OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Vive les seins en liberté ! 2/7/2012, 06:57 | |
| > Chez nous, une des parties les plus érotiques du corps féminin sont les seins, et par association, les soutiens-gorge. C'est ainsi que le soutien-gorge est devenu un pilier de la mode et un véritable comportement social. Pourtant, c'est aux environs de 1930 qu'a été publiée une première étude qui faisait déjà une relation entre les soutiens-gorge et l'augmentation du nombre de femmes ayant un cancer du sein. - Citation :
- Soutien-gorge et Cancer du Sein
Amessi.org
Des études des chercheurs et médecins, pourtant publiées, se succèdent à ce sujet mais ne trouvent pas leur écho dans la population féminine, souvent conditionnée par les médias et la publicité.
Voici un résultat d’enquête stupéfiant :
Une étude sur le cancer a révélé que 3 femmes sur 4 qui ont un cancer du sein, portent régulièrement un soutien-gorge contre 1 femme sur 168 chez celles qui n’en portent pas du tout.
Le risque d’avoir un cancer du sein est donc 125 fois supérieur si l’on porte un soutien-gorge. Porter un soutien-gorge donnerait donc 12 fois plus de risques de cancer que de fumer (et la plupart des fumeuses portent un soutien-gorge).
Soutien-gorge et circulation lymphatique
Une très récente étude menée par deux médecins anthropologues, met à nouveau en évidence le lien entre le port du soutien-gorge et le cancer du sein. Le soutien-gorge compressant les divers ganglions et canaux lymphatiques, les toxines ne sont plus éliminées naturellement par le drainage lymphatique, et s’accumulent dans le sein faisant apparaître au fil du temps, kystes, fibrokystes et tumeurs cancéreuses.
Les capillaires lymphatiques sont sous cutanés et microscopiques. Leur compression se fait par simple pression et empêche la lymphe chargée de déchets d’aller se déverser dans les vaisseaux ou même dans les ganglions. Cette lymphe devient alors stagnante, les toxines qu’elle n’a pas pu évacuer feront des dégâts sur place. Les soutiens-gorge plus ou moins serrés par leurs élastiques, leurs armatures ou par leurs bonnets qui remontent les seins compriment ces capillaires et vaisseaux lymphatiques, bloquant toute circulation.
En outre, les soutiens-gorge par leur tissu enveloppant les seins et par la compression exercée sur eux augmentent sensiblement leur température. Ceci a été prouvé par des études thermographiques. On sait qu’un sein précancéreux ou cancéreux est plus chaud qu’un sein non cancéreux.
Le massage naturel du sein libre
Le mouvement naturel du sein libre, pendant la marche, crée normalement un massage qui fait circuler la lymphe. Lorsque ce mouvement naturel est entravé, la lymphe ne circule plus, les toxines s’accumulent et les kystes et tumeurs apparaissent.
Certains pays (Japon, Provinces de l’Inde, Fidji, Maoris…) n’hésitent pas à faire des campagnes pour un retour aux vêtements traditionnels seins libres, depuis l’apparition du cancer du sein avec l’adoption de la mode occidentale. En effet, les femmes vivant à la mode occidentale dans ces pays développent des cancers pendant que les autres qui vivent seins libres, de façon traditionnelle, n’en développent pas.
Un faux besoin
Depuis 1978, plusieurs études médicales en France, aux USA, au Japon et en Grande Bretagne ont mis en avant que, contrairement aux idées reçues, le soutien-gorge peut augmenter la chute des seins Pourtant, les lobbies de l’industrie textile n’ont de cesse de clamer ce qu’aucune étude médicale ne confirme. De plus, le port de cet article de lingerie et le manque d’exposition au soleil réduit le taux de mélatonine reconnu comme une molécule anti cancéreuse
Certaines études parallèles au Japon, et aussi en France avec le Professeur Jean Denis Rouillon, médecin du sport au CHU de Besançon, ont démontré que le port du soutien-gorge, favorisait l’affaissement de la poitrine. « L’arrêt du port du soutien-gorge est bien supporté par les femmes, en termes de confort et d’esthétique. Contrairement aux idées reçues, le sein ne tombe pas mais il se raffermit, remonte, et la qualité de la peau s’améliore. »
En effet, les ligaments Cooper et les muscles peaussiers qui sont les soutiens naturels de la poitrine ne travaillant plus, ceux-ci s’atrophient et la poitrine, perdant sa fermeté, s’affaissent encore plus rapidement avec le temps.
