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| Vous avez dit liberté académique ? Pensez donc... | |
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Auteur | Message |
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bénédicte
Nombre de messages : 1217 Age : 54 Localisation : Presqu'île de La Hague Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Vous avez dit liberté académique ? Pensez donc... 31/8/2009, 01:12 | |
| Le licenciement de Ramadan est un coup porté à la liberté académique
L’Université doit représenter le raisonnement objectif même lorsque les émotions sont vives. Un débat s’impose et non un licenciement.
Le licenciement de Ramadan est un coup porté à la liberté académique L’Université doit représenter le raisonnement objectif même lorsque les émotions sont vives. Un débat s’impose et non un licenciement.
Lettre ouverte : L’Université Erasmus ne doit pas rompre les liens avec Ramadan. Par Dick van Lente et d’autres employés de l’Université Erasmus.
Dans une déclaration conjointe émise mardi dernier, le 18 août, la Municipalité de Rotterdam et le Conseil exécutif de l’Université Erasmus de Rotterdam ont annoncé le licenciement de notre collègue Professeur Tariq Ramadan. Ramadan perdra son poste de consultant au sein de la municipalité et sa chaire professorale à l’Université Erasmus, chaire qui portait sur l’identité et la citoyenneté. En tant qu’employés de l’Université, nous sommes choqués par cette décision que nous tenons pour contraire à la liberté académique.
Nous espérons sincèrement que l’Université reviendra sur sa décision.
La raison invoquée pour le renvoi de Ramadan tient au fait qu’il produit pour Press TV une émission de discussions financée en majeure partie par le gouvernement iranien. D’après le communiqué émis par la municipalité et le Conseil exécutif de l’Université, cela signifie qu’il entretient une « relation indirecte » avec ce régime répressif, et qu’en regard des « sentiments » que cette situation peut évoquer à Rotterdam ou ailleurs, l’apparence même d’une telle relation doit être évitée.
Il est remarquable que le contenu de l’émission de Ramadan et son rôle dans le débat public ne soit pas mis en cause. C’est plutôt la collaboration de Ramadan avec une voie du régime répressif actuel qui est jugée inacceptable. Ramadan a lui-même soutenu dans la page Opinion de ce journal, le 18 août, qu’il jouit encore d’une totale liberté quant au choix des sujets qu’il aborde, des invités et des formes de débats, et qu’un tel programme ne peut que contribuer au difficile processus menant à un débat plus ouvert et plus libre au Moyen Orient et en Occident. Le programme ne fait aucune propagande en faveur du régime d’Ahmadinejad ; Ramadan a d’ailleurs condamné la politique de répression de ce gouvernement. Son licenciement est d’autant plus étrange que l’Université et l’administration municipale reconnaissent dans leur déclaration l’étendue des services que Ramadan fournit en sa qualité d’animateur d’un débat ouvert sur l’Islam et la société occidentale. Nos étudiants apprécient énormément ses conférences. Lorsqu’on a remis son poste en question au printemps dernier à la suite de ses déclarations concernant l’homosexualité et les droits des femmes, le Conseil exécutif a déclaré que l’Université souhaitait favoriser le débat et qu’elle ne voulait pas s’immiscer dans les croyances personnelles des universitaires ou dans leurs déclarations.
Il est déjà assez regrettable que la municipalité se dise maintenant sensible aux « sentiments » de la population face à un intellectuel musulman controversé, mais nous trouvons injustifié le fait que l’Université lui emboîte aveuglément le pas : L’Université doit représenter le raisonnement objectif même lorsque les émotions sont vives.
Le licenciement de Ramadan nous prive de la possibilité d’ouvrir une discussion sur deux sujets d’importance : la liberté académique et la responsabilité des universitaires en regard des sujets politiquement sensibles. Ramadan est un homme qui croit dans un débat ouvert et constructif en toutes circonstances, même s’il risque d’être écorché au passage ; il a également une connaissance approfondie de la communauté musulmane en Occident qui dépasse largement celle d’aucun d’entre nous.
Il peut arriver que nous ne soyons pas du même avis que lui, mais débattre avec lui nous permet de clarifier nos idées. Nous désavouons le fait que son licenciement soit fondé sur les sentiments que son comportement peut susciter. Ce licenciement contrevient à la liberté académique. Nous devons ouvrir le débat avec lui : c’est ce qui devrait se passer dans une communauté intellectuelle telle qu’une université.
