J'ai mal à ma Belgique

Ungern a écrit:

On pourrait pas supprimer les flamands plutôt ?

Waarom ? Hebt u een probleem met de Vlamingen ?

De Vlaamse taal is een taal nog niet plezierig.

Le gouvernement flamand ne ratifie pas le traité européen sur les minorités





Le gouvernement flamand ne ratifiera pas le traité du Conseil de l'Europe sur la protection des minorités tant qu'il n'y aura pas de définition de "minorité nationale" acceptable par la Flandre, a répété mercredi le ministre-président flamand Kris Peeters devant le parlement flamand. La Flandre refuse toujours de ratifier ce texte, craignant qu'il mène au renforcement des droits des Francophones en Flandre et le dossier est régulièrement évoqué dans le cadre des négociations institutionnelles.

Russie
Le traité a aussi été évoqué lundi à Genève, à l'occasion de
l'"examen périodique universel" (EPU) du Conseil des droits de l'homme de l'ONU. La Fédération russe a recommandé à la Belgique, qui communiquera son avis en septembre, de faire ratifier cette convention par ses parlements.

Dans la foulée, le ministre-président de la Fédération Wallonie Bruxelles, Rudy Demotte, a appelé les autorités fédérales à se concerter au plus tôt avec les entités fédérées pour établir une interprétation commune du concept de minorité nationale.

Communauté germanophone
Le ministre-président flamand a dit être curieux de savoir ce que
son homologue francophone proposera, étant donné qu'aux yeux de M. Peeters, une seule minorité existe en Belgique: la Communauté germanophone.

Pour sa part, la parlementaire sp.a Mia De Vits a jugé que les
Flamands devraient ajuster leur point de vue sur le traité et que les
Francophones devraient cesser de remettre en question le principe de
territorialité. (belga/chds)

04/05/11 18h55

La question de l'amnistie des anciens collabos est ouverte



Bart Laeremans
L'assemblée plénière du Sénat a ouvert jeudi la possibilité d'ouvrir à la discussion une proposition de loi du Vlaams Belang relative à l'effacement des condamnations des collaborateurs de la seconde guerre mondiale, un cap historique même si la prise en considération rendue possible par un vote néerlandophones (sauf
Groen! ) contre francophones se limite à juger de la recevabilité
technique du texte.

Néerlandophones - sauf Groen! - contre francophones
Trente sénateurs (les groupes Open Vld, CD&V, N-VA, sp.a, tous à
l'unanimité) ont voté pour la prise en considération d'une proposition de loi "effaçant, pour l'avenir, tous les effets des condamnations et sanctions infligées du chef d'actes d'incivisme 'prétendument' commis entre le 10 mai 1940 et le 8 mai 1945 et instituant une commission chargée d'indemniser les victimes de la répression d'après-guerre ou leurs descendants pour le préjudice financier subi à la suite desdites condamnations et sanctions", vingt-six ont voté contre (les élus francophones du PS, du MR, du cdH et d'Ecolo ainsi que Groen! ).

Ce type de proposition est régulièrement déposé au parlement et sa prise en considération rejetée, les élus francophones exigeant un vote sur leur recevabilité. Jeudi, ils ont renouvelé cette exigence, faute de quoi la recevabilité est accordée automatiquement, mais le vote leur a été défavorable.

Les sénateurs Philippe Mahoux (PS), Jacky Morael (Ecolo) et Francis Delpérée (cdH) ont particulièrement dénoncé l'évocation d'actes "prétendument" commis, tel que le libèlle la proposition du VB, qu'ils ont considérée contraire à l'Etat de droit.

Le VB se frotte les mains
Les chefs de groupe Bart Tommelein (Open Vld), Sabine de Béthune (CD&V), Liesbeth Homans (N-VA), et Bert Anciaux (sp.a) ont justifié le feu vert accordé à la prise en considération en faisant valoir que le vote se limitait à accepter la recevabilité technique du texte.

Le sénateur Bart Laeremans (VB), auteur de la proposition, a défendu son texte à la tribune. Le vote a été accueilli par des
applaudissements sur les bancs du parti d'extrême droite. (belga)

12/05/11 18h27
Prochaîne étape : la légion d'honneur

De plus en plus fort ...
Je ne savais pas si j'allais le poster "ici" ou dans "insolite" ....
Nicole Martin co-publie un livre !!!

A quand la version "Dutroux" ?

