Mon séjour dans un Kibboutz

Je voudrais vous faire partager la formidable expérience qui fut la mienne lors de mon séjour de 6 mois dans un Kibboutz ...

Premier épisode : l'arrivée ...

Depuis toujours, j'avais envie de connaître un mode de vie rurale unique où les valeurs égalitaires, l'amour de la nature et le travail de la terre pouvaient parfaitement se conjuguer avec mes idéaux sionistes.

Après un long voyage, je suis donc arrivé à Deganya, sur les rives sud de la mer de Galilée. D'emblée, je découvris un paysage magnifique niché dans un endroit naturel, riche et spectaculaire !

Une chambre très claire et assez spartiate avait été préparée pour moi par Sarah, une jeune fille aux seins lourds et à la peau très claire, ce qui ne fut pas pour me déplaire pour ce premier contact.

A suivre ...

Second épisode : l'installation ...

Bien entendu, Moshe (le père de Sarah, la jeune fille aux seins lourds et à la peau très claire) m'apporta une tenue de lin écru et très sobre et me demanda de quitter ma chemise Ed Harris et de mettre au coffre ma Rolex et mon collier Cartier de 18 carats avec la traditionnelle étoile de David incrustée de diamants. Par ailleurs, il me signala qu'il lui paraissait plus prudent de ne pas conserver mon American express platine sur moi en me précisant qu'il n'était pas rare que de jeunes arabes s'introduisent la nuit dans la communauté.

Sarah m'invita à prendre une douche fraiche en sa compagnie et je me sentis tout de suite tout ragaillardi malgré la fatigue du voyage. Après ces premières ablutions, nous gagnâmes le réfectoire situé au centre du Kibboutz.

A suivre ...

Bernard, je te vois venir avec tes histoires graveleuses coutumières.
Une fois encore je prends à coeur de te signaler que LP n'est pas le lieu adéquat pour étaler tes obsessions maladives.

Troisième épisode : la première journée ...

Après un copieux petit déjeuner, j'ai observé les gens de la communauté s'affairer dans les champs à flan de côteau et Sarah et moi décidâmes d'aller faire une sieste dans la fraîcheur de ma chambre très claire et assez spartiate aux murs blanchis.
Dans un Kibboutz, la sieste est un moment sacré ... et avec Sarah, un sacré moment !
Après quelques heures ainsi lovés contre Sarah et parfaitement reposé, j'aperçus par une fenêtre une autre jeune fille aux formes parfaites.
" Mais qui est donc cette jeune fille ? " dis-je tout de go à Sarah qui me répondit avec un magnifique sourire gourmand : " Mais c'est Amira ma jeune soeur ! "

Au terme de cette première journée, je sentis immédiatement que j'allais beaucoup me plaire ici ...

A suivre ...

Biloulou a écrit:

Bernard, je te vois venir avec tes histoires graveleuses coutumières.
Une fois encore je prends à coeur de te signaler que LP n'est pas le lieu adéquat pour étaler tes obsessions maladives.

C'est un procès d'intention ? ... dans mon esprit, ce n'est pourtant que la relation d'un carnet de voyage et de contacts enrichissants de cultures ...

Et avec le père de Sarah,
tu nous racontes aussi ?

Ungern a écrit:

Et avec le père de Sarah,
tu nous racontes aussi ?

Ce qui est de la sphère privée doit rester privé ... Par ailleurs, je sens que notre censeur permissionnaire m'observe avec un regard déjà noir ... je me demande bien pourquoi ??? ... je n'ai encore rien dit.

Demain, je relaterai ma première journée aux champs puis ma première soirée dans un night club de Tel Aviv avec Amira. Là, je dois manger un morceau et me préparer pour ma soirée Madison au "New Morning" dans le Xème ...

Quatrième épisode : ma première journée de labeur ...

Au Kibboutz, le réveil ne saurait être tardif et dès 10 H 00 du matin, chacun s'étire et saute de son lit tel un cabri. Pour moi, ce n'est pas un problème, j'aime me lever au chant du coq.
J'ai donc rejoint sans tarder Moshé, Sarah, Amira ainsi que leur maman Edith. Edith était à cette époque une quadragénaire solide aux cuisses puissantes qui, je dois l'avouer, ne me laissèrent pas insensible. Très curieusement et contrairement à sa soeur Sarah, Amira avait une poitrine assez menue mais néanmoins très agréable.
Nous cheminâmes donc vers le lieu de culture, notre Kibboutz était spécialisé dans l'arboriculture. Moshé m'assigna une tâche de confiance : celle de tenir l'échelle alors même que les filles montaient à la cime des arbres. J'étais donc dans une position quasi-idéale pour contempler les cuisses nues et puissantes de la maman de Sarah et d'Amira.

