SILVIO, TOUJOURS AUSSI CON.....

Rappel du premier message :

Silvio Berlusconi : son Eminence s'est mise dans de beaux draps.


Si son (ex-)épouse Veronica Lario est habituée à laver son linge sale en public, le Caïman se retrouve bien malgré lui, la superbe ternie et la conscience souillée. D'après journal La Repubblica, Berlusconi aurait fricoté avec la jeune Noemi Letizia, de surcroît mineure au moment des faits.

Le scandale a débuté il y a trois semaines lorsque Madame Berlusconi, a annoncé qu'elle demandait le divorce. Affectée par les penchants de Silvio à ouvrir sa liste (européenne, s'entend) aux créatures gâtées par la nature, Madame s'était indignée de la participation de son époux à la fête d'une minette. La goutte ayant fait déborder le vase étant très exactement la présence du chef du gouvernement italien le 26 avril dans une discothèque de la périphérie de Naples. Alors qu'il n'est jamais venu à aucun des anniversaires de ses trois derniers enfants, Silvio a fait couler le champagne à flots lors du 18e anniversaire d'une starlette d'une chaine câblée. La vénus est blonde, a les mensurations d'une bimbo, les rêves qui vont avec: elle gère la rubrique Potins d'une émission régionale, mais son ambition est de devenir show girl... Noemi Letizia raconte: «Les lumières se sont éteintes. Papounet est arrivé avec un grand sourire. Il avait un paquet cadeau à la main. Un magnifique collier!». Après trente années de silence, la mère de famille bafouée a cultivé une certaine rancoeur à l'égard de son fougueux mari. «Je ne peux pas rester avec un homme qui fréquente des mineures», avait expliqué l'ancienne actrice de série Z, adepte du jardinage et des romans à l'eau de rose. Une accusation dont le sémillant septuagénaire s'était défendu avec vigueur: «C'est une affirmation que je ne peux pas supporter. Je suis ami avec son père: un point c'est tout. Je le jure», arguant par la suite qu'il s'agissait d'un coup monté de la gauche, à un mois du scrutin.

Ah ?! Bonjour Sylvette !
Si j'avais su que vous étiez là je n'aurais pas tiré la langue...

Je la rentre illico.

en fait c'etait tres mignon, surtout en fin de ce message.

Augusto Minzolini, le directeur du journal télévisé de la première chaîne du service public italien, la RAI, a justifié ainsi, lundi soir au cours du 20 heures, pourquoi son journal ne ferait pas écho aux rumeurs répandues sur Silvio Berlusconi, le président du Conseil :

"Des rumeurs que le cirque médiatique transforme en informations pour des raisons politiques ou des intérêts économiques. C'est la ligne que je vous avais promis et que je continuerai à maintenir. Dans cette histoire de dîners et de fêtes dans les demeures privées de Silvio Berlusconi, remplie d'allusions, de témoignages plus ou moins crédibles et de rancoeurs personnelles, il n'y a pas une nouvelle qui soit certaine. Ni, encore moins, une hypothèse de délit qui concerne le Premier ministre et ses collaborateurs mais de simples commérages".

(Extrait du journal "Le Soir du mercredi 24/06/2009)

Dont acte. Entre-temps le cirque médiatique continue à tourner de plus belle.

Extra (C'est le O'Reilly italien! il lui est arrive de dire exactement la meme chose en anglais! )

Comme quoi il arrive encore de trouver par-ci, par-là, des journalistes honnêtes...

OUI!

Berlusconi poursuit des journaux européens pour diffamation
(Reuters, il y a 42 min, Stephen Brown, version française Pierre Sérisier)

Silvio Berlusconi a lancé une campagne de poursuites judiciaires pour diffamation visant des organes de presse italiens mais également britanniques, français et espagnols.

Le président du Conseil italien reproche à ces médias la couverture qui a été faite de sa vie privée, a expliqué vendredi son avocat, Me Niccolo Ghedini.