Le Conseil exécutif fait ressortir que la décision de mettre fin à la chaire professorale du Professeur Ramadan n’est en aucune façon liée à ses croyances religieuses. Il a le droit et il peut effectivement émettre des opinions controversées à l’Université, ceci est même activement recherché. L’Université est un temple académique où il est possible de tenir des débats serrés et où l’on peut se permettre d’explorer des avenues non conventionnelles. (…) L’essentiel de la question, est qu’il collabore avec une chaîne de télévision financée par le gouvernement iranien. Ce gouvernement fait usage d’une violence disproportionnée contre ses citoyens, notamment les étudiants. Il se sert de la chaîne de télévision pour justifier cette violence, par exemple, dans ses bulletins, il parle de « vandales » plutôt que de « manifestants ». Signataires :
Dick van Lente, Ph.D., Faculté d’Histoire et Arts
Bert Altena, Ph.D., Faculté d’Histoire et Arts
Martijn Kleppe, M.A., Faculté d’Histoire et Arts
Prof. Siep Stuurman, Faculté d’Histoire et Arts
Prof. Heleen Pott, Faculté d’Histoire et Arts et Faculté de Philosophie
Anders Schinkel, Ph.D., Faculté de Philosophie
Prof. Frits Gierstberg, Faculté d’Histoire et Arts Adrie van der Laan, Ph.D., Centre Erasmus de premières Etudes Modernes
Pytrik Schafraad, M.A., Faculté d’Histoire et Arts
Susan Hogervorst, M.A., Faculté d’Histoire et Arts
Prof. Frans-Willem Korsten, Faculté d’Histoire et Arts, Département d’études littéraires, Leiden University
Jiska Engelbert, Ph.D., Faculté d’Histoire et Arts
Jeroen Timmermans, M.A., Faculté de Philosophie
Prof. Henri Beunders, Faculté d’Histoire et Arts
Prof. Paul van de Laar, Faculté d’Histoire et Arts et Musée historique de Rotterdam
Robbert-Jan Adriaansen, M.A., Faculté d’Histoire et Arts
Rolien Duijvendijk, M.A., Faculté d’Histoire et Arts
Hans Maas, Faculté d’Histoire et Arts
Bernadette Kester, Ph.D., Faculté d’Histoire et Arts
Klazien de Vries, Professeur invité de l’Université d’Utrecht et de l’Université Erasmus
Joep a Campo, Ph.D., Faculté d’Histoire et Arts
Prof. Henri Beunders, Faculté d’Histoire et Arts
Hans Maas, Faculté d’Histoire et Arts
Theo Pronk, chercheur à la Faculté d’Histoire et Arts
Rotterdam
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| | | bénédicte
Nombre de messages : 1217 Age : 54 Localisation : Presqu'île de La Hague Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Re: Vous avez dit liberté académique ? Pensez donc... 31/8/2009, 01:17 | |
| J’ai toujours assumé mes choix, je n’ai jamais soutenu une dictature ou une injustice dans les sociétés majoritairement musulmanes comme dans toute autre société. Quant à ceux qui me reprochent « le principe » de présenter un programme de télévision dans une chaine iranienne, je réponds que travailler pour une chaine de télévision n’impose pas de soutenir un régime. Si l’acte politique était si simple, il faudrait d’urgence que mes détracteurs, si férus d’éthique en politique, demandent au gouvernement néerlandais de mettre immédiatement un terme aux relations politiques et économiques avec l’Iran, l’Arabie Saoudite, l’Egypte, Israël ou la Chine. Curieusement, je n’entends pas ces voix. Comme je ne les ai pas entendues quand la municipalité de Rotterdam m’a lavé des fausses accusations de « double discours » ou « d ‘homophobie » ou encore quand la Cours fédérale américaine a inversé en ma faveur le jugement du tribunal de première instance concernant la révocation de mon visa. Pourquoi ce silence ? Pourquoi ces accusations à géométrie variable ? Parce que ces campagnes ne sont que des prétextes destinés à attaquer un « intellectuel musulman visible » et ainsi de gagner des voix sur la peur et le rejet de l’islam. Tous les moyens sont bons pour gagner des électeurs, même les moins dignes, même les moins honnêtes. Je respecte les principes, mais je ne plierai pas devant la propagande malsaine. Non pas seulement pour mon honneur mais également pour celui de notre humanité et de notre avenir. (tariq Ramadan) | |
| | | bénédicte
Nombre de messages : 1217 Age : 54 Localisation : Presqu'île de La Hague Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Re: Vous avez dit liberté académique ? Pensez donc... 31/8/2009, 01:39 | |
| Decidemment, être un intellectuel musulman renommé attire au Pr Ramadan bien des ennuis. Encore un épisode de plus dans cette longue saga qui consiste à salir la respectabilité d'un homme honnête. Flatter les rois, les princes, les régimes et les fortunes n'est pas la philosophie de vie du Pr Ramadan. Ses prises de position l'ont amené à ne plus pouvoir se rendre en Egypte, en Arabie, en Tunisie, en Lybie, en Syrie car il a critiqué ces régimes qui étaient anti-démocratiques et ne respectaient pas les droits de l'homme. Les Etats-Unis ont révoqué son visa à cause de ses virulentes critiques contre les guerres en Afghanistan et en Iralk et le soutien unilatéral à Israël. Ce dernier pays lui a fait savoir qu'il n'y serait jamais le bienvenu.
