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| Nouvelles d'Afrique | |
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+13andre Lawrence Shansaa Charly Ungern jam emma OmbreBlanche Biloulou Re01 chat noir Zed EddieCochran 17 participants | |
Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Nouvelles d'Afrique 14/11/2008, 22:20 | |
| Rappel du premier message : |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Nouvelles d'Afrique 7/9/2009, 10:06 | |
| La France n'avait pas de candidat au Gabon, selon un proche de Sarkozy Monde - France 8:57 L'avocat Robert Bourgi, souvent présenté comme un conseiller officieux et très influent du président Nicolas Sarkozy pour les affaires africaines, a affirmé lundi que Paris n'avait pas eu de candidat favori pour l'élection présidentielle au Gabon. "La France n'avait pas de candidat au Gabon. Elle n'est intervenue ni avant le processus électoral, ni pendant, ni après", a assuré sur RTL Robert Bourgi, un avocat d'origine libanaise, considéré comme le gardien des secrets de la "Françafrique", cet ensemble de relations opaques qui lient la France à ses anciennes colonies africaines. "Bien au contraire, la France est intervenue auprès des chefs d'Etat africains de la région pour apaiser les esprits", a-t-il ajouté. Robert Bourgi affirme également que Nicolas Sarkozy n'a pas privilégié Ali Bongo, fils du président défunt et déclaré vainqueur de l'élection, dans les mois qui ont précédé le scrutin. "Il ne l'a reçu qu'une seule fois en juin 2008, c'était pendant le salon (aéronautique) du Bourget", a-t-il dit. Ali Bongo était alors ministre de la Défense du Gabon. Ali Bongo a été déclaré jeudi vainqueur du scrutin du 30 août, une proclamation qui a provoqué des violences, en particulier dans la deuxième ville du Gabon, Port-Gentil, où des intérêts français ont été pris pour cibles par des manifestants. La France a été accusée d'avoir pris parti en faveur d'Ali Bongo. Robert Bourgi a concentré beaucoup des critiques contre Paris. Il s'était présenté lui-même peu avant l'élection comme "un ami très écouté" de Nicolas Sarkozy et avait ajouté, dans le journal Le Monde, qu'Ali Bongo était "le meilleur défenseur des intérêts français dans tous les domaines". La France a déclaré qu'elle accepterait le résultat de l'élection présidentielle, tel qu'il serait validé par la Cour constitutionnelle gabonaise, laquelle doit encore examiner les éventuels recours. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Nouvelles d'Afrique 7/9/2009, 12:08 | |
| GABON.
Ali Bongo, dans les pas de "papa".
"Il n'y a pas de dauphin ! Qui dit que la succession est ouverte ?", protestait Omar Bongo Ondimba, 69 ans, au lendemain de l’élection présidentielle de 2005 au cours de laquelle il avait été réélu pour la sixième fois consécutive à la tête de son pays. Mais la dynastie Bongo Ondimba a encore de beaux jours devant elle. L'aîné du clan, Ali, a succédé à son père lors de l'élection du 30 août dernier, malgré la contestation de deux candidats d'opposition, Pierre Mamboundou, candidat de l’Union du peuple gabonais (UPG) et l'ancien ministre de l'Intérieur André Mba Obame, "AMO". Mais, si Ali Ben Bongo n'a pas hérité du charisme de son père resté au pouvoir pendant plus de 41 ans – il n’a pas sa maîtrise des dialectes locaux, ni sa capacité à se montrer proche du peuple – "Papa Bongo", décédé début juin, lui a cependant tout appris des us et coutumes en vigueur au sommet de l’État. En 1989, alors qu’il n’a que 30 ans, Ali est ainsi nommé ministre des Affaires étrangères. Certes, sa première expérience gouvernementale ne dure alors que deux ans : l’introduction dans la Constitution d’un amendement imposant aux ministres d’être âgés d’au moins 35 ans l’oblige à démissionner. Mais le jeune loup a pris date. En 1999, pour son quarantième anniversaire, "Baby Zeus", comme on le surnomme, reçoit en cadeau le stratégique ministère de la Défense, qu’il n’a plus quitté jusqu'au 14 août dernier, s’attachant la fidélité des militaires en leur offrant régulièrement voitures de luxe et beaux uniformes. En 2008, l’apparition, en France, de son nom dans l’affaire dite des "biens mal acquis" parce qu’il possède un appartement avenue Foch, à Paris, et deux Ferrari, ne remet absolument pas en cause ses ambitions. Sans surprise, Ali est désigné, en juillet dernier, candidat officiel du Parti démocratique gabonais (PDG), la toute puissante formation politique fondée par son défunt père, pour la présidentielle du 30 août. Largement favori, Ali Ben Bongo l’est d’autant plus que l’opposition peine à s’unir autour d’une candidature unique. RDC.
