Manuel Valls, le Sarko de Gauche

Manuel Valls, le Sarko de Gauche

Ombre le titre est de toi? Inspiré sur ce coup là!



Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît."







Réhabilitons Manu

libération a écrit:

Une ambition, des convictions, le goût de la castagne et un style bien affirmé… Quel sera le destin du nouveau Premier ministre?

Libération s’est penché sur le parcours de Manuel Valls. Depuis «son regard d’enfant» d’immigrés espagnols fuyant le franquisme jusqu’au discours de politique générale, mardi devant l’Assemblée nationale;

Malgré son attachement à Israël , monsieur "B" ne semble pas avoir la même affection pour Manu qu'il l' a  Nico...C'est pas juste il me semble!
Serait-ce cet héritage anti-franquiste qui pose probléme?
Et bien bonne nouvelle , c'était juste de la com ...

http://24heuresactu.com a écrit:

Nous apprenons dans «le vrai visage de Manuel Valls», titre du livre, que notre ministre n’est absolument pas le fils d’un opposant au franquisme qui aurait du quitter la Catalogne comme il voudrait le faire croire, mais bien au contraire le pur produit de la haute bourgeoisie espagnole, amie du régime de Franco, grand-père banquier et patron du journal très catholique «el Mati», père artiste et mère argentée grâce à son commerce de l’or des colonies, où elle possède mines et hôtels.

[quote="médiapart"]Ce qui est révélateur en un sens de la personnalité arriviste d’exception qui est la sienne, et qui correspond dorénavant à celle de tous les hommes politiques qui briguent de parvenir aux plus hautes fonctions du pouvoir en passant par « l’intérieur », c’est cette affaire de la fuite du régime de Franco par son père. Valls a en effet donné une interprétation toute personnelle de la façon dont ce dernier aurait immigré en France : Xavier Valls, peintre moderniste attaché à la tradition classique (beaucoup de natures mortes), aurait cherché refuge hors de l’Espagne avec l’arrivée du franquisme. Or ses biographies indiquent clairement que le franquisme n’a nullement empêché Xavier Valls de poursuivre ses études artistiques en Catalogne, et c’est seulement plusieurs années après la fin de la seconde guerre mondiale qu’il s’installe à Paris dans la maison qui sera aussi son atelier (précisions ici). Mieux, il construit sa carrière en effectuant fréquemment des allers et retours entre les deux pays, Manuel naît ainsi à Barcelone en 1962, tandis que le domicile principal reste parisien.



La création de cette rumeur entoure Manuel Valls d’une aura héroïque qui ne contribue pas qu’un peu à son succès populaire : comment, étant enfant de réfugié du fascisme, un ministre de « l’intérieur » pourrait-il être du côté des puissants ? Or le ministre socialiste ne s’interdit rien des compromissions habituelles dans ce domaine (voir là). Et l’intuition qu’il a pu avoir de l’importance de la thématique sécuritaire auprès d’un peuple négligemment politisé prend son modèle chez Nicolas Sarkozy, dont il suit la même stratégie carriériste en s’arrogeant de la même manière la confiance des classes modestes. En édulcorant son passé familial, Manuel Valls se crée une détermination sociale qu’il n’a pas.

http://blogs.mediapart.fr/blog/luc-rigal/171013/manuel-valls-ou-la-verite-par-l-image