Et maintenant les Pays-Bas...
Il y a quand même certains endroits de par le monde où il ne fait pas beau se positionner en tant que musulman convaincu, mais cependant réformateur et ouvert au dialogue des civilisations et inter-religieux. Il est tellement plus pratique de ne voir que le côté sombre, tellement plus simple de ne reconnaître en Islam que sa frange la plus radicale. Cela permet de condamner voir de haïr en bloc, sans nuances, sans réflexion, avec les préjugés les plus stupides, la méconnaissance la plus grande, l'aveuglement le plus dangeureux. Comme il est aisé de ne parler que de "fous de Dieu", de "religion guerrière", "d'islamisme radicale", etc etc... Il est bien evident que cette déçision de licenciement est un acte politique. Le fait que le Pr Ramadan soit de confession musulmane n'est pas non plus totalement étranger à cette éviction brutale. Le pretexte, soutien au régime iranien est fallacieux. Le but non-avoué est limpide. Un refus catégorique de dialoguer avec l'Islam. Surtout lorsque cette dernière est représentée, notamment, par une personne dont les compétences et la probité ne devraient plus être mises en cause. Il y a de quoi être édifié. Vraiment. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vous avez dit liberté académique ? Pensez donc... 31/8/2009, 01:54 | |
| Lettre ouverte à mes détracteurs aux Pays Bas_____________________________________ Une nouvelle polémique a commencé aux Pays-Bas. Au mois de mai-juin, on m’accusait de « double discours », d’homophobie et de propos inacceptables à l’égard des femmes. Après vérification, la municipalité de Rotterdam a précisé que ces accusations étaient infondées. Aujourd’hui on affirme que je serais lié au régime iranien et que je soutiendrais la répression qui a suivi les dernières élections. N’est-il pas étonnant que cette dernière accusation ne soit apparue qu’aux Pays-Bas ? Tout se passe comme si j’étais utilisé (avec l’islam) pour régler des comptes politiques dans la course aux voix alors que les élections approches. L’ombre de Geerd Wilders n’est pas loin, lui qui gagne des voix en comparant le Coran au « Mein Kampf » de Hitler. Je suis devenu l’épouvantail et le prétexte au défoulement de passions politiques pas très saines : au fond, cette polémique dit davantage sur l’évolution inquiétante des Pays-Bas que sur ma personne. Les attaques sur mon engagement ont été très violentes et il faut répondre clairement aux accusations. Quand j’ai accepté d’animer une émission en avril 2008, j’avais pris trois mois de réflexion en discutant avec des amis iraniens ainsi qu’avec des spécialistes. J’ai moi-même suivi de près l’évolution du pays et les tensions internes. Je fus l’un des premiers penseurs musulmans, en Occident, à prendre position contre la fatwa à l’encontre de Salman Rushdie. Depuis vingt cinq ans, tout en relevant que comparativement aux pays arabes, l’Iran avait avancé en matière du droit des femmes et de l’ouverture démocratique, j’ai critiqué le manque de liberté d’expression en Iran, l’imposition du foulard, ou plus récemment la conférence sur l’holocauste de 2006 (qui entretenait une dangereuse confusion entre la critique de la politique israélienne et l’antisémitisme). J’ai bien sûr condamné la répression et les tirs sur les manifestants à la suite des élections. J’ai toujours gardé cette ligne critique, et constructive. Je passe du temps à étudier la vraie nature des dynamiques internes et je ne me laisse pas influencer par les campagnes de propagande, ni de l’intérieur du système iranien, ni celle d’Israël (qui affirme, pour s’innocenter de façon inacceptable, que l’Iran serait le principal obstacle à la paix), ni celle des Etats-Unis ou de pays européens qui défendent des intérêts stratégiques. Les rapports entre les forces religieuses et politiques sont très complexes en Iran. Une vision binaire, qui opposerait deux camps – les conservateurs fondamentalistes aux réformateurs démocrates – témoigne d’une profonde ignorance des réalités du pays. En sus, les évolutions vers la transparence démocratique ne se feront pas