Insolite -

Rappel du premier message :

Oklahoma
Un chien qui marche sur ses deux pattes!

On pourrait penser que naître avec seulement deux pattes, c'est un handicap pour un chien.

Faith (qui signifie foi), un chien de l’Oklahoma marche debout!

Après l'avoir adopté, la famille a tenté de la faire marcher en la soudoyant avec son aliment favori : du beurre d'arachide.

Finalement, c'est le chien du voisin qui a été l'élément déclencheur. Il l'a mordue et Faith s'est mise à courir pour le chasser.

Voir le reportage en vidéo
http://lcn.canoe.ca/cgi-bin/player/video.cgi?file=/lcn/actualite/le_monde/20081113_chien2pattes.wmv

Pas là non plus...

Citation :

Une Allemande appelle la police à cause d'un vibromasseur





Sex toys/sipa



INSOLITE - Il s'était mis en route tout seul...
On n'est jamais trop prudent. Une Allemande angoissée par un bruit suspect dans son appartement a appelé la police dans la nuit de jeudi à vendredi pour venir à sa rescousse. Mais la source de ce bruit était quelque peu inattendue: il s'agissait d'un vibromasseur.
Un policier courageux a mis fin au suspense


Se fiant à leur ouïe, les agents de la police de Bochum ont traversé l'appartement sur la piste sonore toujours plus prononcée jusqu'à la chambre de l'occupante des lieux. Un policier, «n'écoutant que son courage», précise le communiqué des autorités, a ouvert un tiroir de la commode pour y trouver, sous quelques effet personnels, le vibromasseur qui s'était manifestement mis en route tout seul.
Après «un brusque changement de couleur de ses joues», la dame a raccompagné les fonctionnaires jusqu'à la porte de chez elle, ceux-ci ne manquant pas de «lui souhaiter une bonne soirée», conclut le communiqué.

Elle roule deux fois sur son mari par accident



Un Néo-Zélandais a été hospitalisé après que son épouse eut roulé deux fois, par accident, sur lui, annonce vendredi un journal local.

L'homme, âgé de 69 ans, s'est fait rouler dessus par le 4x4 conduit par sa femme qui sortait, en marche arrière, de l'allée de leur habitation.
Ne réalisant pas ce qu'il s'était passé, l'épouse a alors fait marche avant, roulant de nouveau sur son mari.

L'homme a été blessé à la tête, au dos et à la poitrine. L'épouse, sous le choc, n'a pas pu être immédiatement interrogée par la police. (belga/cb)

12/03/10 07h49

Bien vu
j't'écrase,je recommence pour être certaine de ne pas
l'avoir raté!!!
Elle est sous le choc parce qu'il vit toujours.
Adieu au magot du pépère

Insolite : il transpire et poursuit Apple en justice
(Mobinaute - NetEco, publié par Guillaume Belfiore le Lundi 15 Mars 2010)





Voilà un procès qui ne devrait pas donner trop de sueurs froides à Apple

Un sportif de Manhattan Beach en Californie vient de lancer des actions légales contre la firme de Steve Jobs en pointant du doigt le casque de l'iPod. Plus précisément Stephen Vale explique qu'au cours de ses entrainements, la sueur aurait coulé jusqu'aux écouteurs, se serait immiscée à l'intérieur pour finalement les rendre inopérants.

M.Vale se serait plaint à l'Apple Store de Manhattan Beach où on lui aurait changé son casque contre un neuf à deux reprises. Il explique que la publicité d'Apple est trompeuse puisqu'on y voit des personnes en train de courir et de s'entrainer, le casque aux oreilles. Le blog TheWrap.com rapporte que suite au dépôt de la plainte : « on a dit au plaignant qu'il pouvait s'entrainer (sic) avec le baladeur mais pas de transpirer ».

M. Vale aurait demandé des droits de dommages et intérêts et invite les autres résidents de l'état de Californie à le rejoindre pour monter un recours collectif contre Apple.

Suspendu à la fenêtre d'un bordel en feu complètement nu



Un Suisse a eu très chaud en se rendant dans une maison close pour transexuels à Bâle en Suisse. La chambre dans laquelle il s'était installé a pris feu et le jeune homme a été contraint de se réfugier sur l'appui de fenêtre, complètement nu, pour attendre les secours.

