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 Du nouveau sur DSK.

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Ungern

Ungern


Masculin Nombre de messages : 17713
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MessageSujet: Du nouveau sur DSK.   Du nouveau sur DSK. Empty9/12/2011, 19:06

Citation :
Vendredi 9 décembre 2011 à 12:15
Affaire DSK: le rôle de la France dans la procédure visant l'ancien chef du FMI
Les images vidéo des caméras de sécurité du Sofitel de New York diffusées hier relancent une série d'interrogations sur l'affaire DSK. Un autre élément révélé aujourd'hui, soulève des interrogations supplémentaires. Le lendemain de l'interpellation de DSK, un accord aurait été conclu entre ses avocats, William Taylor et Benjamin Brafman, et le bureau du procureur Cyrus Vance Jr. Il prévoyait une libération de l'ex-dirigeant du FMI pour une somme de 250 000 dollars. Or cet accord n'a pas été effectif puisque le procureur a subitement changé d'avis "en fin de soirée sans en donner la raison". Il décide de s'opposer à la remise en liberté de M. Stauss-Kahn devant la cour criminelle de Manhattan. Un journaliste fait état "de deux coups de téléphone 'français' passés dans l'après-midi à John 'Artie' McConnell", l'un des adjoints du procureur chargé de l'affaire. Ces deux mystérieux appels auraient été passés par deux fonctionnaires. L'un travaillant pour le ministère des affaires étrangères et l'autre pour le ministère de la justice.

Peut être qu'au bout on va retrouver Sarko .....
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Ungern

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Masculin Nombre de messages : 17713
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MessageSujet: Re: Du nouveau sur DSK.   Du nouveau sur DSK. Empty9/12/2011, 19:10

articles du Monde.fr

Citation :
Ce que Sarkozy savait de DSK
| 09.12.11 | 11h41 • Mis à jour le 09.12.11 | 14h58


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C'est un déjeuner de copains, deux semaines avant le scandale du Sofitel. Bernard Squarcini, le patron du renseignement intérieur, retrouve autour d'une table Julien Dray, le député socialiste de l'Essonne, et Max Torossian, le nouveau chef d'état-major de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI).
"Toto", comme l'appellent ses amis, est l'homme de confiance de Bernard Squarcini à la DCRI. Mais ce "flic de gauche" est aussi un "pote" de Julien Dray depuis que, dans les années 1980, aux Renseignements généraux de la Préfecture de police de Paris, il avait été chargé de "suivre" SOS-Racisme. "Le bois de Boulogne, on n'est pas derrière ça, glisse Bernard Squarcini dans la conversation : Ce n'est pas mon truc. On ne fera pas une campagne sale. Les services vont la jouer loyale." La phrase est prononcée l'air de rien, mais résonne presque comme un pacte entre droite et gauche, une offre de paix armée, à la veille de la présidentielle, pour éviter d'ouvrir la boîte de Pandore.


LA "RUMEUR DU BOIS"

Le bois de Boulogne ? Julien Dray voit très bien de quoi parle Bernard Squarcini. Le Monde n'a pas encore raconté que l'Elysée a eu en sa possession une note administrative rédigée par un policier (et depuis passée à la broyeuse) signalant "la présence, en décembre 2006, de M. Strauss-Kahn en fâcheuse posture dans une voiture à l'ouest de Paris", aux abords d'"un haut lieu de rencontres tarifées". Claude Guéant, le ministre de l'intérieur, n'a pas encore avoué au Journal du dimanche que, "oui, [il a] entendu parler de cette histoire". Mais la "rumeur du bois" est parvenue à Julien Dray dès 2007.

Le député de l'Essonne a entendu Nicolas Sarkozy s'offusquer des déballages sur la vie privée, mais sait aussi que l'on ne peut pas faire totalement confiance à la police. Alors, il appelle son ami François Pupponi, le maire de Sarcelles, l'âme damnée de DSK. "Dis à Dominique de faire gaffe. Ils ressortent la vieille affaire du bois de Boulogne." C'est l'avantage – ou l'inconvénient – de partager ses réseaux : entre la Sarkozie et feu la Strauss-Kahnie, infos et intox circulent à vive allure. Mêmes amis, mêmes restaurants, mêmes villégiatures… En mars, Dominique Strauss-Kahn a donné rendez-vous au Pavillon de la Reine, place des Vosges à Paris, à Alain Bauer.