Des plaintes ont été déposées contre des publications en Italie, en France et en Espagne et Silvio Berlusconi a demandé à ses avocats en Grande-Bretagne d'examiner les poursuites envisageables dans ce pays.

Berlusconi, 'pénitent' de la procession du Pardon.
LeMonde.fr

Enfermé depuis plusieurs jours dans sa villa d'Arcore, proche de Milan, évitant soigneusement la Sardaigne par où le scandale est arrivé, Silvio Berlusconi réapparaîtra, vendredi 28 août, à L'Aquila, la cité dévastée par un tremblement de terre le 6 avril. Il participera aux cérémonies liées à la procession de la Perdonanza (le 'Pardon') qui se tient traditionnellement dans la capitale des Abruzzes en août.

En butte aux critiques de l'Eglise italienne et, dans une moindre mesure, à celles du Vatican depuis les révélations de scandales concernant sa vie privée, le président du Conseil devait rencontrer le cardinal Tarcisio Bertone, secrétaire d'Etat de la Curie et premier collaborateur du pape. Le pèlerinage du Pardon en l'honneur du pape Célestin V vaut à ses participants une 'indulgence plénière' à condition qu'ils soient 'sincèrement repentis et confessés'.

M. Berlusconi sera accompagné de son bras droit, Gianni Letta, à qui il a confié le soin de renouer le fil avec la hiérarchie catholique, qui souhaite le voir adopter 'un style de vie plus sobre'. Après avoir regimbé, M. Berlusconi, qui sait qu'on ne peut gouverner l'Italie sans la faveur de l'Eglise et du Vatican, a décidé d'afficher les signes de sa piété après avoir reconnu au début de l'été qu'il n'était 'pas un saint'. Toutefois, selon la presse italienne qui cite des 'sources vaticanes', cette rencontre - qui ne prendra pas la forme d'un tête-à-tête - ne sera pas 'un coup d'éponge' sur les scandales de Silvio Berlusconi.

RÉVISER LES ACCORDS DU LATRAN

Quoi qu'il en soit, elle tombe également à pic pour rassurer le Vatican sur les bonnes intentions de la majorité et du gouvernement à son égard. Mercredi 26 août, la Ligue du Nord a fait trembler les ors de la cité papale en menaçant d'inscrire à l'ordre du jour du gouvernement une révision des accords du Latran qui régissent les relations entre l'Etat italien et le Vatican, si celui-ci continuait de 's'ingérer en critiquant les mesures de l'Italie contre l'immigration clandestine'..

Je me demande si "Le Monde" fait partie des journaux assignés pour diffamation par le président du Conseil italien...

(Errare humanum est, perseverare diabolicum... )

POUR 1.000€ PLUTÔT RADIN.............



Berlusconi affaibli par d'autres accusations sur sa vie privée.

Selon Corriere della Sera et La Stampa, deux quotidiens respectés en Italie, trente femmes, dont certaines rétribuées pour leurs services sexuels, ont participé à pas moins de 18 soirées organisées dans des résidences du président du Conseil.

La multiplication de ces informations et le débat public qu'elles provoquent ont placé le chef du gouvernement sur la défensive et incité une partie de la droite à évoquer ouvertement la fin de 15 ans de domination par Silvio Berlusconi de la vie politique italienne.

On se refuse dans l'entourage du président du Conseil à commenter ces nouvelles informations, qui semblent indiquer que Silvio Berlusconi, qui est âgé de 72 ans, satisferait à grande échelle son penchant pour les jeunes femmes.

Corriere et La Stampa font état de déclarations faites lors d'un procès à Bari sur les activités de l'homme d'affaires Gianpaolo Tarantini.

Selon les journaux, des femmes ont reçu une indemnité pour participer à ces soirées et 1 000 euros en plus pour prestations sexuelles. Les deux quotidiens citent les noms de plusieurs personnalités en vue parmi les invités et de deux vedettes de la télé-réalité parmi les femmes présentes.

