Les Cohortes Célestes ont le devoir et le regret de vous informer que Libres Propos est entré en sommeil. Ce forum convivial et sympathique reste uniquement accessible en lecture seule. Prenez plaisir à le consulter.
Merci de votre compréhension.
Ce que ses détracteurs qui montent en épingle ces histoires de cul(-de-basse-fosse) ou qui les montent tout court oublient c'est que, si elles sont vraies, elles déclenchent une sympathie condescendante et légèrement envieuse chez les Italiens et que, si elles sont fausses, alimentent la même sympathie tellement l'acharnement et la mauvaise foi de leurs auteurs soulève le coeur...
Berlusconi reste le grand gagnant dans les deux cas !
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Que vous soyez adepte de la liberté d'échange de fichiers rendue possible par Internet ou que vous vous estimez en devoir de rémunérer les auteurs qui l'exigent, cette décision de la Cour européenne de justice est intéressante à connaître.
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Les opérateurs pas forcés de donner les noms des "téléchargeurs", c'est la décision qu'a rendue la Cour européenne de justice, dans un litige opposant Telefonica à une association espagnole. (Reuters)
Revers en justice pour les détenteurs de droits d'auteur. La Cour européenne de justice (CEJ) a en effet estimé, mardi 29 janvier, que les sociétés de télécommunications n'étaient pas tenues de donner à ceux-ci les noms et adresses des internautes soupçonnés de télécharger illégalement de la musique.
La Cour considère que la loi n'exige pas des gouvernements qu'ils protègent les droits d'auteur ou qu'ils engagent des poursuites sur des données personnelles transmises via la Toile. Selon elle, les 27 pourraient se doter d'une telle loi, mais en trouvant dans ce cas un équilibre entre la protection de la vie privée et les droits de la propriété intellectuelle. Selon elle, la protection des droits d'auteurs "ne doit pas porter préjudice aux exigences liées à la protection des données à caractère personnel".
En France, par exemple, un projet de loi anti-piratage prévoit, en coopération avec les FAI, d'envoyer des messages d'avertissement aux internautes qui se livrent aux téléchargements illégaux puis, en cas de récidive, de suspendre voire résilier leur abonnement internet.
Sûreté publique et défense nationale
Cette décision de la CEJ fait suite à une plainte déposée par Promusicae, une association espagnole à but non lucratif de producteurs de musique et de films. Celle-ci estimait que l'opérateur Telefonica aurait du lui fournir les noms et adresses liés aux protocoles d'accès internet utilisés pour se connecter à Kazaa, un logiciel de peer-to-peer. Elle souhaitait engager des procédures civiles contre ces internautes.
Telefonica soutenait de son côté que la loi espagnole lui faisait seulement obligation de partager ses données privées dans des affaires criminelles ou des affaires concernant la sûreté publique ou la défense nationale. Saisie, la justice espagnole avait demandé l'arbitrage de la Cour européenne de justice.
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: 126- Sexe ou "orientation" sexuelle ? 1/8/2009, 11:12
Portugal: la Cour constitutionnelle maintient l'interdiction du mariage homosexuel (AP - Hier, 18h37)
La Cour constitutionnelle du Portugal a rejeté vendredi la requête de deux lesbiennes qui souhaitaient convoler, maintenant ainsi l'interdiction du mariage homosexuel dans le pays. Sur les cinq juges, trois se sont prononcés pour le maintien de l'interdiction et deux contre.
Helena Paixao souhaite épouser Teresa Pires avec qui elle vit depuis 2003. Si elle n'a pas obtenu gain de cause vendredi, elle estime cependant que le fait que la Cour soit partagée sur la question constituait une "victoire". "Ca montre qu'un changement se dessine. Petit à petit, les gens vont évoluer" et accepter le mariage gay, a-t-elle déclaré lors d'un entretien téléphonique.
Sa compagne et elle ont tenté de se marier à Lisbonne en 2006 mais ont essuyé un refus de l'état civil au motif que la loi stipule que le mariage ne peut être contracté qu'entre deux personnes de sexe différent.
