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Dernière édition par Sylvette le 16/11/2008, 21:30, édité 1 fois
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Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 11/7/2012, 02:19
Zed a écrit:
Si un homme peut tondre un mouton en dix minutes, dix hommes peuvent le faire en une minute. C’est un calcul exact, mais ce n’est pas vrai, car les dix hommes n’y parviendraient pas ; ils se gêneraient tellement les uns les autres que le travail serait considérablement ralenti.[/b]
Et?
Cesser de tondre, c'est plus efficace?
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 11/7/2012, 02:28
Pétard a écrit:
Zed a écrit:
Si un homme peut tondre un mouton en dix minutes, dix hommes peuvent le faire en une minute. C’est un calcul exact, mais ce n’est pas vrai, car les dix hommes n’y parviendraient pas ; ils se gêneraient tellement les uns les autres que le travail serait considérablement ralenti.[/b]
Et?
Cesser de tondre, c'est plus efficace?
Mais non, ça prend plus de mouton vu qu'il y a plus de tondeurs
Invité Invité
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 11/7/2012, 02:43
Zed a écrit:
Mais non, ça prend plus de mouton vu qu'il y a plus de tondeurs à
T'as tout faux. Les moutons, ils sont multitudes...
Invité Invité
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 11/7/2012, 23:34
Cherchez où réside l'intégrisme!
Pauvreté amèrloques chiffrées
Invité Invité
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 12/7/2012, 21:37
Le pire est que c'est tout à fait ça!
Santé USA : La réforme d’Obama imposée par les assureurs, les pharmaceutiques et les hôpitaux privés
«Santé. La Cour suprême valide la réforme d’Obama que titrait en première page Le Devoir du 29 juin 2012. Et l’indépassable André Pratte, rédacteur en chef de La Presse intitulait son éditorial du 29 juin 2012 : «L’œuvre d’Obama». Monsieur, faut arrêter de mentir et de tromper les gens. Ce n’est ni la «réforme» et «l’œuvre» d’Obama mais bel et bien la réforme dictée à Obama et l’œuvre échafaudée par les compagnies d’assurances, les entreprises pharmaceutiques et les médecins et hôpitaux privés des Etats-Unis qui vont engranger des milliards additionnels chaque année grâce à cette réforme de la santé.
Spoiler:
Comme le récent régime volontaire (dans les faits, il est obligatoire) d’épargne retraite (RVER) instauré l’an passé par Charest et dicté par les assureurs et les banques d’ici, le nouveau plan de santé américain obligera les 32 millions d’Américains, actuellement sans aucune couverture médicale, à acheter une assurance maladie privée. Comme l’a si bien mentionné le juge en chef de la cour suprême américaine, John Roberts, il s »agit dans les faits d’un nouvel «impôt» assené aux individus aux revenus déjà très modestes comme l’est au Québec le RVER. Ces impôts déguisés accroîtront davantage les inégalités économiques déjà répugnantes. Et tout comme le RVER au Québec, le nouveau programme de santé américain était censé être «public» au début, c’est-à-dire géré par une société d’État. Mais, les puissants lobbyistes des assureurs, des banques et des pharmaceutiques du Québec et des States, ne voulant pas perdre et renoncer à cette manne de profits faciles ont ordonné aux politiciens de transférer ces programmes de retraite et de santé au privé sous la menace de fermer le robinet de leurs contributions politiques chiffrés à des milliards de dollars et de ne plus embaucher d’ex politiciens à coups de millions comme, entre autres, les libéraux Philippe Couillard, Russel William et Nathalie Normandeau. Ne voulant pas se retrouver à œuvrer dans des groupes communautaires et tenant à maintenir leur gros train de vie et leurs relations importantes, les élus achetés ont répondu favorablement à l’appel du privé. Merveilleuse démocratie mais quelque peu corrompue et infléchie. Charest démontre plus de «fermeté» avec les étudiants et les travailleurs.
Aux Etats-Unis, les lobbyistes du privé avaient déjà fait plier l’ex-président Bill Clinton qui, lui aussi, voulait réformer un tant soit peu le pire système de santé des pays occidentaux et de très loin le plus privatisé et également le plus coûteux. Et pourtant, les domestiques du patronat ne cessent de nous répéter l’inefficacité du public et la supériorité intrinsèque et «naturelle» du privé qui, grâce à une vive concurrence, est censé faire baisser les prix. Assez paradoxal merci ce que ce soit les States qui ont le plus de privé en santé mais qui est, et de beaucoup, plus cher que le système de santé publique des autres pays industrialisés. Déjà en 2009, le privé annonçait ses couleurs : «Réforme de l’assurance maladie aux Etats-Unis. Les lobbyistes de la santé s’activent» (Le Devoir, 27 juillet 2009) pour arriver en 2011 à : «Obama tente un compromis (sic). Le président américain renonce à une assurance maladie publique mais promet de retreindre l’appétit des assureurs» (Le Devoir, 23 février 2010). «Obama tente un compromis» avec les transnationales de la santé privée afin de les accormoder, s’entend. Et Obama qui «promet de restreindre l’appétit des assureurs». Comme le chantait Dalida, «Paroles, paroles, paroles». Et il n’y a rien de pire que les paroles de certains politiciens.
