Madame Betancourt s'exprime enfin !

Par le biais d'un ouvrage poignant et intitulé Même le silence a une fin, Madame Betancourt s'exprime et raconte son calvaire.

Elle y raconte avec gourmandise l'innommable et l'horreur. Elle y dit avec élégance sa peur, sa peur d'être seule, sa peur d'avoir peur, sa peur de mourir.

Dans ses mots sobres, transparaissent l'effroi et la détresse. Elle y raconte dans une écriture dépouillée et poétique les viols subis. Elle se sentait alors prise d'assaut par des hommes des forêts beaux et virils " ... mon corps et mon cœur restèrent gelés pendant le court espace d'une éternité ...".

La forêt est un milieu mystérieux.

" ... Ces hommes des forêts s'avançaient vers moi avec leurs énormes pénis dressés tels des baobabs ... leurs membres sentaient le musc ... ils se plantaient devant moi tout à la fois tétanisée et ruisselante ... ils criaient tels des bêtes ... et je poussais déjà des petits cris au travers des feuillages " ...

Que de souvenirs profonds

Ingrid confie sa peine à Bénoît

Ingrid raconte tout à Dominique

Ingrid et son ami Nicolas

Ingrid et le commandant

Ingrid aime les bains de mer

Ingrid et Jacques

Ingrid s'adressant à la Sainte Vierge

Ingrid raconte les aventures d'Ingrid

Ingrid raconte l'horreur de sa détention .

Elle s'attarde plus particulièrement sur ses viols (c'est pour plaire à ombre blanche sans doute) .

D'un ton pudique elle nous narre en quelques mots superbes toute cette horreur :

"C'est horrible de se faire enculer quand on a la tourista" .

Pauvre Ingrid .

C'est un sujet sensible.

N'oublions pas qu'Ingrid a été libérée par Israël,officiellement des "conseillers",
mais sur le terrain,des combattans!

Les Colombiens ayant des militaires soit nuls soit non motivés et craintifs,
des couillons,quoi.

Ingrid : " Oui je suis une femme libérée ! "

....

Allez Ingrid !

Les conseils de lecture d'Ingrid

Bernard...le retour?

C'est du propre d'être obligé de supporter la vulgarité.

JACKLELOUP a écrit:

C'est du propre d'être obligé de supporter la vulgarité.

Charly a écrit:

Bernard...le retour?

Tu viens seulement de t'en appercevoir ?
Oui, toujours aussi obsédé par la vulgarité et les souvenirs de ce qui est désormais hors de sa portée...

Biloulou a écrit:

JACKLELOUP a écrit:

C'est du propre d'être obligé de supporter la vulgarité.

Charly a écrit:

Bernard...le retour?

Tu viens seulement de t'en appercevoir ?
Oui, toujours aussi obsédé par la vulgarité et les souvenirs de ce qui est désormais hors de sa portée...

Il est long a la detente Charly...tu le fais boire Bilou..???!!

Oui, du jus de fraises...