Comme la Constitution du Portugal interdit les discriminations sur la base des orientations sexuelles], elles ont saisi un tribunal lisboète, qui a rejeté leur demande, puis elles ont fait appel de ce rejet.
Dans un communiqué mis en ligne sur son site internet, la Cour constitutionnel explique ainsi sa décision de vendredi: la Constitution ne stipule pas que les mariages entre personnes de même sexe doivent être permis. Selon la Cour, la question n'était pas de savoir si la Constitution portugaise autorise les mariages homosexuels mais si elle oblige à les accepter.
Helena Paixao et Teresa Pires ont maintenant l'intention de saisir la Cour européenne des droits de l'Homme.
Cinq pays européens autorisent les homosexuels à se marier: la Belgique, les Pays-Bas, l'Espagne, la Suède et la Norvège (qui ne fait pas partie de l'UE).
Des élections législatives se tiendront en septembre au Portugal. Dans son programme, le Parti socialiste propose de légaliser le mariage homosexuel. Le Parti social-démocrate (centre droit) est, lui, opposé à une telle mesure. Les deux formations sont au coude à coude dans les sondages.
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Citation :
"Comme la Constitution du Portugal interdit les discriminations sur la base des orientations sexuelles, elles ont saisi un tribunal lisboète, qui a rejeté leur demande, puis elles ont fait appel de ce rejet."
Suave, je me demande si les honorables requérantes ne font pas une confusion - enfin, une de plus - entre sexe et orientation sexuelle... Je présume également que "orientation" est un euphémisme de "choix".
Citation :
"Helena Paixao et Teresa Pires ont maintenant l'intention de saisir la Cour européenne des droits de l'Homme".
Est-ce vraiment de circonstance dans le chef de deux femmes, même un peu altérées.
Si ça ne vous dérange pas, Monsieur Lawrence, je préfère l'original, bien des années plus tôt : un fado de Coimbra qui porte le nom de la ville éponyme :Coimbra.
Si ça ne vous dérange pas, Monsieur Lawrence, je préfère l'original, bien des années plus tôt : un fado de Coimbra qui porte le nom de la ville éponyme :Coimbra.
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Dix policiers blessés en marge d'une manifestation anti néonazis en Allemagne
Monde - Europe dim 6 sep, 15:26 Douze personnes, dont dix policiers, ont été blessés dans des heurts avec des militants d'extrême-gauche en marge d'une manifestation contre un rassemblement néonazi à Dortmund (ouest de l'Allemagne), a indiqué la police dans la nuit de samedi à dimanche. Environ 700 néonazis se sont rassemblés samedi sur un parking de Dortmund, avec l'autorisation de la justice allemande et protégés par la police. Une contre-manifestation a réuni entre 2.000 et 3.000 personnes, parmi lesquelles des militants d'extrême-gauche, qui ont jeté des pierres et des pétards contre les policiers. Dix policiers ont été blessés, ainsi qu'un responsable politique des Verts qui tentait de s'interposer et a été légèrement blessé au visage et une femme, a précisé la police, qui a procédé à près de 300 interpellations. Les néonazis organisent régulièrement des rassemblements en Allemagne, sous protection policière, et qui donnent souvent lieu à des contre-manifestations. (DAD)
Un vote positif n’est nullement garanti lors du second référendum sur le traité de Lisbonne qui aura lieu le 2 octobre prochain. À un mois de cette consultation qui tranchera définitivement le sort du traité de Lisbonne signé en décembre 2007, un sondage TNS publié jeudi par le Irish Times montre que le « oui » est en perte de vitesse : il perd 8 points, à 46 % au profit des indécis (25 %, + 7 points) et du « non » (29 %, + 1 point). Cette évolution est inquiétante, la campagne en faveur du « non » n’ayant, contrairement à celle qui a mené au « non » du 13 juin 2008 (à 53,4 %), aucun héraut. Surtout, à trois semaines du scrutin, le « oui » était encore largement majoritaire, le non n’étant passé en tête qu’à 15 jours du scrutin…
Pourtant, les Irlandais ont obtenu des garanties sur les sujets qui les inquiétaient : la réforme de la Commission est abandonnée (réduction du nombre de commissaires), l’harmonisation fiscale et sociale est définitivement écartée et l’Union réaffirme son respect de la neutralité irlandaise ainsi que son absence de compétence dans le domaine de l’avortement et du mariage gay (tous deux interdits en Irlande). Mais il semble que les Irlandais soient tentés de se servir de ce référendum pour manifester leur défiance à l’égard de leur gouvernement tenu pour responsable de l’ampleur de la crise qui ravage l’île.