Citation :

Nicole Malinconi, vous publiez un livre sur Michelle Martin. Comment en êtes-vous arrivée là?
Michelle Martin souhaitait écrire ou faire écrire un livre. L'information m'a été donnée par un avocat. J'ai été intéressée. Mais j'ai pensé tout de suite que ça ne pouvait que parler de ce qui s'était passé, de ce pour quoi Michelle Martin était en prison. Je lui ai proposé de la rencontrer, tout en sachant que je ne pourrais écrire avec elle.

Vous l'avez rencontrée à la prison de Namur, pendant un an et demi.

Oui. Et dès la première rencontre, il y a eu une confiance. J'arrivais les mains vides. Je crois que c'est ce qui a gagné sa confiance. Mais tout de suite, il y a eu un sujet de confrontation. Elle voulait écrire sur la condition de détention, sur les femmes en prison.

Cela vous a mise mal à l'aise?

Je lui ai répondu tout de suite qu'avec son nom, sa notoriété et l'acte dont elle était responsable, écrire sur la vie en prison risquait d'être un mensonge. En plus, cela risquait d'être très mal reçu dans l'opinion publique.

Elle a pu le comprendre?

Nous n'avons pas cessé d'être en désaccord là-dessus. Cette espèce de contradiction a habité toutes nos rencontres. Elle considérait que ce qu'elle avait commis était «derrière elle». C'est bien légitime de continuer à vivre, c'est tout à fait son droit, mais je soutiens que les actes que nous avons commis, même après en avoir répondu devant un tribunal, même après y avoir longuement réfléchi, nous en sommes responsables jusqu'à la fin de nos jours.

Michelle Martin, elle, considère que les rapts, les viols, les morts, toute cette horreur est «derrière elle».

Bien sûr, elle a parlé de la mort de Julie et Mélissa, du fait qu'elle ne soit pas allée les nourrir. Mais pour elle, c'est fini. C'est derrière. Moi, j'ai soutenu que non. Elle n'aura une autre vie que si elle accepte que ce crime est bien le sien. Mais c'est une démarche coûteuse. C'est plus facile de dire que c'est du passé.

Cette absence de regrets, dont parle votre livre, est choquante.

Bien sûr que c'est choquant. Lorsqu'elle a demandé une libération conditionnelle, et que les journaux ont dit qu'à la comparution, elle n'avait pas eu un regard pour les parents, c'est choquant. Cette compassion, je pense qu'elle n'en sera capable que lorsqu'elle aura reconnu sa responsabilité. J'ai toujours espéré qu'elle y arriverait. Parce que cette femme n'est pas un monstre ou une folle, comme les médias ont voulu le dire et veulent encore le dire. C'est aussi une mère de trois enfants, une femme intelligente.

Et puis, un jour, après toutes ces rencontres, vous lui avez soumis votre texte. Elle n'en a pas voulu.

Je ne lui ai jamais caché que j'écrivais à partir de nos rencontres et aussi de nos points de désaccords. Mais quand elle a lu le texte, elle l'a refusé. Sans doute parce qu'elle a dû voir, écrit noir sur blanc, son refus de regrets. C'étaient pourtant ses paroles. Mais un écrit est plus fort qu'une parole.

Pourquoi avez-vous choisi de le publier quand même?

J'ai réfléchi. Je savais qu'elle se sentirait trahie. Mais me taire était une trahison aussi. D'abord, la trahison du travail que j'ai mené pendant un an et demi. Ensuite, c'était devenir complice de son souhait de dire que ce crime était «derrière elle».

Michelle Martin préfère se voir comme une victime de sa mère, de Dutroux, des médias...

Elle a beaucoup parlé de son enfance. Elle a vécu une enfance emprisonnée par sa mère. Elle a été victime d'une mère veuve, qui s'est repliée sur son enfant unique. Un enfant qui vit ce genre de «cocon» a peu de latitude pour se détacher de sa mère. Elle n'a pas pu se forger une capacité à dire oui ou non. Quand elle rencontre un homme dont elle tombe amoureuse, elle retombe dans un piège bien plus grand.

Son enfance expliquerait les actes de Michelle Martin, selon vous...

Cela permet peut-être de comprendre pourquoi elle n'a pas eu ce sursaut élémentaire, pourquoi elle a laissé deux enfants mourir de faim, pourquoi elle n'a pas tout dénoncé. Son passé permet de comprendre cette passivité. Mais comprendre n'est pas justifier, encore moins entériner. C'est bien là toute la nuance. Elle aurait voulu que moi, la comprenant, j'adhère à l'idée qu'elle soit victime. Rien ne la lave, pourtant, de sa responsabilité.

Elle vous dit : «les bourreaux nazis, si on savait quelle a été leur histoire, on les comprendrait peut-être».