« Je les ai présentées comme des amies, sans dire que je les rétribuais quelquefois », a déclaré Gianpaolo Tarantini, cité par la presse.

PROMESSES NON TENUES

Lors de précédentes audiences du procès, il a été établi qu'une prostituée, Patrizia D'Addario, a été payée par Tarantini pour coucher avec Silvio Berlusconi.

Patrizia D'Addario a enregistré sur son téléphone portable des conversations explicites à ce sujet et les a rendues publiques après plusieurs promesses non tenues, dont celle d'un siège au Parlement européen.

Silvio Berlusconi poursuit en diffamation des journaux en Italie et en Europe pour leur couverture des scandales et la publication de photos de certains de ses invités se promenant nus dans ses propriétés.

Au premier rang de ses cibles figure le quotidien de centre gauche La Repubblica mais pas a priori, La Stampa et Corriere delle Sera.

Les scandales à répétition ont nui à la popularité de Silvio Berlusconi auprès des catholiques pratiquants, perturbés notamment par les déclarations de l'ancienne épouse du chef du gouvernement, qui a obtenu le divorce en dénonçant le goût de son ex-mari pour les jeunes filles mineures.

Parmi les 40 % d'Italiens qui assistent à la messe au moins deux ou trois fois par mois, la cote de popularité de Silvio Berlusconi est passée de 55 % en avril – avant la divulgation des scandales – à 50 %, selon une enquête réalisée par l'institut ISPO pour Corriere della Sera.

Silvio Berlusconi affirme disposer du soutien de 70 % des Italiens, mais les sondages font état d'une cote de popularité d'environ 50 %, un niveau encore élevé pour un chef de gouvernement compte tenu de la crise économique.

Le débat s'est sérieusement envenimé ces dernières semaines sous l'impulsion d'un autre quotidien, Il Giornale, dirigé par le frère du président du Conseil, Paolo Berlusconi, qui a répliqué coup pour coup aux attaques visant son frère.

TENSION AVEC LE VATICAN

Dino Boffo, directeur du journal catholique italien Avvenire, qui avait critiqué le mode de vie de Silvio Berlusconi, a démissionné jeudi après avoir été victime à son tour d'une campagne de presse.

Il Giornale a traité Dino Boffo de « supermoraliste » et d'hypocrite et lui a conseillé de s'abstenir de critiquer le comportement de Silvio Berlusconi, évoquant des affaires de mœurs le concernant.

Dino Boffo, qui a démenti les allégations de Il Giornale, a remercié l'Église pour son soutien mais a précisé que sa démission était irrévocable. « L'Église a mieux à faire que de défendre avec acharnement une seule personne, même si celle-ci est injustement visée », a-t-il dit.

Les tensions entre la presse catholique et Il Giornale ont conduit à l'annulation par le Vatican d'un dîner prévu vendredi dernier entre Silvio Berlusconi et le secrétaire d'État du Saint-Siège, Tarcisio Bertone. Ce dernier et d'autres dignitaires catholiques avaient apporté leur soutien à Dino Boffo, accusant Il Giornale de calomnies à des fins politiques.

Certains alliés du Cavaliere ont commencé à exprimer publiquement leurs doutes. Ainsi, Gianfranco Fini, l'un de ses principaux soutiens, a jugé « paradoxal » que Silvio Berlusconi doive démentir tout problème au sein du gouvernement.

« Le déclin de Berlusconi a peut-être commencé [...] mais reste à savoir où et quand cela se produira et, surtout, qui en profitera », écrit l'éditorialiste de Corriere, Massimo Franco.

L'opinion publique semble sceptique sur un départ de Berlusconi. « Malheureusement, je n'y crois pas. Nous, les Italiens, notre objectif principal c'est l'argent, et ça, c'est lui qui l'incarne le mieux », analyse une Romaine, Marisa Spada.

Version française Pascal Liétout

Lawrence a écrit:

POUR 1.000€ PLUTÔT RADIN.............
Berlusconi affaibli par d'autres accusations sur sa vie privée.