Joseph Kabila, plus jeune président au monde. Au lendemain de l’assassinat du président Laurent-Désiré Kabila, en janvier 2001, son fils, Joseph, seulement âgé de 29 ans, est propulsé à la tête de la République démocratique du Congo (RDC) par la garde rapprochée de son père, qui veut éviter un renversement du pouvoir. Celui qui devient le plus jeune chef de l’État au monde est alors peu connu des Congolais et de la communauté internationale. Son seul fait d’armes fut d’avoir combattu dans l’ombre de son père le régime du maréchal Mobutu Sese Seko. Et d’avoir occupé, à sa chute en 1997, le poste de conseiller militaire auprès de son père autoproclamé président. Alors que Kabila père avait placé le pays au ban des nations en refusant de suivre les recommandations des institu Dynasties politiques en Afrique
» Le pouvoir en héritage » Les dauphins potentiels tions internationales, Joseph Kabila, réputé austère et peu bavard, joue la carte de l'ouverture et renoue avec Washington, Paris et Bruxelles. Ainsi qu’avec les pays voisins. Le jeune chef de l’État peut en effet se targuer d’avoir rétabli, un an après sa prise de fonctions, la paix avec le Rwanda et l'Ouganda voisins. Et, surtout, d’avoir tenu sa promesse de "conduire le peuple congolais" aux premières élections libres de son histoire. En 2006, il obtient 58,05 % des voix au deuxième tour de la présidentielle, devant le vice-président Jean-Pierre Bemba. Mais après huit années passées au pouvoir, le plus dur reste à faire : la province du Nord-Kivu, dans l’est du pays, reste en proie aux violences entre l’armée congolaise et les rebelles hutus rwandais. Et le pays, riche en ressources naturelles, reste miné par le chômage, la pauvreté et la corruption. TOGO.
Faure Gnassingbé, du coup d'État à la légitimation par les urnes.
À peine deux heures après le décès du président Gnassingbé Éyadema, le 5 février 2005, l'armée togolaise confie le pouvoir à son héritier désigné, son fils Faure Gnassingbé. À 38 ans, l’ancien ministre des Travaux publics, des Mines et des Télécommunications prend les rênes du pays grâce à une modification express de sa Constitution. Une manœuvre que les Occidentaux et l'Union africaine (UA) qualifient de "tentative de coup d’État"... La pression de la communauté internationale est telle que le nouveau chef de l’État est contraint de démissionner et d’annoncer la tenue d’une élection présidentielle dans les 60 jours.