par les pressions occidentales : le processus sera interne, long et douloureux. En acceptant d’animer un show télévisé autour de débats sur l’islam et la vie contemporaine, j’ai fait le choix du débat critique. On ne m’a jamais rien imposé et j’ai pu inviter des athées, des rabbins, des prêtres, des femmes, voilées ou non, pour débattre de sujets tels que la liberté, la raison, le dialogue interreligieux, le sunnisme et le chiisme, la violence, le jihad, l’amour, l’art, etc. Qu’on regarde donc ces émissions et que l’on me dise si on y trouve une seule seconde de soutien au régime iranien. Le programme est une opportunité d’ouverture sur le monde et je le mène dans le respect de tous mes interlocuteurs. En ces temps de crise en Iran, je veux prendre une décision sereine et juste : je dois considérer les faits et déterminer la meilleure stratégie pour accompagner le processus interne vers la transparence et le respect des droits humains. La polémique et les débats passionnés comme aux Pays Bas aujourd’hui ne sont pas de bons conseils et je veux y voir clair avant de me déterminer. Quand j’ai accepté l’offre de PressTV Ltd à Londres (je n’ai eu aucun contact avec des autorités iraniennes mais avec des producteurs de télévision qui offraient un service à la chaine), je l’ai fait en étant clair sur mes conditions quant aux choix des sujets et à mon indépendance dans le cadre d’une émission traitant de religion, de philosophie et de questions contemporaines. J’ai tout rendu public et mes émissions sont aussi sur mon site depuis le début. J’ai fait le choix d’accompagner l’évolution des mentalités sans jamais avoir à soutenir le régime ni à me compromettre. C’est un choix que beaucoup d’amis iraniens ont non seulement compris mais encouragé. Je ne fais pas ce travail pour l’argent et une autre chaine de télévision d’informations internationales m’a proposé jusqu’au triple des honoraires. J’ai refusé au nom de mes principes. Si je le voulais, en changeant de discours politique et religieux, je pourrais aujourd’hui amasser des fortunes : tous ceux qui suivent mon travail le savent. Mais flatter les rois, les princes, les régimes et les fortunes n’est pas ma philosophie de vie. Mes prises de position m’ont amené à payer le prix fort et je n’ai jamais cédé : je ne peux me rendre en Egypte, en Arabie Saoudite, en Tunisie, en Lybie, en Syrie car j’ai critiqué ces régimes qui étaient anti-démocratiques et ne respectaient pas les droits de l’homme. Les Etats-Unis ont révoqué mon visa à cause de mes virulentes critiques contre les guerres en Afghanistan et en Irak et le soutien unilatéral à Israël. Ce dernier pays m’a fait savoir que je n’y serai jamais le bienvenu. Un conseiller de l’ambassade de Chine m’avait murmuré un rien menaçant, il y a vingt ans, que mon engagement auprès des Tibétains ne passeraient pas inaperçu auprès les autorités de son pays. J’ai toujours assumé mes choix, je n’ai jamais soutenu une dictature ou une injustice dans les sociétés majoritairement musulmanes comme dans tout autre société. Quant à ceux qui me reprochent « le principe » de présenter un programme de télévision dans une chaine iranienne, je réponds que travailler pour une chaine de télévision n’impose pas de soutenir un régime. Si l’acte politique était si simple, il faudrait d’urgence que mes détracteurs, si férus d’éthique en politique, demande au gouvernement néerlandais de mettre immédiatement un terme aux relations politiques et économiques avec l’Iran, l’Arabie Saoudite, l’Egypte, Israël ou la Chine. Curieusement, je n’entends pas ces voix. Comme je ne les ai pas entendues quand la municipalité de Rotterdam m’a lavé des fausses accusations de « double discours » ou « d ‘homophobie » ou encore quand la Cours fédérale américaine à inverser en ma faveur le jugement du tribunal de première instance concernant la révocation de mon visa. Pourquoi ce silence ? Pourquoi ces accusations à géométrie variable ? Parce que ces campagnes ne sont que des prétextes destinés à attaquer un « intellectuel musulman visible » et ainsi de gagner des voix sur la peur et le rejet de l’islam. Tous les moyens sont bons pour gagner des électeurs, même les moins dignes, même les moins honnêtes. Je respecte les principes, mais je ne plierai pas devant la propagande malsaine. Non pas seulement pour mon honneur mais également pour celui de notre humanité et de notre avenir. Tariq Ramadan |
