ET LA SYRIE !!!

Rappel du premier message :

Pour Assad, le Moyen-Orient est « malade » de sa stagnation.



Le Moyen-Orient est « malade » à cause de décennies de stagnation, a estimé Bachar el-Assad dans un entretien au « Wall Street Journal » hier. M. Assad refuse de commenter directement la situation en Tunisie et en Égypte, estimant que la Syrie est « en dehors de cela ».

Le président Bachar el-Assad exclut toute contagion en Syrie de la révolution tunisienne et des troubles en Égypte. Selon le chef de l'État syrien, le parti nationaliste arabe Baas, qui contrôle le pays depuis un demi-siècle, est « très étroitement en phase avec les sentiments du peuple » et aucun mécontentement populaire n'est perceptible qui nécessiterait un changement de ligne politique. « C'est là le point central. Quand il y a divergence entre votre politique et les sentiments et intérêts du peuple, vous avez un vide politique qui entraîne des troubles », explique Bachar el-Assad dans une interview publiée hier par le Wall Street Journal. « La sécurité est primordiale. Il faut protéger votre société des extrémistes. Ensuite, l'économie, c'est la seconde priorité. »
La Syrie, comme l'Égypte, vit sous l'état d'urgence et les deux pays présentent des caractéristiques analogues : accroissement du fossé entre riches et pauvres, corruption répandue et un taux de chômage officiel de 10 % - officieusement du double.
Bachar el-Assad, qui a succédé à son père Hafez il y a 11 ans, conservant intactes les structures de son régime autoritaire, assure que son gouvernement a commencé à « impliquer le peuple dans la prise de décision ». Il cite notamment la création d'universités privées, l'ouverture du secteur bancaire et l'apparition de médias privés. « C'est mieux qu'il y a six ans, mais ce n'est pas encore la situation optimale », concède-t-il, tout en ajoutant : « Nous avons encore un long chemin à parcourir, parce que c'est un processus. Pour être réaliste, il faudra attendre la prochaine génération pour que cette réforme soit en place. » M. Assad souligne qu'un projet de loi prévoit d'assouplir les contrôles sur les médias, mais il ne précise pas quand les sites Internet fermés à la suite de la révolution tunisienne, dont Facebook, seraient rouverts. Il passe enfin sous silence, dans cette interview, le sort des milliers de prisonniers politiques, l'interdiction de voyager frappant des centaines de ses détracteurs ainsi que l'éventuelle levée de l'état d'urgence.
Concernant la situation régionale ambiante, M. Assad estime que le Moyen-Orient est « malade » à cause de décennies de stagnation et doit faire des progrès. « Une eau stagnante attire la pollution et les microbes, et parce que vous avez eu cette stagnation pendant des décennies (...), nous sommes infestés par les microbes », déclare-t-il au quotidien américain. « Ce que vous voyez en ce moment dans la région, c'est une sorte de maladie », explique-t-il. « La véritable réforme est de savoir comment ouvrir une société et entamer le dialogue », précise-t-il, soulignant une fois de plus que les décennies de stagnation politique et économique, les dirigeants sans idéologie, les interventions étrangères et les guerres ont généré le mécontentement qui s'est exprimé dans les rues de Tunisie et d'Égypte.
l'Orient Le jour

Qu'est ce qu'on va faire ?

A la question qu'est ce qu'il faut faire quand on sait rien faire ,

la meilleure réponse est ;

" faire faire "

...mais dans votre cas faudrait attendre un chwia le temps que la cavalerie revienne détruire les ADM q'y'a encore dans cette région  

L armée libre de Syrie mets la main sur un important stock d arme à Qalmun, dans la périphérie de Damas ; des missiles Milan anti blindés, des Grad sol sol , le palais présidentiel est à leur portée ainsi que les endroits stratégique de la capitale, ainsi qu un stock importyant d autres armes, de quoi mettre sur la gueule à cet assassin et sa milice. C est sur cela ne s est pas vfait sans la complicité d élèments infiltrés dans l armée du régime . Bravo les gars, vous pouvez leur mettre la tannée , sans l aide de personne,   de ceux condamnent et laissent faire , pas de cadeau, ni de pitié pour les tueurs d enfants .