Selon les dires de Memeth (33 ans), il s'était rendu dans cet endroit pour rendre visite à un ami. Soudain, pour une raison qu'il ignore, un incendie s'est déclaré. Ne parvenant pas à sortir par la porte, c'est par la fenêtre qu'il a pu fuir les flammes. Son anatomie a donc été affichée de longues minutes durant à une foule de petits curieux. Une image insolite qui a bien entendu été immortalisée par de nombreux photographes amateurs.

"Espérons que mes parents ne reconnaîtront pas mes fesses dans les journaux", a ironisé le jeune homme qui a, il doit bien l'avouer, eu très chaud au derrière. (CB)

22/03/10 13h12

Donc,il avait le feu au cul,ce chaud lapin

Où sont passées les autres fesses ?
Il n'était pas tout seul !

* Lili * a écrit:

Où sont passées les autres fesses ?
Il n'était pas tout seul !

Elles ne sont peut-être pas belles à voir
faudrait demander l'avis de Bernard

Ce n'est pas Sylvette qui réalise les enquêtes sur ce forum ?

La crémation d'une personne en surpoids a été surfacturée à la dernière minute lors de la cérémonie funéraire à Montussan, en Gironde, au motif que le défunt pesait plus que prévu, a-t-on appris vendredi auprès d'un de ses proches.

"Michel était un bon vivant. A sa mort, il voulait qu'on le brûle et qu'on passe à autre chose. S'il avait su qu'on ferait payer une surtaxe pour son poids, il aurait dit en riant: il faut faire un régime avant de mourir, ça coûtera moins cher".

Sa belle-soeur, Chantal Correia, a raconté comment, lors des funérailles, le 9 mars, une personne des pompes funèbres lui a chuchoté: "Il y a un petit problème, il y a quinze kilos de plus (à facturer), il y a une surtaxe, il faudra passer au bureau pour régler ça".

Peu avant sa mort, le défunt pesait 125 kilos pour 1,75 mètre mais la famille avait annoncé 120 kilos aux pompes funèbres pensant que le disparu avait perdu du poids en une semaine de coma à l'hôpital. Les pompes funèbres avaient en conséquence estimé à 565 euros le prix de la crémation, selon Mme Correia.

"On nous a dit qu'on s'était trompé" et que le disparu pesait en fait 135 kilos et non 120, "il aurait pris du poids pendant son coma", a ajouté Mme Correia, précisant qu'au total, le cercueil pesait finalement 175 kilos. (belga/cb)

attendons alors...

L’informaticien qui fait trembler les ex-agents de la Stasi
(Propos recueillis par mail par Amélie Charnay,01netle 01/04/2010 à 16h29)



Le docteur Bertram Nickolay du Fraunhofer Institut de Berlin - Fraunhofer IPK 2007

Bertram Nickolay a mis au point un programme capable de reconstituer les archives de la police secrète est-allemande, broyées et déchirées à la main après la chute du Mur. Une prouesse sur laquelle ce chercheur allemand revient pour 01net.

Depuis 2007, l'équipe de Bertram Nickolay tente de percer les secrets des archives de la Stasi. Ou ce qu'il en reste : plus de 600 millions de morceaux de papier à analyser et à trier pour reconstituer les fiches de millions de personnes, et retrouver les noms et les activités des Allemands de l'Ouest ayant servi la RDA.

Une tâche herculéenne, impossible à réaliser manuellement. Responsable du département Sécurité de l'institut Fraunhofer de Berlin, Bertram Nickolay a pour cela mis au point un dispositif de numérisation automatique associé à un puissant logiciel. Il a répondu à nos questions.

En quoi consiste votre processus de reconstitution automatique ?
Il suit plusieurs étapes selon la logique d'un puzzle. Les fragments de papier sont lissés pour être numérisés recto verso avec un scanner spécial. Ensuite, l'ordinateur trie les extraits en fonction de différents paramètres comme la couleur, la forme, la texture, mais aussi le fait que cela soit écrit à la main ou à la machine, etc. Une des étapes du partitionnement des données consiste à prétrier de manière électronique les morceaux de papier qui ont des caractéristiques similaires, avant de commencer l'assemblage à partir de la forme proprement dite. L'installation pilote actuelle est capable de traiter deux sacs par jour.

