La paix au Proche-Orient : peut-on encore y croire ?

Citation :

Au dernier jour de sa visite en Terre Sainte, le pape Benoit XVI a visité vendredi matin l'Église du Saint-Sépulcre à Jérusalem, d'où il a ensuite lancé un message d'espoir, affirmant que la paix était possible au Proche-Orient.

"Les Evangiles nous donnent l'assurance que Dieu peut tout renouveler, (...) que les fruits amers de la récrimination et de l'hostilité peuvent être vaincus, et qu'un avenir de justice, de paix, de prospérité et de coopération peut apparaître pour chaque homme et chaque femme, pour toute la famille humaine, et en particulier pour ceux qui vivent sur cette terre si chère au cœur du Sauveur."

C'est avec ces "mots d'encouragement", a-t-il souligné, que "je conclus mon pèlerinage dans les lieux saints de notre rédemption et renaissance dans le Christ".

http://fr.news.yahoo.com/3/20090515/twl-israel-pape-terre-sainte-951b410.html

Très belles paroles qui redonnent l'espoir.

Shalom, Salaam, Paix pour tous les Hommes de bonne volonté ! Détournez-vous des chemins de la haine qui ne conduisent qu'à la division et la mort, et suivez donc cette étoile elle brille depuis 2000 ans dans le ciel de la Nativité.

Que l'on soient Juifs, Chrétiens ou Musulmans, nous sommes tous Enfants du même Dieu.

Alors ne nous battons plus. Nous sommes tous des Frères.

AFP, Mise a jour : jeudi 2 septembre 2010 00:17
Proche-Orient: Obama appelle à saisir la "chance" de faire la paix

Barack Obama a appelé mercredi Israéliens et Palestiniens à saisir une "chance" de faire la paix qui pourrait selon lui ne pas se représenter, peu avant de lancer le dialogue entre les deux parties.



"Ils ne peuvent pas se permettre de laisser s'échapper" cette chance, a encore dit M. Obama dans une courte allocution depuis la roseraie de la Maison Blanche. "Le temps est venu pour les dirigeants courageux et visionnaires d'ouvrir la porte à la paix que leurs peuples méritent", a-t-il ajouté.

"Nous savons que notre résolution sera mise à l'épreuve. Nous savons que les extrémistes et les ennemis de la paix feront tout ce qu'ils peuvent pour détruire ces efforts", a reconnu le président américain, qui avait auparavant condamné, M. Netanyahu à ses côtés, l'attentat revendiqué par le Hamas qui a coûté la vie mardi à quatre colons israéliens en Cisjordanie.

Tout en promettant de guider les négociations, M. Obama a souligné que son pays ne pourrait pas imposer une solution unilatérale à un conflit qui dure depuis des décennies.

"Le but est un règlement, négocié entre les parties, mettant fin à l'occupation qui a commencé en 1967 et aura pour résultat l'émergence d'un Etat palestinien indépendant, démocratique et viable, qui vivra côte-à-côte en paix et en sécurité avec un Etat juif d'Israël et ses autres voisins", a énoncé M. Obama.

Comment sortir de l'enlisement ?

Abbas de moins en moins fragile

En dépit des efforts de la diplomatie américaine, beaucoup moins alignée sur l'État hébreu que celle conduite par George Bush, la situation semble s'être enlisée depuis vingt mois. Tout d'abord, fort du boom économique que connaît la Cisjordanie, le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, paraît beaucoup moins fragile qu'on ne le dit. Ce qui du coup l'aurait rendu plus exigeant. Par ailleurs, négocier avec lui ne règle pas la totalité d'un accord interpalestinien. Si la diplomatie américaine estime qu'il y a actuellement une «fenêtre de tir» pour une solution à deux États, il faudra bientôt trois États pour deux peuples en ajoutant Gaza dirigé par le Hamas.

Israël tisse des liens

Hostiles à l'idée de supprimer le blocus, les autorités israéliennes jugent le raidissement turc, qui s'est manifesté lors de l'arraisonnement de la flottille humanitaire, comme le fruit de la pression des partis islamistes au pouvoir à Ankara. Alors que l'État hébreu pouvait avoir par le passé des liens avec les deux seules puissances non-arabes de la région, à savoir la Turquie et l'Iran, ce sont désormais les pays arabes, inquiets de la montée de l'islamisme, qui soutiennent Israël sur la question nucléaire iranienne. Hormis l'interception de la flottille, qui lui a valu la réprobation internationale, Israël est moins isolé que par le passé, car il entretient désormais des liens avec la Russie, la Chine, certains pays africains et arabes, lesquels n'existaient pas auparavant. Tout cela, ajouté à une économie ragaillardie ne les incite pas forcément non plus au compromis.