Bon, encore une fois, il y a les athées et les affranchis qui trouvent encore une fois que j’exagère. Puis-je, mes amis, vous référez à deux dossiers de la plus importante revue d’affaires américaine Business Week : «Why health insurers are winning» (17 août 2009) et «The tight grip of health insurers» (3 août 2009). Comme le patron d’André Pratte de La Presse, monsieur Paul Desmarais est propriétaire de très grosses compagnies d’assurances (Canada Life, Great West Life et London Life) et de gestion de pensions de retraite (Investors et Mackenzie Group), la nouvelle réforme de la santé privée implantée aux Etats-Unis aux frais des classes moyennes et de l’ensemble des contribuables, tout comme le nouveau régime obligatoire d’épargne retraite confié au privé par Jean Charest et son parti politique, seront très bénéfiques à ces entreprises et également aux banques, aux pharmaceutiques et aux cliniques, hôpitaux et médecins privés. Ça rend évidemment heureux les fidèles employés et serviteurs de La Presse et de Power Corp, comme l’est le dévoué André Pratte. La réforme de la santé d’Obama et celle des retraites de Charest constituent une éclatante victoire de la poursuite incessante de la privatisation de tous nos services publics aux affairistes du privé. Faut surtout pas s’interposer et critiquer car les fricoteurs ont le bras long et les poches pleines et ils vont vous accuser d’être socialistes et même communistes. Surtout pas ça… Le «show» de la modernisation et de la réingénierie de l’État «must go on».
Léo-Paul Lauzon, Le JdeM
Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
l'esprit scientifique. est-ce que les animaux ont besoin de l'esprit scientifique pour vivre. non mais franchement.
Ils, les animaux, n'ont pas non plus besoin ni des arts ni de la créativité
« Le jour où l'on comprendra qu'une pensée sans langage existe chez les animaux, nous mourrons de honte de les avoir enfermés dans des zoos et de les avoir humiliés par nos rires. » Boris Cyrulnik
Invité Invité
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 14/7/2012, 01:41
Y'en a ici qui se targuent d'avoir des amis congolais. Peut-être mais parier son avenir qu'ils ne sont pas bon blanc, bon teint c'est risquer son avenir!
La ségrégation raciale existe encore à bord des bus américains
La stigmatisation raciale dans les transports publics américains est toujours aussi forte.
The Atlantic s'interroge sur la politique de «gentryfication» des bus que les villes américaines devraient mettre en place. Depuis la fin de la ségrégation, les noirs sont encore les principaux usagers des bus américains.
Spoiler:
A Los Angeles, 92% des passagers sont des personnes de couleur dont les revenus annuels ne dépassent pas 12.000 dollars. Le Los Angeles Times rapporte l’expérience de Jacqueline Carr, qui raconte dans son blog - Snob On A Bus– comment elle a été forcée d’abandonner la voiture et de prendre le bus en 2009.
«Je pensais que j’étais trop bonne pour le bus (…) Je pense qu’il y a une compréhension et une construction sociale qui implique que si tu prends le bus, c’est parce que tu n’as pas d’argent. Il y a un niveau social. Evidemment j’approuvais cela.»
Non seulement ce problème ne s’est pas arrangé, mais il se serait même aggravé avec le temps. Alors qu’en 1977, les minorités ethniques représentaient 21% des usagers, ce pourcentage a bondi à 69% en 1995.
A Atlanta par exemple, le système de transports public MARTA (pour Metropolitan Atlanta Rapid Transit Authority) a été surnommé «Moving Africans Rapidly Through Atlanta» (Transporter les Africains rapidement à Atlanta).
Chicago Mag rapporte une scène jouée par la comédienne Maria Bamford qui prend le bus à Los Angeles.
«Quelque chose qui inquiète vraiment les gens c’est que j’ai commencé à prendre le bus.
-Où es tu?
-Dans le bus.
-Oh mon dieu. Qu’est-il arrivé à ta voiture?
-Rien. J’avais juste envie de prendre le bus.
-Tu veux qu’on passe te chercher?
-Non… Je suis dans le bus.
-Maria… T’es sûre que ça va?
-Je ne sais plus».
Et cette situation n’est pas près de changer. The Atlantic explique que des nouvelles lignes de bus sont parfois créées. Mais puisque rénover les bus coûte cher, les usagers occasionnels ne sont pas prêts à payer puisqu’ils n’en ont pas vraiment besoin. Alors que les autres doivent accepter que les tarifs augmentent et que les bus ne s’améliorent pas car de toutes façons ils n’ont pas d’autre choix que de les prendre.
A Los Angeles, il y a 7% moins de bus en service mais les tarifs ont augmenté de 44% ces quatre dernières années.
OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 18/7/2012, 07:16
Citation :
Obama charge Romney sur les impôts
de LCI.fr
Le président américain a dénoncé lundi le programme fiscal de son adversaire du parti républicain. Il favoriserait selon lui les plus riches au détriment des classes moyennes.