Comme j'adore le travail au grand air, il faut bien dire que le temps passait très vite sous le chaud soleil de Galilée. Par ailleurs, un sensation de spiritualité me traversait très souvent, la proximité des lieux saints sans doute.

A suivre ...

C'est un procès d'intention ?

Il semble plutot que ce soit l'experience qui s'exprime.

On peut se demander pourquoi Bernard a jete son devolu sur LP, alors qu'il serait si heureux sur des sites specialises

mais bon...

Ou alors ce sont des sites "très spécialisés" ...

12 -

Citation :

On peut se demander pourquoi Bernard a jete son devolu sur LP, alors qu'il serait si heureux sur des sites specialises

Peut-être a-t-il jugé un peu hâtivement que sur Lp il y avait des internautes plus ouverts et éclectiques qu'ailleurs et non pas quelque moraliste de rencontre qui chercherait à faire malgré eux le bonheur des gens en les envoyant chez Plumeau...

Mais bon je ne suis pas spécialiste des sites du même nom comme d'aucuns.

EddieCochran a écrit:

12 -

Citation :

On peut se demander pourquoi Bernard a jete son devolu sur LP, alors qu'il serait si heureux sur des sites specialises

Peut-être a-t-il jugé un peu hâtivement que sur Lp il y avait des internautes plus ouverts et éclectiques qu'ailleurs et non pas quelque moraliste de rencontre qui chercherait à faire malgré eux le bonheur des gens en les envoyant chez Plumeau...

Mais bon je ne suis pas spécialiste des sites du même nom comme d'aucuns.

Attention cher Eddie ... on va penser que vous avez de mauvaises fréquentations ...

Quant à l'explication, elle est - peut-être - beaucoup plus simple : "il" est entré sur ce site là parce qu'il y a vu de la lumière et aussi parce qu'il ne cherchait pas nécessairement des lumières ...

Moi je me méfierai de cette sioniste, ses seins lourds peuvent cacher
dans le soutien gorge une paire de grenades quadrillées.

EddieCochran a écrit:

12 -

Citation :

On peut se demander pourquoi Bernard a jete son devolu sur LP, alors qu'il serait si heureux sur des sites specialises

Peut-être a-t-il jugé un peu hâtivement que sur Lp il y avait des internautes plus ouverts et éclectiques qu'ailleurs et non pas quelque moraliste de rencontre qui chercherait à faire malgré eux le bonheur des gens en les envoyant chez Plumeau...

Mais bon je ne suis pas spécialiste des sites du même nom comme d'aucuns.

C'est de Biloulou dont vous parlez?

chat noir a écrit:

Moi je me méfierai de cette sioniste, ses seins lourds peuvent cacher
dans le soutien gorge une paire de grenades quadrillées.

Ca tombe bien c'est les meilleures!!!!
je me suis toujours méfié des offensives en plus la tonite c'est quant meme plus stable que la tnt ou la poudre déflagrante!!

Bon et puisque ça ne semble pas intéresser la formidable expérience qui fut la mienne lors de mon séjour de 6 mois dans un Kibboutz ... je vais donc passer au dernier épisode en regrettant néanmoins que vous préfériez toujours évoquer des choses négatives ou des événements cruels à propos de tout cela ...

Dernier épisode : le départ, les adieux ...

Au terme de ces six mois de mode de vie rurale unique où les valeurs égalitaires, l'amour de la nature et le travail de la terre pouvaient parfaitement se conjuguer avec mes idéaux sionistes et avant le départ de Deganya, sur les rives sud de la mer de Galilée, et le retour vers chez moi, l'heure sonna de quitter les paysages magnifiques nichés dans des endroits naturels, riches et spectaculaires.

J'allais regretter longtemps cette chambre très claire et assez spartiate qui avait été préparée pour moi par Sarah, une jeune fille aux seins lourds et à la peau très claire !

Amira, Sarah, Edith et quelques cousines aux lèvres charnues et aux hanches solides pleuraient doucement alors même que David, le jeune éphèbe avec qui je venais de passer ma dernière nuit sous les étoiles, montrait de gros sanglots. Quelle émotion ! Que de sensations vécues ici !

Il était temps de reprendre ma Rolex mais je tîns à offrir mon étoile de David de 18 carats incrustée de diamants à Sarah et ma chemise Ed Harris à David. Pour Amira dont la poitrine avait prospéré avec bonheur en 6 mois, j'avais réservé une de mes tenues écrues en lin.

Moshé, pourtant si réservé d'habitude, était lui aussi au bord des larmes. Il me prit dans ses bras tel un fils et me chuchota : " Elles vont toutes te regretter ! ".

Fin.

Bernard75 a écrit:

" Elles vont toutes te regretter ! ".

En aparté : "ils" aussi ?

Citation :

Fin.

Biloulou, in petto : ouf, ça ne s'est pas trop mal passé... Merci, Bernard !

