tuerie de Chevaline.
Officiellement, l'homme est mort d'une crise cardiaque alors qu'il se rendait seul à l'hôpital, se plaignant de douleurs au niveau de la poitrine et des épaules. Aucune autopsie n'a été pratiquée sur le corps. Et il faut croire que la coïncidence a éveillé les soupçons du FBI: l'agence fédérale américaine a en effet demandé il y a un an à la famille de pouvoir exhumer le corps de James Thompson pour en savoir plus sur les causes exactes de sa mort, indique ce vendredi le quotidien britannique The Times. A l'époque, la famille avait refusé.
La famille du mari secret divisée

Mais depuis que l'affaire a été rendue publique, ses proches sont divisés. Sa fille, Joy Martinolich, a expliqué au Daily Mail qu'elle souhaitait désormais que des tests soient réalisés pour être sûre que son père était décédé de mort naturelle. Le fils de ce mari mystère, Joshua Thompson, ne cache plus son inquiétude. «Est-ce que les gens qui ont tué Iqbal vont s'en prendre à nous», se demande-t-il, interrogé par le Daily Express. «Je suis quasiment certain que papa est mort d'une crise cardiaque, mais d'autres forces pourraient être en jeu. Nous avons besoin de réponses, maintenant.»
«On a découvert des choses surprenantes et on n'a toujours pas de réponse à certaines questions», a reconnu lundi le lieutenant-colonel Benoit Vinnemann, qui commande la section de recherches de Chambéry. «Y a-t-il un secret dans la famille qu'on n'aurait pas trouvé? Est-ce que ça concernait Saad? Ou sa femme Iqbal?», s'est-il interrogé. On ne sait pas si James Thompson était toujours en contact avec son ex-femme, et s'il était au courant du meurtre de cette dernière, quelques heures donc avant sa propre mort.
«À force de creuser la vie des victimes dans tous les sens, on met au jour des événements parfois étranges qui ne sont pas nécessairement en lien direct avec l'enquête», a pour sa part estimé Éric Maillaud, le procureur d'Annecy, interrogé par France 3 Alpes. «Avec l'aide des autorites américaines, les enquêteurs ont essayé de creuser davantage. Rien en l'état ne permet de démontrer un lien quelconque» avec le quadruple meurtre de Chevaline, a-t-il ajouté.
Au vu du mode opératoire, les enquêteurs français seraient tentés de privilégier la piste d'un tueur local. Côté français, une vingtaine de gendarmes travaillent encore à plein temps sur l'enquête.

L'ex-mari américain caché d'Iqbal al-Hilli, tuée à Chevaline en 2012 avec son mari, sa mère et un cycliste français, est mort le jour même de la tuerie, d'une mort supposée naturelle. Le FBI a demandé l'exhumation du corps de l'Américain, mais sa famille refuse.

Près de deux ans après la tuerie de Chevaline, le mystère ne cesse de s'épaissir. La police tente toujours de déterminer les raisons du meurtre par balles, le 5 septembre 2012 en Haute-Savoie, de Saad al-Hilli, 50 ans, ingénieur britannique d'origine irakienne, de sa femme Iqbal, 47 ans, de sa belle-mère de 74 ans et de Sylvain Mollier, cycliste français de 45 ans qui se trouvait au même endroit. Et alors que l'enquête semble au point mort, les autorités viennent de révéler l'existence d'une «coïncidence totalement improbable», selon les mots du procureur d'Annecy Éric Maillaud.
Récemment, un secret d'Iqbal al-Hilli a été rendu public: l'épouse de Saad avait toujours caché à sa famille un séjour aux Etats-Unis entre février 1999 et décembre 2000, au cours duquel elle avait épousé un homme de 13 ans son aîné, pour en divorcer rapidement. Or cet homme, James Thompson, est mort à 60 ans à Natchez, dans le Mississippi, le 5 septembre 2012 après-midi... Soit exactement le même jour que la tuerie de Chevaline.
Officiellement, l'homme est mort d'une crise cardiaque alors qu'il se rendait seul à l'hôpital, se plaignant de douleurs au niveau de la poitrine et des épaules. Aucune autopsie n'a été pratiquée sur le corps. Et il faut croire que la coïncidence a éveillé les soupçons du FBI: l'agence fédérale américaine a en effet demandé il y a un an à la famille de pouvoir exhumer le corps de James Thompson pour en savoir plus sur les causes exactes de sa mort, indique ce vendredi le quotidien britannique The Times. A l'époque, la famille avait refusé.
La famille du mari secret divisée

