Le Monde selon Barack (2)

Monde 10/09/2010 à 18h17
Obama appelle les Américains à la «tolérance religieuse»



Le président américain Barack Obama a appelé vendredi les Américains à ne pas s'en prendre les uns aux autres et à faire preuve de tolérance religieuse, sur fond de controverse sur la place de l'islam dans la société américaine.

«Nous devons faire en sorte de ne pas nous tourner les uns contre les autres», a déclaré Barack Obama au cours d'une conférence de presse à la Maison Blanche à la veille du 9e anniversaire des attentats du 11 septembre 2001.

«Et je ferai tout mon possible tant que je serai président des Etats-Unis d'Amérique pour rappeler aux Américains que nous formons une nation sous le regard de Dieu, et que nous appelons peut-être Dieu par des noms différents, mais nous demeurons une nation», a-t-il ajouté.

«Il est d'une importance cruciale que la majorité écrasante des Américains demeure fidèle à ce qu'il y a de meilleur en nous: une croyance en la tolérance religieuse, une idée claire de l'identité de nos ennemis», a-t-il dit.

«Nos ennemis sont Al-Qaeda et ses alliés qui essaient de nous tuer, mais qui ont tué plus de musulmans que qui que ce soit d'autre sur terre», a-t-il insisté.

Sources : Libération.fr

WASHINGTON (Reuters) - Prenant acte de la gifle subie par le camp démocrate aux élections de mi-mandat aux Etats-Unis, Barack Obama a promis mercredi de chercher à travailler avec les républicains tout en fixant les limites à ne pas franchir par une opposition revigorée.

Lors d'une conférence de presse à la Maison blanche, le président américain a confié avoir enduré une "longue nuit" à comptabiliser les gains du Grand Old Party, qui a repris le contrôle de la Chambre des représentants et largement réduit la majorité démocrate au Sénat.



"Il y a des soirées électorales plus drôles que d'autres. Certaines sont grisantes, d'autres sont humiliantes", a commenté Barack Obama d'un ton sobre, esquissant occasionnellement quelques sourires.

"Si les républicains ont des idées sur des moyens d'améliorer notre système d'assurance-santé, s'ils souhaitent suggérer des modifications qui permettront une réforme plus rapide et plus efficace (...), je serai heureux d'examiner ces idées", a-t-il déclaré.

"Dans ces discussions sur le budget, l'essentiel sera de pouvoir distinguer entre ce qui n'ajoute pas à la croissance, ce qui n'est pas un investissement pour l'avenir, et ces domaines absolument indispensables pour nous permettre d'augmenter les emplois dans le futur", a insisté Barack Obama.

"A l'évidence, trop d'Américains n'ont pas senti les progrès réalisés jusqu'ici et c'est ce qu'ils nous ont dit hier. En tant que président, j'en prends la responsabilité."

Les Américains, a-t-il ajouté, s'inquiètent de l'ampleur des déficits, mais la réduction des dépenses ne devra pas toucher l'éducation et la recherche.

"Dans ces discussions sur le budget, l'essentiel sera de pouvoir distinguer entre ce qui n'ajoute pas à la croissance, ce qui n'est pas un investissement pour l'avenir, et ces domaines absolument indispensables pour nous permettre d'augmenter les emplois dans le futur", a insisté Barack Obama.

"Les élections (...) signifient pour moi qu'il faut que je fasse un meilleur travail, comme chacun à Washington."

Sources: News.Yahoo.com

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Citation :

Les élections (...) signifient pour moi qu'il faut que je fasse un meilleur travail, ...

Elles signifient surtout que l'expérience en politique doit être longue et que dans ce métier la valeur attend le nombre des années et est comptable des coups encaissés.

La fougue et la candeur dont on crédite la jeunesse d'un personnel politique ne surmontent pas l'assouvissement au temps immédiat dans lequel baignent les attentes irrationnelles des électeurs.