Ça rejoint la question de l'inhumain dans l'humain. Tous les bourreaux nazis n'étaient pas que des monstres. Certains étaient aussi d'excellents pères de famille. Si on se contente de dire que ce sont des monstres, on est tranquille. Mais si je dis que Michelle Martin est une femme, est mon égale, ça m'interroge sur moi-même. Nous avons tous des choix à poser, des responsabilités à prendre. Nous avons tous nos mensonges. Notre tendance facile, à chacun, est de dire que c'est derrière soi, n'en parlons plus.

Un avocat vous avait dit que Michelle Martin avait fait du chemin avant vos rencontres. A-t-elle fait du chemin?

Oui, elle en a fait. Elle a parlé. Elle a réfléchi. Elle a avoué son crime. Elle a eu un sursaut. Elle ne s'est pas laissée abattre. Mais elle croit que le fait d'y avoir réfléchi lui permet de tourner la page.

+ "Vous vous appelez Michelle Martin", éd. Denoël, 111 pages, 13€.

Ungern a écrit:

Charly a écrit:

La question de l'amnistie des anciens collabos est ouverte

La NVA-Vlaams Belang,etc... sont des partis "proches des préoccupations de leurs électeurs" .
Il y a eu grand père en 40,
Il y a fiston maintenant,

Je pense effctivement que ce problème doit être abordé dans l'urgence ...

Moi je pense qu'on ne devrait même pas l'aborder du tout

Ungern a écrit:

Oui mais tu es quand même d'accord qu'il faut aborder cette question dans le cadre du dossier BHV
et de la nomination des 3 bourgmestres francophones ?

Plein le cul de ces bons à rien,bientôt un an sans gouvernement.

Charly a écrit:

Plein le cul de ces bons à rien,bientôt un an sans gouvernement.

Roooooôôôoooo.
Cela etant, le fondement de votre exemple est inspirant; peut etre que finalement, Notre Bon President à sa Carita n'est pas si indispensable que ça ?


Mab

Paul Marchal a demandé aux Soeurs qu'elles "comprennent"



Paul Marchal, le père d'An, a prix contact hier jeudi avec le couvent de Besançon où Michelle Martin avait demandé accueil. C'est ce qu'il a expliqué à l'agence Belga. "J'ai appelé le couvent de Besançon pour me présenter. Je voulais clairement faire savoir que j'étais concerné par l'affaire Martin, que j'étais de la famille d'une des victimes", a déclaré Paul Marchal. " J'ai demandé aux Soeurs qu'elles comprennent la situation des victimes".

"Les Soeurs se sont montrées très compréhensives et accessibles mais étaient surprises que je sache ce qui était prévu. Elles ne s'attendaient visiblement pas à ce qu'il y ait des fuites," a-t-il continué.

Dévotion
Le papa d'An a regretté que "une nouvelle fois Martin, sur base d'une dévotion soudaine, soit libérée. Dans les années '80, quand elle avait été libérée une première fois, cette dévotion avait aussi joué un rôle. Je ne comprends pas que la justice ne voit pas que Martin peut manipuler. Je trouve aussi étrange que la presse et la justice sachent qu'elle regrette, alors que les victimes et leurs familles n'ont jamais rien entendu de tel."

Michelle Martin, l'ex-femme de Marc Dutroux, a émis le souhait de rejoindre un couvent en France si elle était libérée. Il pourrait s'agir de celui des Soeurs dominicaines de Béthanie à Montferrand-le-Château, près de Besançon. (belga/vs)



13/05/11 15h01




measureRealtime();

• Lire aussi: Michelle Martin dans un couvent près de Besançon?
  
• Lire aussi: Tout pourrait être à refaire pour les avocats de Martin
  
• Lire aussi: Gino Russo: "La libération de Martin? Une provocation"
  

Nos allocations sociales filent dans les poches des terroristes



Les différents parquets belges ont ouvert l'année dernière 19 dossiers en relation avec le financement du terrorisme à partir de la Belgique, pour un montant total de 6.294.216 euro.

Fait remarquable: de plus en plus d'argent provient des allocations, rapportent lundi Het Belang van Limburg et Gazet van Antwerpen lundi sur base de chiffres de la Cellule de Traitement des Informations financières (CTFI).

Les enquêteurs découvrent souvent les transactions suspectes, très certainement liées au financement du terrorisme, lors d'autres enquêtes judiciaires. Les plus gros montants sont générés par des activités commerciales, comme les magasins de téléphonie, ou via des activités illégales telles que les trafics de drogue ou d'êtres humains.

