LA CONQUÊTE DE L'ESPACE

Rappel du premier message :



L'ISS, tremplin de l'exploration humaine du système solaire, fête ses 10 ans.

Mise en chantier il y a dix ans jeudi, la Station spatiale internationale (ISS), un projet ambitieux d'avant-poste orbital d'initiative américaine, représente le premier tremplin dans l'exploration humaine du système solaire dont l'achèvement est prévu en 2010.

L'ISS "est le plus grand projet international de coopération technologique jamais entrepris en termes de durée, de coût et du nombre de pays participants", explique John Logsdon, historien du Musée national de l'air et de l'espace à Washington.
Outre les Etats-Unis, qui financent la majeure partie du projet estimé à 100 milliards de dollars, quinze autres nations y participent dont la Russie, le Japon, le Canada, le Brésil et onze pays membres de l'Agence spatiale européenne y compris la France.
"Je pense que la Station est la première pierre de gué nécessaire hors de notre planète, pas une fin en soi, mais une étape dans l'exploration spatiale habitée", poursuit M. Logsdon dans un entretien avec l'AFP.
"Nous avons besoin d'accumuler une expérience des vols spatiaux de longue durée, leur impact physiologique, et le meilleur endroit pour ce faire est la Station", explique-t-il. Outre le fait de tester les technologies permettant de vivre en vase clos, la Station vise aussi à étudier les interactions de groupe parmi des astronautes vivant dans un endroit restreint pendant de longs mois, ajoute-t-il.
L'ISS, qui a connu un sérieux revers avec l'accident de la navette spatiale Columbia en 2003, en retardant son assemblage de deux ans, "a montré que des partenariats multinationaux peuvent aussi fonctionner quand les choses vont mal", juge l'historien, pour qui la Station constitue une sorte de cadre de référence pour de futures coopérations internationales.
Soulignant les contraintes budgétaires généralisées, "les longs séjours sur la Lune et à plus long terme sur Mars ne pourront se faire qu'avec une organisation financée internationalement", explique M. Logsdon.
Le patron de la Nasa, Michael Griffin, exprimait la même idée dans une interview à l'AFP à l'occasion du 50e anniversaire de l'Agence spatiale américaine, le 1er octobre.
Les Etats-Unis ont encore les moyens de financer seuls leurs ambitions spatiales mais "je pense que cela ne sera pas le cas pour la prochaine génération", a-t-il dit.
Et "nous espérons que nous pourrons enrôler des partenaires internationaux mobilisés avec l'ISS pour retourner sur la Lune dont les contributions seront au moins aussi grandes que la nôtre", a souligné M. Griffin.
Pour Doug Millard, conservateur du département spatial du Musée de la Science de Londres, "le laboratoire Columbus (livré et attaché en février à l'ISS) a notablement accru les capacités spatiales de l'Europe" en orbite, avec également le ravitailleur automatique ATV.
Le laboratoire japonais Kibo a été acheminé trois mois après.
"Les activités à bord de l'ISS sont des annexes de milliers de laboratoires dans le monde avec la caractéristique unique d'être en micro-gravité", a-t-il expliqué à l'AFP.
"Je pense que les réactions du corps humain à la micro-gravité est la principale valeur ajoutée scientifique de l'ISS", a souligné M. Millard.
De son côté, Alexandre Vorobiev, porte-parole l'Agence spatiale russe, qualifie l'ISS de "projet remarquable, l'un des facteurs qui a aidé la Russie à préserver son industrie spatiale".
Soulignant l'impératif d'une coopération internationale face aux ressources financières limitées, il a estimé que "ni la Russie, ni les Etats-Unis ne pourront aller seuls sur la Lune et Mars".
L'ISS, en orbite à environ 350 km d'altitude, a un équipage permanent de trois astronautes, séjournant plusieurs mois dans l'espace, et qui passera à six en 2009 grâce aux équipements livrés par la navette américaine Endeavour lancée vendredi et amarrée à la Station depuis dimanche.

« Une fellation ? Tu veux que je te fasse une fellation ? Je t'en ferai une le jour où le gosse du voisin marchera sur la Lune ! ».

...en 69 ...  