Deux mois plus tard, celui-ci remporte le scrutin. Dans le sang. Les soupçons de fraudes qui entourent le vote (la télévision montre des militaires emportant des urnes) déclenchent de violentes émeutes, dont la répression provoque la mort de quelque 500 personnes. Au pouvoir, la tâche qui attend le nouveau numéro un togolais est immense. S’il connaît, certes, le monde politique, "Faure" est d’abord un businessman. Avant de s'asseoir dans le fauteuil présidentiel, cet homme discret, réputé habile, gérait les affaires qui ont fait la fortune de sa famille (extraction des phosphates et téléphonie mobile, notamment). En outre, son père, dont le règne sans partage a duré 38 ans, laisse derrière lui un pays rongé par les divisions. Conscient des difficultés qui l’attendent, Faure Gnassingbé déclare qu'il ne sera "ni le président du Nord, ni celui du Sud, mais celui de tout le Togo". Et, pour prouver sa bonne foi, donne son accord à la formation d'un gouvernement d'union nationale. La manœuvre s’avère payante : deux ans plus tard, à la faveur d’élections législatives dont le déroulement est salué par la communauté internationale, le fils d’Eyadema reçoit le soutien de l'Union européenne (UE) après 13 années d'embargo. S’il fait preuve d’ouverture, Faure n’oublie pourtant pas de garder un œil vigilant sur certains de ses proches, qui nourrissent de la jalousie à son encontre. Et sur son demi-frère cadet Kpatcha en particulier, qui fut, par ailleurs, son ministre de la Défense. En 2006, le président lui a refusé les postes de Premier ministre et de président du Parlement, qui auraient pu lui servir de rampe de lancement en vue de la présidentielle de 2010… Trois ans plus tard, le 14 avril dernier exactement, Kpatcha, accusé de tentative de coup d'État, est arrêté. Deux jours plus tard, Essolizam, un autre membre de la fratrie Gnassingbé, subit le même sort. AP |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Nouvelles d'Afrique 7/9/2009, 12:12 | |
| En ces moment difficiles pour une grande amie de LP. https://www.youtube.com/watch?v=AdmjbxMs7hg |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: Nouvelles d'Afrique 7/9/2009, 12:18 | |
| Mariza ? | |
| | | Invité Invité
| | | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: Nouvelles d'Afrique 7/9/2009, 12:41 | |
| Jaloux ! Iconoclaste ! Hérétique ! | |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Nouvelles d'Afrique 7/9/2009, 16:51 | |
| Bonjour Sylvette Connaissez vous le région de Gamba ! C'est là que j'ai commencé ma carrière fin des années 60 ........ |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Nouvelles d'Afrique 7/9/2009, 16:58 | |
| oui, en fait je voulais mettre une photo de l'aeroport (Shell) mais elle est sur le disque dur externe. J'essayerai de la retrouver et de la poster ici bientot. Il y a quelques mois, j'ai mis ici la photo d'un panneau routier sur lequel se trouvait le dessin d'un elephant. Elle avait ete prise a Gamba justement. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Nouvelles d'Afrique 11/9/2009, 16:35 | |
| Mugabe dénonce les "sales blancs" s'ingérant dans ses affaires Monde - International 15:42 Le président Robert Mugabe a attaqué vendredi les sanctions occidentales contre le Zimbabwe, en dénonçant les "sales blancs" qui s'ingèrent dans les affaires de son pays. "Qui a dit que les Britanniques et les Américains doivent commander les autres ? Nous n'avons pas invité ces sales blancs. Ils veulent fourrer leur nez dans nos affaires. Refusez ça", a déclaré le président zimbabwéen devant les jeunes de son parti, la Zanu-PF. "Pourquoi ces sanctions ? Pourquoi notre peuple est-il puni ? C'est parce que les impérialistes veulent capter notre héritage", a poursuivi M. Mugabe. Il a également souligné qu'il ne reviendrait pas sur sa réforme agraire controversée, visant à redistribuer aux Noirs les terres détenues par les fermiers blancs. Ce discours tonitruant intervient à la veille d'une visite d'une délégation européenne de haut niveau, dirigée par le commissaire européen Karel De Gucht. (NLE) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Nouvelles d'Afrique 11/9/2009, 18:03 | |
| "sales blancs" Cela deviendrait-il un terme recurrent? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Nouvelles d'Afrique 11/9/2009, 20:13 | |