Mais de plus en plus de fonds visant à soutenir le terrorisme à l'étranger sont désormais aussi issus des allocations sociales perçues en Belgique. Les bénéficiaires de ces allocations touchent l'argent en espèces et l'injectent dans des organisations liées au terrorisme. (belga)

16/05/11 06h11

Il a dénoncé son voisin au fisc



Le tribunal correctionnel de Nivelles a accordé jeudi la suspension du prononcé à un homme qui avait dénoncé son voisin au fisc. Un habitant de Baulers (Nivelles) avait déposé plainte après s'être aperçu, en consultant son dossier fiscal, qu'il avait été (faussement) dénoncé par son voisin dans plusieurs lettres envoyées à l'administration. Le tribunal a estimé que la prévention de dénonciation calomnieuse était établie.

Le prévenu, un retraité, signait de son nom les lettres envoyées au fisc. Dans celles-ci, il détaillait notamment les travaux des transformations du bâtiment de son voisin - en donnant même des estimations de prix -, les achats de voitures de luxe ou même la présence régulière d'un jardinier pour entretenir la propriété. Il sous-entendait que ces frais étaient déclarés de façon frauduleuse par son voisin, qui était chef d'entreprise.

Ces courriers ont entraîné un contrôle fiscal en profondeur qui n'a rien révélé d'anormal. Mais c'est à la suite de ce contrôle que le contribuable a constaté la présence, dans son dossier fiscal, des lettres envoyées par son voisin.

Le tout se situe dans un contexte de conflit de voisinage tournant à l'obsession. C'est pourquoi la suspension du prononcée accordée au prévenu est probatoire, prévoyant qu'il consulte un psychologue. (belga)


26/05/11 16h41

139 -

Citation :

Le prévenu, un retraité, signait de son nom les lettres envoyées au fisc

Signer de son nom des lettres anonymes de délation calomnieuse c'est belge !

Ungern a écrit:

Di Rupo, très mécontent de son score aux élections interne du parti (98.7 % alors qu'il était seul candidat),et très mécontent aussi de sa dernière moumoutte achetée chez "Tonton Tapis" a dit :

"Allez vous faire foutre" .



Et on sait que ce ne sont pas des paroles à prendre à la légère !

Le pauvre homme se fait opérer des cordes vocales.
Sûrement la faute à une pipe "gorge profonde"

La France s’inquiète d’une possible scission de la Belgique

10/07/2011



Deux députés français, Robert Lecou, élu UMP de l’Hérault, et Jean-Pierre Kucheida, élu PS du Pas-de-Calais, étaient en Belgique, hier et aujourd’hui, pour préparer un rapport parlementaire sur la crise belge qui devrait être publié à la rentrée. Le hasard faisant bien les choses, ils ont débarqué dans le Royaume au moment où Bart De Wever le précipitait dans l’abime (lire l’article précédent).

Ils ont rencontré politiques et journalistes (belges et français, dont moi-même) afin de se faire une idée de la gravité de la crise. Les deux parlementaires étaient manifestement effarés de découvrir l’ampleur du fossé séparant les Francophones des Néerlandophones. Ils ont notamment posé beaucoup de questions sur les scénarios qui pourraient mener à un éclatement du pays et sur un éventuel rattachement de la Wallonie à la France… En juillet 2010, déjà, le quai d’Orsay avait lancé une réflexion sur le sujet afin de ne pas être pris par surprise si le pire arrivait. On peut comprendre l’angoisse, tardive, des autorités françaises, puisque, c’est la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale, qu’une telle instabilité menace directement ses frontières, instabilité qui pourrait créer de graves tensions entre les « puissances européennes ».

« Puissances européennes », un langage du XIXe siècle tout à fait adapté, car c’est tout le modèle européen qui prend l’eau en ce moment : une Belgique, modèle de cohabitation entre communautés, qui prend le gite, une zone euro attaquée par les marchés faute de vouloir franchir le pas fédéral, une Allemagne tentée par le Sonderweg (le chemin solitaire)… Autant de crises qui ont un point commun : le refus de la solidarité entre riches et pauvres, la certitude que seuls on s’en sort mieux, le rejet de l’autre.

On sait où cela a mené l'Europe dans le passé.

Citation :

La France s’inquiète d’une possible scission de la Belgique

Non, non, on s'en tape complètement.

Citation :

d) plusieurs "bijoux de famille" sont en Flandre

... drôle d'idée que de mettre ainsi tes bijoux de famille en Flandre ... non ?