24 heures avant le rendez-vous de Rosetta avec sa comète
(Sciences et Avenir - Par Joël Ignasse - Publié le 04-08-2014 à 14h30 - Mis à jour le 05-08-2014 à 09h00)



Une image étonnante de précision de la comète Churyumov-Gerasimenko, révélée 48 heures avant la date prévue de mise en orbite de Rosetta autour de sa comète de destination. © ESA


C'est mercredi 6 août que la sonde européenne doit se mettre en orbite autour de la comète 67P/Churyumov-Gerasimenko.

APPROCHE. Le compte à rebours est entamé : la sonde européenne Rosetta a rendez-vous avec sa comète de destination 67P/Churyumov-Gerasimenko mercredi 6 août. Une rencontre à haut risque. Ce sera la première fois dans l'histoire du spatial qu'un objet fabriqué par l'homme se placera en orbite d'une comète.

L'approche progressive de la sonde Rosetta vers la comète 67P/Churyumov-Gerasimenko.

Une mission : trouver un site d'atterrissage

Rosetta prendra ensuite de nombreuses photos de 67P : ces clichés doivent permettre d'en savoir plus sur cette comète en particulier, et de façon plus générale sur ces astres fonçant régulièrement vers le Soleil.

Surtout, ces images sont nécessaires pour mieux connaître la forme de 67P afin de préparer la suite de la mission, qui s'avère épineuse... Les ingénieurs du SONC (Science Operation and Navigation Center) du Cnes à Toulouse devront en effet présélectionner cinq sites d'atterrissage pour le module Philae, avant de choisir le "spot" définitif en octobre 2014.

CRÈME CATALANE. (*)
Cet engin, gros comme un réfrigérateur mais bourré d'instruments de pointe, doit harponner la boule de glace cosmique le 11 novembre 2014. "On ignore la densité exacte ou la structure du sol. Le site d'atterrissage sera capital", explique Jean-Pierre Bibring du centre de Toulouse.

Si Philae, lourd de 100 kilos, "s'enfonce de plus de 70 centimètres, ce sera foutu", ajoute M. Bibring. "Le pire serait un sol en crème catalane avec une fine croûte solide surmontant une matière plus légère" lance-t-il.

Sciences et Avenir reviendra demain sur les scénarios catastrophes redoutés par les experts. Et relaiera la mission spatiale, depuis le Centre européen d'opérations spatiales à Darmstadt (Allemagne) d'où nous serons en direct à partir de mercredi matin.

(*) - Les Français, toujours chauvins et les Alexandre Popov de l'Occident, l'ont baptisée "Crème brûlée"   


SPACE LIVE. Pour tout comprendre de la mission Rosetta, de son histoire à ses objectifs, retrouvez cet épisode de notre série Space Live qui lui est consacré.


Space Live 1 : Rosetta, rendez-vous avec une... by sciencesetavenir

77 -

Biloulou a écrit:

24 heures avant le rendez-vous de Rosetta avec sa comète
(...)"Le pire serait un sol en crème catalane avec une fine croûte solide surmontant une matière plus légère" lance-t-il...

Tiens cette description correspond parfaitement à notre prime time ministre chef du gouvernement
avant qu'il ne soit définitivement cramé par l'exercice du pouvoir. Le CNES pourrait s'en servir comme
 cobaye, un petit coup de sonde dans le spot en mode manuel lui serait bénéfique .
Mais ne lui jetons pas la pierre à cette rosette de lion au menton volontaire.

Il y a matière à des réflexions plus légères que nous allons rapidement surmonter :
j'ai enfin trouvé une photo de Rosetta ; il est vrai qu'elle a une couleur de surface crème brûlée.
Pour repérer dans son spatial cinq spots à impacter ça ne devrait pas être trop coton. Mais il ne faut
quand même pas demander la lune !

Ce qu'il ne fait pas demander c'est sur quels sites scientifiques d'exploration des grands espaces intrasidérants vous passez vos soirées...  

Eddie a écrit:

j'ai enfin trouvé une photo de Rosetta ; il est vrai qu'elle a une couleur de surface crème brûlée.