| ah moi j'ai eu pire que ça comme insulte mais je n'ai pas trouvé l'association qui défend les blancs. Quand j'ai porté les faits au directeur de la société dans laquelle je travaillais, il m'a dit que je devais accepter et aussi comprendre parce que la personne qui m'avait insultée était déracinée !!!!! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Nouvelles d'Afrique 11/9/2009, 20:30 | |
| Bonjour Marie . Une autre foi tu prend une hache et tu laisse les racines. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Nouvelles d'Afrique 14/9/2009, 22:54 | |
| Un nouveau virus mortel à 80% découvert en AfriqueUn nouveau virus d'origine inconnue, comparable à celui de l'Ebola et provoquant une fièvre hémorragique mortelle dans 80% des cas, a été observé en 2008 en Afrique du Sud, selon une étude présentée dimanche par un médecin sud-africain. Magazine - Sciences et Santé 7:10 La première personne infectée par ce pathogène était une guide touristique de Lusaka en Zambie. Elle a été transportée par avion dans un hôpital de Johannesburg en septembre 2008 où son état s'est aggravé, a expliqué le Dr Nivesh Sewlall dans une présentation à la conférence annuelle sur les agents antimicrobiens et la chimiothérapie (ICAAC), réunie ce week-end à San Francisco (Californie, ouest). Cette première patiente est décédée ainsi que trois employés de l'hôpital l'ayant soignée. Une infirmière également infectée par ce virus baptisé Lujo - une association entre les deux premières syllabes de Lusaka et de Johannesburg - a survécu grâce à des traitements de choc, dont l'antiviral ribavirine utilisé contre l'hépatite C et B. Mais il lui a fallu près d'un an avant de pouvoir totalement récupérer, a précisé ce médecin de l'Université de Witwatersrand à Johannesburg qui a soigné les malades infectés par le virus Lujo. Cette infirmière a été infectée malgré les précautions exceptionnelles prises après le décès des trois autres membres du personnel médical. Les premiers symptômes ont été des poussées de fièvre, des douleurs musculaires, des éruptions cutanées suivis de diarrhée et de défaillances d'organes notamment du foie. Le virus a été isolé dans des échantillons de sang et de tissu hépatique des victimes par l'Institut sud-africain des maladies contagieuses et les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC). Ce pathogène a été classé comme étant un nouvel Arenavirus, comme celui responsable de la fièvre hémorragique dite de Lassa apparu en 1969 au Nigeria. |
| | | EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
| Sujet: Re: Nouvelles d'Afrique 14/9/2009, 23:14 | |
| 288 - - Jackleloup a écrit:
- La première personne infectée par ce pathogène était une guide touristique de Lusaka en Zambie
Bon sang toutes les personnes qui ont eu ce guide en matin et qui l'ont feuilleté risquent la contamination, à commencer par les jeunes pages. Faut le retrouver et l'incinérer. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Nouvelles d'Afrique 17/9/2009, 13:37 | |
| Gabon: 42 relaxes et 4 condamnations au procès des émeutes à Port-Gentil [url=https://librespropos.1fr1.net/javascript: window.print();] [/url] Monde - International 12:11 Le tribunal de Port-Gentil a relaxé jeudi 42 des 46 prévenus jugés pour évasion, pillage ou destruction lors des émeutes post-électorales qui ont secoué la capitale pétrolière du Gabon du 3 au 6 septembre. Trois prévenus "ayant déjà eu affaire à la justice", ont été condamnés à des peines allant de 5 ans à 6 mois de prison, pour "évasion" de la prison de Port-Gentil et "destruction", a précisé à l'AFP le procureur de la République André-Patrick Roponat. Un prévenu étranger, poursuivi pour pillage, a écopé de 6 mois de prison, dont un avec sursis, mais seulement pour défaut de carte de séjour. Les autres prévenus jugés pour évasion ont été relaxés car "ils sont sortis de la prison à la suite de l'ouverture des portes par des manifestants. Le directeur a même demandé aux prisonniers de rentrer chez eux pour des raisons de sécurité", a déclaré à l'AFP l'AFP Me Jean-Rémy Bapsantsa, l'un des avocats de la défense. Concernant les accusations de destruction ou pillage, "il y avait absence de preuves formelles, matérielles. Les procès verbaux d'auditions étaient lapidaires, laconiques", a-t-il ajouté. Les poursuites ont par ailleurs été abandonnées contre une vingtaine d'autres personnes. Un total de 311 personnes ont été interpellées lors des émeutes à Port-Gentil, où un couvre-feu est en vigueur du soir à l'aube depuis le 3 septembre. Les troubles, qui ont fait trois morts selon les autorités, au moins 15 d'après l'opposition, ont éclaté après l'annonce de l'élection d'Ali Bongo à l'issue du scrutin présidentielle du 30 août. Ali Bongo, fils du défunt président Omar Bongo, a été élu avec 41,73% des voix, devant l'ex-ministre de l'Intérieur André Mba Obame (25,88%) et l'opposant Pierre Mamboundou (25,22%), qui revendiquent tous deux la victoire. Port-Gentil est l'un des fiefs de M. Mamboundou, où il est arrivé en tête. Le premier jour des émeutes, ses partisans avaient forcé la porte de la prison de la ville et libéré des détenus. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Nouvelles d'Afrique 17/9/2009, 13:52 | |