Selon Corriere della Sera et La Stampa, deux quotidiens respectés en Italie, trente femmes, dont certaines rétribuées pour leurs services sexuels, ont participé à pas moins de 18 soirées organisées dans des résidences du président du Conseil. [...]

Exemple à suivre dans la lutte pour le plein emploi, en tout cas !

35 -

Citation :

Parmi les 40 % d'Italiens qui assistent à la messe au moins deux ou trois fois par mois, la cote de popularité de Silvio Berlusconi est passée de 55 % en avril – avant la divulgation des scandales – à 50 %, selon une enquête réalisée par l'institut ISPO pour Corriere della Sera.

La science des probabilités considère que les tendances commencent à être significatives à partir d'un écart constaté de 5 points. Nous y sommes mais il reste à confirmer la plongée. Notons qu'à 50% d'opinions favorables il y a ballotage, mais pas forcément défavorable.

Mais comme il faut bien mettre à profit les formidables connaissances que l'on retire des excellents débats autour des religions lancés sur ce forum sympathique et convivial, je dirais avec solennité à tous ces bons catholiques acharnés à chercher la poutre dans l'œil concupiscent de M. Silvioque Perveraunid : "Que celui qui n'a jamais dragué une escort-girl péché jette la première pierre ".

Ça m'a fait plaisir de pouvoir montrer ma culturation parabolique. L'athéisme d'obédience chrétienne, y a que ça de vrai.

YOUPIE CELA MARCHE À CHAQUE COUP.....




SALUT EDDIE,

DES PIERRES À 1.000€ LA PIÉCE, PEUT ÊTRE DES DIAMANTS !!!

MAIS EN ITALIE, ILS RESTENT DE MARBRE CE QUI EST RARE.....

EddieCochran a écrit:

35 -

Citation :

Parmi les 40 % d'Italiens qui assistent à la messe au moins deux ou trois fois par mois, la cote de popularité de Silvio Berlusconi est passée de 55 % en avril – avant la divulgation des scandales – à 50 %, selon une enquête réalisée par l'institut ISPO pour Corriere della Sera.

La science des probabilités considère que les tendances commencent à être significatives à partir d'un écart constaté de 5 points. Nous y sommes mais il reste à confirmer la plongée. Notons qu'à 50% d'opinions favorables il y a ballotage, mais pas forcément défavorable.

Mais comme il faut bien mettre à profit les formidables connaissances que l'on retire des excellents débats autour des religions lancés sur ce forum sympathique et convivial, je dirais avec solennité à tous ces bons catholiques acharnés à chercher la poutre dans l'œil concupiscent de M. Silvioque Perveraunid : "Que celui qui n'a jamais dragué une escort-girl péché jette la première pierre ".

Ça m'a fait plaisir de pouvoir montrer ma culturation parabolique. L'athéisme d'obédience chrétienne, y a que ça de vrai.

J'avoue avoir du mal a comprendre, en dehors du fait que Silvio soit de droite, qu'est-ce qui fait que les media le prennent ainsi pour cible?

Apres tout, je croyais qu'en Europe, contrairement aux Etats Unis, les gens n'etaient pas puritains.

Hello Jack,

Hit the road or explain please !!!

JACKLELOUP a écrit:

MAIS EN ITALIE, ILS RESTENT DE MARBRE CE QUI ESTun cas RARE.....

Lawrence a écrit:

Hello Jack,
Hit the road or explain please !!!

JACKLELOUP a écrit:

MAIS EN ITALIE, ILS RESTENT DE MARBRE CE QUI ESTun cas RARE.....

Je pense pouvoir t'aider car je crois avoir compris malgré que ce jeu de mots s'adresse de toute évidence uniquement aux gens à l'esprit ouvert, souple, alerte, et ayant une bonne connaissance du français.

La clef : marbre de Carrare.

De toute évidence la relation entre "marbre" et "carrare" est difficile à établir pour les esprits embrumés...