Un parti nationaliste danois en campagne contre la construction des mosquées
Monde - Europe 12:26 Le Parti du peuple danois (PPD, extrême droite), soutien parlementaire essentiel du gouvernement, a lancé mercredi une campagne médiatique contre la construction de mosquées au Danemark, appelant les électeurs à manifester leur opposition à ces citadelles de l'islamisme. Il a publié dans plusieurs quotidiens une pleine page montrant la Mosquée bleue d'Istanbul à la coupole surmontée de deux sabres ajoutés par le PPD avec en titre "Non aux grandes mosquées dans les villes danoises!". Cette campagne pour les municipales du 17 novembre fait suite au récent feu vert du conseil de la mairie de Copenhague à la construction de la première mosquée au Danemark, une décision contestée par le PPD qui a demandé un nouveau vote le 17 septembre. "Seul le Parti du peuple danois a voté contre!" souligne cette affiche, car "l'argent (pour financer cette mosquée) vient entre autres du régime de terreur de l'Iran". Le PPD met en garde contre une nouvelle autre mosquée qui "verra le jour dans 3 ans à Copenhague, financée par l'Arabie saoudite, une dictature". Cette campagne a été critiquée par des élus locaux à Copenhague, notamment par le maire-adjoint Klaus Bondam, favorable à la construction de cette première mosquée, "symbole de Copenhague multiculturelle". L'Islam, avec environ 200.000 adeptes (quelque 3,5% de la population), est la deuxième religion au Danemark après l'Eglise évangélique-luthérienne. Les musulmans, sunnites pour la plupart, pratiquent leur culte dans près de 130 lieux de prière situés dans des appartements, caves et fabriques désaffectées.
Un parti nationaliste danois en campagne contre la construction des mosquées
Monde - Europe 12:26 Le Parti du peuple danois (PPD, extrême droite), soutien parlementaire essentiel du gouvernement, a lancé mercredi une campagne médiatique contre la construction de mosquées au Danemark, appelant les électeurs à manifester leur opposition à ces citadelles de l'islamisme. Il a publié dans plusieurs quotidiens une pleine page montrant la Mosquée bleue d'Istanbul à la coupole surmontée de deux sabres ajoutés par le PPD avec en titre "Non aux grandes mosquées dans les villes danoises!". Cette campagne pour les municipales du 17 novembre fait suite au récent feu vert du conseil de la mairie de Copenhague à la construction de la première mosquée au Danemark, une décision contestée par le PPD qui a demandé un nouveau vote le 17 septembre. "Seul le Parti du peuple danois a voté contre!" souligne cette affiche, car "l'argent (pour financer cette mosquée) vient entre autres du régime de terreur de l'Iran". Le PPD met en garde contre une nouvelle autre mosquée qui "verra le jour dans 3 ans à Copenhague, financée par l'Arabie saoudite, une dictature". Cette campagne a été critiquée par des élus locaux à Copenhague, notamment par le maire-adjoint Klaus Bondam, favorable à la construction de cette première mosquée, "symbole de Copenhague multiculturelle". L'Islam, avec environ 200.000 adeptes (quelque 3,5% de la population), est la deuxième religion au Danemark après l'Eglise évangélique-luthérienne. Les musulmans, sunnites pour la plupart, pratiquent leur culte dans près de 130 lieux de prière situés dans des appartements, caves et fabriques désaffectées.
Guadalajara ne veut pas débaptiser ses rues franquistes. Par Elodie Cuzin
Sommé par l'opposition de modifier des noms de rues d'héritage franquiste, le maire de Guadalajara, à l'Est de Madrid, a eu l'idée de consulter directement les habitants concernés. Résultat : 96% s'opposent au changement. L'opposition dénonce une initiative « choquante » et un procédé quelque peu trompeur. Les habitudes ont la peau dure, a peut-être pensé Antonio Román, le maire conservateur (parti populaire, PP) de Guadalajara (83 600 habitants), pour s'assurer qu'il ne perdrait pas la face devant son opposition en lançant ce sondage informel.