Lundi soir, le locataire de la Maison-Blanche était en campagne à Cincinnati, la grande ville de l'Ohio, l'un des "swing states", ces Etats où se jouera la victoire. Et il a lancé une nouvelle attaque acerbe contre son rival du parti républicain. "Nous n'avons pas besoin d'un président qui va s'accorder à lui-même un énorme allégement fiscal. Il nous faut un président qui diminue vos impôts", a-t-il affirmé.
"Deux visions différentes"
Barack Obama a également fustigé les projets de Mitt Romney sur la fiscalité des entreprises. "Il veut accorder des allégements fiscaux aux entreprises qui envoient des emplois à l'étranger. (...) Nous n'avons pas besoin d'un président qui envisage d'envoyer plus d'emplois à l'étranger. Je veux donner des allégements fiscaux aux entreprises qui investissent ici dans l'Ohio", a martelé le représentant du parti démocrate.
Barack Obama a assuré que l'élection concernait "plus que deux candidats et deux partis politiques. Il s'agit de deux visions différentes sur la façon de construire une économie forte". Il s'en est remis aux électeurs à qui il a confié le soin de trancher.
OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 24/10/2012, 17:40
Citation :
Une grossesse après un viol: un «don de Dieu»
de 20min.ch
Le candidat républicain de l'Indiana au Sénat Richard Mourdock a déclaré mardi qu'une grossesse survenant après un viol «reste un don de Dieu».
«J'ai eu du mal à me prononcer sur ce sujet pendant longtemps mais j'en suis venu à la conclusion que la vie est toujours un don de Dieu. Et, même si la vie démarre dans des conditions aussi terribles qu'un viol, c'est que Dieu l'a décidé», a estimé M. Mourdock, interrogé sur l'autorisation de l'avortement en cas de viol ou d'inceste, à la fin d'un débat qui l'opposait au démocrate Joe Donnelly.
Richard Mourdock est le deuxième républicain à se retrouver en position délicate après des déclarations controversées sur le viol et de la grossesse. Le candidat républicain au Sénat du Missouri Todd Akin avait jugé en août que la femme disposait de défense en cas de grossesse lors d'un viol véritable«. Depuis, M. Akin s'est excusé plusieurs fois mais il a refusé d'abandonner la course au Sénat malgré les pressions de certains membres de son parti, dont le candidat à la présidentielle Mitt Romney.
Le candidat républicain a dû prendre ses distances vis-à-vis de M. Mourdock mardi soir au lendemain de la diffusion d'un spot télévisé dans lequel il le soutenait publiquement le candidat de l'Indiana au Sénat.
«Le gouverneur Romney est en désaccord avec les déclarations de Richard Mourdock, qui ne reflètent pas son point de vue», a indiqué la porte-parole de M. Romney, Andrea Saul dans un courriel envoyé à Associated Press. Les conseillers de M. Romney n'ont pas précisé si le spot télévisé allait être retiré et s'il continuait à soutenir M. Mourdock.
Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 25/10/2012, 19:05
Flic cannibale ....
Citation :
Un policier new-yorkais accusé d'avoir voulu enlever et manger des femmes photonews photo prétexte Un policer new-yorkais a été arrêté. Il avait voulu enlever et manger des femmes.
AFP
Mis à jour le Jeudi 25 Octobre 2012 à 18h41
Un policier new-yorkais a été arrêté pour avoir voulu, avec un complice, enlever et manger des femmes, ont annoncé les autorités américaines jeudi.
Gilberto Valle est accusé d’avoir voulu avec un complice «enlever des femmes, puis cuisiner et manger des parties de leur corps», selon un document judiciaire daté de mercredi.
«Les accusations contenues dans cette plainte n’ont pas besoin d’être décrites plus précisément. Elles parlent d’elles-mêmes», a commenté Mary Galligan, du FBI, dans un communiqué: «Ce serait un euphémisme de dire que les paroles et les actes de Valle sont choquants».
La police fédérale américaine a découvert ses intentions en septembre, après que le policier a utilisé son ordinateur personnel pour envoyer des messages sur son plan, selon l’accusation.
Sur son ordinateur, les enquêteurs ont retrouvé des dossiers sur une centaine de femmes, comportant à chaque fois leur nom et une photographie, et parfois d’autres détails personnels, comme leur adresse ou des descriptions.
Gilberto Valle aurait utilisé des fichiers officiels pour établir cette liste. Il est également accusé d’avoir recherché des méthodes pour «immobiliser et droguer des femmes» et de s’être «mis d’accord avec au moins une autre personne pour enlever une femme en échange d’une somme d’argent».
Au cours d’une conversation en ligne en juillet, selon le texte de la plainte, le complice de Valle --qui n’est pas identifié-- lui demande: «Quelle taille fait ton four?». «Il est assez grand pour contenir une de ces filles si je lui plie les jambres», répond le policier, toujours selon l’accusation.