Comment êtes-vous équipés ?
Les algorithmes nécessitent beaucoup de ressources en calcul. C'est pourquoi on utilise un système de serveurs avec une grille de calcul pour la reconstitution des informations. Le matériel informatique est conçu de façon très modulaire pour obtenir une extensibilité optimale du système. Une quinzaine de scientifiques sont occupés au développement de la technologie et une dizaine de collaborateurs s'occupent du process de reconstitution.



Le programme informatique trie les confettis de papier suivant 20 paramètres - Fraunhofer IPK 2007

Quel type de scanner utilisez-vous ?
Les scanners du marché courant n'étaient pas assez rapides et sensibles. Nous avons dû développer notre propre scanner en coopération avec la société Arvato Services [qui appartient à Bertelsmann AG, NDLR].

Vous avez commencé une phase pilote de 400 sacs en 2007. En êtes-vous satisfait et qu'avez-vous découvert ?
La phase pilote se déroule très bien. Le but est de la clôturer fin 2011. Les difficultés principales concernent la technique pour scanner et l'interprétation des documents. L'ordinateur est capable de distinguer 20 paramètres différents pour reconstituer une page, il faut maintenant qu'il puisse retrouver l'ordre des textes.

[Bertram Nickolay n'est pas habilité à parler du contenu des documents reconstitués, NDLR].

Quelles sont les applications possibles dans d'autres domaines ?
Il y a trois grands domaines d'application : la sécurité, le patrimoine culturel mondial et l'archéologie. Nous avons ainsi assemblé des documents déchirés à la main ou détruits par des broyeurs pour les autorités financières et criminelles.
On nous a également sollicité après l'effondrement de la maison des archives municipales de Cologne en 2009, qui contenait de véritables trésors comme des manuscrits du XIVe siècle. Les documents ont été numérisés et reconstitués. Et nous travaillons actuellement à la transposition en 3D de la technologie de reconstruction d'objets cassés en archéologie. Nous sommes amenés à travailler dans tous ces domaines avec de nombreux pays de l'Union européenne, mais aussi d'Amérique latine et des ex-pays de l'Est comme l'Ukraine.

16 250 sacs postaux renfermant les secrets de la Stasi



15 janvier 1990 à Berlin. Des manifestants prennent d'assaut le siège de la Stasi, la police secrète de la RDA. A l'intérieur, les agents tentent encore de détruire les archives. Mais les broyeuses sont tombées en panne et ils ont dû déchirer à la main une partie des documents. Outre des milliers de dossiers intacts, les Berlinois sauvent alors 16 250 sacs postaux renfermant environ 600 millions de morceaux de papier.
Le contenu potentiel de ces archives est explosif puisque les noms et les activités des Allemands de l'Ouest ayant servi la RDA y sont consignés. Hommes politiques, policiers, journalistes... l'identité de ces « taupes rouges » fait fantasmer toute l'Allemagne. De vrais scandales en perspective qui expliquent le peu d'empressement du parlement à reconstituer ces archives. Des fonctionnaires s'attellent bien à cet immense puzzle, mais il leur faudrait huit siècles pour en venir à bout à la main.

L'informaticien Bertram Nickolay, qui dirige le département sécurité du Fraunhofer Institut, propose en 2003 un programme permettant la reconstitution automatique des confettis de papier.
Il a de bonnes raisons de s'intéresser au sujet : son ami, l'écrivain et ex-dissident Jürgen Fuchs, est mort d'une leucémie vraisemblablement provoquée par la Stasi qui l'aurait soumis à des irradiations durant son séjour en prison. Et la preuve de ce crime se trouve probablement dans les archives...
Mais il faut attendre 2007 pour que le parlement allemand finisse enfin par accepter un test sur 400 sacs. Coût de l'opération : plus de 6 millions d'euros. Fin 2011, les députés allemands devront décider s'ils élargissent l'opération aux autres sacs.

* Lili * a écrit:

Ce n'est pas Sylvette qui réalise les enquêtes sur ce forum ?

Non, non, Lili,, les s-pecialistes sont Ombre et Bernard.

Biloulou a écrit:

L’informaticien qui fait trembler les ex-agents de la Stasi
(Propos recueillis par mail par Amélie Charnay,01netle 01/04/2010 à 16h29)



Le docteur Bertram Nickolay du Fraunhofer Institut de Berlin - Fraunhofer IPK 2007

Bertram Nickolay a mis au point un programme capable de reconstituer les archives de la police secrète est-allemande, broyées et déchirées à la main après la chute du Mur. Une prouesse sur laquelle ce chercheur allemand revient pour 01net.