Les conseillers municipaux socialistes (PSOE) et membres de Gauche unie (IU) lui avaient demandé au printemps dernier de modifier plusieurs noms de rues, baptisées en l'honneur de personnalités locales proches des Franquistes pendant la guerre civile, et qui ont traversé sans encombres trois décennies de démocratie.
Ils appuyaient leur demande sur la loi dite de « mémoire historique », adoptée sous le gouvernement socialiste de José Luis Rodriguez Zapatero fin décembre et qui exige, entre autres, que les « administrations publiques » retirent les insignes, plaques et autres mentions commémoratives du soulèvement franquiste ou exaltant la guerre civile.
« Ne rouvrons pas de vieilles blessures »
Le maire a donc décidé de consulter directement les habitants des rues concernées :
« Je représente les citoyens, et s'ils me disent quelque chose que je crois juste, alors je vais agir, a-t-il déclaré au journal local El Decano. Si cela est contraire au droit, qu'un juge me le dise ».
Les résultats sont tombés la semaine dernière : sur les 272 réponses reçues, seules 12 étaient favorables au changement. Le maire a alors eu du mal à cacher sa jubilation en affirmant aux médias présents que les résidents lui avaient surtout demandé « si nous n'avions pas mieux à faire » :
« Il n'est pas nécessaire de rouvrir des blessures que la Constitution a déjà pansées. »
Une victoire écrasante
Cette victoire écrasante - 96% contre le changement de nom de rues franquistes - s'explique, selon le conseiller municipal d'IU, José Luis Maximiliano Romo, par le fait que les plus de 400 lettres envoyées n'expliquaient pas pourquoi l'on se proposait de débaptiser ces rues :
« Cela démontre les difficultés du Parti populaire à se défaire de ses tics franquistes. Il est choquant que le maire d'un régime démocratique décide de soumettre à une consultation par courrier l'application ou non d'une loi approuvée par le Parlement démocratique espagnol ».
Son parti envisage désormais de mener l'affaire en Justice, tandis que le Parti socialiste dénonce un sondage « partiel et biaisé ». La Ville a, par le passé, retiré d'autres noms de rues, ainsi que la médaille d'honneur qui avait été décernée au Général Franco, a pour sa part précisé le maire de Guadalajara.
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Il y a peut-être une autre explication : les Espagnols, dans leur grande majorité, sont reconnaissants envers la Révolution Espagnole et respectent le père de l'Espagne moderne ?
Que diraient les Français si on cherchait à effacer jusqu'au souvenir de la Révolution Française et ses héros ?
EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
Que diraient les Français si on cherchait à effacer jusqu'au souvenir de la Révolution Française et ses héros ?
Désolé de ne pas apporter d'eau à votre moulin Mon Cher Biloulou, les Français ne diraient sûrement rien, ils seraient incapables d'argumenter une telle décision car ils ne connaissent absolument plus leur propre Histoire (qui ne le fut pas toujours d'après le Cercle Frantz Fanon que je salue). Même moi qui lit pas mal, je ne sais même plus comment s'appellent les glorieux vainqueurs de la Star'Ac qui reste portant dans notre mémoire collective un événement historique encore show chaud d'importance nationale considérable.
(Blague à part : suivez quelques émissions de TV françaises lors desquelles il est posé des questions d'Histoire à des candidats de tout niveau scolaire. Vous serez effaré de "l'ignardise" crasse des suppliciés interrogés. Exemple, dans un récent Qui veut gagner des millions ? de J-P Foucault, il est demandé au couple sur le retour Mireille Darc-Alain Delon (qui fut fusilier marin en Indochine) de dire quel fait historique est commémoré le 8 mai en France. Il faut choisir entre 4 propositions dont l'Armistice de 1914-1918, la Victoire de 1945, et deux autres machins que j'ai oubliés. Ces deux vieux schnocks - dont un, Delon qui avait 10 ans en 1945 - paniquent, ne s'y retrouvent pas entre 14-18 et 1945 et finalement demandent de bénéficier d'un joker, l'appel au public, en implorant que seuls ceux qui savent "vraiment" répondent...
