VIVA CUBA LIBRE....

Barack Obama propose un nouveau partenariat aux Amériques et un "nouveau départ" à Cuba.

Star du sommet des Amériques, Barack Obama a une nouvelle fois marqué sa volonté de rupture en proposant un partenariat sur un pied d'égalité à ses voisins latino-américains, y compris les plus critiques de Washington. Un changement de ton illustré notamment par le "nouveau départ" offert à Cuba et la poignée de main à Hugo Chavez.
Le chef de la Maison Blanche a laissé entendre qu'il était prêt à accepter la proposition du président Raul Castro qui a offert des discussions sur des sujets autrefois tabous pour La Havane, comme les prisonniers politiques.

Autre symbole, il a salué avec un large sourire le président vénézuélien Hugo Chavez, qui avait tant détesté George W. Bush. La presse brûlait de savoir ce que le président américain avait dit à celui qui avait comparé son prédécesseur au "diable". "Je lui ai dit 'como estas', a confié Barack Obama en riant.

Dans son discours d'ouverture du cinquième sommet des Amériques, qui réunit 34 pays, le président américain a fait assaut d'humilité et d'humour pour promettre un changement de politique, comme de style, à ses partenaires.

"Nous avons parfois été désengagés et parfois nous avons cherché à dicter nos conditions", a-t-il admis sous des applaudissements nourris. "Mais je vous promets que nous cherchons un partenariat d'égal à égal. Il n'y a pas de partenaire senior ou junior dans nos relations".

Une nouvelle approche mise en pratique samedi lors du premier jour plein du sommet organisé dans l'archipel de Trinité-et-Tobago. Barack Obama a pris part à une série de séances plénières, de groupes de travail sans compter les entretiens bilatéraux que la Maison Blanche tentait d'organiser. Il espérait avoir le temps pour des tête-à-tête avec les dirigeants du Canada, de la Colombie, du Pérou, d'Haïti et du Chili, selon des conseillers.

Barack Obama a aussi serré la main à un chef d'Etat que le défunt ancien président Ronald Reagan avait passé des années à tenter de déloger du pouvoir au Nicaragua: Daniel Ortega. Le président sandiniste est venu se présenter au président des Etats-Unis, selon des responsables américains.

Cela n'a pas empêché Daniel Ortega -remplacé lors du scrutin de 1990 qui mit fin à la guerre civile puis remis au pouvoir par les électeurs en 2006- de dénoncer, dans un discours de près d'une heure le capitalisme et l'impérialisme américain, sources selon lui de tous les maux de l'Amérique latine. Il a même rappelé l'épisode de la Baie des Cochons, tentative d'invasion américaine de Cuba en 1961, tout en reconnaissant que l'actuel président ne pouvait guère en être tenu responsable.

"Je suis reconnaissant au président Ortega de ne pas me reprocher des choses qui se sont déroulées quand j'avais trois mois", a apprécié Barack Obama, suscitant rires et applaudissements des autres dirigeants.

Mais la plus forte salve d'applaudissements a accueilli l'appel du chef de la Maison Blanche à un nouveau départ dans les relations entre Washington et La Havane après près 50 ans de guerre froide. "Je sais qu'il y a un long voyage à faire pour dépasser des décennies de méfiance, mais il y a des mesures cruciales que nous pouvons prendre pour avancer vers une nouvelle ère", a-t-il déclaré. "Les Etats-Unis veulent un nouveau départ avec Cuba".

Mardi, Barack Obama avait ordonné un assouplissement des restrictions de voyages et de transfert d'argent à Cuba pour les Américains d'origine cubaine. Un geste dont s'est félicité quelques heures plus tard Raul Castro. Le président cubain, qui a remplacé son frère malade Fidel Castro il y a un an, a proposé des discussions sur "tout" ce qui divise les deux pays.