Peux tu confirmer que le Boom economique cisjordanien est l'oeuvre de l'AP..??
Si oui on en reparleras, s'il n'y a pas d'accords.

Proche-Orient : le dialogue reprend, sans illusion

jeudi 02 septembre 2010



La méfiance règne. Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, et le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, ont répondu presque à reculons à l'appel de Washington. Abbas a toujours exigé le gel de la colonisation israélienne en Cisjordanie et à Jérusalem-est, avant toute négociation. Nétanyahou demandait, entre autres, aux Palestiniens de reconnaître Israël comme l'État du peuple juif. Mais l'un et l'autre ont dû y renoncer, mis sous pression par Obama, qui souhaite obtenir un compromis d'ici un an. La fusillade qui a tué, mardi, quatre civils israéliens au sud d'Hébron n'a fait qu'alourdir un climat déjà pesant.

Pourquoi tant de scepticisme ?

Depuis dix-sept ans et les accords d'Oslo de 1993, marqués par la poignée de main historique entre Yasser Arafat et Itzhak Rabin, le processus de paix est au point mort. La « Feuille de route », initiée par le Quartette (États-Unis, Russie, Onu, UE) en 2003, qui prévoyait notamment la création d'un État palestinien en 2005, est restée lettre morte. À chaque fois, chacune des parties n'a pas respecté entièrement ses engagements, notamment le gel de la colonisation pour Israël et l'arrêt des violences pour les Palestiniens. Même si Nétanyahou a promis d'« étonner les sceptiques », le Hamas a beau jeu de parler de « nouvelle tromperie ».

Sur quelles questions achoppent les négociations ?

Les revendications palestiniennes sur les territoires occupés par Israël depuis 1967 se heurtent à la volonté de l'État hébreu de démilitariser le futur État. Plus épineux encore, le statut de Jérusalem. Les Israéliens la considèrent « indivisible et éternelle », mais les Palestiniens lorgnent sur sa partie orientale pour en faire leur capitale. Enfin, Mahmoud Abbas souhaite que les quatre millions de réfugiés palestiniens bénéficient d'un droit au retour, reconnu par la résolution 194 de l'Onu, ce que refuse catégoriquement Israël.

Peut-on espérer des avancées significatives ?

Un motif d'espoir existe après l'annonce, hier, par le ministre de la Défense et leader travailliste Ehoud Barak, que l'État hébreu serait prêt à appliquer « un régime spécial » pour les lieux saints de Jérusalem, ouvrant la voie à une partition de la ville. Un compromis déjà suggéré, il y a deux ans, par l'ancien Premier ministre Ehoud Olmert. Sans résultat. La proposition s'expose au même sort tant que la question des colonies juives n'est pas résolue. Le moratoire, lancé en novembre 2009, prendra fin le 26 septembre. Nétanyahou a annoncé, hier, qu'il ne le prolongerait pas. Au risque de tuer dans l'oeuf la relance du processus de paix. Mais, hier soir, il a déclaré qu'il voulait mettre fin « une fois pour toutes » au conflit.

PO: Moubarak encourage les parties

AFP

02/09/2010 | Mise à jour : 06:37 Réagir

Le président égyptien Hosni Moubarak a appelé hier le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou à tenir son engagement de paix, affirmant que les Israéliens doivent saisir "la chance" qui se présente et arrêter la colonisation des territoires palestiniens.

Remarquant qu'il avait rencontré Benyamin Nétanyahou à de nombreuses reprises, Hosni Moubarak a affirmé lors d'un discours à la Maison-Blanche qu'il souhaitait que le Premier ministre concrétise ses déclarations en faveur d'une "paix longtemps attendue" par les Israéliens. Mais il a aussi dit qu'Israël "devrait totalement arrêter toute activité de colonisation, jusqu'à ce que le processus de paix parvienne à sa conclusion".

S'exprimant aux côtés de Benyamin Nétanyahou, du président américain Barack Obama, du roi Abdallah de Jordanie et du président palestinien Mahmoud Abbas, Hosni Moubarak a aussi appelé les Israéliens à "saisir la chance de paix", et à ne "pas la laisser filer entre vos doigts".

PO: Nétanyahou affiche son optimisme

AFP

02/09/2010 | Mise à jour : 06:43 Réagir

Le premier ministre Benyamin Nétanyahou a promis hier que les "terroristes" n'empêcheraient pas de progresser vers la paix, à la suite d'attentats contre des Israéliens avant la reprise de négociations directes avec les Palestiniens à Washington.