Et ça ce n'est qu'un aperçu pipeul. Même à l'inoxydable jeu TV Questions pour un champion, émission-culte à laquelle participent exclusivement des candidats profs et des diplômés, on assiste avec consternation à des plantages monumentaux sur l'Histoire (ainsi que la géographie et le calcul mental)...
Et en ce moment ce grand fada de François de Water Closets entame une croisade médiatique pleine d'imbécillité contre l'extrême difficulté de l'orthographe de la langue française, thème que lui emboîtent de suite les media à grand renfort d'interviewes de petits écoliers de 10 ans en classe de CM2. Comique, affligeant et malheureusement destructeur.
Comment déjà disait l'excellent Celte ? Il désirait savoir si la khônnerie chez certains clans ne serait pas de nature génétique. On peut s'interroger en effet.
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Mon Cher Eddie, je ne me serai pas permis le quart du tiers de votre philippique (le Bel ?) contre vos compatriotes parmi lesquels je compte tant d'amis/es sincères.
Mais tant qu'à faire, puisque c'est vous qui le dites...
(Toujours est-il que je garde le meilleur souvenir d'une parodie d'un de ces jeux télé par un trio d'humoristes dont le nom m'échappe, mais au cours de laquelle j'ai beaucoup appris sur Stéphanie de Monaco.. Si, si)
Mon Cher Eddie, je ne me serai pas permis le quart du tiers de votre philippique (le Bel) contre vos compatriotes parmi lesquels je compte tant d'amis/es sincères.
Mais tant qu'à faire, puisque c'est vous qui le dites...
(Toujours est-il que je garde le meilleur souvenir d'une parodie d'un de ces jeux télé par un trio d'humoristes dont le nom m'échappe, mais au cours de laquelle j'ai beaucoup appris sur Stéphanie de Monaco.. Si, si)
Didier Bourdon : "Les Belges sont champions de l’autodérision"
L’humoriste Didier Bourdon est en pleine promotion du dernier film qu’il a réalisé : Bambou. Un opus qui rassemble Anne Consigny, Pierre Arditi et la Belge Virginie Hocq.
People - Questions pour une star ven 10 juil, 13:53
C’est un homme au cœur tendre que nous avons reçu dans nos studios il y a quelques jours. L’espace de quelques minutes, Didier Bourdon n’a pas vraiment cherché à provoquer un fou-rire. Il s’est montré tel qu’il est devenu : un papa de 50 ans, sensible au respect des animaux et soucieux des femmes partagées entre leur carrière et la maternité. Regardez les séquences de l'interviewau bas de cet article. Le dilemme qui angoisse les femmes : carrière ou maternité
Bien que le film ‘Bambou’ soit une comédie romantique, il traite de faits sociaux modernes et réels. Visiblement sensible au temps qui passe, Didier Bourdon a voulu pointer du doigt une réalité qui touche de plus en plus de femmes : « Après le tournage j’ai vu un reportage d’un gynécologue qui disait qu’il y avait un vrai problème, explique le réalisateur. Des femmes se rendaient chez lui en disant ‘Docteur, j’ai fait ma carrière, maintenant je veux un enfant’. Et le médecin de leur répondre qu’elles étaient alors devenues stériles avec l’âge. J’ai voulu parler de cela aussi dans mon film ».
« Dans l’autodérision, les Belges sont champions du monde »
Belgique 1 – France 0, ou presque. Car en autodérision, nous sommes les champions du monde, d’après un des plus grands humoristes français. « Je pense que les Français sont capables d’autodérision, mais il faut reconnaître que notamment dans le cinéma, les Belges sont remarquables là-dessus. En autodérision, vous êtes les champions du monde, c’est très très très fort, ce que vous faites », encense-t-il.