La Maison Blanche a salué cette proposition mais laissé entendre que des actes, comme la libération des nombreux prisonniers de l'île, seraient préférables. "Ca ne m'intéresse pas de parler pour parler", a confirmé Barack Obama. "Mais je crois que nous pouvons faire avancer les relations américano-cubaines dans une nouvelle direction".

La question de Cuba, exclue en 1962 de l'Organisation des Etats américains (OEA), est ainsi revenue au premier plan de ce sommet des Amériques organisé en pleine crise économique mondiale. Aux pays d'Amérique latine qui ont vu chuter leurs exportations, Barack Obama a proposé un nouveau fonds de croissance et un nouveau partenariat régional pour développer des sources d'énergie alternatives et lutter contre le réchauffement de la planète. AP

Après le départ de la dictature hors des pays écrasés par la chape de plomb soviétique, ce nouveau départ du communisme hors de Cuba et le départ tout court de Fidel Castro, devaient être salués comme il se doit. Lawrence l'a fait !

Viva Cuba libre !

Après le départ de la dictature hors des pays écrasés par la corruption et par la chape de plomb de BATISTA, ce nouveau départ devaient être salués comme il se doit. Lawrence l'a fait !

Biloulou a écrit:

Après le départ de la dictature hors des pays écrasés par la chape de plomb soviétique, ce nouveau départ du communisme hors de Cuba et le départ tout court de Fidel Castro, devaient être salués comme il se doit. Lawrence l'a fait !

Viva Cuba libre !

:

Je conçois ta profonde satisfaction pour ce qui s'est passé à Cuba depuis 1959 !

Ca pose un homme !

04-

Tiens ! C'est Michel Fugain qu'abrite le bidasse de son parapluie ?

Oh! On a volé le parapluie du bidasse!

06-

Biloulou a écrit:

Tiens ! C'est Michel Fugain qu'abrite le bidasse de son parapluie ?

Oh! On a volé le parapluie du bidasse!

"Je n'aurais pas le temps".... C'est probablement ce que le peuple cubain se dit depuis longtgemps déjà...

Cuba: Levée de l'embargo prématurée
(International 19/04/2009 - 18:29)

Il est prématuré d'évoquer une levée de l'embargo des Etats-Unis frappant Cuba, a déclaré dimanche Lawrence Summers en insistant sur le préalable pour La Havane de changer de politique.

"Nous en sommes encore loin et cela dépendra de ce que fera Cuba pour aller de l'avant", a expliqué sur NBC le principal conseiller économique du président Barack Obama. "Cuba sait depuis très longtemps ce qui lui reste à faire, et c'est à eux de jouer en terme de politique, de démocratisation", a-t-il dit.

Cette semaine, Obama a assoupli une partie de l'embargo commercial en vigueur depuis 47 ans en levant les restrictions sur les voyages et les envois de mandat vers l'île caraïbe.

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CHANGEment, disat-on ? hi hi hi !

Citation :

L'ancien président américain Jimmy Carter et prix Nobel de la Paix s'est déclaré optimiste lors d'une conférence de sa Fondation en Bolivie en estimant qu'un jour Cuba sera une démocratie.

"A un moment, à l'avenir, je crois que les Cubains vont être en démocratie" parce que le continent américain "est un exemple pour le reste du monde, pour la démocratie et les droits de l'Homme", a-t-il déclaré.

Et d'ajouter: "On ne peut pas obliger les Cubains à faire des changements, mais des signes indiquent qu'il y a un assouplissement croissant à Cuba".

Et de rappeler que c'est sous son mandat (1977-1981) qu'avait été ouvert le bureau des intérêts américains à La Havane avec pour critère que "sans dialogue, le changement n'est pas possible".

http://qc.news.yahoo.com/s/afp/090502/monde/bolivie_usa_cuba_politique_droitshomme_1

Pas de doute, un jour où l'autre Cuba sera un pays démocratique ; la famille Castro, actuels propriétaires de l'île, ne sont pas éternels...