Attaque de la prison du régime à Alep, où sont détenus 5000 prisonniers politiques , hommes femmes et enfants

Ungern a écrit:

LE GAVE a écrit:

La rue elle s'enfout. Ce sont les charognards journaleux qui s'excitent sous le pretexte que la rue doit savoir. Dites moi ce qu'en a  foutre un paysan du Cantal un cultivateur de la plaine du Po, un pecheur d'Islande ou meme un fallah du NIL du probleme Palestinien, il a heureusement pour lui autre chose a foutre.

 

Oui...
Mais là que tu t'en foutes ou tu t'en foutes pas,le prix à payer sera le même ...
En cas d'attaque israélienne sur l' Iran ,c'est l'ensemble du monde musulman qui va entrer en guerre .
Or ils sont 10 % chez nous .
Qu'on le veuille ou non .
Ils sont là .
Qu'est ce qu'on va faire ?

 

Et alors que sont 10%, as-t-on oublie de se defendre ? D'autant plus que de dangereux extrémistes ils ne doivent etre que 2%. Charles MARTEL est bien loin c'est vrai mais a la place des haches des epees et des lances il y a des lois sacrebleu.

 

chat noir a écrit:

L armée libre de Syrie mets la main sur un important stock d arme à Qalmun, dans la périphérie de Damas ; des missiles Milan anti blindés, des Grad sol sol , le palais présidentiel est à leur portée ainsi que les endroits stratégique de la capitale, ainsi qu un stock importyant d autres armes, de quoi mettre sur la gueule à cet assassin et sa milice. C est sur cela ne s est pas vfait sans la complicité d élèments infiltrés dans l armée du régime . Bravo les gars, vous pouvez leur mettre la tannée , sans l aide de personne,   de ceux condamnent et laissent faire , pas de cadeau, ni de pitié pour les tueurs d enfants .

 

Ils sont beaux ces étuis. De toute facon le premier a foutre en taule c'est le magasinier des munitions du palais. Un principe de fer (quant on le peut et c'est le cas dans un palais) on ne melange jamais les munitions.

 

Zora232 a écrit:

Jeffrey «Shuki» Gould, ancien espion israélien, a entrepris d'écrire ses mémoires et vient d'en livrer un avant-goût : le Mossad aurait participé, en 1974,

à la fondation du futur site nucléaire iranien de Bouchehr.

C'etait au bon vieux temps du pauvre schah Pahlavi  Israel avaient été ses copains , vas y lire ses mémoires il y est ecrit noir sur blanc que ce sont  

ceux qui lui ont envoyé Khomeiny via l'bourget-charles-de_gaulles qui lui ont fait sa fète alors ton JeffreyGould  

 

Je me permettrais d'ajouter que le port d'Eilat ne servait a 90% que pour le bisness
avec l'Iran et surtout pour les armes. Du jour du depart des Iraniens le port commercial est completement tombe et ne viennent de temps en temps que quelques cargos de voitures Japonnaises ou moutons d'Australie. Seulement le jour ou par train Eilat sera relie a Ashdod ou Ashquelon la concurrence sera tres forte pour le Canal de Suez.

 

Article "atypique" ....

Lettre d’une pigiste: «Rester en Syrie est ma seule chance d’avoir du boulot»
Dz
Mis en ligne lundi 5 août 2013, 21h18
Une journaliste italienne décrit dans une lettre saisissante la double réalité du conflit syrien et du métier de journaliste indépendant reporter de guerre. « Vous êtes seul ».



Francesca Borri est une journaliste indépendante italienne, reporter de guerre. Elle a écrit deux livres, sur le Kosovo et sur les rapports entre Israéliens et Palestiniens. Depuis un an, elle couvre le conflit syrien. De cette expérience de pigiste perdue au milieu d’une guerre, elle a tiré ce texte amer, publié le 1er juillet sur le site de la Columbia Journalism Review. Cette lettre a été reprise par The Guardian, puis traduite en français et publié par Le Nouvel Observateur. Elle nous éclaire sur une double triste réalité : celle de la guerre en Syrie, et celle du métier de journaliste indépendant.

La lettre commence de cette manière : « Il m’a finalement écrit. Voilà plus d’un an que je lui envoie des articles à la pige. Pour lui, j’ai attrapé la typhoïde et reçu une balle dans le genou. Aujourd’hui, mon rédacteur en chef a regardé les infos et a pensé que je faisais partie des journalistes italiens qui ont été kidnappés. Il m’a envoyé un e-mail : « Si tu trouvais une connexion, pourrais-tu tweeter ta captivité ? » ».

