Rappel du premier message :Nos frères d’Orient sont persécutés ! Publié le novembre 8, 2010 par sedevacantisme
Admin:
1) La FSSPX doit ré-ordonner sous conditions les “Prêtres” conciliaires INVALIDES qui l’ont ralliés (c’est un véritable SCANDALE de faire croire aux fidèles qu’ils adorent Le Corps, le Sang, l’âme et la Divinité de Notre Seigneur Jésus-Christ, alors qu’ils n’adorent QUE du PAIN !).
2) La FSSPX doit cesser de mentir concernant l’infaillibilité du Magistère Ordinaire et Universel, et déclarer publiquement que les “pontifes conciliaires” ne jouissent pas de cette infaillibilité que Le divin Sauveur a promis à Pierre et à TOUS ses successeurs, et que par conséquent ces gens là NE SONT PAS véritable successeur de saint Pierre mais bien des usurpateurs et des antichrists.
Abbé Régis de Cacqueray, supérieur du district de FranceSuresnes, le 08 novembre 2010
La mort des nations catholiques entraîne la disparition des minorités chrétiennes
Ce dimanche 31 octobre 2010, alors que nous fêtions chez nous la fête du Christ-Roi,
nos frères d’Orient ont subi une persécution très sanglante.
Tandis que la cathédrale syriaque catholique de Bagdad était comble pour la messe dominicale, des soldats ont fait irruption dans le sanctuaire, et ont abattu,
au nom d’Allah, deux prêtres, les Pères Athir et Wassim, et une cinquantaine de leurs fidèles pris en otages. Autels profanés, explosion de grenades, rafales de balles, effusion de sang, corps déchiquetés, familles disséminées, ne doivent pas nous apparaître comme des lieux communs d’une actualité éloignée.Les historiens rapportent que les disciples de saint Thomas avaient évangélisé la Mésopotamie dans les premiers siècles de notre ère.
Les clochers des églises chrétiennes d’Orient s’élevaient vers le Ciel avant que n’advienne l’irruption des minarets et ces communautés qui sont condamnées aujourd’hui, par le silence de nos contemporains, soit à subir l’exil, soit à courber l’échine face à la progression de l’Islam, étaient implantées sur ces terres bien avant la naissance de Mahomet. Aujourd’hui, elles sont vouées à une disparition prochaine dans un grand nombre de pays tandis qu’on explique que cette funeste évolution n’est l’œuvre que d’un fanatisme minoritaire lorsqu’elle est avant tout celle d’un lâche désistement.Si, malgré la diffusion de l’Islam, ces communautés ont pu survivre dans ces pays, ont pu y maintenir les premiers foyers de la Chrétienté durant des siècles, c’est essentiellement du fait de la protection des États catholiques d’Occident qui n’ont jamais eu de cesse de les consolider. Leur disparition programmée,
à la faveur du thème apparu au XXe siècle de la liberté religieuse, a laissé ces chrétientés en proie aux persécutions tandis que la nouvelle pratique du dialogue s’avère constituer une bien maigre protection pour cette présence chrétienne qui se réduit chaque jour comme peau de chagrin au Moyen Orient.
Parallèlement, c’est cette même mise à égalité des religions qui fait que, loin de se cantonner,
la diffusion de la pensée de Mahomet gagne désormais les anciens pays catholiques ayant apostasié, y rendant les communautés musulmanes de moins en moins minoritaires.Il y a quatre-vingt cinq ans, Pie XI, dans l’encyclique
Quas Primas, rappelait la
doctrine catholique en la matière, doctrine qu’il avait reçue de ses prédécesseurs et
qui a très étrangement disparu depuis quarante ans.
Le pape prophétisait sur les désastreuses conséquences de la disparition des Nations catholiques en matière sociale, culturelle ou géopolitique à l’échelon planétaire. Au contraire, explique-t-il, «
si les hommes venaient à reconnaître l’autorité royale du Christ dans leur vie privée et dans leur vie publique, des bienfaits incroyables – une juste liberté, l’ordre et la tranquillité, la concorde et la paix — se répandraient infailliblement sur la société tout entière ».
Aussi,
c’est bien de la profession de foi par les chefs d’État que dépend le sort des catholiques à travers le monde. Aucune instance internationale laïque ou interreligieuse, aucun pourparler universaliste ne pourra établir une paix qui ne reposera pas sur Jésus Christ.Prions donc et ne négligeons aucun sacrifice pour ces frères chrétiens qui subissent le martyre et dont le sang, par la grâce de Dieu, fera rejaillir l’Église sur ces territoires d’Orient.
Abbé Régis de Cacqueray,
Supérieur du District de France.