Le sein est donc enveloppé dans une membrane mince et très solide, d’autant plus costaud qu’elle travaille. Il est également suspendu comme un filet à provisions par ses ligaments reliés à la peau. D’où parfois, lors de l’arrêt du port du sous-vêtement, une désagréable sensation de tiraillement pouvant durer quelques semaines avant qu’ils ne reprennent de la vigueur.
La croissance chez la jeune fille
Chaque mère, conditionnée par notre société affuble sa fille de cet accessoire dès que sa poitrine devient naissante. Ceci contribue déjà à la chute de la poitrine parce que les éléments anatomiques de suspension du sein, à la fois musculaire (platysma) et conjonctif (fascias) se renforcent lors de la croissance car la pesanteur ou les contraintes mécaniques appliquées aux seins libres s’exercent. Les tissus composants les seins ne se distendent donc pas sans soutien-gorge malgré une augmentation du volume mammaire. Le sein n’évolue pas vers la ptose (poitrine trop affaissée) et s’avère plus ferme.
Un maintien mécanique naturel
En posant des capteurs sur des athlètes, des chercheurs sportifs ont pu découvrir que la poitrine parcourt 6 cm de haut en bas et 9 cm de gauche à droite au cours des diverses pratiques sportives. Ce sont ces mouvements (réduits de 70 % avec un soutien-gorge) qui permettent au sein de s’adapter et de multiplier naturellement les formes de maintien. Constatation à la fois déconcertante et ahurissante, malgré toutes nos idées reçues, leur poitrine après 3 ans d’études n’a pas mollie, s’est encore moins affaissée et s’est même carrément rehaussée !
Étude médicale sur l’évolution du confort sans soutien-gorge (2009)
Au début de l’étude, 42 % des sujets ressentaient un inconfort sans soutien-gorge. 3 mois après, plus aucune gêne. 3 ans après, aucun sujet ne ressentait de douleur, aucun n’était gêné par l’absence du soutien-gorge dans les activités courantes, y compris les activités sportives. L’angle de l’axe du mamelon par rapport à l’horizontale augmente en moyenne de 180 % !
Il s’agit d’une évolution esthétiquement favorable puisque inverse de la ptose. Le sein libre se fortifie. Ne jamais porter de soutien-gorge donne donc une poitrine naturellement plus ferme et plus haute, contrairement aux idées reçues.
Disparition de douleurs par la suppression du soutien-gorge
Deux chirurgiens des seins britanniques ont conduit des essais dans 2 cliniques en Angleterre et Pays de Galles. Ils ont étudié des femmes pour voir si le fait de ne pas utiliser de soutien-gorge pouvait diminuer les douleurs de poitrine. Leur étude a conclu que pour la majorité des femmes, il y avait diminution de la douleur pendant une période de 3 mois sans soutien-gorge. Pour l’étude, ils ont demandé aux femmes de remplacer le soutien-gorge par une sorte de teeshirt souple ou un débardeur, ou encore rien du tout. A la suite de l’étude, aucune femme n’a souhaité retrouver l’usage du soutien-gorge car elles avaient gagné aisance et confort.
Un docteur en médecine a publié ces résultats dans le traitement de la douleur des épaules chez les femmes à forte poitrine. Dans cette étude de 5 ans, il a été suggéré que les patientes soulagent le poids sur leurs épaules pour une durée de 2 semaines, en allant sans soutien-gorge. L’étude a indiqué que les résultats à longs termes étaient l’absence de douleur aux épaules si l’on n’utilisait plus de soutien-gorge. 79 % des patientes ont ensuite décidé de décharger le poids de leur poitrine de leurs épaules de façon permanente en éliminant définitivement l’utilisation de soutien-gorge parce qu’elles se sentaient libérées.
• Chaque année, 42.000 femmes sont victimes d’un cancer du sein en France. • 12.000 en sont décédées en 2000. • La pression sociale est le plus grand ennemi de votre santé. • Est-il mieux socialement d’avoir un cancer du sein que de vivre sans soutien-gorge ? | |
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