Au cours de leur conversation, le complice du policier lui suggère également de ne pas utiliser de «tournebroche». «Je pensais attacher son corps (...) et la faire cuire à feu doux, la garder vivante le plus longtemps possible», répond Gilberto Valle.
Invité Invité
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 25/10/2012, 19:09
Encore des barbus intégristes?
Même pas. Un bon blanc bon teint et flic comme les aiment nos adorateurs de la loi et l'ordre!
NYPD officer Gilberto Valle is accused of plotting to kidnap and cook women.
Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 25/10/2012, 20:31
Un vaincu qui vaut de l'or
En 1945, les USA ont confisqué les 4500 tonnes d'or de l'Allemagne et les ont intégralement emportées chez eux (y compris la totalité des brevets). Depuis l'Allemagne a reconstitué environ 3000 tonnes, dont 75% sont stockés.... aux USA, à Londres et à Paris. Les députés allemands viennent de s'en rendre compte (sic) et demandent que l'existence physique de ces stocks à l'étranger soit contrôlée. Le gouvernement allemand refuse. Pourquoi? Hé oui!
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 25/10/2012, 20:52
Pétard a écrit:
Encore des barbus intégristes? Même pas. Un bon blanc bon teint et flic comme les aiment nos adorateurs de la loi et l'ordre!
Et ses proies planifiées - oui, parce qu'il n'est jamais passé à l'acte - étaient de quelle couleur ? C'est là la question essentielle à laquelle personne n'a répondu !
(Et pouquoi ne serait-il pas musulman ? Les femmes de sa liste n'étaient pas nécessairement des cochonnes, non ?)
Invité Invité
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 26/10/2012, 17:00
Biloulou a écrit:
Et ses proies planifiées - oui, parce qu'il n'est jamais passé à l'acte - étaient de quelle couleur ? C'est là la question essentielle à laquelle personne n'a répondu !
(Et pouquoi ne serait-il pas musulman ? Les femmes de sa liste n'étaient pas nécessairement des cochonnes, non ?)
Toujours présent pour assurer la défense des ordures?
Ben voyons... comme d'habitude!
jam
Nombre de messages : 1404 Age : 69 Localisation : saint-nectaire land Date d'inscription : 02/11/2008
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 28/10/2012, 14:25
la belle megan fox twitte
OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 29/10/2012, 07:03
Citation :
Ouragan Sandy: Les États-Unis en état d'alerte... 375.000 personnes évacuées à New-York...
de 20minutes.fr
L'ouragan pourrait toucher les terres lundi ou mardi...
Le président américain Barack Obama a appelé ses compatriotes à prendre «très au sérieux» le danger potentiel que représente l'arrivée prochaine de l'ouragan Sandy sur la côte est des Etats-Unis, et de suivre les conseils de précaution délivrés par les autorités.
La tempête «n'a pas encore atteint la côte. On ne sait donc pas où elle va frapper, où il y aura l'impact le plus important et c'est pourquoi il est si important d'être prêt à réagir massivement et rapidement», a-t-il déclaré à des journalistes lors d'une visite au siège de l'Agence fédérale chargées des situations de crise (FEMA).
«Frankenstorm»
«Superstorm», «Monsterstorm» ou encore «Frankenstorm», en référence à la fête d'Halloween: les médias américains rivalisaient de superlatifs pour souligner la taille et la dangerosité potentielle de la tempête, qui doit se renforcer en rencontrant un front froid du Canada, selon les prévisions des services météorologiques.
Évacuation de 375.000 habitants
A New York, ville la plus peuplée du pays, le maire Michael Bloomberg a ordonné l'évacuation de 375.000 habitants de zones risquant d'être inondées.
Le réseau de transports publics, y compris le métro, sera fermé à partir de 19h (1h à Paris). «Suspendre le réseau de transport le plus important d'Amérique du Nord représente un effort monumental» mais qui doit être effectué suffisamment en amont de l'arrivée de l'ouragan, a expliqué le patron de la MTA, Joseph Lhota. Outre le métro, le plus fréquenté du pays, la ville aux huit millions d'habitants a également décrété la fermeture des parcs, des aires de jeux et des plages dimanche après-midi.
Parcs, aires de jeu et plages seront également interdits au public. Plus de 3.000 vols intérieurs et internationaux ont par ailleurs été annulés pour dimanche et lundi, principalement dans les aéroports new-yorkais, de Washington, et de Philadelphie, selon le site spécialisé flightaware.com.
Dimanche, à 20h, heure de Paris, l'ouragan se trouvait à 930 kilomètres au sud de New York et progressait vers le nord-est à la vitesse de 22 km/h, selon le Centre américain de surveillance des ouragans (NHC), basé à Miami. «Il devrait obliquer vers le nord puis le nord-ouest ce soir ou tôt lundi», selon le NHC.
Un spécialiste de la météo du Washington Post avouait sur le site Internet du journal n'avoir «jamais vu» de pareils prévisions: «On entre là dans un terrain inconnu». Sur les côtes de Caroline du Nord, dimanche, les télévisions montraient des images des îles rases qui s'étirent le long de la côte balayées par les vents, avec de la pluie et une mer démontée.