Depuis 2007, l'équipe de Bertram Nickolay tente de percer les secrets des archives de la Stasi. Ou ce qu'il en reste : plus de 600 millions de morceaux de papier à analyser et à trier pour reconstituer les fiches de millions de personnes, et retrouver les noms et les activités des Allemands de l'Ouest ayant servi la RDA.

Une tâche herculéenne, impossible à réaliser manuellement. Responsable du département Sécurité de l'institut Fraunhofer de Berlin, Bertram Nickolay a pour cela mis au point un dispositif de numérisation automatique associé à un puissant logiciel. Il a répondu à nos questions.

En quoi consiste votre processus de reconstitution automatique ?
Il suit plusieurs étapes selon la logique d'un puzzle. Les fragments de papier sont lissés pour être numérisés recto verso avec un scanner spécial. Ensuite, l'ordinateur trie les extraits en fonction de différents paramètres comme la couleur, la forme, la texture, mais aussi le fait que cela soit écrit à la main ou à la machine, etc. Une des étapes du partitionnement des données consiste à prétrier de manière électronique les morceaux de papier qui ont des caractéristiques similaires, avant de commencer l'assemblage à partir de la forme proprement dite. L'installation pilote actuelle est capable de traiter deux sacs par jour.

Comment êtes-vous équipés ?
Les algorithmes nécessitent beaucoup de ressources en calcul. C'est pourquoi on utilise un système de serveurs avec une grille de calcul pour la reconstitution des informations. Le matériel informatique est conçu de façon très modulaire pour obtenir une extensibilité optimale du système. Une quinzaine de scientifiques sont occupés au développement de la technologie et une dizaine de collaborateurs s'occupent du process de reconstitution.



Le programme informatique trie les confettis de papier suivant 20 paramètres - Fraunhofer IPK 2007

Quel type de scanner utilisez-vous ?
Les scanners du marché courant n'étaient pas assez rapides et sensibles. Nous avons dû développer notre propre scanner en coopération avec la société Arvato Services [qui appartient à Bertelsmann AG, NDLR].

Vous avez commencé une phase pilote de 400 sacs en 2007. En êtes-vous satisfait et qu'avez-vous découvert ?
La phase pilote se déroule très bien. Le but est de la clôturer fin 2011. Les difficultés principales concernent la technique pour scanner et l'interprétation des documents. L'ordinateur est capable de distinguer 20 paramètres différents pour reconstituer une page, il faut maintenant qu'il puisse retrouver l'ordre des textes.

[Bertram Nickolay n'est pas habilité à parler du contenu des documents reconstitués, NDLR].

Quelles sont les applications possibles dans d'autres domaines ?
Il y a trois grands domaines d'application : la sécurité, le patrimoine culturel mondial et l'archéologie. Nous avons ainsi assemblé des documents déchirés à la main ou détruits par des broyeurs pour les autorités financières et criminelles.
On nous a également sollicité après l'effondrement de la maison des archives municipales de Cologne en 2009, qui contenait de véritables trésors comme des manuscrits du XIVe siècle. Les documents ont été numérisés et reconstitués. Et nous travaillons actuellement à la transposition en 3D de la technologie de reconstruction d'objets cassés en archéologie. Nous sommes amenés à travailler dans tous ces domaines avec de nombreux pays de l'Union européenne, mais aussi d'Amérique latine et des ex-pays de l'Est comme l'Ukraine.

16 250 sacs postaux renfermant les secrets de la Stasi



15 janvier 1990 à Berlin. Des manifestants prennent d'assaut le siège de la Stasi, la police secrète de la RDA. A l'intérieur, les agents tentent encore de détruire les archives. Mais les broyeuses sont tombées en panne et ils ont dû déchirer à la main une partie des documents. Outre des milliers de dossiers intacts, les Berlinois sauvent alors 16 250 sacs postaux renfermant environ 600 millions de morceaux de papier.
Le contenu potentiel de ces archives est explosif puisque les noms et les activités des Allemands de l'Ouest ayant servi la RDA y sont consignés. Hommes politiques, policiers, journalistes... l'identité de ces « taupes rouges » fait fantasmer toute l'Allemagne. De vrais scandales en perspective qui expliquent le peu d'empressement du parlement à reconstituer ces archives. Des fonctionnaires s'attellent bien à cet immense puzzle, mais il leur faudrait huit siècles pour en venir à bout à la main.