Sur la réalité du métier de journaliste pigiste couvrant une guerre :
Plus loin, elle dépeint ce que signifie être journaliste indépendante dans un pays en guerre : « Du reporter freelance, les gens gardent l’image romantique d’un journaliste qui a préféré la liberté de traiter les sujets qui lui plaisent à la certitude d’un salaire régulier. Mais nous ne sommes pas libres, bien au contraire. Rester en Syrie, là où personne ne veut rester, est ma seule chance d’avoir du boulot. (…) Mais que vous écriviez d’Alep ou de Gaza ou de Rome, les rédacteurs en chef ne voient pas la différence. Vous êtes payé pareil : 70$ par article (…) Dormir chez les rebelles coûte 50$ par nuit ; une voiture, 250$ par jour. Vous ne pouvez payer ni une assurance – 1000$ par mois – ni un fixeur. Vous êtes seul ».

« Les nouvelles technologies nous amènent à penser que la vitesse est un élément de l’information. Mais ce raisonnement repose sur une logique autodestructrice : le contenu, désormais, est standardisé, et votre journal, votre magazine, n’a plus aucune singularité, et il n’y a donc plus aucune raison de payer un reporter ».

« La crise que les médias traversent est une crise du média lui-même, pas du lectorat. Les lecteurs sont toujours là, et contrairement à ce que croient beaucoup de rédacteurs en chef, ce sont des gens intelligents qui demandent de la simplicité sans simplification. Ils veulent comprendre, pas uniquement savoir (…) Je fais tout mon possible pour expliquer, et pas seulement pour émouvoir, et je me vois répondre : « Qu’est-ce que c’est que ça ? Six mille mots et personne ne meurt ? » ».

Sur la réalité de la guerre en Syrie :
Quant à la guerre en elle-même : « C’est une guerre de tranchée entre des rebelles et des loyalistes qui sont si proches qu’ils se hurlent dessus pendant qu’ils se mitraillent. Quand vous découvrez la ligne de front, vous n’en revenez pas, avec ces baïonnettes que vous n’avez jamais vues que dans les livres d’histoire. Les guerres modernes sont des guerres de drones, mais ici ils combattent mètre par mètre, rue par rue, et on en chie de peur ».

Plus loin : La Syrie « est un asile de fous. Il y a cet Italien qui était au chômage et qui a rejoint al-Qaeda, dont la mère sillonne Alep pour le retrouver et lui mettre une bonne raclée ; il y a le touriste japonais qui arpente les lignes de front parce qu’il dit avoir besoin de deux semaines de « sensations fortes » ; le Suédois diplômé d’une école de droit qui est venu pour rassembler des preuves de crimes de guerre ; (…) il y a les membres de diverses agences des Nations-Unies qui, lorsque vous leur dites que vous connaissez un enfant souffrant de leishmaniose (une maladie transmise par piqûre d’insecte) et que vous leur demandez s’ils pourraient aider les parents à le faire soigner en Turquie, vous répondent qu’ils ne le peuvent pas parce que c’est un cas particulier et qu’ils ne s’occupent que de « l’enfance » en général ».

« La vérité, c’est que nous sommes des ratés »
Ajouté à cela la concurrence entre les pigistes, elle termine sur cette conclusion amère : « La vérité, c’est que nous sommes des ratés. Deux ans que ça dure et nos lecteurs se rappellent à peine où se situe Damas, le monde entier qualifie ce qui se passe en Syrie de « pagaille » parce que personne ne comprend rien à la Syrie – hormis le sang, encore le sang, toujours le sang. Et c’est pour cette raison que les Syriens ne nous supportent plus maintenant ».

 


La Syrie « est un asile de fous. Il y a cet Italien qui était au chômage et qui a rejoint al-Qaeda, dont la mère sillonne Alep pour le retrouver et lui

mettre une bonne raclée ; il y a le touriste japonais qui arpente les lignes de front parce qu’il dit avoir besoin de deux semaines de « sensations fortes

» ; le Suédois diplômé d’une école de droit qui est venu pour rassembler des preuves de crimes de guerre ; (…) il y a les membres de diverses agences

des Nations-Unies qui, lorsque vous leur dites que vous connaissez un enfant souffrant de leishmaniose (une maladie transmise par piqûre d’insecte) et

que vous leur demandez s’ils pourraient aider les parents à le faire soigner en Turquie, vous répondent qu’ils ne le peuvent pas parce que c’est un cas

particulier et qu’ils ne s’occupent que de « l’enfance » en général ».

