Le pinard, ça devrait être obligatoire !

Antonio Docampo Garcia est décédé il y a deux semaines dans son village de Ribadavia, près de Vigo, en Galice, une région du nord de l'Espagne coincée entre l'Atlantique et le Portugal. Si la presse ibérique parle de lui ces derniers jours, c'est que le vieil homme a tiré sa révérence à l'âge exceptionnel de 107 ans.

Bon vivant

Mais pas seulement. Cette performance n'est pas l'unique raison de sa soudaine popularité. Selon le journal local La Voz de Galicia, ce bon vivant avalait en effet quotidiennement une quantité astronomique de vin: jusqu'à trois litres de rouge par jour. Le secret de sa longévité?

Pas d'eau, sauf de l'eau-de-vie

Selon les informations relayées, l'ex-vigneron a en tout cas pris le plus grand soin, tout au long de sa vie, d'éviter les médicaments et l'eau... sauf un verre d'eau-de-vie de temps en temps. Mais attention, le fervent disciple de Bacchus ne buvait pas n'importe quel vin: uniquement le nectar issu de sa propre production, fruit de ses terres de Ribadavia et réputé sans sulfites, sans additifs ni agents de conservation.

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Dire que Quantat ne jure que par la biere belge



Nick Vinckier, un jeune Belge de 24 ans, a bu son premier verre d'alcool alors qu'il n'avait encore que 14 ans. Dix ans et de nombreuses cuites plus tard, le jeune homme s'est lancé un défi : ne plus boire une goutte d'alcool durant 100 jours. Un défi qui lui a ouvert les yeux.
Une sérieuse gueule de bois a tout changé. Une gueule de bois de deux jours durant laquelle Nick avoue lui-même sur son site qu'il se sentait "comme une épave, aussi fragile mentalement qu'un enfant de huit ans".

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Fêtard invétéré, Nick Vinckier confesse également que ces dix années de biture ont eu un sérieux impact sur sa santé et qu'il "n'avait plus l'impression d'avoir 24 mais plutôt 42 ans". Il était donc grand temps de changer son mode de vie.

Il n'a pas fallu longtemps pour que sa récente sobriété ait un effet positif sur son rythme de vie : il rentrait tôt chez lui, dormait à une heure décente et ne passait plus ses week-ends dans son lit tel un zombie.

10 kilos perdus
"Ces 100 jours ont été les plus beaux de ma vie", avoue-t-il. "Non seulement je me sentais mieux physiquement et mentalement, mais j'avais aussi le sentiment d'être de plus en plus fort." En outre, le jeune homme ne souffrait plus de trous de mémoire, avait perdu dix kilos et sa cure lui a également permis d'économiser pas mal d'argent.

"Plus difficile que d'arrêter de fumer"
Selon Nick, arrêter de boire est plus difficile qu'arrêter de fumer. Il explique cela par la pression sociale que les jeunes subissent en soirées. "Si vous arrêtez de fumer, vous êtes acclamés alors que si vous refusez de boire, vous êtes considérés comme un loser".

Par son acte, Nick Vinckier ne veut pas jouer les moralisateurs et le jeune homme ne critique d'ailleurs quiconque aime boire de l'alcool. Il souhaite simplement attirer l'attention sur le fait qu'il est toujours conseillé de diminuer voire de stopper sa consommation si celle-ci devient excessive et nuit à l'intégrité physique et mentale.

Si Nick avoue qu'il "ira boire un bon verre de vin rouge la semaine prochaine", la gueule de bois, c'est bel et bien terminé pour lui.

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OmbreBlanche a écrit:

Il meurt à 107 ans après avoir passé sa vie à boire du vin

(...)Mais attention, le fervent disciple de Bacchus ne buvait pas n'importe quel vin: uniquement le nectar issu de sa propre production, fruit de ses terres de Ribadavia et réputé sans sulfites, sans additifs ni agents de conservation.
(...)

(S'il est quand même mort c'est qu'il a bu en vain.)

C'est un phénoménal paradoxe qu'étant donné la quantité journalière de rouquin que le Tonio s'envoyait
derrière la cravate jusqu'à 107 ans pour garder un si magnifique état de conservation cela ait pu s'opérer  
sans agents de conservation  . C'est à n'y rien comprendre. Faudra faire des recherches dans
le lait de sa nourrice.

La treille à Tonio doit être irriguée par une source sulfo-calcique :