Il est un intime de trente ans de Stéphane Fouks, le patron d'Euro RSCG. Il a participé, en 2007, à la réunion organisée par l'agence autour de Dominique Strauss-Kahn, avant son départ au Fonds monétaire international (FMI). Puis aux réunions de crise, en 2008, après sa liaison avec l'économiste hongroise, Piroska Nagy.

Alain Bauer est aussi devenu le "Monsieur Sécurité" très écouté du président de la République. Qu'importe. C'est lui que DSK veut interroger sur la fiabilité de son téléphone. "On me dit que les Blackberry ne sont pas sûrs ?" "Pas fiables du tout !, lui confirme Alain Bauer. Si tu veux être en sécurité, tu dois mettre une puce cryptée ici", explique-t-il en retournant le téléphone du patron du FMI, qui écoute et remercie.

"ACCOMPAGNATRICES" PRÈS DU BAR, ENTRE MIROIRS ET DORURES

Consultations privées, apartés, mélange des genres, en politique, les amitiés recèlent parfois des mystères. Nous sommes cette fois à L'Aventure, un restaurant proche de la place de l'Etoile où régna naguère la chanteuse Dani. DSK et François Pupponi l'ont souvent fréquenté. A l'heure du dîner, s'y croise une clientèle mélangée et parfois interlope. Il y a un peu moins de deux ans, le directeur général de la police nationale, Frédéric Péchenard, ami d'enfance de Nicolas Sarkozy, y fêtait en grande pompe son… anniversaire de mariage.

Bruno Mangel, le patron, est un "très vieil ami" du haut policier, "un type bien" qu'il fréquente depuis des années, explique au Monde le chef de la police française. Comment imaginer que le grand flic et l'homme de la nuit n'évoquent pas ensemble les potins de L'Aventure ? Avant leurs après-midi ou leurs soirées libertines, l'industriel du Nord Fabrice Paszkowski, mis en cause dans l'enquête sur un réseau de proxénétisme hôtelier lillois, dit du "Carlton", avait en effet l'habitude de retrouver ses "accompagnatrices" près du bar, entre miroirs et dorures, autour d'une coupe ou d'un bon plat. DSK les rejoignait parfois. Quelques-uns de ses écarts de conduite sont désormais consignés dans des procès-verbaux.

A L'Aventure, des élus du 16e arrondissement organisent aussi des soirées UMP pour les militants. Le député Bernard Debré fut de quelques-unes d'entre elles. Lorsque, le 15 mai, quelques heures après l'arrestation de DSK à New York, l'urologue explique brutalement depuis la Chine que l'ancien ministre socialiste est un "délinquant sexuel", ce n'est pourtant ni au bois de Boulogne ni à L'Aventure qu'il pense. "Deux de mes patients m'avaient raconté à la fin du printemps leurs virées dans un hôtel de Belgique avec DSK, raconte l'élu UMP. 'Ce n'est pas nous qui payons', m'avaient-ils précisé. J'étais épouvanté. J'ai déjeuné peu après avec Stéphane Fouks, à la Maison du Danemark, pour le mettre en garde." Rien ne change, pourtant. DSK continue à se montrer aussi imprudent, recevant en juin à Washington des amis libertins où se mêlent des prostituées comme "Jade", une mère de famille belge qui arrondit ainsi ses fins de mois.

Pourquoi bousculer ses habitudes, puisque le secret "tient" ? "On parlait souvent de DSK entre nous, avec Bernard [Squarcini] et les autres", explique un ancien haut responsable policier. Un autre, qui œuvre aujourd'hui pour une société d'intelligence économique : "On savait qu'il y avait des problèmes par le service de protection des hautes personnalités, qui était toujours obligé d'aplanir les soucis." Le statu quo perdure.

SARKOZY SE LAISSE ALLER DANS LE SECRET DE SON BUREAU

Alors qu'en juillet, tous les socialistes montent au front pour défendre leur champion empêtré dans le scandale du Sofitel, Nicolas Sarkozy, une fois n'est pas coutume, se laisse aller dans le secret de son bureau. Il a face à lui un homme jeune, intelligent, dont il connaît les sympathies pour la gauche. "Alors, vous allez défendre un type qui s'est tapé une soubrette ? La gauche va soutenir un obsédé sexuel ?", ironise le président. Ni lui ni aucun ministre n'évoqueront pourtant en public les mœurs de Dominique Strauss-Kahn.