| | | Invité Invité
| | | | Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
| Sujet: Re: Vous avez dit liberté académique ? Pensez donc... 31/8/2009, 12:36 | |
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| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vous avez dit liberté académique ? Pensez donc... 31/8/2009, 13:09 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vous avez dit liberté académique ? Pensez donc... 31/8/2009, 13:18 | |
| Peut être une tribune ouverte et séjour gratis a marbella. |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vous avez dit liberté académique ? Pensez donc... 31/8/2009, 13:26 | |
| Faire progresser la conquête islamique sur l'europe en proposant un faux bien être. |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vous avez dit liberté académique ? Pensez donc... 31/8/2009, 13:38 | |
| Peut être une tribune ouverte et séjour gratis a marbella. Pour le déchet coranique tariq (les clients seraient enchantés). |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vous avez dit liberté académique ? Pensez donc... 31/8/2009, 13:41 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vous avez dit liberté académique ? Pensez donc... 31/8/2009, 13:47 | |
| TOUJOURS RIEN COMPRIS À CE CHARABIA Vivre dans l'islam amoindrit les facultés. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vous avez dit liberté académique ? Pensez donc... 31/8/2009, 13:53 | |
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| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: Vous avez dit liberté académique ? Pensez donc... 31/8/2009, 14:09 | |
| - JACKLELOUP a écrit:
Peut être une tribune ouverte et séjour gratis a marbella.
J'insiste, moi je payerai mon dû jusqu'au dernier agoroth ! | |
| | | bénédicte
Nombre de messages : 1217 Age : 54 Localisation : Presqu'île de La Hague Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Re: Vous avez dit liberté académique ? Pensez donc... 1/9/2009, 00:56 | |
| En définitive, c'est assez traumatisant de vivre à Molenbeek, ça laisse de sacrées séquelles. Dis moi Jack, pourquoi avoir choisi un quartier peuplé d'étrangers, je devrais ajouter certainement de musulmans, poour résider au quotidien ou y établir commerce. Porteur d'une telle aversion, tu devais traçer ta route vite fait. Il n'existe donc pas d'adresses dignent de ce nom qui pourraient mieux te convenir. Au lieu de ce quartier pourri, frère jumeau de notre Barbès national. On n'a pas idée franchement. Surtout que tu nous chantes à longueur de journées que tes poches regorgent tunes. Comprends pas bien vraiment. Quant à Tariq, le jour où il s'établira vendeur de dattes, tu me feras signe. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vous avez dit liberté académique ? Pensez donc... 1/9/2009, 05:40 | |
| Je croyait que l'ont parlait de la mise au rencard de tariq. |
| | | Alice
Nombre de messages : 729 Age : 48 Localisation : Brüsel Date d'inscription : 04/11/2008
| Sujet: Re: Vous avez dit liberté académique ? Pensez donc... 1/9/2009, 15:45 | |
| - Code:
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Dis moi Jack, pourquoi avoir choisi un quartier peuplé d'étrangers, je devrais ajouter certainement de musulmans, poour résider au quotidien ou y établir commerce.
Heu... peut-être parce qu'il habitait là avant eux ? | |
| | | Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
| Sujet: Re: Vous avez dit liberté académique ? Pensez donc... 1/9/2009, 18:50 | |
| - Alice a écrit:
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- Code:
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Dis moi Jack, pourquoi avoir choisi un quartier peuplé d'étrangers, je devrais ajouter certainement de musulmans, poour résider au quotidien ou y établir commerce.