Carrare
Carrare, en italien Carrara
Ville d'Italie (Toscane), près de la Méditerranée ; 65 302 habitants. Carrières de marbre.
- Cathédrale romano-gothique.

Copyright () Le Petit Larousse 2008

Pffff.... comme Whisky & Chivas....

Tentacule et enc..............

Biloulou a écrit:

De toute évidence la relation entre "marbre" et "carrare" est difficile à établir pour les esprits embrumés...

Carrare
Carrare, en italien Carrara
Ville d'Italie (Toscane), près de la Méditerranée ; 65 302 habitants. Carrières de marbre.
- Cathédrale romano-gothique.

Copyright () Le Petit Larousse 2008

Tentacule et enc..............

Ça c'est pour les grecs et les libanais.

AH BON.....

CHOUETTE PLUS DE PÉDÉ EN BELGIQUE JOYEUSE............

JACKLELOUP a écrit:

Tentacule et enc..............

Ça c'est pour les grecs et les libanais.

Et pourquoi les Grecs ?

JACKLELOUP a écrit:

Tétradrachme d'Alexandre le Grand, Royaume Grec de Syrie | Le Liban

Lettre ouverte à Silvio Berlusconi, au nom des « jolies filles albanaises »

Lors d’une récente rencontre avec le Premier ministre albanais, Sali Berisha, Silvio Berlusconi s’est laissé aller à des blagues peu appréciées. Après une remarque sur les trafiquants de clandestins il a ajouté : «Nous ferons exception uniquement pour ceux qui apportent de jolies filles». L’écrivaine albanaise Elvira Dones lui adresse une lettre ouverte…

http://balkans.courriers.info/article14737.html

Ce vendredi - 12 février -, votre sens de l’humour désinvolte a touché des personnes qui me sont chères : «les jolies filles albanaises». Alors que le Premier ministre de mon pays d’origine, Sali Berisha, confirmait l’engagement de son gouvernement dans la lutte contre les trafiquants de clandestins, vous avez pointé que «pour ceux qui amèneront de jolies filles, nous pouvons faire une exception».

Moi, j’en ai rencontré des dizaines de ces «jolies filles», de nuit et de jour, à l’insu de leurs maquereaux, je les ai suivies depuis Milan jusqu’à la Sicile. Elles m’ont raconté des pans de leurs vies violées, étranglées, dévastées. «Stella» portait sur son ventre les cicatrices de ses patrons : «putain». C’était une belle fille avec un seul défaut : enlevée en Albanie et transportée en Italie, elle refusait de faire le trottoir. Après un mois de viols collectifs perpétrés par les maquereaux albanais et leurs confrères italiens, elle a dû se plier aux ordres. Elle a connu les trottoirs du Piémont, de Lazzio, de la Ligure et de tant d’autres villes. Et au bout de trois ans, on lui marqua le nom de sa profession sur le ventre : juste comme cela, par jeu. Elle était belle, cette fille. Aujourd’hui elle est une marginale de la société, elle ne tombera plus jamais amoureuse, ne deviendra jamais ni mère ni grand-mère. Ce «putain» inscrit sur son ventre lui a supprimé toute lueur d’espoir et de confiance en l’homme. Ses clients et «ses protecteurs» lui ont détruit l’utérus.

Je suis allée à la recherche d’une autre fille, elle s’appelait Brunilda, son père m’avait priée en larmes de la rechercher. Un père comme tant d’autres pères albanais à qui on avait ravi les filles, enlevées, mutilées, que l’on pendait tête en bas comme dans une boucherie si elles osaient se rebeller. Un père comme vous, Monsieur le Président, seulement moins chanceux. Aujourd’hui encore le père de Brunilda ne peut accepter que sa fille soit morte, pour toujours, noyée en mer ou exécutée quelque part dans un coin en banlieue. Il continue à espérer, rêve d’un miracle.

L’Albanie n’a plus la patience soumise d’endurer les humiliations gratuites. Je crois que vous y gagneriez à arrêter de considérer les drames humains comme un vivier de brèves de comptoir de fin de soirée.