Si ça c'est Rosetta, je me demande ce que signifie "comete" dans votre lexique, Eddie.
Et je vous defie tous d'aller confondre en leur pays la creme brulée et la creme catalane   


Mab -non, pas en pays "brulé", mauvais esprits-

Plus chauvine que ça tu meurs (cramée).   
(Oui, bon, les Français ont alourdi la recette en remplaçant le maïzena par de la crème liquide, mais bon...)   

Dix ans pour arriver à destination : l'aventure de Rosetta en cinq questions
(LeParisien.fr - Publié le 06.08.2014, 17h38)



La comète Tchourioumov-Guérassimenko photographiée le 6 août 2014 par la sonde Rosetta


La sonde Rosetta est arrivée à destination, mais pourquoi son voyage vers la comète Tchourioumov-Guérassimenko a-t-il pris dix ans ? Que signifie cet exploit pour l'Europe spatiale ? Tour d'horizon d'une mission hors norme.

Q - Pourquoi Rosetta a-t-elle mis si longtemps pour arriver à destination ?
R - La sonde a parcouru plus de 6 milliards de km pour finalement rencontrer "Tchouri" à 405 millions de km "seulement" de la Terre.
Simplement parce que les techniques actuelles de propulsion ne permettent pas de prendre une trajectoire plus directe et donc plus courte.
Pour accélérer sa course vers la comète, la sonde a dû utiliser les champs de gravité de la Terre et de Mars. Elle a ainsi parcouru quatre orbites autour du Soleil et s'est approchée trois fois de la Terre et une fois de Mars qui l'ont propulsée à la manière d'une fronde.
Elle a même dû être placée dans un coma artificiel pendant deux ans et demi, pendant la partie de l'orbite la plus éloignée du Soleil. Le rayonnement solaire était alors insuffisant pour alimenter en énergie tous les équipements.

Q - Rosetta est arrivée mercredi à destination. Qu'est-ce que ça veut dire ?
R - Il faut d'abord comprendre que Rosetta est une mission composée de deux éléments: l'orbiteur, appelé communément sonde et dont la mission est de tourner autour du noyau de la comète et de l'escorter au moins jusqu'à fin 2015. Puis son passager, l'atterrisseur, un robot laboratoire, baptisé Philae, qui aura la délicate mission d'atterrir sur le noyau de la comète.
Quand on dit que Rosetta a rejoint mercredi la comète, cela signifie que l'orbiteur s'est mis "en position quasi-stationnaire à 100 km" de son noyau, a précisé le CNES. La "véritable mise en orbite" aura lieu à partir de mi-septembre, quand Rosetta sera à 60 km, dans le champ de gravité de la comète.

Q - Que signifie cet exploit pour l'Europe spatiale ?
R - Des comètes, dont Halley, la plus célèbre, ont déjà été par le passé survolées ponctuellement par des véhicules spatiaux. Mais la mission Rosetta sera la première à suivre l'évolution d'une comète sur la durée. D'un coût total de 1,3 milliard d'euros, elle a mobilisé environ 2.000 personnes depuis 20 ans.
"Prouesse scientifique et technologique", Rosetta est aussi "un moment d'émotion absolument extraordinaire, à la frontière de la science et de l'aventure", a souligné la secrétaire d'Etat française à la Recherche, Geneviève Fioraso.
C'est "un nouvel exemple du caractère unique" du programme scientifique de l'Agence spatiale européenne, selon son directeur général Jean-Jacques Dordain. L'ESA, 50 ans cette année, compte 20 Etats membres, dont 18 également membres de l'UE.

Q - Et quel sort attend Philae ?
R - Point d'orgue de la mission, Philae aura le difficile honneur d'être le premier engin humain à se poser sur une comète.
Son largage est pour l'instant prévu autour du 11 novembre, depuis une hauteur de 2 à 3 km.
Toute la question est de savoir où. L'engin est conçu pour un atterrissage périlleux : dès que ses trois pattes auront touché le sol, un gaz va être émis par une tuyère afin de le plaquer à la surface de la planète et d'éviter un rebond fatal, du fait de la micro-gravité. Deux harpons, qui peuvent aller jusqu'à 2,5 m de profondeur, vont ensuite maintenir Philae accroché à la comète.
Cinq sites d'atterrissage possibles seront identifiés d'ici fin août, le choix interviendra à la mi-septembre. La surface "doit être aussi peu chaotique que possible", a souligné l'astrophysicien Philippe Lamy, d'une taille à peu près équivalente "à deux terrains de football".