Dans la plupart des Etats de la côte, les gouverneurs ont décrété l'état d'urgence afin de pouvoir rapidement mobiliser des moyens. A Washington, des sacs de sable ont été disposés autour de certaines bouches de métro tandis que les radios, mettant en garde contre les coupures d'électricité à prévoir, diffusaient des messages expliquant les précautions à prendre.
L'ouragan Sandy a déjà laissé au moins 66 morts après son passage dans les Caraïbes.
Invité Invité
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 29/10/2012, 19:59
Sans faire de catastrophisme à la con, si il s'avère qu'à l'avenir ce genre de phénomène climatique puisse obtenir suffisamment d'énergie pour traverser l'Atlantique, nous sommes mal barré en Europe !
Plus je vieillis et plus je vois l'Océan atlantique dans un état épouvantable.
Alande-déclinologue
Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 31/10/2012, 19:07
Little girls should not take the Savile Row
La chasse aux sorcières contre le défunt 'pédomaniaque' Jimmy Savile bat son plein. Certes, certes. Et l'âge des filles baisées (plus ou moins volontairement) dans les loges des Beatles, Rolling Stones, Presley et autres stars du chaudpisse, dans la première moitié des années soixante, il était de combien? C'est toujours fou à quel point le présent sait créer différents passés (un bon et un mauvais) alors qu'il n'y en a jamais eu qu'un seul.
Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 7/11/2012, 15:46
L’empire contre-attaque : pourquoi la révolution énergétique américaine aura bien plus d’impact que l’identité de l’occupant de la Maison Blanche
La production d'énergie fossile des Etats-Unis devrait permettre au pays d'acquérir à terme son indépendance énergétique. Les conséquences géostratégiques qui en découlent risquent bien de chambouler l'équilibre mondial.
Révolution verte
Une récente étude montre que la production actuelle d'énergie fossile des Etats-Unis a augmenté de 12% par rapport à 2005. Crédit Reuters 1 2 3 suivant › Lors du débat économique entre les deux candidats à l'élection présidentielle américaine, Barack Obama a mis particulièrement en avant deux réussites de sa présidence, le sauvetage de l'industrie automobile et l'exploitation des énergies non-conventionnelles.
Florent Detroy : Il est surprenant vu de France de voir ces énergies, appelées plus communément gaz et pétrole de schiste, avancées comme des arguments de campagne. Pourtant l'exploitation du gaz et du pétrole de schiste sont peut être à l'origine de la reprise, quoiqu'encore timide, de l'activité industrielle outre-atlantique. Mieux, le gaz de schiste est en train de devenir une arme anti-délocalisation.
L'histoire commence à être connue. Développées par de petits opérateurs indépendants, les technologies d'exploitation de ces ressources ont fini par faire décoller en quelques années la production de gaz. La production a été multipliée par 12 depuis 2000, pour représenter actuellement 25% de la consommation de gaz dans le pays. Cette abondance a fait plonger les prix sur le marché spot, au point de tomber momentanément sous les 2$ le MMBTU (million British thermal unit) cette année, soit un record depuis 10 ans. Cette chute brutale des prix – ils atteignaient quasiment 14$ en 2005 – a permis au passage d'évincer le charbon de la production d'électricité. Actuellement, les énergéticiens ont engagé 40 milliards de dollars pour construire de nouvelles centrales au gaz. Les prix de l'électricité vendu aux industriels ont alors baissé de quasiment 30%, leur redonnant une forte compétitivité face à la concurrence hors US.
Les premières industries qui ont profité de cette aubaine furent les compagnies les plus énergivores, notamment dans la sidérurgie, la cimenterie ou la production d'aluminium. Par exemple, pour profiter de cette énergie à bas coût la compagnie Nucor Steel a investi 3,4 milliards de dollars en 2011 dans une usine sidérurgique. C'était la première fois depuis 10 ans qu'une compagnie sidérurgique ouvrait une usine sur le sol américain. Puis la baisse de l'énergie a amené de nouveaux acteurs industriels à relocaliser leur unités de production. Ainsi le secteur de la chimie est revenu en force aux États-Unis. Les groupes comme Dow Chemical, BASF et Bayer, ainsi que les filiales de la pétrochimie des plus grandes Majors pétrolières comme Shell ou Chevron, ont érigé de nouvelles usines dans le pays.
A l'avenir, le gaz de schiste pourrait être utilisé de manière inédite dans de nouveaux secteurs, concrétisant définitivement la « révolution industrielle » décrite récemment par le PDG de St Gobain. Depuis quelques années, l'homme d'affaire spécialiste de l'énergie T. Boone Picken fait un lobbying intense pour promouvoir la motorisation au gaz, qui permettrait d'utiliser dans le transport les immenses ressources américaines en gaz. Si le passage du pétrole au gaz reste encore hypothétique, il reste que les gaz de schiste est en train d'apporter un avantage compétitif majeur à l'industrie américaine.