Suresnes, le 08 novembre 2010
SOURCE
La secte conciliaire nie et combat le règne sociale de Notre Seigneur Jésus-Christ (Dogme)
Citons aussi un extrait d’un texte émanant du frère Bruno de Jésus:Pour l’heure, ce sont les soldats français qui tombent, et les chrétiens d’Irak.Le titre de cet éditorial était déjà celui de la conférence d’actualité que je prononçais le matin du dimanche 31 octobre, lors de notre session de Toussaint ; et c’est l’après-midi (15 heures gmt) que l’assemblée dominicale réunie à la cathédrale syrienne catholique Sayidat al-Najat (Notre-Dame du Perpétuel Secours) était plongée dans un bain de sang.
Ce qui est dramatique, c’est l’impuissance où nous sommes de faire prévaloir le remède à ce génocide, et qui est précisément le recours au Cœur Immaculé de Marie !… La cause de cette impuissance ? Mais c’est la déclaration du concile Vatican II selon laquelle l’homme a droit à la liberté en matière religieuse et, dans le domaine social, à l’expression de quelque culture que ce soit, à cause et en vertu de sa dignité inaliénable de personne humaine !C’est faire de l’homme la source du droit, en contradiction avec Dieu. C’est mettre l’homme à la place de Dieu. C’est inconciliable avec la foi catholique.
C’est donner le droit à n’importe qui, en raison de sa dignité d’homme, de prêcher n’importe quoi à la Face du vrai Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit, par exemple de dire que Dieu n’a pas de Fils. Le Concile a voulu nous persuader que notre Dieu à nous, qui a un Fils, Jésus-Christ, était d’accord pour laisser aux juifs et aux musulmans le droit de prêcher partout qu’il n’avait pas d’enfants ! Mais je vais être taxé de “ fondamentaliste ” en déclarant “
anathème ”, à la suite de l’abbé de Nantes, celui qui proclame que l’homme a droit à la liberté religieuse.
Je tombe sous le coup des condamnations du Synode des Églises d’Orient, «
accroché, avec l’énergie du désespoir, au dialogue avec l’islam, envers et contre tous les fondamentalismes » (
La Croix du mardi 2 novembre 2010).Cette erreur, ce crime, cet outrage à notre Dieu se double d’une seconde erreur selon laquelle le monde est identifié avec le royaume de Dieu institué sur la terre avec tous les hommes de toutes les religions, menés par l’Esprit-Saint répandu sur eux tous afin de reconstituer l’unité du genre humain. C’est une doctrine maçonnique.
Tandis que, selon la doctrine catholique, notre unité est en Jésus-Christ dans la mesure où, par le baptême, nous sommes devenus enfants de Dieu.Ou alors, il n’y a plus de différence entre la nature et la grâce, tous les hommes sont une seule chair dont l’Esprit-Saint est l’âme, promise à un avenir merveilleux. L’Église disparaît, conformément à la vision prophétique du “ troisième Secret de Fatima ”.Et Satan reprend possession de ce monde.
Dans le numéro de juillet de la
Nouvelle revue d’histoire,
Aymeric Chauprade écrit :
« À ceux qui affirment que les guerres du Kosovo et d’Afghanistan ont pour mobile commun les droits de l’homme, on répondra par ce constat : aujourd’hui, l’Afghanistan “ dominé ” par l’Otan représente à lui seul 92 % de la production mondiale d’opium (ce qui, selon une étude de l’Onu d’octobre 2009 alimente un marché de 65 milliards de dollars et une clientèle de 15 millions d’héroïnomanes dans le monde) et il est redevenu le premier producteur mondial de haschisch (ce qu’il n’était plus sous les talibans). Quant au Kosovo, il est la plaque tournante de la distribution de cette héroïne sur l’Europe. Il y a de quoi se demander pour qui tombent les soldats européens. »
Réponse :
très précisément pour ces «
remueurs de masses moins utopistes » que Benoît XVI fréquente, dénoncés par
saint Pie X qui, lui, n’était pas dupe :
«
Nous ne connaissons que trop les sombres officines où l’on élabore ces doctrines délétères [des droits de l’homme]
qui ne devraient pas séduire des esprits clairvoyants. »
Benoît XVI, lui, les cultive au cours de ses voyages “ apostoliques ”, et nous dissuade d’engager la lutte puisque, selon son Évangile, elles «
tombent » d’elles-mêmes.
SOURCE
Padre Tam dénoncant, dès 1993, la pseudo-restauration entreprise par les sectateurs conciliaires (dans le but de TROMPER et de faire RALLIER les “Tradis”)
Admin:
Les chrétiens doivent répandre le saint Décalogue (10 commandements), le règne sociale de Notre Seigneur Jésus-Christ, et non les maudits droits de l’homme (arnaque satanique).SERMON de l’Abbé Marchiset sur le dialogue interreligieux
Requiescant in Pace +http://sedevacantisme.wordpress.com/2010/11/08/nos-freres-dorient-sont-persecutes/