Comment un espion cubain a fait un enfant à sa femme depuis sa prison aux Etats-Unis
(Par Francetv info - Mis à jour le 22/12/2014 | 09:45 , publié le 22/12/2014 | 09:07)



L'espion cubain Gerardo Hernandez et son épouse, enceinte de huit mois, à la Havane (Cuba), le 20 décembre 2014. (REUTERS)

 
CNN révèle lundi que, dans le cadre des négociations avec Cuba, Washington a autorisé ce prisonnier à avoir recours à l'insémination artificielle.

Par quel miracle un espion cubain libéré par les Etats-Unis a-t-il pu retrouver sa femme enceinte de son enfant ? CNN révèle, lundi 22 décembre, que, dans le cadre des négociations entre Cuba et les Etats-Unis, qui ont permis un rapprochement entre les deux pays, Washington a accédé à la requête un peu particulière de ce prisonnier cubain : avoir recours à l'insémination artificielle.

Gerardo Hernandez fait partie des trois prisonniers dont le président cubain Raul Castro a annoncé la libération, le 17 décembre, alors qu'ils avaient été arrêtés en 1998 aux Etats-Unis et condamnés en 2001 à de lourdes peines de prison pour espionnage. Les Cubains ont eu la surprise de découvrir, sur les images de son arrivée à l'aéroport de la Havane, que l'épouse de Gerardo Hernandez, qui n'avait pas vu son mari depuis plus de quinze ans, était enceinte.

Un aveu pour mettre fin aux rumeurs
Selon CNN, de nombreuses rumeurs circulaient sur la paternité de l'enfant, mais aussi sur une éventuelle visite conjugale que Cuba aurait organisée clandestinement, au nez et à la barbe des autorités américaines. Mais, selon deux sources gouvernementales cubaines, au cours des négociations, le sperme de Hernandez a pu être collecté et rapatrié à Cuba, pour que son épouse bénéficie d'une insémination artificielle.

"Nous pouvons confirmer que les Etats-Unis ont facilité la requête de Mme Hernandez d'avoir un bébé avec son mari", a affirmé le ministère de la Justice américain. En échange, Alan Gross, le prisonnier américain libéré par Cuba mercredi dans le cadre des négociations, a pu bénéficier de meilleures conditions de détention. Une révélation qui ne ravira pas la communauté cubaine aux Etats-Unis, déjà furieuse de cette libération.

Pas de quoi gâcher le bonheur de Gerardo Hernandez, qui a annoncé que sa petite fille devrait naître dans deux semaines et qu'elle s'appellera Germa.

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Par-delà les rumeurs, Mme Hernandez était restée Fidel....

Le pape François n'y est pour rien, tu es sûr ?

Si ce qui se profile entre Cuba et les USA se realise (nan, pas la grossesse de mâme Hernandez, pfiou...), je reviens sur ce que j'ai dit d'Obama, je presente mes excuses et je lui fais trois courbettes.
Et je suis d'avance tres heureuse pour les cubains de Cuba -que le cul pèle aux vieux rancuniers de la diaspora de Floride.


Mab, qui va enfin pouvoir aller à Cuba !

Mara-des-bois a écrit:

Le pape François n'y est pour rien, tu es sûr ?

C'est du contraire que je suis presque sûr, bella mia...
Pour le reste... on saura sûrement un jour le pourquoi du "geste" d'Obama et peut-être aussi quelle en est la part qui revient à Raul.
Geste de générosité ? Élan du coeur ? Évidence aveuglante ? Oui, peut-être, mais c'est que, en politique... ou plutôt, les politiciens...

Mab au long nez a écrit:

Mab, qui va enfin pouvoir aller à Cuba !

Toi? Mais tu ne monteras jamais dans l'avion, tu ne quitteras jamais ton canton, tu détestes toujours tout autant faire et défaire les valises...

