L'Amérique triomphante !

Tu parles, Charles !

À la pointe de Manhattan, ouais, pis ?

Cet André, je me demande encore où il s'en va sur ses skis - mais il se croit en raquettes, lui : cette distorsion sémantique est apportée par le miroir déformant de l'Atlantique qui nous sépare. Faut avoir lu Fred (l'autre Greg !) pour bien saisir cela.

La phénoménologie, ce n'est pas rien, mais la philémonologie n'est pas piquée des vers. (Je devrais me remettre à l'ensemble de cette œuvre pour saisir encore mieux le message sibyllin proposé par Fred. Des fois que ça m'expliquerait mieux " André ", ce côté bovaryste de Dragon qui m'échappe toujours - mais j'avoue n'être pas en état émotif pour la chasser, cette bête-là. J'ai d'autres chats à fouetter. Hélas non, il ne s'agit pas de chattes, il n'y eut pas de confusion de genre, ni de mélange d'attributs ou d'hyperbolisation de catégories, j'ai dit la vérité, on dirait même l'essentiel.)

Justement, parlant d'André, c'est quoi cette fascination pour l'Amérique ? Me dis qu'il faut ne pas y habiter pour la voir si resplendissante. (Mais des fois que, bien que l'habitant, je ne saurais pas en voir la grandeur... Je me posais la question, me rappelant aussitôt de mes lectures d'auteurs AMÉRICAINS qui étaient plus critiques que larbins, et qui m'ont pas tant inspiré mon regard sur l'Amérique décadente qu'ils l'ont corroboré.)

André a peut-être (je dis bien : peut-être !) le défaut d'être franchouillard !

(Avez-vous entraperçu mon rapide sourire en coin ?)

et je garde Montréal, sa collusion et sa corruption en guérison...

Oh ! Quelle belle formule, surtout vers son dénouement !

Bon... la guérison, dont tu parles, est comme l'économie qu'on pratique avec une allégresse bonhomme, loin de la théorie : à courte terme. Juste ça.

Tu ne croyais tout de même pas que la Commission Charbonneau allait donner de la CONSCIENCE à notre Société bigbrothérisée - comme toute autre Société qui ne pratique plus la culture nationale, la faisant plutôt par procuration, made in Autrui, la pluriculture, quoi : le chômage pour toi, le mauvais salaire pour l'autre et le profit pour on ne sait trop qui, sinon qu'on nous dit que " c'est toujours le même ".

Appelons-le le Grand Veinard. Ch'ai pas pour toé, mais moi, ça m'allège l'aorte. Au jour d'aujourd'hui périssologique, c'est l'aorte ou la porte, pieds devant !

Koganwel a écrit:

Tu parles, Charles !

À la pointe de Manhattan, ouais, pis ?

Cet André, je me demande encore où il s'en va sur ses skis - mais il se croit en raquettes, lui : cette distorsion sémantique est apportée par le miroir déformant de l'Atlantique qui nous sépare. Faut avoir lu Fred (l'autre Greg !) pour bien saisir cela.

La phénoménologie, ce n'est pas rien, mais la philémonologie n'est pas piquée des vers. (Je devrais me remettre à l'ensemble de cette œuvre pour saisir encore mieux le message sibyllin proposé par Fred. Des fois que ça m'expliquerait mieux " André ", ce côté bovaryste de Dragon qui m'échappe toujours - mais j'avoue n'être pas en état émotif pour la chasser, cette bête-là. J'ai d'autres chats à fouetter. Hélas non, il ne s'agit pas de chattes, il n'y eut pas de confusion de genre, ni de mélange d'attributs ou d'hyperbolisation de catégories, j'ai dit la vérité, on dirait même l'essentiel.)

Justement, parlant d'André, c'est quoi cette fascination pour l'Amérique ? Me dis qu'il faut ne pas y habiter pour la voir si resplendissante. (Mais des fois que, bien que l'habitant, je ne saurais pas en voir la grandeur... Je me posais la question, me rappelant aussitôt de mes lectures d'auteurs AMÉRICAINS qui étaient plus critiques que larbins, et qui m'ont pas tant inspiré mon regard sur l'Amérique décadente qu'ils l'ont corroboré.)

André a peut-être (je dis bien : peut-être !) le défaut d'être franchouillard !

(Avez-vous entraperçu mon rapide sourire en coin ?)

Ah Mon Cher Ours ... !

Il y a une quinzaine de jours alors que je me promenais dans l'Oregon au bord de la Snake River non loin de Portland, j'ai respiré à pleins poumons dans ces magnifiques forêts en pensant à toi ! ... presque si proche (enfin vu d'ici ...) ... L'air y était vif, le vert intense, les eaux de la rivière agitées et moutonnantes ... Quelle beauté cet Oregon et non pas seulement pour l'aspect si pittoresque de sa côte maritime si belle et si étrange.

L'âme du poète qui est toujours en moi, suintait d'une féconde inspiration ... Ce fut très émouvant et très intense !

Amitiés.

Les forces obscures du Mal apprendront à leurs dépens que le Bien aura toujours le dernier mot pour illuminer le Monde des Hommes !

Tu vois bien que c'est une citation du Livre de Mormon, non ?

"""Les forces obscures du Mal apprendront à leurs dépens que le Bien aura toujours le dernier mot pour illuminer le Monde des Hommes !"""




...Ote tes babouches Biloulou et rentres faire une petite prière , babusch te pardonnera d'avoir osé insulter ses complices

Tiens donc! Zora qui a bien exprimé ce qu'il a bien compris...