"Il y a deux heures, il y a eu une nouvelle attaque terroriste", a déclaré Benyamin Nétanyahou lors d'une allocution à la Maison-Blanche en présence du président américain Barack Obama, du président palestinien Mahmoud Abbas, du roi Abdallah de Jordanie et du président égyptien Hosni Moubarak.

"Dieu merci, personne n'est mort. Je ne laisserai pas les terroristes entraver la marche vers la paix, mais comme ces événements l'ont encore démontré, cette paix doit s'ancrer dans la sécurité", a affirmé Benyamin Nétanyahou au lancement des négociations directes avec les Palestiniens, sous l'égide des Etats-Unis.

La branche armée du mouvement islamiste palestinien Hamas a revendiqué une attaque anti-israélienne hier soir en Cisjordanie, la seconde en 24 heures dans ce territoire, et qui a fait deux blessés. La précédente mardi avait coûté la vie à quatre colons israéliens, dont une femme enceinte.

Négociations : Israéliens et Palestiniens affichent leur bonne volonté

Alors que les pourparlers directs reprennent ce jeudi aux Etats-Unis, de nombreux points de désaccord persistent entre les deux parties, bien qu'elles se disent confiantes sur les chances de parvenir à s'entendre sur un texte.



C'est dans un climat marqué par de nouvelles violences sur le terrain et par des annonces de fermeté que les pourparlers directs israélo-palestiniens débutent jeudi 2 septembre à la Maison Blanche.
Les protagonistes du processus de paix ont néanmoins affiché mercredi leur bonne volonté en arrivant chez leur hôte américain, après que le président Barack Obama les eut appelés à saisir une chance de faire la paix qui pourrait, selon lui, ne plus se représenter.

Prêt à un "compromis historique"

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, connu pour ses positions de "dur", a multiplié les déclarations conciliatrices en fin de journée, qui aura vu plusieurs des principaux acteurs de la région, à commencer par lui-même, se succéder dans le Bureau ovale de Barack Obama.

Benjamin Netanyahu a affirmé être prêt à un "compromis historique" avec le président palestinien Mahmoud Abbas, qu'il a qualifié de "partenaire pour la paix", et vouloir mettre fin "une fois pour toutes" au conflit israélo-palestinien pour parvenir à une "paix qui durera des générations" malgré "les sceptiques".

Les deux hommes se sont d'ailleurs chaleureusement serré la main après leurs discours en début de soirée dans la salle d'apparat de la Maison Blanche, en présence de Barack Obama, du roi Abdallah de Jordanie et du président égyptien Hosni Moubarak.

Un aboutissement d'ici un an ?

Les cinq dirigeants, aux côtés de la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton et du représentant du Quartette Tony Blair, devaient ensuite dîner ensemble.

Les dirigeants "ne peuvent pas se permettre de laisser s'échapper" cette chance, a affirmé Barack Obama. "Le temps est venu pour les dirigeants courageux et visionnaires d'ouvrir la porte à la paix que leurs peuples méritent", a-t-il ajouté, en promettant de jeter "tout le poids" des Etats-Unis dans la balance. Les Etats-Unis avaient fait savoir, il y a quelques jours, qu'ils souhaitaient voir aboutir les discussions d'ici un an.

Le dialogue direct à proprement parler reprend jeudi à 10h (14h GMT, 16h heure française) au département d'Etat. Selon le président américain, tant Benjamin Netanyahu que Mahmoud Abbas lui ont affirmé qu'ils étaient persuadés qu'une solution était possible dans le délai fixé.

Encore de nombreux points d'achoppement

Mahmoud Abbas a rappelé "notre engagement à remplir nos obligations". Mais, à l'instar de Hosni Moubarak, il a exhorté les Israéliens à geler toute construction dans les colonies en Cisjordanie. Ce gel "n'est pas une condition préalable", mais l'application d'un accord passé avec les Israéliens, a-t-il dit.

La question de la colonisation israélienne, sur laquelle le gouvernement Netanyahu a décrété un moratoire qui arrive à échéance le 26 septembre, constitue un écueil de taille dans le processus de paix. Benjamin Netanyahu ne l'a pas évoquée mercredi soir, mais selon son bureau, il a réaffirmé à Hillary Clinton que ce gel prendrait fin à la date prévue.

Les positions des deux parties sur d'autres sujets cruciaux semblent difficiles à réconcilier, nourrissant le scepticisme, sinon le pessimisme des observateurs sur les chances de succès de cette énième tentative de règlement, 17 ans avec le processus d'Oslo.