Q - Que sait-on déjà de la comète ?
R - Elle est devenue très populaire depuis que les premières images prises par Rosetta ont montré une forme ressemblant à un canard ... de 4 km de large.
Sa surface est "incroyablement noire" , a révélé mercredi un expert de l'ESA.
Les scientifiques ont estimé la température moyenne en surface à -70°C, pas assez froid pour que la comète soit entièrement recouverte de glaces. Cela correspond plutôt à une surface poussiéreuse, "peut-être très douce", selon un autre expert.

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

Quand on pense que cette photo (et beaucoup d'autres) vient de parcourir quelques 100 millions de kilomètres... Ce sont les écolos qui doivent râler !  

82 -

Mara-des-bois a écrit:

Et je vous defie tous d'aller confondre en leur pays la creme brulée et la creme catalane   


Mab -non, pas en pays "brulé", mauvais esprits-

On a l'impression d'entendre là une montée au créneau d'une belle-mère de Catalan   
Insister reviendrait à se faire cramer.

PS-MoDem : une comète = belle personne à belle chevelure, un peu lointaine, autour de laquelle 
il m'est permis de graviter.

EddieCochran a écrit:

82 - On a l'impression d'entendre là une montée au créneau d'une belle-mère de Catalan   
Insister reviendrait à se faire cramer.

M'enfin, Eddie, pour parlez là d'une vraie crème...

Eddie, grands espaces, a écrit:

PS-MoDem : une comète = belle personne à belle chevelure, un peu lointaine, autour de laquelle il m'est permis de graviter.

À un demi-milliard de kilomètres les risques sont fort réduits !  

Promenez-vous sur la Lune et sur Mars grâce à Google Maps !
(01net - le 08/08/14 à 12h20 - Cécile Bolesse)





Google ajoute régulièrement des destinations originales à son outil de cartographie. Dernières en date : le satellite de la Terre et la planète rouge... Attention décollage imminent !

Pour célébrer le deuxième anniversaire de l’arrivée de Curiosity sur Mars, Google Maps vous propose de partir à la découverte de la Lune et de la planète Mars. A vous la mer de Tranquillité, le volcan Olympus ou la fosse de Tantale !

Pour vous rendre sur la planète rouge ou sur le satellite de la Terre, il suffit de quelques clics. Si vous utilisez la dernière version du service, il suffit de cliquer sur Explorer.

Sinon, il faut cliquer sur le bouton Earth, en bas à gauche de l’écran. Une fois sur l’image de la planète bleue, il n’y a plus qu’à dézoomer au maximum et à attendre quelques secondes. Dans la barre déroulante en bas de l’écran la planète Mars et la Lune vont apparaître. Il n’y a plus qu’à choisir et à partir en exploration.





En cliquant sur les noms des différents lieux, une petite fenêtre fournit des informations topographiques en utilisant des données du groupe de travail de l’Union astronomique internationale. Quant aux images, elles proviennent de la Nasa et de l’Agence spatiale européenne.

Eddie, qui a du flair depuis l'amer médit aire à nez, a écrit:

On a l'impression d'entendre là une montée au créneau d'une belle-mère de Catalan  

A l'insu de mon plein gré, car personne ne m'a demandé mon avis (je demande à etre grand mere et on me fait belle-mere, à votre avis, ils sont sourds ou taquins ?)

Pour en revenir à l'essentiel, c'est à dire la creme catalane, elle n'a pas la meme origine que la creme brulee (la creme catalane est issue de la cuisine juive espagnole) et elle n'a pas les memes ingredients -elle est plus parfumée, moins grumeleuse, bref... meilleure.
Dans le meme registre, ne vous risquez pas à confondre les escargolades catalanes et celles de leurs voisins  du nord de l'Aquitaine. Malheur. C'est gentil un catalan, mais tellement pointilleux...