Dans le secteur de la chimie, le président de la division Energie Service du chimiste belge Solvay confiait à l'Usine Nouvelle que « la différence de prix entre l'Europe et les États-Unis induit pour notre groupe un écart de compétitivité de 300 millions d'euros pour nos activités européennes ». Traduit en terme de salaire, la banque Natixis estime que la baisse des prix du gaz est l'équivalent d'une baisse de 6% des salaire américain dans l'industrie. Cette baisse des coûts de production serait d'ailleurs à l'origine de la création de 400 000 à 650 000 emplois. Selon une étude récente de l'IHS Cera, l'exploitation du gaz et du pétrole de schiste pourraient même représenter ensemble 3 millions de nouveaux emplois d'ici 2020.
Alors que les Etats-Unis comptaient 12,1 millions de chômeurs en septembre, on peut comprendre que la perspective de redonner du travail à un quart d'entre eux soit mise en avant actuellement par le président américain.
Atlantico : Une étude publiée par un professeur d'économie de l'Université du Michigan et membre du think-tank "American Enterprise Institute", Mark J. Perry, montre que la production actuelle d'énergie fossile des Etats-Unis a augmenté de 12% par rapport à 2005. Etant donnée l'instabilité se développant dans certaines zones d'approvisionnement des Etats-Unis, ces derniers ont-ils intérêt à poursuivre dans cette voie d'accélération de la production énergétique ?
Maïté Jaureguy-Naudin : Les Etats-Unis ont des relations avec l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), et plus précisément des liens très forts avec l'Arabie Saoudite. Ils sont aussi très présents militairement dans le détroit d'Ormuz et ses environs, cette présence dans zones-là ayant pour but de préserver les ressources et de sécuriser les zones d'approvisionnement. Ils ne se retireront pas à une courte échéance, mais une redistribution des cartes dans ces endroits est envisageable, et il sera pertinent de se pencher sur l'intérêt de la puissance américaine dans dans ces endroits.
Le boom des énergies "non conventionnelles" et la découverte de gisements dans plusieurs endroits (Israël, Turquie, Mozambique, Chypre, etc.) changent aussi la donne. Nous ne sommes plus dans cette optique de raréfaction des énergies fossiles, qui a toujours été un faux problème. Auparavant, on faisait campagne auprès des gens pour les avertir de la probable disparition du pétrole par exemple, ce qui avait pour mérite de les sensibiliser à la lutte contre le changement climatique.
Les Etats Unis ont toujours été préoccupés par leur sécurité énergétique, qui passe pour eux par l'indépendance énergétique. C'est une vision différente de celle des Européens, qui misent plus sur la diversification des sources et des routes d'approvisionnement. Dans les débats de la campagne présidentielle actuelle, l'énergie est très peu abordée, et quand elle l'est, on parle d'une indépendance d'ici 2020 à 2030. Les Américains ont toujours eu de l'énergie à disposition, et il est difficile de passer d'une situation d'autosuffisance à une situation où on doit dépendre et importer de l'énergie. C'est plus une question d'état d'esprit, qu'une question de positionnement dans les relations internationales.
A quelles énergies les Etats-Unis ont-ils recours aujourd'hui ?
Les Etats-Unis font appel à de nombreuses sources d'énergie : pétrole, charbon, gaz. C'est assez classique. Ils ont été longtemps très riches en ressources fossiles. Ils recouraient aussi à des importations du Moyen-Orient pour le pétrole.
L'exploitation de gaz de schiste a changé la donne, il y a quelques années des terminaux étaient construits pour les importations de gaz liquéfié à des fins d'importation. L'exploitation de gaz de schiste a actuellement pour conséquence la reconversion de ces terminaux pour exporter. Le prix du gaz est très bas, ce qui est important pour l'économie puisque certaines entreprises relocalisent, et on assiste à une "ré-industrialisation" du pays, très importante pour la compétitivité.
Cette indépendance énergétique a-t-elle déjà eu des effets sur les relations qu'entretiennent les Etats-Unis avec les pays qui leur fournissent de l'énergie ?
Non, les conséquences ne sont pas encore visibles. De plus, il est dangereux de faire des raccourcis tels que ceux faits sur la Libye qui affirmaient que la France et les Etats-Unis y étaient intervenus parce que Tripoli disposait de ressources en pétrole importante. La Libye ne représentait que 5% de l'approvisionnement français par ailleurs. Après le boom des gaz de schiste sur leur territoire, les Américains ont été particulièrement actifs dans la promotion de cette énergie notamment en Europe via les lobbies, des conférences, l'ouverture de centres de recherches, des études sur les gisements de cette énergie faisant état de volumes sans doute plus élevés que la réalité.
Tout cela n'a pas encore eu d'impacts au niveau géopolitique : les questions énergétiques ne se gèrent que sur le long terme. Néanmoins, d'autres liens comme la lutte contre le terrorisme, lient encore les Etats-Unis aux pays qui lui fournissent de l'énergie comme en Arabie Saoudite.
La politique de Barack Obama a-t-elle dynamisé l'exploitation et la production de l'énergie?
