Riche comme un Fugger : un modèle de réussite financière à imiter

Rappel du premier message :


Jacob Fugger : Le Pouvoir & l'Argent

Jacob Fugger (1459-1525) est l'homme d'affaires le plus puissant et le plus représentatif dans cette Europe de la fin du XVe siècle.

Fils cadet d'une grande famille marchande d'Augsbourg, il est d'abord destiné à l'état d'ecclésiastique, mais à 19 ans il intègre l'entreprise familiale. Après un stage à Venise, il dirige la factorerie d'Innsbrück où il se lance dans le secteur industriel. En 1493, il devient directeur de l'entreprise.

Doué d'un sens naturel pour les affaires et de surcroît rusé et habile, il fait main basse sur toutes les mines d'argent du Tyrol avant de rafler aussi les mines de cuivre de Hongrie. Il associe, comme bailleur de fonds, Melchior de Meckau, évêque de Brixen et cardinal, qui lui ouvre l'accès au fructueux transfert vers Rome des fonds issus des bénéfices et des indulgences.

Depuis 1493, il soutient les diverses entreprises de l'Empereur Maximilien, toujours à court d'argent. Après 1500, Jacob diversifie ses activités qui vont dès lors du commerce des métaux, des épices et des textiles à la ferme des domaines royaux de l'Espagne.

Sa fortune immense fait de lui le créancier des têtes couronnées d'Europe. C'est lui qui finance les guerres de l'Empereur.

En remerciement, l'Empereur lui accorde le titre de comte en 1513.

Il pratique le mécénat par souci publicitaire et fonde, pour les pauvres de sa ville, la Fuggerei, un quartier de petites maisons.

Ses liens étroits avec la Maison des Habsbourg l'entraîne à acheter, lors de l'Election impériale de 1519, les voix des Sept Electeurs en faveur de Charles Quint pour un montant - énorme pour l'époque - de 851 000 florins. En échange, Charles Quint prend sa défense lors des attaques de la diète d'Empire contre son monopole en 1522.

Négociant et banquier, Jacob Fugger n'a jamais envisagé la transformation des métaux. Bien qu'anobli, il conservera toujours ses habitudes bourgeoises tout au long de sa vie. S'il bénéficiait d'une envergure exceptionnelle et d'un remarquable sens pratique, il avait une culture très limitée.

Lorsqu'il mourut en l'année 1525, il laissa derrière lui une fortune estimée à 2 millions de florins dont les trois quarts provenaient du cuivre hongrois.

Bachi-bouzouk des Carpathes ! Bougre de crème d'emplâtre à la graisse de hérisson ! Boit-sans-soif !

Il y a eu un fuck là

Par ta faute, paresseux du clavier : il suffisait d'indiquer à qui tu répondais.

Je parlais a Kog dans le message que tu cites

Tu as raté cette seconde cible-là autant que la première qui se trompa - et c'est excusable, tu réagis suite à son billet, avec suffisamment de délai pour faire croire que c'est effectivement à Biloulou que tu répondais.

Cesse de t 'excuser auprès de moi suite à une mauvaise lecture de mes textes, je ne suis pas responsable de la susceptibilité des autres, et jamais vais-je endosser une humeur que je ne voulus pas provoquer.

Soignons nos propres susceptibilités et la camaraderie sera bien conservée.

Koganwel a écrit:

Il y a eu un fuck là
Par ta faute, paresseux du clavier : il suffisait d'indiquer à qui tu répondais.
Je parlais a Kog dans le message que tu cites
Tu as raté cette seconde cible-là autant que la première qui se trompa - et c'est excusable, tu réagis suite à son billet, avec suffisamment de délai pour faire croire que c'est effectivement à Biloulou que tu répondais.
Cesse de t 'excuser auprès de moi suite à une mauvaise lecture de mes textes, je ne suis pas responsable de la susceptibilité des autres, et jamais vais-je endosser une humeur que je ne voulus pas provoquer.
Soignons nos propres susceptibilités et la camaraderie sera bien conservée.

Et toc, bien envoyé, là !
(Pourtant, paresseux du clavier... c'est plutôt un frénétique, qu'il est - heureusement...)

Zed a écrit:

Biloulou a écrit:

Bachi-bouzouk des Carpathes ! Bougre de crème d'emplâtre à la graisse de hérisson ! Boit-sans-soif !

J'entends tout les petits mots doux d'amour que tu m'as concoctés
C'est comme une sérénade a mes oreilles

J'essayerai de faire mieux la prochaine fois !
(Un peu de discrétion, please ; tu vas déclencher une crise de jalousie chez Kalawasa...)

Moi je rêve de moi !

Zed a écrit:

Biloulou a écrit:

Bachi-bouzouk des Carpathes ! Bougre de crème d'emplâtre à la graisse de hérisson ! Boit-sans-soif !