Mab, prudente again

Ungern a écrit:

Encore plus fort : des timbres pour écrire à D.eu! Heureusement que c'est eux qui décident du tarif d'affranchissement .
Ca doit pas être cher ,car ce n'est que de la petite monnaie . Par contre,pour les philatélistes,"pas de timbres" ....
Autre problèmes,les envois doivent être de taille réduite . Pas question de se faire envoyer le cadastre de la Terre Promise par exemple ...

De toute évidence tu as plein de problèmes, probablement d'ordre psy qui te font faire des interprétations tout à fait loufoques.
Ainsi, tes "timbres" sont des "pains aux amandes". Seule question, de quelle marque ?



Astrio ?



Dandoy ?



Destrooper ?

Ungern a écrit:

Non,non;il y avait bel et bien des petits messages insérés dans la tombe des grands rabbins et à côté des pièces de monnaie ...
Certains étaient écris en français et émouvants : "mon dieu délivre-nous des sionistes " par exemple...

Encore une confirmation, tu as confondu "sioniste" avec "Ungern"

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

Sérieusement, Ungern, tu devrais consulter ; même un topic sur l'épopée spatiale, tu arrives à l'éclabousser de ton antisémitisme viscéral...  
(Demande une attestation, elle pourra te servir en justice...)

Mara-des-bois, Dim 10 Aoû - 10:49 a écrit:

Pour en revenir à l'essentiel, c'est à dire la creme catalane, elle n'a pas la meme origine que la creme brulee (la creme catalane est issue de la cuisine juive espagnole) et elle n'a pas les memes ingredients -elle est plus parfumée, moins grumeleuse, bref... meilleure. (....)Mab, prudente again

Mab qui trouve un produit étranger meilleur que son équivalent français... pas à dire, elle est conquise par autre chose de catalan que la crème...  

VIDEO. Espace : la mission Rosetta touche au but
(JUSTINE CORBILLON / FRANCE 2 - Par Francetv info - Mis à jour le 11/11/2014 | 09:52 , publié le 11/11/2014 | 09:16)




 
Mercredi, la sonde Rosetta tentera de faire atterir un robot à la surface de la comète Tchourioumov-Guérassimenko pour essayer de percer le mystère de l'origine du système solaire.

La sonde européenne Rosetta va tenter, mercredi 12 novembre, de faire se poser en douceur son petit robot atterrisseur, Philae, à la surface de la peu hospitalière comète Tchourioumov-Guérassimenko. Cette mission d'"archéologie spatiale", entamée en 2004 avec le lancement de Rosetta, cherche à élucider l'évolution du système solaire depuis sa naissance, les comètes étant considérées comme des vestiges de la matière primitive. Tout va se jouer en environ sept heures, à 511 millions de kilomètres de la Terre.

Baptisée, en 1969, du nom de ses découvreurs ukrainiens, Churyumov-Gerasimenko est une comète binaire, qui possède deux lobes et un noyau central. Elle mesure environ 4 kilomètres sur 3,5. Située dans l’orbite de Jupiter, elle tourne sur elle-même en 12,4 heures. Elle se trouve, actuellement, à près de 500 millions de kilomètres de la Terre.







Le 11 septembre 1969, Klim Churyumov (à droite) examine une plaque photographique de la comète Comas Solà prise par Svetlana Gerasimenko à l’Institut d’astrophysique d’Almaty (Kazakhstan). En examinant les bords de la plaque, il découvre un objet cométaire qui n’avait jamais été identifié auparavant...

L'Agence spatiale européenne n'a pas choisi la facilité pour cette première dans l'histoire de l'exploration spatiale, comparable pour certains scientifiques aux atterrissages des Viking sur Mars en 1976, "en territoire inconnu".

L'opération a été longuement et très soigneusement préparée. Pas moins de trois centres opérationnels sont mobilisés : le Centre européen d'opérations spatiales (Esoc) de l'ESA à Darmstadt (Allemagne), le Centre de contrôle de l'atterrisseur du DLR à Cologne (Allemagne) et le Centre des opérations scientifiques et de la navigation de l'atterrisseur, au Cnes de Toulouse (France).