Bernard, tu as oublié de parler de ton beau père momentané.

"En 2010, alimenté par une sonde depuis 4 ans, il ne pèse plus que 50 kg. Bien qu'il n'ait plus besoin d'aide respiratoire et réagisse à certains stimuli ses médecins n'envisagent pas qu'il se réveille un jour."

Bernard75 a écrit:

Bon et puisque ça ne semble pas intéresser la formidable expérience qui fut la mienne lors de mon séjour de 6 mois dans un Kibboutz ... je vais donc passer au dernier épisode en regrettant néanmoins que vous préfériez toujours évoquer des choses négatives ou des événements cruels à propos de tout cela ...

Dernier épisode : le départ, les adieux ...

Au terme de ces six mois de mode de vie rurale unique où les valeurs égalitaires, l'amour de la nature et le travail de la terre pouvaient parfaitement se conjuguer avec mes idéaux sionistes et avant le départ de Deganya, sur les rives sud de la mer de Galilée, et le retour vers chez moi, l'heure sonna de quitter les paysages magnifiques nichés dans des endroits naturels, riches et spectaculaires.

J'allais regretter longtemps cette chambre très claire et assez spartiate qui avait été préparée pour moi par Sarah, une jeune fille aux seins lourds et à la peau très claire !

Amira, Sarah, Edith et quelques cousines aux lèvres charnues et aux hanches solides pleuraient doucement alors même que David, le jeune éphèbe avec qui je venais de passer ma dernière nuit sous les étoiles, montrait de gros sanglots. Quelle émotion ! Que de sensations vécues ici !

Il était temps de reprendre ma Rolex mais je tîns à offrir mon étoile de David de 18 carats incrustée de diamants à Sarah et ma chemise Ed Harris à David. Pour Amira dont la poitrine avait prospéré avec bonheur en 6 mois, j'avais réservé une de mes tenues écrues en lin.

Moshé, pourtant si réservé d'habitude, était lui aussi au bord des larmes. Il me prit dans ses bras tel un fils et me chuchota : " Elles vont toutes te regretter ! ".

Fin.

chat noir a écrit:

Moi je me méfierai de cette sioniste, ses seins lourds peuvent cacher
dans le soutien gorge une paire de grenades quadrillées.

Imaginez ce qu'une extremiste peut cacher sous une Burqa...

Bernard75 a écrit:

Quatrième épisode : ma première journée de labeur ...

Au Kibboutz, le réveil ne saurait être tardif et dès 10 H 00 du matin, chacun s'étire et saute de son lit tel un cabri. Pour moi, ce n'est pas un problème, j'aime me lever au chant du coq.
J'ai donc rejoint sans tarder Moshé, Sarah, Amira ainsi que leur maman Edith. Edith était à cette époque une quadragénaire solide aux cuisses puissantes qui, je dois l'avouer, ne me laissèrent pas insensible. Très curieusement et contrairement à sa soeur Sarah, Amira avait une poitrine assez menue mais néanmoins très agréable.
Nous cheminâmes donc vers le lieu de culture, notre Kibboutz était spécialisé dans l'arboriculture. Moshé m'assigna une tâche de confiance : celle de tenir l'échelle alors même que les filles montaient à la cime des arbres. J'étais donc dans une position quasi-idéale pour contempler les cuisses nues et puissantes de la maman de Sarah et d'Amira.

Comme j'adore le travail au grand air, il faut bien dire que le temps passait très vite sous le chaud soleil de Galilée. Par ailleurs, un sensation de spiritualité me traversait très souvent, la proximité des lieux saints sans doute.

A suivre ...

Oufti..!! 10h00 Je suppose que c une erreur de frappe.
A part ça c une belle histoire et Degania aleph et bet, sont effectivement de tres beaux Kibbutz. si tu as effectivement eté la je ne doute pas que tu ais eté satisfait de ton sejour.

Citation :

Oufti..!! 10h00 Je suppose que c une erreur de frappe.
A part ça c une belle histoire et Degania aleph et bet, sont effectivement de tres beaux Kibbutz. si tu as effectivement eté la je ne doute pas que tu ais eté satisfait de ton sejour.

Oui Tsur à l'été 73, deux mois avant Kippour ... Ca a du bien changer depuis ...