Quand on entend le Président Obama, avouer que la politique d'isolement de Cuba mené par son propre pays depuis plus de 50 ans, est un échec patent... On se pose des questions sur la politique qu'il mène vis à vis de Poutine !

Biloulou a écrit:

Toi? Mais tu ne monteras jamais dans l'avion, tu ne quitteras jamais ton canton, tu détestes toujours tout autant faire et défaire les valises...

Et bien j'embaucherai quelqu'un pour les faire et les defaire, voyons.


Mab, pratique

Poste Restante : Môssieur Kalawasa est prié, en ces periodes de fêtes, de ne pas gâcher mon bonheur avec ses remarques mephistopheliques, merci. Ou bien je raconte à tout le monde qu'il a des origines.

Mab a écrit:

Poste Restante : Môssieur Kalawasa est prié, en ces periodes de fêtes, de ne pas gâcher mon bonheur avec ses remarques mephistopheliques, merci. Ou bien je raconte à tout le monde qu'il a des origines.

Cadeau de Noël pour Mab :

kalawasa, gâteur, a écrit:

Cadeau de Noël pour Mab :

Merci beaucoup, Kalawasa.
Je ne suis pas fan de nounours, mais je sens que je vais le devenir. Ils sont tous adorables -encore qu'il y en a un, en haut à droite, qui a le regard un peu vicieux...


Mab, fibres nounoursiennes en eveil

Mais ... Cuba était déjà libre .... de l hégémonie américaine...

kalawasa a écrit:

Mab a écrit:

Je ne suis pas fan de nounours, mais je sens que je vais le devenir. Ils sont tous adorables -encore qu'il y en a un, en haut à droite, qui a le regard un peu vicieux.

Honnêtement, Mab, je trouve le Bisounours en haut à droite tout à fait normal (peut-être un peu chatouilleux ? ) . En tout cas, j'ai l'impression qu'il veut vous souhaiter une bonne année, mais il m'a l'air de ne pas aimer ces formules politiquement correctes . Après tout, c'est son droit , non ?  

Dites, vous n'allez pas me pietiner les arpions avec les droits des ours, non plus ?
Il se tait le nounours, il baisse les yeux ou il rentre au pays des bisounours, non mais sans blagues.


Mab -on ne va tout de meme pas se laisser enquiquiner par les etrangers !-

chat noir a écrit:

Mais ... Cuba était déjà libre .... de l hégémonie américaine...

Absolument d'accord avec toi Chat Noir.
J'y ai vecu quelques mois en 1992, le temps de construire un hôtel à Santiago de Cuba le berceau de Jose Marti et de Fidel.
Cet hôtel était financé par un fond de pension canadien. (Le boycot existait sur papier !)
Les cubains étaient extrèmement chaleureux, l'on n'y manquait de rien de vital, le sport était roi et la recherche de pointe, particulièrement la médecine, que dire de plus, un charme permanent et de superbes filles !!!
Tout se payait déjà en $$$... rien de nouveau....

Lawrence a écrit:

J'y ai vecu  quelques mois en 1992, le temps de construire un hôtel à Santiago de Cuba le berceau de Jose Marti et de Fidel.

Bonjour Lawrence !

On se connaît depuis des temps immémoriaux et c'est maintenant que tu me dis avoir été maçon !
Note qu'il n'y a pas de honte à ça, un maçon est un bâtisseur...

Biloulou a écrit:

Lawrence a écrit:

J'y ai vecu  quelques mois en 1992, le temps de construire un hôtel à Santiago de Cuba le berceau de Jose Marti et de Fidel.

Bonjour Lawrence !

On se connaît depuis des temps immémoriaux et c'est maintenant que tu me dis avoir été maçon !
Note qu'il n'y a pas de honte à ça, un maçon est un bâtisseur...

Oh Biloulou..... tu n'es pas très franc il y a 22 ans que tu es au courant