Les experts estiment à un kilomètre environ la marge d’erreur lors de l’atterrissage. «Si on tombe sur un caillou, c’est mauvais. Mais surtout, si on tombe sur une falaise avec 60° degrés d’inclinaison, on est mort !», témoigne Francis Rocard.

Atterrissage millimétré
Andrea Accomazzo, directeur de vol de la mission Rosetta à l'Esoc, est confiant : la sonde "fonctionne très bien" et jusqu'à présent, "toutes les opérations de vol se sont déroulées comme prévu", a-t-il souligné lors d'un point de presse retransmis sur internet. La séparation doit cependant impérativement avoir lieu "au bon moment, à la bonne position dans l'espace, à la bonne altitude et à la bonne vitesse".

D'ultimes vérifications et validations sont prévues entre mardi soir et mercredi matin avant le feu vert définitif à la séparation, afin de s'assurer que tous les systèmes sont prêts et que Rosetta est bien en mesure de délivrer Philae sur la bonne trajectoire. Si un voyant rouge s'allumait, l'atterrissage serait reporté à une date qui resterait à préciser.

Pour en savoir plus, le dossier : Un plan sur la comète

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AU COMMENCEMENT... LA TERRE ÉTAIT INFORME ET VIDE : IL Y AVAIT DES TÉNÈBRES À LA SURFACE DE L'ABÎME, ET L'ESPRIT DE DIEU SE MOUVAIT AU-DESSUS... (Genèse 1)

AU COMMENCEMENT... LA TERRE ÉTAIT INFORME ET VIDE : IL Y AVAIT DES TÉNÈBRES À LA SURFACE DE L'ABÎME, ET L'ESPRIT DE DIEU SE MOUVAIT AU-DESSUS... (Genèse 1)



...tu crois aux arrières boutiques toi !!!

Zora232 a écrit:

...tu crois aux arrières boutiques toi !!!    

Arrière boutique ? Mais ça se passe aujourd'hui même, ce 12 novembre 2014, mon petit Zora !

Mais dans quel siècle tu vis, donc ?

Biloulou a écrit:

Zora232 a écrit:

...tu crois aux arrières boutiques toi !!!    

Arrière boutique ? Mais ça se passe aujourd'hui même, ce 12 novembre 2014, mon petit Zora !

Mais dans quel siècle tu vis, donc ?

aujourd'hui,ils font les mesures pour savoir si on sait y placer
tous les marocains de Belgique.

Charly a écrit:

Biloulou a écrit:

Zora232 a écrit:

...tu crois aux arrières boutiques toi !!!    

Arrière boutique ? Mais ça se passe aujourd'hui même, ce 12 novembre 2014, mon petit Zora !

Mais dans quel siècle tu vis, donc ?

aujourd'hui,ils font les mesures pour savoir si on sait y placer
tous les marocains de Belgique.

Moi je vis au XXI comme toi Biloulou , à la seule différence qu'à mon àge j'envisage pas du tout d'y aller habiter Mars ...

Et comme tu le sais tout le tralala "appolo & co" ça n'est pas à des fins civils que les Harkonnen y mettent des budjets mirobolants ,

mais à des fins miilitaires mon ami , ces enragés finiront bientot par dominer le monde entier (si ça n'est paas déja fait !!!)


Quand aux mesures auquelles Charly a fait allusion , je le laisse à ses divagations !

...

Zora232 a écrit:

Moi je vis au XXI comme toi Biloulou , à la seule différence qu'à mon àge j'envisage pas du tout d'y aller habiter Mars ...
Et comme tu le sais tout le tralala "appolo & co" ça n'est pas à des fins civils que les Harkonnen y mettent des budjets mirobolants , mais à des fins miilitaires mon ami , ces enragés finiront bientot par dominer le monde entier (si ça n'est paas déja fait !!!)

Quand aux mesures auquelles Charly a fait allusion , je le laisse à ses divagations ! ...

À la lecture de ce qui précède je me demande qui divague velu...