Une promesse de campagne crue exige une mise en place et un résultat convaincant immédiat. Les gens veulent bien croire aux lendemains qui chantent à condition d'en entendre la musique dès à présent.

Mis à part la durée de l'expérience en politique, O'Blackamama et Talonnette Ier ont des parcours comparables en tant que candidats à la présidence(*). Ils ont suscité le changement, la rupture avec le système en place et ont réussi à incarner la soif de renouveau et les espoirs d'amélioration auprès d'une plus large audience que leurs adversaires le firent, notamment en bénéficiant d'une bonne assise populaire.

Ils se sont engagés de façon persuasive pendant leur campagne à être des maîtres d'œuvre innovants et sincères au service de réformes dont tout un chacun ressentait la nécessité ou la pertinence allant dans le sens du bien commun.

Ils ont prêché au bord d'un fleuve socio-économique relativement paisible et n'ont pas perçu l'orage de crise centennale qui grondait au loin et qui rendrait tumultueuses les eaux qui allaient balayer bien des illusions une fois qu'ils furent investis dans leurs fonctions de commandeurs en chef.

Quand la crise fut passée par là et qu' ils eurent fini par mettre au sec les pieds des grandes institutions financières qui sous-tendent le système, ils n'usèrent que d'une toute petite écope pour vidanger les eaux dans lesquelles pataugeait et pataugent encore la majorité de leurs concitoyens.

On ne leur pardonnera pas de si tôt d'avoir tué le rêve.

(*) : avé bien évidemment des différences de style tout à fait évidentes qui se sont révélées après leur élection et qui porteront sûrement préjudice à l'un plus qu'à l'autre dont le premier adversaire est lui-même.

Barack Obama danse avec des enfants pour la fête hindoue des lumières

dimanche 7 nov, 01 h 49

BOMBAY (AFP) - Le président américain Barack Obama en visite en Inde s'est joint dimanche à des célébrations de la fête hindoue des lumières, Diwali, en dansant avec des enfants d'une école à Bombay.



La Première dame, en robe et cardigan rose, s'est alors levée pour les rejoindre avec enthousiasme avant de persuader son mari, l'air plus réticent, de l'accompagner sur la piste de danse.

Le président, sans veste et manches de chemise retroussées, s'est alors fait expliquer comment remuer les mains et les bras dans la tradition de la danse indienne. Les enfants ont alors réclamé des photos du couple et des autographes.

Barack Obama salue l'Inde comme une "puissance mondiale" établie

lundi 8 nov, 02 h 26

NEW DELHI (AFP) - Le président américain Barack Obama a salué l'Inde comme une "puissance mondiale" établie en recevant lundi un accueil avec les honneurs pour sa visite d'Etat dans la capitale New Delhi qui devrait être marquée par une affirmation de l'approfondissement des relations.

"L'Inde n'est pas simplement un pays émergent mais elle est maintenant une puissance mondiale", a déclaré Barack Obama à la presse après avoir passé en revue une garde d'honneur lors d'une cérémonie au palais présidentiel.



Réitérant son credo selon lequel leur partenariat sera "l'un des grands partenariats du 21e siècle", le président américain a évoqué une responsabilité partagée entre les "deux plus grandes démocraties du monde" pour "promouvoir la paix, la stabilité et la prospérité, non seulement pour nos deux nations mais pour le monde entier".

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Le mystère président O'Blackamimi oublie - c'est sûrement aussi le cas de 11 Français sur 10, il a des excuses - que la plus grande démocratie du monde est l'Union européenne (et ce malgré la parenthèse du sarkozysme). Que l'Inde soit la seconde reste une conjecture porteuse d'espoirs...

C'est moi opinion et je me moque du "Gandhira-t-on"

Etats-Unis: débats houleux en vue au Congrès

De Olivier KNOX (AFP) – Il y a 17 heures

WASHINGTON — Deux semaines après un sérieux revers pour les démocrates aux législatives, le Congrès américain sortant reprend ses travaux lundi avec des débats houleux en perspective d'ici la fin de l'année sur la fiscalité, les dépenses ou le traité de désarmement nucléaire START.