C'est le paradoxe de l'histoire. "Le film ce n'est pas : comment on a préservé un secret, mais : comment on a préservé un non-secret", réfléchit aujourd'hui un proche de Nicolas Sarkozy. Personne ne sait comment – ou quand – la droite aurait pu utiliser la "double vie" de DSK. De quelle manière et à quelle date le scandale du Carlton aurait explosé. A-t-il servi à charge dans celui du Sofitel ? Seule certitude : Nicolas Sarkozy connaissait parfaitement les addictions du responsable socialiste.

"Quand j'ai dit que DSK devrait se faire soigner et apprenne à contrôler ses pulsions, les militants m'ont suivi, mais les dirigeants de l'UMP m'ont engueulé", se souvient Bernard Debré. Le 10 octobre, jour où Libération et Le Point publient les fameux textos envoyés par Fabrice Paszkowski au patron du FMI pour organiser leurs "soirées", Renaud Muselier, député UMP des Bouches-du-Rhône, se risque devant le président à une petite blague qui le démange : "Décidément, le PS est aussi pourri au Nord qu'au Sud, à Lille qu'à Marseille !" Le chef de l'Etat ne pipe mot, décourageant les ardeurs de ceux qui, autour de lui, voudraient renchérir. Devant sa chère Isabelle Balkany, il soupirait depuis longtemps : "Les filles le perdront." Face à ses interlocuteurs politiques, début 2011, il préférait : "C'est un jouisseur", "il vit trop". Ou une boutade : "A côté de lui, j'aurais l'air d'un pasteur méthodiste." Jamais il ne campait DSK en adversaire. "Sachant ce qu'il savait, Nicolas n'a jamais imaginé qu'il prendrait le risque de se présenter, décrypte un proche. Il n'était pas dans le casting." Il ne faut pas se méprendre sur le coup de pouce donné par l'Elysée, à l'été 2007, à la candidature de "Dominique" à la présidence du FMI.

SARKOZY NE CROIT PAS À UNE CANDIDATURE DSK

Nicolas Sarkozy a vite compris que le calendrier – la candidature à la primaire socialiste, en juin 2011, la fin du mandat américain, en novembre 2012 – ne serait pas un obstacle à l'ambition du socialiste. Mais il ne croit pas à une candidature DSK. La presse et la justice le rattraperont. Lui préfère jouer au "meilleur DRH de la gauche" et s'offre le plaisir de le pousser à la tête du FMI.

Les deux hommes – ex-députés, avocats d'affaires, venus à la politique sans passer par l'ENA – s'apprécient. Ils se fréquentaient de temps à autre, avec leurs épouses. En 1993, au début de la cohabitation, un premier dîner a eu lieu au Fouquet's : Anne Sinclair présente le ministre du budget à son mari, qui vient de perdre les législatives. Ils se retrouvent sur l'île de la Jatte, chez Cécilia et Nicolas, ou chez le couple Strauss-Kahn-Sinclair, avenue du Général- Maunoury, dans le 16e arrondissement, ou encore chez Jacques Attali pour une pendaison de crémaillère. Entre eux, une forme d'estime et de connivence sociale.

A son "frère" Brice Hortefeux, Nicolas Sarkozy glisse un jour : "Quand je pense comme on m'a emm… pour mon escalier de Neuilly, je ne sais pas comment lui ferait dans une campagne !" A Alain Minc, quand les préparatifs de la course à l'Elysée du socialiste deviennent patents : "Tu sais bien qu'il ne PEUT pas se présenter…"

Et à l'intéressé, les yeux dans les yeux, un jour que le patron du FMI a fait le voyage de Washington jusqu'à la rue du Faubourg-Saint-Honoré : "Dominique, toi et moi, on ne nous aime pas, on est pareils, on est des métèques, on aime le fric et les femmes, raconte Michel Taubmann, le biographe de DSK. Mais les femmes, aux Etats-Unis, ce n'est pas pareil. Je te préviens, fais attention avec les femmes."

C'était en mai 2010, à l'époque où le président prédisait à quelques députés : "DSK n'est pas capable de tenir une campagne présidentielle. Devant moi, j'ai Martine Aubry ou Eva Joly." Il s'était trompé sur l'affiche, pas sur le nom du grand absent. Et n'aurait jamais osé rêver qu'il tombe ainsi, si vite, si loin.
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MessageSujet: Re: Du nouveau sur DSK.   Du nouveau sur DSK. Empty9/12/2011, 19:15

Citation :
[...] Au départ, il y a la création, début janvier 2011, d'un nouveau service au sein du SRPJ de Lille : le groupe de répression du proxénétisme (GRP). "Jusqu'ici, la prostitution était suivie par les gens de la BRB, mais seulement quand ils avaient le temps", raconte un gradé. Ce nouveau groupe, composé de quatre enquêteurs, affectés dans le Nord depuis peu, doit faire ses preuves. Il est prêt à en découdre et cherche son premier dossier. Il va leur être servi sur un plateau par un ancien collègue, un dénommé Eric V.