Mais depuis que l'affaire a été rendue publique, ses proches sont divisés. Sa fille, Joy Martinolich, a expliqué au Daily Mail qu'elle souhaitait désormais que des tests soient réalisés pour être sûre que son père était décédé de mort naturelle. Le fils de ce mari mystère, Joshua Thompson, ne cache plus son inquiétude. «Est-ce que les gens qui ont tué Iqbal vont s'en prendre à nous», se demande-t-il, interrogé par le Daily Express. «Je suis quasiment certain que papa est mort d'une crise cardiaque, mais d'autres forces pourraient être en jeu. Nous avons besoin de réponses, maintenant.»
«On a découvert des choses surprenantes et on n'a toujours pas de réponse à certaines questions», a reconnu lundi le lieutenant-colonel Benoit Vinnemann, qui commande la section de recherches de Chambéry. «Y a-t-il un secret dans la famille qu'on n'aurait pas trouvé? Est-ce que ça concernait Saad? Ou sa femme Iqbal?», s'est-il interrogé. On ne sait pas si James Thompson était toujours en contact avec son ex-femme, et s'il était au courant du meurtre de cette dernière, quelques heures donc avant sa propre mort.
«À force de creuser la vie des victimes dans tous les sens, on met au jour des événements parfois étranges qui ne sont pas nécessairement en lien direct avec l'enquête», a pour sa part estimé Éric Maillaud, le procureur d'Annecy, interrogé par France 3 Alpes. «Avec l'aide des autorites américaines, les enquêteurs ont essayé de creuser davantage. Rien en l'état ne permet de démontrer un lien quelconque» avec le quadruple meurtre de Chevaline, a-t-il ajouté.
Au vu du mode opératoire, les enquêteurs français seraient tentés de privilégier la piste d'un tueur local. Côté français, une vingtaine de gendarmes travaillent encore à plein temps sur l'enquête.

L'ex-mari américain caché d'Iqbal al-Hilli, tuée à Chevaline en 2012 avec son mari, sa mère et un cycliste français, est mort le jour même de la tuerie, d'une mort supposée naturelle. Le FBI a demandé l'exhumation du corps de l'Américain, mais sa famille refuse.

Près de deux ans après la tuerie de Chevaline, le mystère ne cesse de s'épaissir. La police tente toujours de déterminer les raisons du meurtre par balles, le 5 septembre 2012 en Haute-Savoie, de Saad al-Hilli, 50 ans, ingénieur britannique d'origine irakienne, de sa femme Iqbal, 47 ans, de sa belle-mère de 74 ans et de Sylvain Mollier, cycliste français de 45 ans qui se trouvait au même endroit. Et alors que l'enquête semble au point mort, les autorités viennent de révéler l'existence d'une «coïncidence totalement improbable», selon les mots du procureur d'Annecy Éric Maillaud.
Récemment, un secret d'Iqbal al-Hilli a été rendu public: l'épouse de Saad avait toujours caché à sa famille un séjour aux Etats-Unis entre février 1999 et décembre 2000, au cours duquel elle avait épousé un homme de 13 ans son aîné, pour en divorcer rapidement. Or cet homme, James Thompson, est mort à 60 ans à Natchez, dans le Mississippi, le 5 septembre 2012 après-midi... Soit exactement le même jour que la tuerie de Chevaline.
Officiellement, l'homme est mort d'une crise cardiaque alors qu'il se rendait seul à l'hôpital, se plaignant de douleurs au niveau de la poitrine et des épaules. Aucune autopsie n'a été pratiquée sur le corps. Et il faut croire que la coïncidence a éveillé les soupçons du FBI: l'agence fédérale américaine a en effet demandé il y a un an à la famille de pouvoir exhumer le corps de James Thompson pour en savoir plus sur les causes exactes de sa mort, indique ce vendredi le quotidien britannique The Times. A l'époque, la famille avait refusé.
La famille du mari secret divisée

Mais depuis que l'affaire a été rendue publique, ses proches sont divisés. Sa fille, Joy Martinolich, a expliqué au Daily Mail qu'elle souhaitait désormais que des tests soient réalisés pour être sûre que son père était décédé de mort naturelle. Le fils de ce mari mystère, Joshua Thompson, ne cache plus son inquiétude. «Est-ce que les gens qui ont tué Iqbal vont s'en prendre à nous», se demande-t-il, interrogé par le Daily Express. «Je suis quasiment certain que papa est mort d'une crise cardiaque, mais d'autres forces pourraient être en jeu. Nous avons besoin de réponses, maintenant.»
«On a découvert des choses surprenantes et on n'a toujours pas de réponse à certaines questions», a reconnu lundi le lieutenant-colonel Benoit Vinnemann, qui commande la section de recherches de Chambéry. «Y a-t-il un secret dans la famille qu'on n'aurait pas trouvé? Est-ce que ça concernait Saad? Ou sa femme Iqbal?», s'est-il interrogé. On ne sait pas si James Thompson était toujours en contact avec son ex-femme, et s'il était au courant du meurtre de cette dernière, quelques heures donc avant sa propre mort.
«À force de creuser la vie des victimes dans tous les sens, on met au jour des événements parfois étranges qui ne sont pas nécessairement en lien direct avec l'enquête», a pour sa part estimé Éric Maillaud, le procureur d'Annecy, interrogé par France 3 Alpes. «Avec l'aide des autorites américaines, les enquêteurs ont essayé de creuser davantage. Rien en l'état ne permet de démontrer un lien quelconque» avec le quadruple meurtre de Chevaline, a-t-il ajouté.
Au vu du mode opératoire, les enquêteurs français seraient tentés de privilégier la piste d'un tueur local. Côté français, une vingtaine de gendarmes travaillent encore à plein temps sur l'enquête.