Les alliés démocrates du président Barack Obama ont une dernière chance d'intervenir au cours de la session dite "lame duck" ("canard boiteux"). Ce nom insolite désigne une réunion du Congrès où la majorité battue aux élections peut encore intervenir, avant l'arrivée de la nouvelle majorité en janvier.

Les républicains ont ravi la majorité à la Chambre des représentants et grignoté la majorité démocrate au Sénat, lors des élections de mi-mandat le 2 novembre, donnant un coup d'arrêt aux réformes du président Obama jusqu'à la fin de son mandat en 2012.

M. Obama avait déclaré peu après les élections qu'il souhaitait travailler avec les républicains en annonçant une réunion le 18 novembre à la Maison Blanche avec les chefs républicains et démocrates.

"Nous ne pouvons pas nous permettre de passer deux ans à nous chamailler", avait lancé le président.

Cette réunion, accueillie avec scepticisme par les deux partis, intervient au moment où les élus doivent prendre une décision sur la prolongation ou non des allégements d'impôts adoptés en 2001 et 2003 sous la présidence de George W. Bush, qui arrivent à expiration fin décembre.

Au cours d'une discussion avec des journalistes à bord de l'avion présidentiel, M. Obama a réitéré dimanche sa position sur le gros dossier fiscal de la session qui s'ouvre: il s'est montré ouvert à une prolongation, mais temporaire seulement, des allégements fiscaux pour les riches, soit les familles gagnant plus de 250.000 dollars par an.

Les républicains de leur côté souhaitent une prolongation permanente de ces mesures pour tous les Américains. "Les républicains ont fait à l'Amérique la promesse d'annuler de façon permanente toutes les augmentations d'impôts prévues pour le 1er janvier", a dit Michael Steele, un porte-parole du futur leader de la majorité républicaine à la Chambre, John Boehner.

Les élus devront également se prononcer sur une loi de finance du gouvernement fédéral, car le Congrès n'a pas encore envoyé à M. Obama de plans de financement annuels.

Ce sujet s'annonce lui aussi épineux car les républicains ont fait campagne sur une réduction drastique des dépenses de l'Etat fédéral et veulent un retour aux niveaux de dépenses de 2008. Ils veulent suspendre les embauches et les augmentations de salaires pour les employés fédéraux.

En outre, l'aile ultra-conservatrice du parti républicain, le mouvement "Tea Party", qui fera son entrée en force en janvier au Congrès, surveillera de près cette question.

Côté politique extérieure, le Sénat sera le théâtre d'un laborieux débat sur la ratification du nouveau traité de désarmement nucléaire signé en avril par le président Obama et son homologue russe Dmitri Medvedev.

Aux Etats-Unis, les traités doivent être ratifiés par les deux tiers du Sénat, soit 67 élus sur 100. Les sénateurs démocrates du Congrès sortant ne sont que 57, plus deux indépendants votant avec eux.

START (acronyme en anglais de Traité sur la réduction des armes stratégiques) prévoit un maximum de 1.550 têtes nucléaires déployées pour chacun des deux pays, soit une réduction de 30% par rapport à un niveau établi en 2002.

Les républicains ont indiqué qu'ils souhaitaient des assurances quant à la possibilité de moderniser l'arsenal nucléaire américain et de garder une défense antimissile crédible.

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Citation :

START (acronyme en anglais de Traité sur la réduction des armes stratégiques) prévoit un maximum de 1.550 têtes nucléaires ...

Depuis que l'on sait fabriquer des bombes dites intelligentes les spécialistes éprouvent le besoin de les appeler des têtes !

C'est fou ce que les jeux de khôns peuvent mobiliser comme intelligence...

Barack Obama met fin au tabou homosexuel dans l'armée

ETATS-UNIS - La règle a été abrogée ce mercredi...