Brèves confidences…
En réponse aux termes « attendrissement », « toute dernière fois » et « papa », Didier Bourdon laisse tomber son masque comique. Ces quelques secondes sincères avec l’acteur nous apprennent qu’avec le temps, les larmes lui montent plus vite aux yeux. Papa d’un grand garçon de 27 ans, Didier Bourdon a eu un dernier coup de foudre il y a 2 ans et demi : pour son deuxième enfant, une petite fille. « J’avoue que je craque complètement sur elle », nous confie-t-il.
Il y aura bel et bien une suite au film « Les trois frères »
« Oui, il y aura une suite, mais il faudra régler des problèmes », explique-t-il. Sur scène, il pourrait remonter avec Pascal Légitimus et Bernard Campan, mais il s‘agit plus d’une question de timing : tous trois sont soit sur les planches, soit en tournage. Le trio, attendu par toute une génération, confirme donc son retour.
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Mon Cher Eddie, je ne me serai pas permis le quart du tiers de votre philippique (le Bel ?) contre vos compatriotes parmi lesquels je compte tant d'amis/es sincères. Mais tant qu'à faire, puisque c'est vous qui le dites... (Toujours est-il que je garde le meilleur souvenir d'une parodie d'un de ces jeux télé par un trio d'humoristes dont le nom m'échappe, mais au cours de laquelle j'ai beaucoup appris sur Stéphanie de Monaco.. Si, si)
Plus j'y pensais moins je trouvais et moins j'y pensais... EVRIKA, ça y est, j'ai trouvé !
Le populiste de droite Wilders veut expulser des millions de musulmans
Dans un entretien avec la chaîne de télévision danoise DR2, le populiste de droite Geert Wilders a déclaré vouloir expulser d'Europe des dizaines de millions de musulmans qui auraient causé des problèmes. Ces déclarations sont dangereuses, estime le quotidien Trouw : "L'histoire de l'Europe nous enseigne quelles peuvent être les conséquences d'une disqualification systématique d'un groupe de population. … Avec ses propositions aberrantes, Wilders est seul sur le plan politique. Mais l'idée selon laquelle l'Islam ou même la religion est le problème, est répandue. Elle gagne malheureusement aussi du terrain auprès de partis comme le [social-démocrate] PvdA et le [parti libéral de droite] VVD, tandis que le CDA [chrétien-démocrate] ne se prononce pas. A une époque où le monde devient de plus en plus petit et où les peuples dépendent toujours plus les uns des autres, aucun de ces partis ne mise sur une société plurielle. Avec cette attitude timorée et sans caractère, ces partis, qui devraient en savoir plus de par leurs principes, contribuent à que ces absurdités dangereuses … soient de plus en plus acceptées dans la société."
OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
"Aux Pays-Bas, les coffee shops doivent vendre seulement aux "locaux"
Les coffee shops, ces magasins où l'on peut acheter de petites quantités de cannabis aux Pays-Bas, doivent vendre cette drogue "exclusivement" aux consommateurs locaux, a annoncé le gouvernement néerlandais reprenant à son compte les recommandations formulées en juillet par une commission d'experts.
"Il sera donc plus difficile pour les touristes d'acheter du cannabis dans des coffee shops", a affirmé à l'AFP une porte-parole du ministère de la Justice, Karin Temmink. Une proposition de loi dans ce sens sera soumise au parlement avant la fin de l'année, a-t-elle précisé.
Cette approche devrait, selon le communiqué, "réduire la problématique des coffee shops dans les régions frontalières", où des millions de touristes de la drogue viennent se fournir chaque année, provoquant des nuisances dont les communes se plaignent amèrement.
Le projet prévoit que les clients ne pourront plus acheter jusqu'à cinq, mais trois grammes de cannabis, et devront obligatoirement payer avec une carte bancaire néerlandaise. Il reste néanmoins suspendu à un arrêt du Conseil d'État néerlandais, qui doit déterminer s'il n'est pas "discriminatoire" et contraire à la libre circulation des personnes et des produits dans l'Union européenne (UE).
..."Il sera donc plus difficile pour les touristes d'acheter du cannabis dans des coffee shops", a affirmé à l'AFP une porte-parole du ministère de la Justice, Karin Temmink. Une proposition de loi dans ce sens sera soumise au parlement avant la fin de l'année, a-t-elle précisé.