| Jack Le calme est bien revenu a Port Gentil, meme si tous les esprits ne sont pas forcement rasseneres. Le couvre-feu existe toujours entre 8h du soir et 6h du matin. Les magasins sont ouverts, les petites marchandes de fruits et legumes ont repris leurs places. Les agents de la ville continuent les travaux commences au centre ville. Rappel "incontournable" des evenements toutefois pour toute personne faisant ses courses a Score/Casino, le trou beant qui permet au regard de traverser le petit immeuble du Consulat de France jusqu'a l'ocean. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Nouvelles d'Afrique 17/9/2009, 14:02 | |
| Espérons que toutes ces séquelles disparaîtront très vite et que la sympathie avec l'occident qui les fait vivre mieux que d'autres reprendra ses droits. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Nouvelles d'Afrique 17/9/2009, 14:05 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Nouvelles d'Afrique 28/9/2009, 21:31 | |
| Mauritanie: arrestation de sept membres présumés d'Al-Qaï
Monde - International 19:09 Sept membres présumés d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) ont été arrêtés par l'armée dans le désert mauritanien près des frontières malienne et algérienne, a affirmé lundi un haut responsable des services de sécurité mauritaniens. "Les hommes étaient armés, ils sont au nombre de sept et circulaient à bord de véhicules dont un camion utilisé par les terroristes de l'Aqmi", a déclaré un haut responsable des services de sécurité, qui s'exprimait sous couvert de l'anonymat. Ils ont été arrêtés "la semaine dernière", a-t-il ajouté. Selon ce haut responsable, le groupe circulait dans le désert mauritanien, près de la localité de Lemgheity, qui avait été la cible en juin 2005 d'une attaque du GSPC algérien (groupe salafiste pour la prédication et le combat, devenu Aqmi), faisant 15 morts parmi les militaires mauritaniens. Les hommes armés ont été "encerclés et ont fini par se rendre à l'armée qui suivait leurs mouvements dans le cadre de sa surveillance de cette zone, véritable repère des terroristes et de trafiquants", a affirmé la même source. (HIE) |
| | | emma
Nombre de messages : 3845 Date d'inscription : 08/12/2008
| Sujet: Re: Nouvelles d'Afrique 29/9/2009, 03:50 | |
| Répression sanglante en GuinéeUn rassemblement d'opposants dans un stade de Conakry a été dispersé dans le sang par les forces de l'ordre. Plusieurs dizaines de personnes, qui dénonçaient l'éventuelle candidature du chef de la junte à l'élection présidentielle de janvier, ont été tuées.http://www.lefigaro.fr/international/2009/09/28/01003-20090928ARTFIG00648-repression-sanglante-en-guinee-.php Un véritable «carnage», selon un médecin qui a accueilli les dépouilles de plusieurs victimes. Des dizaines de manifestants hostiles à la junte au pouvoir en Guinée ont été tuées par balles lundi, lors d'une sanglante répression exercée par les forces de l'ordre. C'est la première fois depuis son arrivée au pouvoir il y a neuf mois lors d'un coup d'État, que la junte militaire réprime dans le sang une manifestation d'opposants. Le rassemblement, interdit, a été maintenu par l'opposition. Ces violences interviennent au moment où la communauté internationale fait pression sur le chef des putschistes pour qu'il respecte ses engagements de ne pas se présenter à l'élection et de laisser le pouvoir aux civils. Selon un médecin du Centre hospitalier universitaire de Donka, s'exprimant sous le couvert de l'anonymat, cinquante-huit cadavres ont été apportés à la morgue. D'après un membre de la Croix-Rouge, les dirigeants de l'armée ont demandé que les cadavres collectés soient apportés au siège de la junte et non dans les morgues. Pour cet humanitaire, il y a «une volonté de dissimuler les corps des victimes» de la répression. Dans un autre établissement sanitaire de Conakry, une source médicale avait auparavant assuré qu'un camion militaire était venu pour ramasser des «dizaines de corps», emmenés vers «une destination inconnue». La France, par l'intermédiaire du secrétaire d'Etat à la Coopération et à la Francophonie Alain Joyandet, a condamné «avec la plus grande fermeté» la «répression violente» exercée par l'armée guinéenne. | |