Ungern a écrit:

Charly a écrit:

La France s’inquiète d’une possible scission de la Belgique

Plusieurs remarques :

a) la scission est déjà faite :
avant la crise,les flamands ne voulaient plus de nous.
après ce qui s'est passé pdt la crise,en plus,un nombre croissant de wallons ne veulent plus des flamands .

b) ce qui fout la pétoche en fait à l'étranger c'est que
pt de vue euro, le mini état de wallonie sera la Grèce de demain matin .
pt de vue nations ce sera la porte ouverte au démentellement d'une bonne part des pays européens ayant des fractions indépendentistes .

c) la situation wallone a sérieusement changé : Avant les flamands nous tenaient la tête sous l'eau ,mais nous donnaient un tuba,tandis que maintenant ils nous le bouchent .
Il FAUT partir,qu'on le veuille ou non .

d) plusieurs "bijoux de famille" sont en Flandre : la Mer du Nord qui jusqu'ici est encore nationale et pas flamande,le centre de recherche nucléaire de Mol,le terminal gazier de Zeebruges,le Zoo d'Anvers,l'Arboretum de Meise .

e) plusieurs cadavres n'ont toujours pas trouvé de propriétaires : la dette nationale pour commencer ...

Et l'or blanc?
L'eau de nos barrages et nappes phréatiques que nous revendons
à bas prix aux flamands,ce n'est pas un bijou?

http://www.7sur7.be/7s7/fr/1502/Belgique/article/detail/1425184/2012/04/18/Louis-menace-de-publier-les-photos-des-autopsies-de-Julie-et-Melissa.dhtml

a lire : ses messages sur Twitter

Laurent Louis : « Oui, j’ai montré les photos de l’autopsie de Julie et Mélissa »

Source: lavenir Y. R.


13/04/12 Laurent Louis : un député semeur de haine et de rumeurs
NIVELLES - Conférence de presse, ce jeudi matin, de Laurent Louis. Le député brabançon y a dévoilé les photos de l’autopsie de Julie et Mélissa. Et a mis en ligne le dossier d’expertise.

« Oui, j’ai montré des photos de l’autopsie durant la conférence de presse… »

Laurent Louis
donnait une conférence de presse ce jeudi matin. Sujet ? Son thème de prédilection : « L’institutionnalisation de la pédophilie au sein de l’État. »

Pour illustrer son propos, Laurent Louis a donc montré des photos de l’autopsie des deux fillettes.

« Oui. Ma volonté était de faire connaître ces photos au sein de la population. J’avoue qu’il y a un grand dilemme éthique qui se pose à moi entre la volonté de jouer la carte de la transparence pour que la population se rende compte du mensonge d’état que constitue l’affaire Dutroux, et entre le fait que je ne veux pas que ces photos tombent entre les mains d’enfants ou de personnes qui pourraient être choquées, ou pire, de pédophiles qui pourraient prendre du plaisir en les regardant… »

Laurent Louis explique donc avoir trouvé ce qu’il dit être « une parade très simple »…

« Je vais mettre en ligne l’expertise médico légale qui ne constitue que du texte, et nous invitons les citoyens qui veulent voir les photos à les consulter à nous écrire. »

En quoi ces photos illustreraient-elles son propos ?

«Sur base de ces photos et de l’expertise, on va clairement que la thèse selon laquelle les fillettes seraient mortes de faim suite leur emprisonnement par Dutroux ne tient pas. »

Selon Laurent Louis, qui, faut-il vraiment le rappeler, n’a aucune expertise en la matière, ces photos montreraient ainsi que soit « elles ont été violées post-mortem, or personne n’a jamais été condamné pour ces faits répréhensibles ; ou alors elles ont reçu des visites durant la détention de Marc Dutroux, et dans ce cas-là les criminels et les violeurs courent toujours. »

Quant à l’expertise médico-légale mise en ligne… « C’est clair qu’on peut voir qu’elles sont décédée de manière très proche après des abus sexuels graves et importants. »

En mettant en ligne ces photos et le document d’expertise, Laurent Louis n’a absolument pas l’impression de dépasser les bornes, de franchir toutes limites.

« Face au silence de la Justice et des médias, j’ai pris la décision en mon âme et conscience. »

Quant aux parents des fillettes… « Je ne veux pas faire des parents mes adversaires, observe Laurent Louis. Mon ennemi, c’est le système. »¦


LIRE AUSSI
Laurent Louis : un député semeur de haine et de rumeurs

Charly a écrit:

Laurent Louis : « Oui, j’ai montré les photos de l’autopsie de Julie et Mélissa »

Quelle abomination que ce bonhomme.



Mab