Au vu de son état physique, il ne me semble pas injuste que le tribunal ait assorti du sursis la peine de deux ans de prison infligée à Jacques Chirac.
Il eut été difficile pour lui de faire sa promenade quotidienne dans la cour de la santé en compagnie de Carlos, Neyret et Noriega ... Ceci étant, il aurait pu ainsi faire le quatrième pour jouer à la belote ...