Biloulou a écrit:

Zora232 a écrit:

Moi je vis au XXI comme toi Biloulou , à la seule différence qu'à mon àge j'envisage pas du tout d'y aller habiter Mars ...
Et comme tu le sais tout le tralala "appolo & co" ça n'est pas à des fins civils que les Harkonnen y mettent des budjets mirobolants , mais à des fins miilitaires mon ami , ces enragés finiront bientot par dominer le monde entier (si ça n'est paas déja fait !!!)

Quand aux mesures auquelles Charly a fait allusion , je le laisse à ses divagations ! ...

À la lecture de ce qui précède je me demande qui divague velu...

...Alors les milliards de $$$ qu'a couté le programme appolo c'etait pour

le premier pas humain sur la lune

...pourquoi tu fais l'autruche , pourquoi tu renies la vérité , bref pour Qui

tu travailles ????

Zora232 a écrit:

Biloulou a écrit:

Zora232 a écrit:

Moi je vis au XXI comme toi Biloulou , à la seule différence qu'à mon àge j'envisage pas du tout d'y aller habiter Mars ...
Et comme tu le sais tout le tralala "appolo & co" ça n'est pas à des fins civils que les Harkonnen y mettent des budjets mirobolants , mais à des fins miilitaires mon ami , ces enragés finiront bientot par dominer le monde entier (si ça n'est paas déja fait !!!)
Quant aux mesures auquelles Charly a fait allusion , je le laisse à ses divagations ! ...

À la lecture de ce qui précède je me demande qui divague velu...

...Alors les  milliards de $$$ qu'a couté  le programme appolo c'etait pour le premier  pas humain sur la lune
...pourquoi tu fais l'autruche  , pourquoi tu renies la vérité , bref pour Qui tu travailles ????

Heu... j'ai toujours travaillé pour moi, j'ai toujours été mon propre patron, pourquoi ? Tu me suggères de me lancer dans l'élevage d'autruches ?
Quelle vérité tu voudrais que je renie ? Que tous les programmes de recherche y compris la recherche spatiale coûtent cher ?
Non, non, je ne le nie pas, même pas pour te faire plaisir. Désolé.

...t'es vraiment un dur d''oreille alors écoute bien ;

longtemps après Appolo y''a eu " Clémentine "





Clementine était un projet commun entre la Strategic Defense Initiative Organization (Département US de la Défense) et la NASA. L'objectif de la mission était le test de capteurs et de composants exposés longuement à l'environnement spatial et de réaliser des observations scientifiques de la Lune et de l'astéroïde proche de la Terre 1620 Geographos. Les observations incluaient des prises de vue sous différentes longueurs d'ondes dont l'infrarouge et l'ultraviolet, de l'altimétrie laser et des mesures de particules chargées. Ces observations avaient initialement pour but d'évaluer la minéralogie de la surface de la Lune et de Géographos, de connaître l'altimétrie lunaire entre les latitudes 60N et 60S et de déterminer la taille, la forme, les caractéristiques rotationnelles, les propriétés de surface et la distribution des cratères de Géographos.

Clementine fût lancée le 25 janvier 1994 à 16:34 UTC de la base de l'US Air Force de Vandenberg (Californie) à bord d'une fusée Titan IIG. Après deux survols de la Terre, l'insertion en orbite lunaire fût réalisée le 21 février. La cartographie de la Lune prit environ deux mois, répartie en deux phases. La première consistait en orbites elliptiques polaires de 5 heures avec un périlune (passage au plus près) d'environ 400 km à 28° de latitude sud. Après un mois de cartographie, l'orbite fut tournée pour passer à un périlune de 29° de latitude nord où Clementine resta pour un mois de plus. Cela permit des prises de vue globales ainsi qu'une couverture altimétrique entre 60° N et 60 ° S. Après avoir quitté l'orbite lunaire, un mauvais fonctionnement d'un des calculateurs embarqués, le 7 mai à 14:39 UTC provoqua l'allumage d'un propulseur qui fonctionna jusqu'à ce qu'il n'ait plus de carburant, laissant la sonde en rotation incontrôlée sur elle-même à 80 tours / minutes. Cela rendit la suite prévue de la mission impossible : un survol de l'astéroïde Géographos. La sonde resta en orbite centrée sur la Terre et continua à tester ses composants jusqu'à la fin de la mission.



Descriptif de la sonde Clementine (40 ko)

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