Heu... peut-être parce qu'il habitait là avant eux ? Oui,Alice , c'est comme à Liège | |
| | | bénédicte
Nombre de messages : 1217 Age : 54 Localisation : Presqu'île de La Hague Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Re: Vous avez dit liberté académique ? Pensez donc... 2/9/2009, 23:04 | |
| Il me semble que si la nuisance est si grande, il est toujours possible d'aménager ailleurs. | |
| | | bénédicte
Nombre de messages : 1217 Age : 54 Localisation : Presqu'île de La Hague Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Re: Vous avez dit liberté académique ? Pensez donc... 2/9/2009, 23:10 | |
| Des Professeurs de l’Université d’Amsterdam souhaitent avoir Ramadan comme Professeur invité
Des Professeurs de l’Université d’Amsterdam souhaitent avoir Ramadan comme Professeur invité
Amsterdam – Quatre Professeurs de l’Université d’Amsterdam (UvA) souhaitent que l’islamologue Tariq Ramadan soit nommé Professeur invité à l’UvA. C’est ce qu’ils ont déclaré cette semaine dans le magazine universitaire Folia.
" Ce serait un honneur pour l’Université d’Amsterdam si Tariq Ramadan était le bienvenu ici. Ainsi, nous montrerions clairement que l’UvA ne s’associe pas à la campagne diffamante contre les musulmans qui considèrent que l’islam est important pour eux également au-delà de la sphère privée ", écrivent les universitaires Paul Aarts, Michiel Leezenberg, Annelies Moors et Ruud Peters.
Il y a deux semaines il avait été dit à Ramadan qu’il n’était plus le bienvenu en tant que conseiller à l’intégration à la municipalité de Rotterdam et en tant que professeur invité en charge de la chaire citoyenneté et l’identité de l’Université Erasmus. Le Conseil exécutif de la municipalité, les échevins et le Conseil d’administration de l’université pensent, de concert, que ses activités pour la chaîne de télévision Press TV qui est financée par le gouvernement iranien sont incompatibles avec ses fonctions dans la ville de Maas (surnom de Rotterdam). Les quatre universitaires d’UvA estiment que le renvoi de Tariq Ramadan en qualité de professeur invité à l’université d’Erasmus soulève “des questions de principe". " Le plus important étant de savoir quelle influence le financier de la Chaire a sur le fonctionnement du Professeur titulaire de la chaire. C’est une bonne coutume universitaire que le financier garde ses distances Les universitaires doivent être indépendants et doivent être en mesure de prendre des positions controversées dans le débat public. "
Source : Het Parool, 31 août 2009
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| | | Alice
Nombre de messages : 729 Age : 48 Localisation : Brüsel Date d'inscription : 04/11/2008
| Sujet: Re: Vous avez dit liberté académique ? Pensez donc... 3/9/2009, 09:56 | |
| - Code:
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Il me semble que si la nuisance est si grande, il est toujours possible d'aménager ailleurs. Mais que c'est une idée qu'elle est bonne ! Mais tiens... pourquoi ne vaudrait-elle pas alors pour les palestiniens se plaignant de la présence de plus en plus massive des "colons juifs" ? N'ont qu'à partir si ça représente une si grande nuisance... Non? | |
| | | Shansaa
Nombre de messages : 1674 Date d'inscription : 02/11/2008
| Sujet: Re: Vous avez dit liberté académique ? Pensez donc... 3/9/2009, 11:10 | |
| - charlycharly1940 a écrit:
- Alice a écrit:
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- Code:
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Dis moi Jack, pourquoi avoir choisi un quartier peuplé d'étrangers, je devrais ajouter certainement de musulmans, poour résider au quotidien ou y établir commerce.
Heu... peut-être parce qu'il habitait là avant eux ? Oui,Alice , c'est comme à Liège Ah tiens, comme en Cisjordanie......... . Ou a Jerusalem Est avec la difference que les Palestiniens on cherche a les chasser. Legere, toute legere nuance ! | |
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| Sujet: Re: Vous avez dit liberté académique ? Pensez donc... | |
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| | | | Vous avez dit liberté académique ? Pensez donc... | |
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