Ancien patron de la brigade des moeurs dans les années 1990, puis président de la Mutuelle du Ministère de l'Intérieur (MMI) dans le Nord, ce franc-maçon du Grand Orient, affilié à la loge de Douai, s'est reconverti comme détective privé. Il y a gagné le surnom de "Nestor Burma". Il est un intime du Carlton, où il donne ses rendez-vous et relève son courrier.

René Kojfer, le directeur des relations publiques de l'hôtel de luxe, est une vieille connaissance. "Lorsqu'il était aux moeurs, Kojfer-lui servait de 'chèvre', se faisant passer pour un client dans des lieux de prostitution pour préparer les coups de filet, raconte un vétéran de la police locale. Puis ils ont été associés à la gestion du Politel, l'hôtel pour les policiers géré par la MMI, qui sera ensuite revendu aux propriétaires du Carlton et rebaptisé hôtel des Deux Tours." Les deux hommes sont depuis en froid, suite à des embrouilles financières consécutives à cette vente.

"Tout Lille savait ce que faisait Kojfer"

Amateur de bonne chère et de gueuletons arrosés, "Nestor Burma" parle beaucoup. Beaucoup trop. Et parfois en mal de son ex-copain Kojfer en cheville avec le proxénète Dodo la saumure, déjà sous écoute par la justice belge. Est-il le principal détonateur du scandale du Carlton ? L'homme élude : "Je connais certes tout le monde à la PJ, mais tout Lille savait ce que faisait Kojfer, explique-t-il au "Nouvel Obs". Moi, je l'avais seulement mis en garde qu'il finirait en prison. Mais il n'a pas voulu le croire." Une enquête préliminaire est ouverte le 2 février 2011, le groupe chargé du proxénétisme met Kojfer sur écoute. Dans un second temps, ses patrons, les deux dirigeants du groupe hôtelier, sont "branchés".

Les premiers indices de l'existence d'un réseau de proxénétisme hôtelier apparaissent alors, sous plusieurs formes. Il y a d'abord les réservations louches passées par René Kojfer pour le compte de ces "amis" à l'hôtel des Deux Tours (ex-Politel).

Des notables de la bonne société lilloise sollicitent auprès de lui des chambres "avec dossier" (comprenez "avec prostituée" ) pour l'après-midi. Kojfer contacte alors la fille et octroie au client une ristourne : 80 euros la chambre contre 130 au prix normal.

DSK, client assidu

Les écoutes placées sur Hervé Franchois, 70 ans, un ancien industriel à succès devenu propriétaire du Carlton, et son associé Francis Henrion, 45 ans, dévoilent aux enquêteurs une autre facette du réseau, celle des parties fines auxquelles prennent part les deux hommes, mais également un avocat en vue du barreau de Lille, Emmanuel Riglaire, et un policier haut gradé, Jean- Christophe Lagarde, le patron de la Sûreté départementale du Nord. Ces après-midi torrides se déroulent à "l'annexe", appelée aussi "la Coupole", un 100 m2 avec jacuzzi au sommet du Carlton, accessible par une rue adjacente. Elles aussi sont peuplées de prostituées dûment rétribuées. [...]

Les enquêteurs entendront pour la première fois parler de DSK, au lendemain de son arrestation à New York dans l'affaire du Softel. Ce jour-là, René Kojfer vend la mèche au téléphone en se vantant de pouvoir faire témoigner deux filles contre lui. Dix jours plus tard, des imprudences téléphoniques du commissaire Lagarde et de Francis Henrion, le directeur du Carlton, confirmeront les soupçons : DSK est un client assidu du réseau. Cinq mois plus tard, le scandale éclate.
Olivier Toscer, envoyé spécial à Lille - Le Nouvel Observateur





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MessageSujet: Re: Du nouveau sur DSK.   Du nouveau sur DSK. Empty9/12/2011, 19:37

La différence entre DSK et PFK ?

PFK c'est du fast food

DSK c'est du fast fuck


A noter, aucun des deux n'est un Kennedy clown
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