| | | emma
Nombre de messages : 3845 Date d'inscription : 08/12/2008
| Sujet: Re: Nouvelles d'Afrique 5/10/2009, 14:19 | |
| Guinée : "J'ai vu les soldats mettre le fusil dans le sexe des femmes"
http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2009-10-05/guinee-j-ai-vu-les-soldats-mettre-le-fusil-dans-le-sexe-des/924/0/382952
Le visage encore tuméfié une semaine après le massacre de manifestants à Conakry, une Guinéenne soulève son boubou et dévoile ses bras et fesses meurtris: "J'ai 57 ans et ils m'ont mise à nue! J'ai vu les soldats mettre les fusils dans le sexe des femmes quand ils me frappaient." Le président de l'Organisation guinéenne de défense des droits de l'homme (OGDH), Thierno Maadjou Sow, dispose déjà des témoignages "d'une trentaine de femmes violées" par les militaires qui ont réprimé dans le sang, le 28 septembre, une manifestation de l'opposition. La foule s'était massée dans le plus grand stade de Conakry pour un rassemblement "pacifique" contre la probable candidature à la présidentielle du chef de la junte au pouvoir depuis neuf mois, le capitaine Moussa Dadis Camara. Une femme de 47 ans montre les larges contusions et plaies qui parsèment son dos. "Un militaire m'a frappée, m'a déshabillée, il m'a tapée sur la tête avec le fusil. Ils m'ont fait tomber par terre. Quelqu'un est venu mettre la main... Ils m'ont violée. Je suis sortie de là nue", confie cette mère de deux enfants. L'ancien ministre des Affaires étrangères François Lonsény Fall, lui-même roué de coups par les militaires, assure qu'"ils se sont acharnés particulièrement sur les femmes". "Ils n'étaient pas en possession de leurs moyens: certains disent qu'ils étaient drogués", ajoute-t-il. Mais du côté du pouvoir militaire, le ministre de la Santé, le médecin-colonel Cherif Abdoulaye Diaby a dit devant la presse: "je ne crois pas qu'il y ait eu des viols. Il n'y a eu aucune plainte au niveau de l'hôpital", en rappelant le bilan officiel de 56 civils tués. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Nouvelles d'Afrique 5/10/2009, 16:25 | |
| Malheureusement Emma en Afrique cela s'appelle "tirer un coup".... - emma a écrit:
- Guinée : "J'ai vu les soldats mettre le fusil dans le sexe des femmes"
http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2009-10-05/guinee-j-ai-vu-les-soldats-mettre-le-fusil-dans-le-sexe-des/924/0/382952
Le visage encore tuméfié une semaine après le massacre de manifestants à Conakry, une Guinéenne soulève son boubou et dévoile ses bras et fesses meurtris: "J'ai 57 ans et ils m'ont mise à nue! J'ai vu les soldats mettre les fusils dans le sexe des femmes quand ils me frappaient." Le président de l'Organisation guinéenne de défense des droits de l'homme (OGDH), Thierno Maadjou Sow, dispose déjà des témoignages "d'une trentaine de femmes violées" par les militaires qui ont réprimé dans le sang, le 28 septembre, une manifestation de l'opposition. La foule s'était massée dans le plus grand stade de Conakry pour un rassemblement "pacifique" contre la probable candidature à la présidentielle du chef de la junte au pouvoir depuis neuf mois, le capitaine Moussa Dadis Camara. Une femme de 47 ans montre les larges contusions et plaies qui parsèment son dos. "Un militaire m'a frappée, m'a déshabillée, il m'a tapée sur la tête avec le fusil. Ils m'ont fait tomber par terre. Quelqu'un est venu mettre la main... Ils m'ont violée. Je suis sortie de là nue", confie cette mère de deux enfants. L'ancien ministre des Affaires étrangères François Lonsény Fall, lui-même roué de coups par les militaires, assure qu'"ils se sont acharnés particulièrement sur les femmes". "Ils n'étaient pas en possession de leurs moyens: certains disent qu'ils étaient drogués", ajoute-t-il. Mais du côté du pouvoir militaire, le ministre de la Santé, le médecin-colonel Cherif Abdoulaye Diaby a dit devant la presse: "je ne crois pas qu'il y ait eu des viols. Il n'y a eu aucune plainte au niveau de l'hôpital", en rappelant le bilan officiel de 56 civils tués. |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Nouvelles d'Afrique 5/10/2009, 18:28 | |
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