Après dix-sept ans de polémique, Barack Obama a abrogé ce mercredi la règle qui impose aux militaires américains de cacher leurs orientations sexuelles.



Nouvelles règles dans l'armée

Le Pentagone a donc entrepris la rédaction de nouvelles règles qui permettront pour la première fois aux homosexuels de servir ouvertement dans les rangs de l'armée américaine.

Un changement qui devrait cependant prendre plusieurs mois. Selon certains observateurs, le département de la Défense américain chercherait ainsi à donner des gages aux détracteurs de la réforme, nombreux dans les hautes sphères de la hiérarchie militaire.

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> Les homosexuels vont donc pouvoir s'exprimer comme ils le souhaitent dans l'Armée ...

... les États-Unis ont créé en mars environ 216.000 emplois non-agricoles, contre un consensus d'environ 191.000, selon le Département américain au Travail ce vendredi. Les créations d'emplois ont concerné les services professionnels et d'entreprises, ...

Les Etats-Unis ont créé plus d'emplois que prévu au mois de mars



es créations d'emplois ont concerné les services professionnels et d'entreprises, la santé, les loisirs et le segment minier, notamment. L'emploi dans le compartiment manufacturier a continué de progresser.

Dans le même temps, le taux de chômage s'est légèrement replié, passant de 8,9% en février à 8,8% en mars. Les économistes tablaient sur un taux de chômage stable. Le nombre de personnes sans emplois s'établit ainsi à 13,5 millions en mars.

Sources: boursier.com

... Il prône un relèvement du plafond...

Barack Obama craint une nouvelle crise financière



Dans une intervention enregistrée cette semaine et diffusée dimanche par CBS News, Barack Obama a réaffirmé que les républicains ne devaient pas lier la décision sur le plafond de la dette à une réduction des dépenses entrant dans le cadre de mesures de diminution du déficit.

En l'absence d'un relèvement du plafond de la dette «nous pourrions avoir une récession pire que ce que nous avons déjà eu, une crise financière pire que ce que nous avons déjà eu», a dit le président américain.

Selon un rapport à paraître lundi de l'institut de recherche Third Way, un défaut de paiement replongerait les Etats-Unis dans la récession avec la suppression de quelque 640.000 emplois, un effondrement de la Bourse et un blocage des activités de crédit.

Sources: 20minutes.fr

Il est vraiment impayable le grand President, il retourne aux frontieres de 67 un point c'est tout. Il a la memoire courte le beau President, il aurait du faire un petit sejour a SDEROT ou ASHKELON. Il aurait ainsi compris a qui il a a faire. Il aurait aussi compris a qui ont a faire les Israeliens. Les brusques retournements d'alliance qui font de votre ancien interlocuteur l'allie de votre pire ennemi. Et apres, ou seront les garanties, faudra-il recommencer, renvoyer les tanks. Je signalerai, pour les grands strateges de LP que l'endroit ou le pays sera le plus etroit sera en face de NATANYA de : 12 Km. L'aeroport internarional de BEN GURION au bas des colines Palestiniennes, un peu comme DIEN-BIEN- PHU. TEL AVIV et les zones industrielle a portee du plus modeste canon. Pour la paix dans le futur il y a mieux. Ce Monsieur n'a pas parle de l'alliance HAMAS(IRAN) - FATAH que dirait-il si Israel passait une alliance avec la RUSSIE ou la CHINE, pire avec le VENEZUELLA ?

Amicalememt.

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Citation :

Il est vraiment impayable le grand President, il retourne aux frontieres de 67 un point c'est tout. Il a la memoire courte le beau President...

Il a des excuses recevables, en 1967 il était encore un petit bonhomme, il n'avait que 7 ans. Bon vous me direz que c'est l'âge de raison, mais ce n'est pas une raison d'entrer dans une colère noire contre lui.