Les Américains sont très pragmatiques, et l'économie guide le choix des sources d'énergie. La politique énergétique de Barack Obama et celle prônée par Mitt Romney sont très similaires, du point de vue du choix des sources d'approvisionnement. Cependant, les démocrates ont tendance à être plus exigeants sur les conséquences environnementales que les républicains. Sur le fond, ils partagent cependant plus ou moins les mêmes tendances. Par exemple, les énergies renouvelables, qui ont encore besoin d'un coup de pouce, ont reçu le soutien aussi bien des démocrates que des républicains.
Obama a pendant longtemps avancé l'hypothèse d'un boom des énergies vertes comme un facteur de relance de l'économie, mais au final on assite à un boom des gaz de schistes. On n'entend pas le président américain s'en plaindre particulièrement, mais il ne met pas tellement en avant son bilan des énergies vertes. Beaucoup d'argent a été dépensé pour cette filière, pas à perte car il faut bien l'aider à décoller, mais on ne peut pas évoquer de création d'emplois significatives. Les gaz et huile de schistes ont, eux, créé beaucoup d'emplois. Ce changement vient vraiment de l'évolution de la technologie, et de choix des sources de l'énergie dictés par les coûts. Une économie est basée sur les coûts de production les moins chers.
Ce dynamisme énergétique va-t-il aider les Etats-Unis à affirmer leur puissance, dans un contexte où la Chine leur fait contrepoids ? Sont-ils un nouveau concurrent de la Russie, grand fournisseur de l'Europe ?
La comparaison avec la Russie et la Chine n'est pas vraiment pertinente. On parle là de pays qui ont de gros problèmes à régler.
La Chine est un gros consommateur d'énergie, et la croissance de la demande chinoise et des pays émergents en général bouleverse les équilibres mondiaux. On assiste à l'émergence d'une population énergivore, qui peut le devenir encore plus dans les années à venir. La Chine essaie de se placer stratégiquement en Afrique, et en Russie pour pouvoir sécuriser son approvisionnement. Elle a un gros souci de dépendance et de sécurité énergétique, bien qu'elle ait des réserves en gaz de schistes. Il sera important d'examiner comment la Chine va les exploiter.
La Russie, elle, continue d'être un producteur privilégié pour l'Europe, à des degrés divers selon les Etats, et elle va le rester pour longtemps. Il ne faut pas oublier certains pays d'Afrique qui parlent de la malédiction des ressources, si elles sont mal gérées.
Les Etats-Unis mettent-ils l'environnement de côté ?
On ne peut pas dire ça. Il y a moins de règles au départ. Avec le développement de la fracturation hydraulique nécessaire pour extraire les gaz de schistes, il y a avait une liberté d'entreprendre. Les premières explorations ont été réalisées par des toutes petites entreprises qui n'ont pas vraiment travaillé proprement, il y a donc eu des dégâts. Puis les grosses sociétés ont racheté des brevets, ont commencé les explorations et les forages, la technologie s'est améliorée. L'Agence de la protection de l'environnement surveille ce qui se passe, et on ne laissera pas se développer aux Etats-Unis des activités en toute impunité. Les Européens peuvent s'inspirer des erreurs faites par les Etats-Unis, mais il ne faut pas présenter ces derniers comme des saccageurs de l'environnement.
Propos recueillis par Ann-Laure Bourgeois
quantat
Nombre de messages : 5399 Date d'inscription : 17/11/2008
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 7/11/2012, 15:55
Charly a écrit:
Little girls should not take the Savile Row
La chasse aux sorcières contre le défunt 'pédomaniaque' Jimmy Savile bat son plein. Certes, certes. Et l'âge des filles baisées (plus ou moins volontairement) dans les loges des Beatles, Rolling Stones, Presley et autres stars du chaudpisse, dans la première moitié des années soixante, il était de combien? C'est toujours fou à quel point le présent sait créer différents passés (un bon et un mauvais) alors qu'il n'y en a jamais eu qu'un seul.
Dans les années soixante la pédophilie était presqu'unanimement considérée par la presse avec amusement et bienveillance...
Au sujet des Beatles, j'ai un gros doute...c'étaient des timides (d'après B Bardot) Pour les Stones, on a entendu parler de filles assez jeunes, mais je crois pas que c'était de la pédophilie... En revanche André Gide (et pour Jauni Halliday, il a des excuses... il a pas vraiment vieilli mentalement)
Invité Invité
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 7/11/2012, 17:18
quantat a écrit:
Au sujet des Beatles, j'ai un gros doute...c'étaient des timides (d'après B Bardot)
Bof! Le pipeul grenouilles reprochera toujours au Lennon de l'époque d'avoir suggéré que les Beatles étaient plus populaires que leur christ! Boutonneux à l'époque, comme toutes bonnes Rana tridacne, et les demoiselles les ignorant totalement, toute leur attention tournée vers John/Paul/George&Ringo, il ne faut pas s'étonner de voir leurs langues et claviers flétris maintenant par l'âge et l'arthrite délirer au sujet des FabFour...