« La vérité, c’est que nous sommes des ratés »


...elle devrait ecrire un livre cette dame , quel talent !  

Je me permettrais d'ajouter que le port d'Eilat ne servait a 90% que pour le bisness
avec l'Iran et surtout pour les armes.


...israel faisait du bisness avec khomeiny aussi du temps d'la guerre avec saddam y'avait beaucoup d'militaires israeliens d'élite

qui encadraient l'armée iranienne et cela longtemps avant l'iran-gate , j'peux m'tromper bien sur ç juste ouie dire  

Ungern a écrit:

Article "atypique" ....
Lettre d’une pigiste: «Rester en Syrie est ma seule chance d’avoir du boulot»
Une journaliste italienne décrit dans une lettre saisissante la double réalité du conflit syrien et du métier de journaliste indépendant reporter de guerre. « Vous êtes seul ». (...)

Etonnant, en effet, mais on s'en doutait un peu...
Et Shansaa dans tout ça ?

Biloulou a écrit:

Ungern a écrit:

Article "atypique" ....
Lettre d’une pigiste: «Rester en Syrie est ma seule chance d’avoir du boulot»
Une journaliste italienne décrit dans une lettre saisissante la double réalité du conflit syrien et du métier de journaliste indépendant reporter de guerre. « Vous êtes seul ». (...)

Etonnant, en effet, mais on s'en doutait un peu...
Et Shansaa dans tout ça ?

 

Et oui, et Shansaa ?

L aéroport militaire de Meng est tombé entre les mains des rebelles. après 8 mois de siège .
Ils récupèrent 15 hélico et des dizaines de blindé. Premier aéroport militaire de Syrie situé dans la région d Alep.

La solution ne sera pas politique,

chat noir a écrit:

La solution ne sera pas politique,

 

Avez-vous déjà tire avec un Kalach. ou autre fusil d'assault. Ou est le message ?

  

ATMEH (Syrie)
Certains Syriens reprochent aux djihadistes européens de souiller la pureté de leur révolution. Pour le régime de Bachar el-Assad, leur intervention

est un signe que les rebelles sont des intégristes soutenus par les étrangers, et quant aux agences de sécurité occidentales, elles y voient une

potentielle menace terroriste. Pourtant, malgré tout ce qu'on dit sur eux, ils évoquent rarement leurs croyances et leurs objectifs avec des

étrangers.

Alors quand deux djihadistes européens ont accepté de nous parler, c'était la première fois que des combattants collaborant avec al-Qaida en Syrie

expliquaient au monde pourquoi ils se battent et quel avenir ils imaginent pour le pays.

Entre 600 et 1000 combattants

Ces deux combattants -dont un est européen d'origine, converti à l'islam, et l'autre, né musulman, n'est ni européen ni arabe d'origine- ont

commencé par poser leurs conditions. Leurs vrais noms et leurs nationalités ne devaient pas être divulgués; comme ils le disaient, «l'Europe, ça ira

bien.» Ils ont également porté des masques pendant l'entretien pour ne pas être reconnus. «J'ai encore l'intention d'aller voir ma famille en Europe» a

expliqué l'un d'eux.

Il était aussi expressément interdit de nommer la ville où aurait lieu l'interview. «Vous pouvez dire quelque part dans le nord de Bilad-el-Cham»

déclara l'un des hommes, référence à la Grande Syrie du début de l'ère islamique -territoire qui englobe non seulement la Syrie moderne mais aussi le

Liban, Israël-Palestine, la Jordanie et l'Irak.

Se rendre sur le lieu de l'interview posait un autre problème. Preuve de la dangerosité de la Syrie, des militants affiliés à al Qaeda sont en faction à

un check-point à deux kilomètres du camp de réfugiés d'Atmeh, à la frontière avec la Turquie. Et il y a beaucoup d'autres de ces check-points sur la

route menant au lieu où vivent les deux djihadistes européens. Le nombre (...) Lire la suite sur Slate.fr

Encore un message crypté !

Qu'y a-t-il dans les interlignes ?  

Charly a écrit:

Encore un message crypté !