Ungern a écrit:

Plutôt que de dire où il ne sera pas cet Etat Palestinien si vous disiez où il sera ?
Merci !

Mais... il ne sera pas, il est. En Jordanie !

BILOULOU


Tout a fait exact l'ami, et de l'autre cote du JOURDAIN en plus. Car si par malheur le petit roi venait a tomber Israel se retrouverait devant une super-palestine. Bien armee, bien entrainee pouvant couper Israel en 2 minutes. Quant aux garanties d'une Palestine (sans la JORDANIE) non armee, comme le voudrait la Maison Blanche, l'histoire nous a montree avec le LIBAN et GAZA, qui a tout deux sont beaucoup mieux armes que beaucoup de pays Europeens ou Sud Americains. A l'occasion UNGERN aura eu sa reponse et j'aimerai bien que lui aussi reponde a toutes les questions qui lui sont posees et non pas comme un vieux pantouflard repondre par une autre question soigneusement pechee dans un petit manuel de propagande des barbus.

AMICALEMENT

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A propos de l'économie étatsunienne on a écrit:

Le nombre de personnes sans emplois s'établit ainsi à 13,5 millions en mars.

Comparativement l'Union européenne avec plus de 500 millions d'habitants contre 363 millions aux E-U recense 9,6 millions de chômeurs.
Alors kikiestleplumôvai ?

Eddie a écrit:

Comparativement l'Union européenne avec plus de 500 millions d'habitants contre 363 millions aux E-U recense 9,6 millions de chômeurs.
Alors kikiestleplumôvai ?

Eddie, voyons, nous ne nous sommes pas coltiner la catastrophe bushienne pendant 8 ans, nous.


Mab

"Coltinés", pfiou.


Mab

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Mara-des-bois a écrit:

Eddie a écrit:

Comparativement l'Union européenne avec plus de 500 millions d'habitants contre 363 millions aux E-U recense 9,6 millions de chômeurs.
Alors kikiestleplumôvai ?

Eddie, voyons, nous ne nous sommes pas coltiner la catastrophe bushienne pendant 8 ans, nous.


Mab

Selon les sources du FMI, quand on jette un regard sur le niveau de la dette étatsunienne en pourcentage du PIB sur les 20 dernières années on notera que sous l'octo-ère de Cuckold Billy de 72,4% en 1993 elle est tombée à 54,7 en 2000, puis sous l'octo-ère de Djordji Marcheur elle est remontée à 84,6% notamment avé le début de la crise en 2007 époque où elle fleurtait avé les 65%, puis sous la mini-ère de El Mundial Presidente elle a bondi en 3 ans à 99,5 % et est actuellement en train de faire bisous bisous avé les 100%.

Il y a des coltinages qui trompent comme les emblématiques éléphants.
Comme dit sur une autre chaîne il ne s'agit pas uniquement de crère...

EddieCochran a écrit:

21 -Il y a des coltinages qui trompent comme les emblématiques éléphants.
Comme dit sur une autre chaîne il ne s'agit pas uniquement de crère...

Je cherchais une manière neutre et très polie de le dire mais vous me prîtes de vitesse - et en beaucoup mieux...

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Oui, j'ai probablement été cornac dans une autre vie...

Creuser une dette pour aider ses compatriotes ou entretenir le moral de ses generaux, ce n'est peut etre pas la meme chose. Obama a beau etre presenté comme une nullité en matiere economique, c'est lui qui se coltine les degats de son predecesseur et la crise qui va avec (ou bien j'ai un probleme de comprenote... Ou de chronologie... Ah non, hein, pas les deux).

Sous Reagan + papa Schultz Bush, la dette americaine a été multipliée par 4 (pas maaaaal !). Precher par l'exemple, yakçadvrai.

Enfin bon, on a dejà assez à faire avec nos propres sous -et je ne parle pas de ces pauvres grecs et de ces malheureux portugais- sans aller taper sur un afro-americain probablement musulman



Mab