De toutes façons, qui n'a pas connu ce genre de vieux mononc' pédophile aux mains ratoureuses dans sa propre famille?
Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 31/5/2013, 06:59
"Les Belges cultivent-ils le talent dans un laboratoire X-Men?"
Les Diables Rouges ont conquis l'Amérique. Quelques heures après la victoire de l'équipe nationale à Cleveland ( 2-4 ), les médias américains reconnaissaient la supériorité incontestable de l'adversaire. Et les journalistes US ont le sens de la formulation.
Petite revue des presse des commentaires qu'on peut lire dans les médias américains, au sujet de notre équipe nationale.
USA Today: "Les Belges ont totalement dominé pendant 90 minutes. Ils ont surclassé les Etats-Unis. Ils ont une excellente équipe, avec dix joueurs de Premier League. C'est la nouvelle nation émergente en Europe."
Sports Yahoo: "La Belgique a une excellente équipe. Même sans Eden Hazard, l'équipe alignée était pleine de talent. Ils ont tellement de talents que la FIFA devrait enquêter pour déterminer s'ils ne le cultivent pas dans un laboratoire X-Men tenu secret."
Avant d'ironiser: "La Belgique n'a concédé qu'un seul but en qualifications pour le Mondial et seuls les Pays-Bas ont engrangé plus de points, de toutes les équipes engagées dans les poules en Europe. Donc les Américains ont marqué deux fois plus de buts en un match que la Croatie, la Serbie, le pays de Galles, la Macédoine et l'Ecosse en six matches. C'est... quelque chose."
ESPN: "Dès le début, l'équipe belge a fait preuve de saine agressivité, d'intelligence et a joué un football fluide. Dans l'entrejeu, en comparaison avec Marouane Fellaini, Jermaine Jones ressemblait à un iPad Mini contre un iPad."
SB Nation: "Les Belges ont plus de talents à chaque position que les Etats-Unis. Ils l'ont démontré."
EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 31/5/2013, 08:41
547 -
Charly matudinal fouteux a écrit:
"Les Belges ont plus de talents à chaque position que les Etats-Unis. Ils l'ont démontré."
Sur ce coup-là il faudrait demander à l'éminent Dodo La Saumure quel est son avis d'espert sur la question. Comparativement son ami Domi le trousseur des palaces de luxe semble hisser plus haut le pavillon français.
OmbreBlanche
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Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 7/10/2013, 07:15
USA: 1er producteur mondial de pétrole et gaz en 2013 (EIA)
romandie.com
Les Etats-Unis devraient accéder dès cette année au rang de premier producteur mondial de pétrole et gaz devant l'Arabie Saoudite et la Russie, indique l'administration américaine vendredi.
L'Agence internationale de l'Energie, qui représente les intérêts énergétiques des pays riches, s'attendait jusqu'ici à ce que les Etats-Unis accèdent au premier rang mondial d'ici à quatre ans en termes de production pétrolière.
Les chiffres publiés vendredi par l'EIA incluent toutefois non seulement le pétrole brut mais aussi les gaz liquides et autres condensés dérivés de la production d'hydrocarbures, ainsi que les biocarburants.
Portée par le boom de l'exploitation du pétrole de schiste, la production de pétrole aux Etats-Unis devrait avoisiner les 12 millions de barils par jour (mbj) soit davantage que l'Arabie Saoudite et que la Russie, selon l'agence américaine qui publie un graphique mais pas de chiffres précis.
D'après l'agence, la production d'hydrocarbures au sens large des Etats-Unis était déjà l'an dernier au coude à coude avec celle de la Russie mais, l'écart entre les estimations de production russe et américaine s'est "agrandi" en 2013, dissipant toute ambigüité sur le premier rang mondial des Etats-Unis, estime l'agence gouvernementale.
L'Arabie saoudite en revanche produit peu de gaz naturel et se retrouve donc derrière les Etats-Unis et la Russie dans les chiffres de l'EIA. Avec autour de 10 mbj, elle reste toutefois largement devant les Etats-Unis si l'on ne prend en compte que la production de brut seule.
Les Etats-Unis devraient extraire 7,5 millions de barils par jour (mbj) de brut en moyenne cette année, contre 6,5 mbj environ l'an dernier, dont 2 mbj provenaient du pétrole de schiste.
Avec une augmentation de 15% sur un an, la croissance de la production de brut américaine, tirée par le schiste, ralentit donc nettement cette année comparé à l'an passé, quand elle avait connu une envolée de 32% par rapport à 2011.
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: Re: D'Outre-Atlantique 7/10/2013, 07:32
OmbreBlanche a écrit:
Les Etats-Unis devraient accéder dès cette année au rang de premier producteur mondial de pétrole et gaz devant l'Arabie Saoudite et la Russie, indique l'administration américaine vendredi.
Vu que cette manne est due essentiellement aux gaz et aux pétroles de schiste... que leur exploitation se fait par des forages en oblique.... je me demande - je me demande seulement - s'il leur serait possible, en partant de chez eux, d'arriver aux gisements en France ?