L'ex-mari américain caché d'Iqbal al-Hilli, tuée à Chevaline en 2012 avec son mari, sa mère et un cycliste français, est mort le jour même de la tuerie, d'une mort supposée naturelle. Le FBI a demandé l'exhumation du corps de l'Américain, mais sa famille refuse.

Près de deux ans après la tuerie de Chevaline, le mystère ne cesse de s'épaissir. La police tente toujours de déterminer les raisons du meurtre par balles, le 5 septembre 2012 en Haute-Savoie, de Saad al-Hilli, 50 ans, ingénieur britannique d'origine irakienne, de sa femme Iqbal, 47 ans, de sa belle-mère de 74 ans et de Sylvain Mollier, cycliste français de 45 ans qui se trouvait au même endroit. Et alors que l'enquête semble au point mort, les autorités viennent de révéler l'existence d'une «coïncidence totalement improbable», selon les mots du procureur d'Annecy Éric Maillaud.
Récemment, un secret d'Iqbal al-Hilli a été rendu public: l'épouse de Saad avait toujours caché à sa famille un séjour aux Etats-Unis entre février 1999 et décembre 2000, au cours duquel elle avait épousé un homme de 13 ans son aîné, pour en divorcer rapidement. Or cet homme, James Thompson, est mort à 60 ans à Natchez, dans le Mississippi, le 5 septembre 2012 après-midi... Soit exactement le même jour que la tuerie de Chevaline.
Officiellement, l'homme est mort d'une crise cardiaque alors qu'il se rendait seul à l'hôpital, se plaignant de douleurs au niveau de la poitrine et des épaules. Aucune autopsie n'a été pratiquée sur le corps. Et il faut croire que la coïncidence a éveillé les soupçons du FBI: l'agence fédérale américaine a en effet demandé il y a un an à la famille de pouvoir exhumer le corps de James Thompson pour en savoir plus sur les causes exactes de sa mort, indique ce vendredi le quotidien britannique The Times. A l'époque, la famille avait refusé.
La famille du mari secret divisée

Mais depuis que l'affaire a été rendue publique, ses proches sont divisés. Sa fille, Joy Martinolich, a expliqué au Daily Mail qu'elle souhaitait désormais que des tests soient réalisés pour être sûre que son père était décédé de mort naturelle. Le fils de ce mari mystère, Joshua Thompson, ne cache plus son inquiétude. «Est-ce que les gens qui ont tué Iqbal vont s'en prendre à nous», se demande-t-il, interrogé par le Daily Express. «Je suis quasiment certain que papa est mort d'une crise cardiaque, mais d'autres forces pourraient être en jeu. Nous avons besoin de réponses, maintenant.»
«On a découvert des choses surprenantes et on n'a toujours pas de réponse à certaines questions», a reconnu lundi le lieutenant-colonel Benoit Vinnemann, qui commande la section de recherches de Chambéry. «Y a-t-il un secret dans la famille qu'on n'aurait pas trouvé? Est-ce que ça concernait Saad? Ou sa femme Iqbal?», s'est-il interrogé. On ne sait pas si James Thompson était toujours en contact avec son ex-femme, et s'il était au courant du meurtre de cette dernière, quelques heures donc avant sa propre mort.
«À force de creuser la vie des victimes dans tous les sens, on met au jour des événements parfois étranges qui ne sont pas nécessairement en lien direct avec l'enquête», a pour sa part estimé Éric Maillaud, le procureur d'Annecy, interrogé par France 3 Alpes. «Avec l'aide des autorites américaines, les enquêteurs ont essayé de creuser davantage. Rien en l'état ne permet de démontrer un lien quelconque» avec le quadruple meurtre de Chevaline, a-t-il ajouté.
Au vu du mode opératoire, les enquêteurs français seraient tentés de privilégier la piste d'un tueur local. Côté français, une vingtaine de gendarmes travaillent encore à plein temps sur l'enquête.