C'est le cas du devenir des réfugiés palestiniens et du statut de Jérusalem, ville dont Israël a annexé la partie orientale, et que l'Etat hébreu défend comme sa capitale indivisible.

Dans le passé, les négociations israélo-palestiniennes ont été à la merci de violences sur le terrain. A ce sujet, après un attentat qui a coûté la vie mardi à quatre colons en Cisjordanie et un autre mercredi lors duquel deux Israéliens ont été blessés, Benjamin Netanyahu a promis qu'il "ne laisserai(t) pas les terroristes entraver la marche vers la paix".

De son côté, Mahmoud Abbas a condamné ces attaques, jurant que "nous ne voulons pas du tout que le sang soit versé (...), pas une goutte de sang israélien ou palestinien".

(Nouvelobs.com)

De son côté, Mahmoud Abbas a condamné ces attaques, jurant que "nous ne voulons pas du tout que le sang soit versé (...), pas une goutte de sang israélien ou palestinien".


Heureux qui a la foi et qui y croit...!!

Monde - International 8:11
Les frontières d'Israël depuis 1948

Proche-Orient : un immense défi main dans la main
vendredi 03 septembre 2010

*


Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, et le président palestinien, Mahmoud Abbas,ont renoué le contact, hier, à Washington. Ils ont convenu de se revoir mi-septembre.
Israéliens et Palestiniens ont pris date. Dès la reprise du dialogue direct, Benyamin Nétanyahou et Mahmoud Abbas ont établi un calendrier de rencontres bilatérales. D'abord les 14 et 15 septembre, probablement à Charm-el-Cheikh, en Égypte, puis tous les quinze jours. Des débuts très encourageants, mais insuffisants pour faire taire les sceptiques, car trop de questions restent sans réponse.

Mercredi soir, c'était petits fours, apartés séparés avec Barack Obama et discours pétris de bonnes intentions. Hier, Israéliens et Palestiniens sont passés au plat de résistance : le tête-à-tête, en privé.

« Concessions douloureuses »

Sentencieux, le président américain les a avertis que « cette chance de paix pourrait bien ne plus se représenter ». Disciplinés, les deux leaders semblent avoir entendu la leçon. Après la nouvelle attaque du Hamas, le mouvement islamiste palestinien, qui a blessé, mercredi soir, deux civils israéliens, un front commun s'est dessiné : hors de question de céder à la pression des extrémistes.

Nétanyahou, acculé par les colons juifs qui menacent de le renverser, a promis qu'il « ne laisserait pas les terroristes entraver la marche de la paix ». Condamnant fermement ces attaques, l'Autorité palestinienne a procédé à une vague d'arrestations de militants et sympathisants du Hamas. Un « courage et un engagement », salué par la secrétaire d'État américaine Hillary Clinton, à l'ouverture des pourparlers.

En dépit de ces déclarations prometteuses, le chantier reste gigantesque. Nétanyahou ne s'y trompe pas et convient que « des concessions douloureuses » devront être consenties afin d'obtenir « une paix véritable et durable ». Avant même le début des entretiens à l'abri des caméras, Nétanyahou a réclamé la reconnaissance d'Israël comme « État du peuple juif ».

Et Mahmoud Abbas de rétorquer : « Cessez complètement la colonisation et le blocus de la bande de Gaza. » On est encore loin de l'objectif commun, réitéré par les deux camps, de créer deux États pour deux peuples. Pour l'heure, seul l'impératif de sécurité semble faire consensus, Mahmoud Abbas l'érigeant en « droit pour les Palestiniens et les Israéliens ».

TSUR a écrit:

Jack t'aurais pu chercher une carte plus petite...!!! t'exageres quand meme..

Tsur, tu es de mauvaise foi ; il suffit de cliquer dessus... et elle revient, tout aussi petite !

En dépit de ces déclarations prometteuses, le chantier reste gigantesque. Nétanyahou ne s'y trompe pas et convient que « des concessions douloureuses » devront être consenties afin d'obtenir « une paix véritable et durable ». Avant même le début des entretiens à l'abri des caméras, Nétanyahou a réclamé la reconnaissance d'Israël comme « État du peuple juif ».
[quote]

D'accord pour les concessions, et quoi avec les colons Nethanyaou "SAUTE" des qu'il flanche, c'est SON electorat.
Va falloir qu'il quadruple sa garde rapprochée. ILS ne lui feront aucun cadeau, et il le sait.