L'informaticien Bertram Nickolay, qui dirige le département sécurité du Fraunhofer Institut, propose en 2003 un programme permettant la reconstitution automatique des confettis de papier.
Il a de bonnes raisons de s'intéresser au sujet : son ami, l'écrivain et ex-dissident Jürgen Fuchs, est mort d'une leucémie vraisemblablement provoquée par la Stasi qui l'aurait soumis à des irradiations durant son séjour en prison. Et la preuve de ce crime se trouve probablement dans les archives...
Mais il faut attendre 2007 pour que le parlement allemand finisse enfin par accepter un test sur 400 sacs. Coût de l'opération : plus de 6 millions d'euros. Fin 2011, les députés allemands devront décider s'ils élargissent l'opération aux autres sacs.

C'est extraordinaire!

Mais on peut se poser la question de savoir pourquoi les employes de la Stasi ont conserve ces sacs?

Un cadavre en bagage à main


Deux Allemandes se sont présentées samedi au comptoir d'enregistrement d'un vol pour Berlin, à l'aéroport de Liverpool (Grande-Bretagne), en compagnie d'un homme de 91 ans, assis dans une chaise roulante et portant des lunettes de soleil. Le vieillard était en fait décédé, mais les deux femmes affirment avoir cru qu'il dormait car il avait les yeux fermés.

A son arrivée sur place, un employé de l'aéroport avait aidé à faire sortir d'un taxi le vieil homme, qui souffrait d'Alzheimer, pour l'installer dans le fauteuil roulant. Mais des responsables ont commencé à avoir des soupçons et pris son pouls, découvrant alors qu'il était mort.

La police a arrêté les deux accompagnatrices, la veuve du défunt et sa fille, pour non déclaration de décès. Celles-ci ont été remises en liberté sous caution. Un médecin légiste a estimé que le défunt était décédé depuis plus de vingt-quatre heures. Mais les deux femmes, qui vivent dans la région de Manchester, assurent que Jarant était vivant quand elle l'ont emmené à l'aéroport. Selon des journaux britanniques, la police pense que les deux femmes voulaient éviter d'avoir à payer les frais élevés de rapatriement du corps.

Lawrence a écrit:

Un cadavre en bagage à main

Il y a de celà plus de 20 ans,c'est arrivé à des vacanciers en Espagne .
La mémé est morte en Espagne .
Vite fait bien fait ,elle est roulée dans un tapis sur le toit et retour à la maison précipité (en été ça chauffe....) .
Pas de chance : à une station service on leurs a piqué la bagnole ....
Evidement ils ont du tout expliquer aux flics ...
Mais "de l'autre côté" c'était pas non plus prévu au programme ...
Et dès qu'ils ont ouvert le tapis ,ils se sont barrés ,mais avec la voiture ... qu'on a retrouvé, mais sans la mémé ...
Et on a jamais su où était la mémé et qui avait piqué la bagnole ...

Ungern a écrit:

Et on a jamais su où était la mémé et qui avait piqué la bagnole ...

Certains disent que son esprit hante encore les autoroutes du sud de la France, entre Perpignan et la frontière espagnole et que par les soirs d'orage ou de pleine lune, on voit son fantôme rouler à vive allure au volant d'une décapotable en poussant de longs gémissements...

OmbreBlanche a écrit:

Ungern a écrit:

Et on a jamais su où était la mémé et qui avait piqué la bagnole ...

Certains disent que son esprit hante encore les autoroutes du sud de la France, entre Perpignan et la frontière espagnole et que par les soirs d'orage ou de pleine lune, on voit son fantôme rouler à vive allure au volant d'une décapotable en poussant de longs gémissements...

Et à contre-sens (c'est çà,un véhicule fantôme)

"En regardant ta photo hilarante, une question m'ais venue. Comment ils font les chiens pour faire pipi en Arabie ?"


Sur des derricks comme tout le monde.....

Lawrence a écrit:

"En regardant ta photo hilarante, une question m'ais venue. Comment ils font les chiens pour faire pipi en Arabie ?"