Qu'y a-t-il dans les interlignes ?  

http://www.slate.fr/story/76204/syrie-paroles-djihadistes-venus-europe

Les interlignes résultent d'un copier-coller du format original de slate.fr à celui de l'hébergeur de LP qui n'ont pas la même philosophie HTML.

T  G

[quote="Zora232"]ATMEH (Syrie)
Certains Syriens reprochent aux djihadistes européens de souiller la pureté de leur révolution. Pour le régime de Bachar el-Assad, leur intervention

est un signe que les rebelles sont des intégristes soutenus par les étrangers, et quant aux agences de sécurité occidentales, elles y voient une

potentielle menace terroriste. Pourtant, malgré tout ce qu'on dit sur eux, ils évoquent rarement leurs croyances et leurs objectifs avec des

étrangers.

Alors quand deux djihadistes européens ont accepté de nous parler, c'était la première fois que des combattants collaborant avec al-Qaida en Syrie

expliquaient au monde pourquoi ils se battent et quel avenir ils imaginent pour le pays.

Entre 600 et 1000 combattants

Ces deux combattants -dont un est européen d'origine, converti à l'islam, et l'autre, né musulman, n'est ni européen ni arabe d'origine- ont

commencé par poser leurs conditions. Leurs vrais noms et leurs nationalités ne devaient pas être divulgués; comme ils le disaient, «l'Europe, ça ira

bien.» Ils ont également porté des masques pendant l'entretien pour ne pas être reconnus. «J'ai encore l'intention d'aller voir ma famille en Europe» a

expliqué l'un d'eux.

Il était aussi expressément interdit de nommer la ville où aurait lieu l'interview. «Vous pouvez dire quelque part dans le nord de Bilad-el-Cham»

déclara l'un des hommes, référence à la Grande Syrie du début de l'ère islamique -territoire qui englobe non seulement la Syrie moderne mais aussi le

Liban, Israël-Palestine, la Jordanie et l'Irak.

Se rendre sur le lieu de l'interview posait un autre problème. Preuve de la dangerosité de la Syrie, des militants affiliés à al Qaeda sont en faction à

un check-point à deux kilomètres du camp de réfugiés d'Atmeh, à la frontière avec la Turquie. Et il y a beaucoup d'autres de ces check-points sur la

route menant au lieu où vivent les deux djihadistes européens. Le nombre (...)



Combattants, Jihadistes, rebelles, étrangers, européens....... Qu est ce qu ils en ont réellement à foutre les enfants syriens , les femmes , les vieillards...... Quand le monde les regarde se faire déchiqueter, et gazer, que leur importe celui qui viendra les sauver. Biensur Bachar essaie par tous les moyens de se faire une virginité, depuis qu il perd des endroits stratégiques dans la région nord, notament l aéroport militaires de Mengh, sur le terrain ces combattants sont appréciés, leur courage face aux blindés et à l aviation n est plus à démontrer, meme les experts sont d accord, c est eux qui font peur à l armée de Bachar qui fuie , laissant armes et munitions, dès les premieres esvarmouches.

Avion cargo iranien abattu sur l'aéroport de Damas
8 AOÛT 2013 ⋅ 00:04 ⋅ POSTER UN COMMENTAIRE
FILED UNDER ARMÉE SYRIENNE LIBRE , IRAN , PLAN
syrai Damas aéroport incendie

Un avion-cargo iranien transportant des armes et des munitions a été abattu au-dessus aéroport de Damas par les combattants de l'Armée syrienne libre FSA.

Selon FSA l'avion cargo a causé un énorme feu comme il est tombé sur Damas aéroport international et a affirmé que le feu répartis sur tout le chemin vers le passager terminal.

Ni les autorités syriennes ni les Iraniens ont commenté l'incident, selon le rapport qui n'a pas pu être vérifiée de façon indépendante.

L'Iran a été un fervent partisan du président syrien Bachar al-Assad à son 2 an 1/2 vague de répression contre les rebelles syriens. La plupart des armes et des munitions viennent de l'Iran ou la Russie, selon les militants.

Plus de 100.000 Syriens ont été tués jusqu'ici dans la guerre civile syrienne selon les rapports de l'ONU

Salut Chat Noir,

Que sont mes amis devenus que j'avais...... etc...........


Seigneur ne leurs pardonnez pas car ils savent ce qu’ils font.