Ah, on a l'esprit ouvert, on vend legalement du cannabis, mais bon, on n'en fait tout de meme pas la reclame.
La police ferme un "coffee shop" à Gilly et arrête trois trafiquants
Une opération de la section stupéfiants de la police locale a permis la fermeture d'un "coffee shop" vendredi à Gilly (Charleroi). Trois suspects ont été interpellés.
- belgique dim 13 sep, 17:46 L'endroit était situé rue du Rambulant, à Gilly, et des informations étaient parvenues à la police, faisant état de nombreux va-et-vient de véhicules immatriculés en France dans ce quartier. Un dispositif d'observation y a été mis sur pied. Il a permis de constater que de nombreux clients laissaient leur voiture en stationnement sur le territoire voisin de Châtelineau, avant de venir se fournir dans ce coffee-shop. Deux clients français ont ainsi été surpris, à leur sortie, en possession d'héroïne et de cocaïne. Une fouille de l'appartement a alors été ordonnée, et deux suspects, en séjour illégal, y ont été interpellés en possession d'argent et de GSM. Dans l'habitation, les policiers ont mis la main sur 728 grammes d'héroïne coupée, 46 grammes d'héroïne pure, 5 grammes de cocaïne, 175 grammes de haschich et deux balances de précision, ainsi que 450 euros. Dans la cave, les dealers avaient installé un salon de consommation classique. Alors que les enquêteurs étaient occupés à fouiller l'appartement, un troisième homme, qui avait une clé de l'endroit, est arrivé et a été interpellé, en possession de deux GSM et d'une somme de 5.000 euros. Les trois suspects ont été déférés devant la juge d'instruction Véronique Desneux, qui les a placés sous mandat d'arrêt.
Libération anticipée l'ex-présidente des Serbes de Bosnie, colère à Sarajevo
Monde - Europe 15:27 Le Tribunal pénal international (TPI) pour l'ex-Yougoslavie a annoncé mardi la libération anticipée de l'ex-présidente des Serbes de Bosnie, Biljana Plavsic, condamné à 11 ans de prison pour crimes de guerre, provoquant la colère d'associations de victimes musulmanes et croates. "Mme Plavsic s'est bien comportée en détention", a souligné le TPI dans son ordonnance. Elle "participe aux promenades de la prison et s'occupe aussi en cuisinant et en faisant des pâtisseries". Biljana Plavsic, 79 ans, a été condamnée en février 2003 pour son rôle, en tant que vice-présidente de la Republika Srpska autoproclamée, dans la campagne de persécutions effectuée par les forces serbo-bosniaques contre les Musulmans et les Croates de Bosnie pendant la guerre qui a fait 100.000 morts de 1992 à 1995. Premier dirigeant serbe de haut rang à avoir reconnu sa responsabilité dans ce conflit, elle était devenue présidente de la Republika Srpska en 1996 après le retrait de Radovan Karadzic, également poursuivi par le TPI. "Le fait qu'elle a plaidé coupable montre qu'elle a accepté la responsabilité de ses crimes", a estimé le tribunal, rappelant que Mme Plavsic, qui s'était rendue au TPI en 2001, avait exprimé des "remords" au moment de sa condamnation. Mme Plavsic purge depuis juin 2003 sa peine dans la prison pour femmes d'Hinseberg, à une centaine de kilomètres à l'ouest de Stockholm. Conformément à la loi suédoise, elle peut bénéficier d'une libération anticipée à partir du 27 octobre, aux deux tiers de sa peine, détention préventive comprise. A Sarajevo, la décision du TPI a suscité la colère d'associations de victimes musulmanes et croates de la guerre de Bosnie. "Une telle mesure pourrait être en accord avec la loi internationale, mais elle n'a rien à voir avec la Justice", a déclaré à l'AFP Murat Tahirovic, qui dirige une association d'anciens prisonniers de guerre musulmans et croates. Pour Bakira Hasecic, à la tête d'une association de femmes croates et musulmanes victimes de viols pendant le conflit, la décision du TPI est une "triste nouvelle". "Cela prouve que +le monde+ approuve le génocide et l'agression", a-t-elle affirmé. "Comment Plavsic peut-elle être libérée alors que moi, 14 ans après la guerre, je n'ai toujours pas retrouvé les ossements de mon fils", s'est indignée Munira Subasic, responsable d'une association de survivants du massacre de Srebrenica (est de la Bosnie), au cours duquel 8.000 Musulmans avaient été tués par les Serbes en 1995. La libération de Mme Plavsic n'interviendra pas avant une décision officielle de la Suède, selon le ministère suédois de la Justice. Cette décision de pure forme doit être prise "d'ici à quelques semaines", a-t-on précisé de même source à l'AFP. Le dirigeant des Serbes de Bosnie, Milorad Dodik, a pour sa part indiqué qu'il se rendrait mercredi auprès de Mme Plavsic, selon l'agence de presse serbo-bosniaque Srna. "Malgré les injustices auxquelles elle a été confrontée ces dernières années, nous espérons que le 27 octobre Biljana Plavsic sera libre", a déclaré à Srna Svetozar Mihajlovic, un responsable serbe bosniaque d'un Comité de soutien à Mme Plavsic. "Nous allons lui réserver un accueil chaleureux à l'aéroport de Belgrade. Elle le mérite", a-t-il assuré.
OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
"Barroso reconduit à la tête de l'UE mais avec une majorité fragile"
Après deux mois et demi d'incertitude, les responsables des groupes politiques du Parlement ont décidé jeudi de voter le 16 septembre sur la candidature du Portugais à sa propre reconduction.
Mais celui-ci devra compter avec une majorité étriquée qui continuera à le maintenir sous pression.
Il s'agit néanmoins d'une bonne nouvelle pour M. Barroso, mécontent d'être laissé dans les limbes depuis la fin juin, car elle ouvre la voie à son investiture.
"Je ne peux que saluer cette décision. Il est important d'avoir une clarification des instances dirigeantes de l'Union européenne à un moment particulier marqué par la nécessité de faire face à la crise économique et de répondre aux défis extérieurs comme la conférence de Copenhague" sur le climat, a dit l'intéressé.
A présent, il lui faut encore être adoubé par le Parlement européen, où la droite n'a pas à elle seule la majorité suffisante et doit donc trouver des alliés.
L'ancien Premier ministre portugais, qui a fait des promesses à chacun des groupes politiques du Parlement devant lesquels il a été entendu cette semaine, semble désormais assuré d'obtenir une majorité relative suffisante pour se faire réélire la semaine prochaine.
Mais certains eurodéputés exigent déjà, en cas de ratification du traité de Lisbonne - qui changerait les règles du jeu - que M. Barroso se soumette à un nouveau vote : celui-ci serait dans ce cas périlleux car il lui faudrait rallier sur son nom la majorité absolue des élus, beaucoup plus difficile à obtenir.
Dans cette dernière configuration en effet, les abstentionnistes, qui risquent d'être nombreux, y compris dans les rangs conservateurs où il ne fait pas l'unanimité, comptent de facto comme des voix contre.
Jeudi, les Libéraux et les socialistes européens ont échoué dans une première tentative d'imposer à M. Barroso ce deuxième scrutin. Ils n'ont pas trouvé de majorité en ce sens au cours de la réunion des présidents de groupe.
Mais le dernier mot n'est pas dit. "La question reste à l'ordre du jour" car si M. Barroso se contente d'une majorité fragile "il sera politiquement faible", a dit jeudi le chef de file des élus socialistes, Martin Schulz.
Plusieurs juristes des institutions européennes estiment qu'un deuxième vote sera indispensable. Et la question pourrait être soulevée par certains dirigeants de l'UE.
"Les jeux ne sont pas encore faits. Il est désormais probable que Barroso obtienne une majorité la semaine prochaine mais si elle est étriquée, la pression pour qu'il se soumette à un nouveau vote va croître, ce qui pourrait faire ressortir des candidatures alternatives", estime un diplomate européen.
Le Premier ministre français François Fillon, présenté cette semaine par le quotidien Le Monde comme un recours possible, a assuré soutenir "sans réserve" M. Barroso. Mais sans totalement convaincre à Bruxelles.