Sur des derricks comme tout le monde.....

Les libanais esperent récupérer lawrence.


Antiquités volées: ébauche d'une liste internationale d'antiquités à rapatrier prioritairement











Du buste de Néfertiti aux frises du Parthénon, une conférence internationale sur la restitution des antiquités "volées" a permis jeudi de commencer à élaborer une liste d'oeuvres prioritaires, sans toutefois déboucher sur un plan d'action communMonde - International 18:06


Du buste de Néfertiti aux frises du Parthénon, une conférence internationale sur la restitution des antiquités "volées" a permis jeudi de commencer à élaborer une liste d'oeuvres prioritaires, sans toutefois déboucher sur un plan d'action commun.
Sept pays --Egypte, Guatemala, Nigeria, Syrie, Grèce, Pérou, Libye-- sur la vingtaine présents ont fourni des listes d'objets, a indiqué le chef du Conseil suprême des antiquités (CSA) égyptien Zahi Hawass à la fin de cette conférence de deux jours au Caire.
M. Hawass a indiqué devant la presse que les autres pays participants avaient un mois pour fournir leurs propres listes d'objets réclamés à d'autres pays.
L'Egypte veut le rapatriement de six pièces de grande valeur exposées à l'étranger: le buste de Néfertiti (Berlin), la pierre de Rosette (Londres), le zodiaque de Denderah (Paris), le buste du dignitaire Ankhaf (Boston), la statue de Hemiunu (Hildesheim, Allemagne) et une statue de Ramsès II (Turin).
La Grèce a une revendication majeure: le retour de la partie des frises du Parthénon détenue par le British Museum, pour laquelle elle se bat depuis trente ans.
Le Pérou a fait savoir qu'il réclamait des collections provenant de la cité inca du Machu Picchu présentes au musée de l'université américaine de Yale, ainsi que des objets de la culture Paracas exilés à Göteborg (Suède).
La Syrie, selon un document du CSA égyptien, réclame cinq oeuvres détenues par les musées de l'Hermitage (Saint-Pétersbourg), du Louvre (Paris), et le Musée national de Copenhague.
Le Nigéria a fourni une liste comprenant notamment un masque de la reine Idia parti au British Museum de Londres, et une tête de bronze d'Olokun (Francfort). Le Guatemala réclame des objets à la Suisse et à plusieurs musées américains. La Libye quant à elle veut des restitutions de la part du Louvre et du British Museum.
M. Hawass a déclaré que les pays présents à cette conférence "historique" étaient "d'accord pour se battre ensemble" mais n'a toutefois pas fait état d'un plan d'action commun concret.
"Il est essentiel de renforcer la coopération internationale et les cadres légaux et judiciaires de la protection du patrimoine", a-t-il déclaré.
M. Hawass n'a pas mentionné la convention de l'Unesco de 1970 sur la restitution des antiquités à leur pays d'origine. L'Egypte entre autres déplore que ce texte soit non-rétroactif, permettant à certains musées de conserver des pièces acquises avant cette date.
Il a toutefois promis que Le Caire allait continuer de "faire la vie dure" à certains musées, sans les nommer, qui persistent à refuser la restitution de pièces archéologiques.
L'Autriche, le Chili, la Colombie, la Chine, Chypre, l'Equateur, la Grèce, le Guatemala, le Honduras, l'Inde, l'Italie, la Libye, le Mexique, le Nigeria, le Pérou, la Pologne, la Russie, la Corée du Sud, l'Espagne, le Sri Lanka, la Syrie, les Etats-Unis étaient présents en plus de l'Egypte, la plupart au niveau de hauts responsables des ministères de la Culture ou des services des antiquités.
Des pays comme la France, l'Allemagne ou la Grande-Bretagne, régulièrement montrés du doigt par l'Egypte en matière de détention d'antiquités pharaoniques, étaient absents.
L'Italie en revanche était venue, bien que Le Caire lui réclame avec insistance la restitution de la statue de Ramsès II de Turin.
M. Hawass avait précisé mercredi dans son discours d'ouverture que son pays ne réclamait pas le retour de toutes les antiquités, mais seulement celles pour lesquelles des preuves existent qu'elles ont été subtilisées, et celles qui, même s'il n'y a pas eu vol, représentent une valeur historique capitale pour leur pays d'origine.