Iran: Ahmadinejad juge les négociations israélo-palestiniennes "vouées à l'échec"










Monde - International 9:30
Les négociations israélo-palestiniennes entreprises sous l'égide des Etats-Unis sont "mort-nées" et "vouées à l'échec", a déclaré vendredi le président iranien Mahmoud Ahmadinejad lors d'un discours à l'occasion de la "journée de Qods" (Jérusalem) de soutien aux Palestiniens.
"Les peuples de la région sont capables de faire disparaître le régime sioniste de la scène" internationale, a encore affirmé le président iranien

Netanyahu juge possible un accord de paix provisoire

JERUSALEM (Reuters) - Un accord provisoire de paix pourrait être une issue possible si Palestiniens et Israéliens ne parviennent pas à s'entendre sur les questions principales au cœur du processus, a estimé lundi le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu.

"Si nous aboutissons peut-être à (une impasse) sur Jérusalem et peut-être sur les réfugiés, alors un accord intérimaire pourrait être une issue. C'est possible, je ne peux pas l'exclure", a-t-il dit, évoquant une proposition du ministre des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman, lors une interview accordée à une télévision israélienne.



Benjamin Netanyahou s'est en outre dit prêt à mettre sa coalition en péril pour tenter de parvenir à accord de paix définitif, à condition que l'Autorité palestinienne reconnaisse Israël en tant qu'Etat juif.

"Si les Palestiniens reconnaissent un État juif (...), je vous dis ici et maintenant que j'irai jusqu'au bout. Aucune considération relative à la coalition ne m'empêchera (...) de parvenir à un accord, de le soumettre au peuple et une majorité me soutiendra", a-t-il assuré.

Sources: news.yahoo.com

Ungern a écrit:

Si Israël est un "Etat Juif",de facto demain matin 1.500.000 palestiniens aujourd'hui citoyens israéliens sont foutus dehors soit in concreto ,soit in abstracto,de toutes façons,ils n'ont plus rien à dire .

C'est justement pour cela qu'il faut créer un vrai État Palestinien et qu'Israël le reconnaisse aussi.

D'un côté les Juifs avec Jérusalem comme capitale et de l'autre les Palestiniens avec Ramallah comme capitale. Chacun chez soi. Pourquoi les choses devraient-elle être compliquées ?

Mais regarde la carte bon Dieu !

Ramallah est cernée de toutes part par des implantations illégales judicieusement placées pour celà !

Tu ne vas pas faire une capitale d'un terrain de foot ?

Ungern a écrit:

Mais comment peux tu croire des conneries paereilles ?
Si Israël est un "Etat Juif",de facto demain matin 1.500.000 palestiniens aujourd'hui citoyens israéliens sont foutus dehors soit in concreto ,soit in abstracto,de toutes façons,ils n'ont plus rien à dire .
La frontière de l'Etat palestinien sera le Mur cad 3 entités distinctes inviables et isolées !
Quand donc ouvrirez-vous les yeux ? Quand donc verrez-vous au delà de ce qu'on vous montre ?

On pourrait croire qu'Ungern a enfin ouvert les yeux : pourquoi et comment un énième État palestinien (et emietté, de surcroît)) pour les ex-Égyptiens de Gaza et les ex-Jordaniens de la Judée-Samarie ?

Ungern, qui n'en rate pas une pour faire la pub de son idole, a écrit:

L'exmple de Sarko vous a pas suffi ?

Qu'est-ce que le président Sarkozy vient faire ici ?

a) Les palestiniens ont perdu à court terme ; l'état qui leurs est possible de former est inviable .

b) Israël a perdu à long terme : avant les juifs avaient tué le Petit Jésus, et il s'en sest suivi près de 15 siècles de persécutions .
Maintenant les juifs ont tués des musulmans et on est reparti pour un autre cycle .
On vit la période de transition,une période qui sera courte,une période qui leurs donne l'illusion de la victoire .



c) Ce que sarko vient faire ici ?
C'est que le même principe,le même aveuglement,la même absence d'esprit critique amène par le même processus intellectuel aux m^pemes conneries ! ...

*Si nous aboutissons peut etre à (une impasse) sur Jérusalem et peut etre sur les réfugiès , alors un accord intérimaire pourrait etre une issue .
C'est possible , je ne peux pas l'éxclure * Nétanyahu.


C'est tout à fait compréhensible , il veut dire nous aboutirons peut etre à une impasse sur Jérusalem et peut etre sur les réfugiés , alors un accord intérimaire pourrait etre une issue . C'est possible , je ne peux pas l'éxclure .

Faudrait réssuciter Nasser le grand héros de la guerre des six jours , lui ne badinait pas avec tout ces peut etre , vaillant et sur il y allé , il connaissait toutes les issues .C'est impossible je ne peux pas l'éxclure .

Peut etre