J'entends tout les petits mots doux d'amour que tu m'as concoctés

C'est comme une sérénade a mes oreilles

Ouais eh bien tu devrais te mefier, Zed.
Parce que "Bougre de crème d'emplâtre à la graisse de hérisson" ne me parait pas une insulte bien homologuée par Hergé...


Mab -tu es en train de te faire fourguer de la copie, de l'injure chinoise !-

Mara-des-bois a écrit:

Ouais eh bien tu devrais te mefier, Zed.
Parce que "Bougre de crème d'emplâtre à la graisse de hérisson" ne me parait pas une insulte bien homologuée par Hergé...
Mab -tu es en train de te faire fourguer de la copie, de l'injure chinoise !-

Vous voulez savoir d'où viendra la trahison ? Chechez la femme.

Vous voulez savoir d'où viendra la trahison ?

Elle ne trahit qu'elle-même, la Bougresse !

De toute façon, te trahir n'est pas une injure, mais un devoir de conscience.

Biloulou a écrit:

Mara-des-bois a écrit:

Ouais eh bien tu devrais te mefier, Zed.
Parce que "Bougre de crème d'emplâtre à la graisse de hérisson" ne me parait pas une insulte bien homologuée par Hergé...
Mab -tu es en train de te faire fourguer de la copie, de l'injure chinoise !-

Vous voulez savoir d'où viendra la trahison ? Cherchez la femme.

...et les mâles en robe de chambre et charentaises !

Biloulou a écrit:

...et les mâles en robe de chambre et charentaises !

Ca n'empêche pas les grandes balades en Amerique du Nord !







Mab -c'est qu'il aime son confort, le pitchoun-

...et les mâles en robe de chambre et charentaises !

Quelle belle race d'êtres humains ! Pas plus ostentatoires qu'ils sont bruyants !

J'aimerais tant être mon propre voisin ! (Et une voix chtonienne de susurrer en moi : et ma propre amante !)

Cela ne se pourrait pas, me suffisant à ce point, je serais fatalement Dieu. J'aurais à décider quoi faire de ces animaux dont l'addition de la conscience a concouru à la déchéance plus ou moins annoncée. (Et revoyant le bienfondé de ma Création, de quoi j'aurais l'air face à ma propre conscience ??!! La seule consolation serait qu'un dieu aussi incompétent plairait à l'animal conscientuel qui se mettrait à quatre pattes, ou au moins à genoux, pour l'honorer. Alors ne le néantiserais -je pas, même Dieu à un Égo à servir, et celui-là occupe l'Univers, c'en fait beaucoup à flatter.)

Contrairement à l'autre, la toto ne m'endort pas. Définitivement pas si je suis au volant !

Chère fille (onéreuse à cause de son sexe, sans égard à son éducation laissée en friche), je ne sais quel besoin me ferait voyager à travers l'Amérique alors qu'il y a la télé ou Internet pour faire ce voyage pépère et sadistfait... Héhé !

(À l'évidence reste-t-il des Cathares dans le Sud-ouest. C'est le problème avec le Vatican, il tourne les coins rond, il ne ramasse pas toute la poussière. On dirait qu'il investit ainsi dans l'avenir, s'assurant que son Inquisition puisse être donnée en héritage aux générations futures.)

Koganwel a écrit:

(À l'évidence reste-t-il des Cathares dans le Sud-ouest. C'est le problème avec le Vatican, il tourne les coins rond, il ne ramasse pas toute la poussière.)

Oui, mais nous sommes tres discrets, à cause de Quantat et de Biloulou.


Mab, prudente

Discrète, prétend-elle sans rire, donc elle se croirait...

Galant Tom, je vais imiter celui qui est crédule plutôt que crétin - entre deux maux, fouillez-moi pourquoi, je choisis le moindre (Biloulou vous dirait qu'entre deux mots, je choisirais le plus long - mais je n'appose pas mon sot sur sa médisance, je le laisse s'enferrer tout seul, ce mauvais cheval de traits acérés).

(Qui veillerait à la célébrer si elle n'avait pas le réflexe de le faire elle-même ? Quelques menteurs en boni. Attention, messieurs, je me suis laissé dire qu'elle n'avalait pas, la donzelle. Nos mensonges. Que pensiez-vous donc ?)

Koganwel a écrit:

Vous voulez savoir d'où viendra la trahison ?

Elle ne trahit qu'elle-même, la Bougresse !

De toute façon, te trahir n'est pas une injure, mais un devoir de conscience.

Zed a écrit:

[b]Tenez, voici voilà ma résidence secondaire.

C'est charmant. Pittoresque. Canadie, en somme.
Mais Zed, est ce que les planches jointes bien ?


Mab -et puis ça doit bien brûler-