Les kibboutzim (hébreu : קיבוץ, kibboutz ou, mieux, qibbuç ; pluriel : קיבוצים : kibboutzim ou qibbuçîm, « assemblée » ou « ensemble ») sont des communautés (ou villages) collectivistes, localisées dans tout Israël, et créées en 1909 pour le premier d'entre eux, Degania, par le mouvement sioniste sous l'influence des idées du socialisme associatif.
Il s'agit à l'origine de communautés rurales, mais des activités industrielles ont commencé à y être développées dès les années 1940-50.
Historiquement, les membres des kibboutzim ont été perçus comme une élite, particulièrement militante et engagée. Ainsi, dans les années 1980, les officiers issus des kibboutzim représentaient près de 25 % du corps des officiers, pour à peine 3 % de la population.
Cependant le poids idéologique ou humain des kibboutzim est clairement en baisse relative depuis les années 1970, et ils ne pèsent plus que 1,8 % de la population israélienne en 2005. Leur population ne se réduit pas vraiment (un peu cependant depuis les années 1990), mais surtout elle ne progresse plus dans une société israélienne en développement démographique rapide^[1].
Une personne vivant dans un kibboutz est appelée kibboutznik (pluriel kibboutznikim).
À compter des années 1970, les kibboutzim ont connu des difficultés économiques énormes, renforcées par la quasi disparition des subventions sous les gouvernements Likoud (droite).
Les années 1980 ont donc été une période où les kibboutzim ont dû réorganiser en profondeur leurs activités économiques. Les secteurs les plus porteurs : industrie, tourisme et services ont été développés. L'agriculture des origines a été reléguée au second rang (15 % des membres seulement y sont encore affectés). Il y eut d'ailleurs quelques faillites. Cependant, au début des années 1990, les kibboutzim avaient surmonté la crise, qui reste sans doute la plus rude de leur histoire.
Aujourd'hui, malgré quelques exceptions, les kibboutzim sont considérés comme en bonne santé économique et financière. Le niveau de vie des membres des kibboutzim est l'un des plus élevés d'Israël, ce qui suscite d'ailleurs parfois la rancœur des communautés environnantes.

Crise des valeurs [modifier]
Au-delà de la gestion collective et égalitaire du travail, les kibboutzim avaient également à l'origine développé un mode de vie collectiviste : prise des repas en commun, absence totale de propriété privée (même les vêtements étaient au moins théoriquement collectivisés), éducation en commun des enfants, qui ne vivaient pas avec leur parents.
Depuis les années 1970-80, de nouvelles valeurs individuelles et familiales se développent dans les kibboutzim. La propriété collective, le travail collectif, l'égalitarisme social et la démocratie directe ne sont pas vraiment remis en cause. Mais des évolutions sont apparues, en particulier l'acceptation de la vie privée et de la vie de famille. Ainsi, aujourd'hui, il n'y a guère que le repas du midi qui soit pris en commun au réfectoire, et les enfants dorment chez leurs parents.
Toujours dans le développement de cette sphère du privé, une allocation de « budget personnel » est apparue. Il ne s'agit pas d'un salaire, et l'allocation est normalement égale pour tous. Mais elle permet de participer à la société de consommation, et de s'acheter divers biens non fournis par le kibboutz, qui deviennent dès lors une propriété privée.
Certains kibboutzim (minoritaires) ont même été plus loin en introduisant une échelle de salaires différenciés entre les membres, ce qui est une rupture énorme par rapport à la tradition égalitariste.
Autre facteur de remise en cause, l'industrialisation des kibboutzim a entraîné le recours à de la main-d'œuvre extérieure, salariée. Elle est importante : 50 à 60 % des travailleurs employés par l'ensemble des kibboutzim. Ces travailleurs peuvent être des Juifs, mais aussi des arabes ou des travailleurs immigrés de diverses origines (Chine, Europe orientale...). Cette main d'œuvre, surtout concentrée dans les tâches d'exécution, perçoit parfois le kibboutz où elle travaille comme un « patron » collectif, avec lequel des conflits peuvent surgir. Elle touche évidemment des salaires, notion qui n'existe normalement pas dans un kibboutz (mais qui s'y développe, voir plus haut). Et elle ne participe pas vraiment à la définition des politiques du kibboutz, ce qui viole les principes égalitaires du projet.
Enfin, certains membres des kibboutzim travaillent maintenant à l'extérieur. Le salaire est normalement intégralement versé au kibboutz (qui reverse l'allocation mentionnée ci-dessus). Cette situation a toujours existé (le corps des officiers a toujours été riche en membres des kibboutzim). Mais cette tendance se renforce, et entraîne trois conséquences :

• certains liens communautaires se distendent quelque peu ;
  
• des membres deviennent économiquement indépendants du kibboutz et peuvent donc le quitter à tout moment. Ce qu'ils font parfois ;
  
• certains revenus échappent au kibboutz, et introduisent parfois quelques différences sociales (modérées) entre les membres
  

Voila en gros pour ceux que ça interesse...la priv atisation a pris une ampleur plus grande ces derniéres années, Mis a part quelques Kibbutz de la gauche, ce n'est plus ce que c'etait, mais ce n'est pas un mochav...les kibbutz sont aujourd'hui nplus riches qu'ils ne l'etaient, et ils se sont debarassés des gens foutres devenus trés nombreux....